
تقي زاده
Les "Monafeghin", assassins des savants atomistes iraniens
L’assassinat des savants atomistes iraniens a été exécuté par les membres du groupuscule terroriste des Monafeghin, stipendiés au régime sioniste, a, récemment, dévoilé le journal britannique, «Independent», se référant à deux responsables du gouvernement américain. Ils ont reçu des aides financières et en armement, de la part d’Israël, sans oublier les entraînements et formations nécessaires passés auprès du Mossad. C’est ainsi que les personnes arrêtées, dans le dossier de l’assassinat des savants atomistes, ont avoué leur coopération avec le Mossad et leur formation par les Israéliens. A rappeler que le groupuscule terroriste des Monafeghin a assassiné, entre 2010-1012, quatre savants atomistes de l’Iran, crimes venus s’ajouter à la longue liste noire de ses actes odieux commis à l’encontre du peuple iranien. Son nom a été pourtant retiré de la liste des groupes terroristes des Etats-Unis, conformément à leur politique ambivalente, dans la prétendue lutte contre le terrorisme ! Il est vrai qu’avec l’avènement de la Révolution islamique, les Monafeghin se sont transformés en un instrument, au service des ennemis de la RII. Se mettant en lutte armée contre le gouvernement, pour renverser l’Ordre de la République islamique d’Iran, le groupuscule n’a lésiné sur rien, commettant d’innombrables crimes, sous le leadership de Massoud Rajavi, leur chef de file, enregistrant un bilan noir, dans les annales de l’histoire de 35 années de la Révolution islamique d’Iran. Des attentats ciblés, dans les années 80, à l’intérieur du pays, en rappelant, amèrement, leur coopération avec le régime de Saddam Hossein, pendant les 8 années de la défense sacrée, jusqu’à leurs récents attentats, en Iran, et l’assassinat des savants atomistes iraniens, voilà, donc, une infime partie des innombrables crimes des Monafeghin, qui ont fait tomber en martyrs plus de 17.000 civils iraniens. Le "brillant" bilan des membres du groupuscule des Monafeghin ne se limite pas aux assassinats et aux attentats, il est, aussi, marqué par des activités d’espionnage, pour Israël et les Etats-Unis. De faux rapports sur les centres nucléaires qu’ils ont remis, ces dernières années, aux Occidentaux, ont fait intensifier les pressions et les sanctions contre les Iraniens. Israël utilise les Monafeghin, pour entraver les progrès nucléaires de l’Iran, dont toutes les activités nucléaires sont civiles et poursuivies, sous la supervision nucléaire de l’Agence internationale de l’Energie atomique, alors que les projets nucléaires d’Israël sont purement militaires, ses centaines de bombes et têtes nucléaires représentant une menace permanente pour la sécurité mondiale.
Le corps et l’âme du Hajj
Ceux qui affaiblissent l’importance du Hajj et des rites du pèlerinage en se vouant aux affaires de ce monde, sont vraiment dans l’ignorance. Le Hajj doit être accompli avec soin et de manière appropriée. En plus des rituels qui constituent le corps du Hajj, il existe des normes qui constituent son âme. Certains accomplissent superficiellement les rites du Hajj sans prêter attention à l’âme et à l’essence du Pèlerinage.
L’humilité, l’attention et le rappel constant de Dieu constituent l’esprit du pèlerinage.
Le sentiment d’être présent devant Dieu et de chercher protection auprès de Dieu, constituent l’âme du Hajj. Il faut apprendre à connaître ce Paradis et comment y entrer. Voilà la conception que nous devons avoir du Hajj. L’esprit du Hajj est la paix et la clémence. La violence contre les fidèles, le combat avec les frères musulmans et chercher querelle sont interdits pendant le Hajj. L’Essence du Hajj consiste à pénétrer la réalité essentielle du Hajj et à en profiter pour le reste de sa vie. La fraternité, l’unité et l’amour sont l’âme du Hajj. Seul le Pèlerinage permet de créer cette unité entre les différentes nations et écoles musulmanes.
Un grand nombre de personnes viennent des quatre coins du monde à la Mecque, le cœur rempli d’enthousiasme à l’idée de se recueillir auprès de la Kaaba et du tombeau du Saint Prophète de l’islam (SAWA), de se consacrer au rappel divin et de participer aux circumambulations autour de la Kaaba et aux parcours entre Safã et Marwah. Les pèlerins doivent être conscients de cette occasion de fraternité.
Iran déplore le martyre de l'Imam Mohammad Baqer (AS)
En Iran, ce dimanche 13 Octobre 2013, une date qui coïncide avec le 7 Zil-Haje (dernier mois du calendrier lunaire islamique Hégire) est commémore le martyre de l'Imam Mohammad Baqer (que la paix soit sur lui), le cinquième Imam des musulmans chiites.
Ahlul Bayt Nouvelles Agence (ABNA) : Imam Mohammad Baqer (AS), connu comme « Baqer Al-Ulum » (sage analyste de la science) est né le 1er Rajab de l'an 57 de l'Hégire la taupe dans la ville de Médine, situé dans la péninsule arabique.
Il était chargé de guider la communauté musulmane après le martyre de son père, le quatrième Imam des chiites, Imam Sajid (AS).
Le cinquième fois la direction de l’imam chiite a duré 19 ans et a été caractérisée par l'élucidation des principes fondamentaux de l’islam.
Imam Mohammad Baqer est mort à 57 ans sur sept années Zil-Haje 114 de l'hégire lunaire empoisonné à l'instigation du calife omeyyade Hicham.
Dans tout l’Iran, les gens viennent à la mosquée pour assister aux cérémonies de deuil pour le martyre douloureux de ce grand musulman guide.
"Sejil", ce missile iranien qui surprend les Américains
les experts de MIT, Massachusetts Institute of Technology, ne peuvent pas s'empêcher d'exprimer leur étonnement face à l'un des produits les plus performants de son arsenal balistique à savoir Sejil ! le missile est d'une portée de 2000 kilomètres . le célèbre institut fait d'ailleurs publier un long rapport sur le combustible solide que le missile utilise et qui en fait l'un des engins les plus performants dans sa gamme. c'est Theodore Postol professeur de technologie qui signe cet article : " Le missile Sejil doté d'un ogive de 1 tonne, pèse lui même 21 tonnes . c'est un engin en deux temps dont le second temps est plus court que le premier . " l'auteur estime qu'un ogive moins léger permettra au missile d'avoir une portée encore plus longue " Postol accuse ensuite d'avoir des ambition nucléaire à caractère militaire mais ne peut ne pas saluer les progrès techniques de l'industrie balistique iranienne qui ont été fulgurants . c'est vers le milieu de son article que l'auteur qualifie l'Iran de pays " capable de rivaliser avec les fabriquants de missiles que sont la Russie et les Etats Unis " Les iraniens sauront même à mon sens fabriquer des missiles super-lourds et en trois temps et d'un poids variable entre 45 à 65 tonnes . Sejil 1 et 2 prouvent bien que les iraniens sont déterminés à fabriquer des missiles à combustble solide et à aller aussi loin que possible dans cette branche. Pstol qualifie les autres missiles iraniens Safir et Simorq d'engin à vocation aérospatiale tout en accusant évidemment l'Iran de vouloir se doter de bombe atomique
Hajj: la saison du pèleringae est commencé
Des centaines de milliers de fidèles ont continué à affluer vendredi à La Mecque pour le pèlerinage annuel en Arabie saoudite.
Vêtus de blancs, les pèlerins occupaient l'esplanade autour de la Grande mosquée, premier lieu saint de l'islam, qui abrite la Kaaba, une structure en forme de cube, et où des travaux d'extension sont en cours.
Deux jours avant le début des rites du hajj, près d'un million de fidèles ont pris part à la prière hebdomadaire du vendredi dans la Grande mosquée.
Le hajj est l'un des cinq piliers de l'islam que tout fidèle est censé accomplir au moins une fois dans sa vie s'il en a les moyens.
"Je suis très heureux. Je sens que j'ai de la chance de pouvoir accomplir le hajj", déclare, enthousiaste, Hamza Souleiman, un fonctionnaire malaisien de 56 ans.
"Je m'étais inscrit pour le hajj il y a 10 ans et mon tour est venu cette année. J'aimerai bien y revenir tous les ans", a-t-il ajouté.
"Je ressens un sentiment complètement différent, difficile à décrire, lorsque j'entre dans la Grande mosquée et je m'oriente vers la Kabaa", dit Ahmed al-Bahrawi, un homme d'affaires égyptien, qui, accompagné de sa femme, dit effectuer le hajj pour la sixième fois.
En raison des craintes du coronavirus MERS, qui a fait 51 morts en Arabie saoudite, et d'une forte pollution émanant du trafic routier, certains pèlerins et les policiers portaient des masques et se couvraient la tête pour se protéger d'une chaleur torride.
Deux millions de fidèles attendus
Le ministre saoudien de la Santé, Abdallah al-Rabia, a affirmé jeudi qu'aucun cas du coronavirus n'avait été jusqu'à présent détecté parmi les pèlerins.
Une averse subite, accompagnée de la foudre, s'est abattue mercredi sur les lieux saints autour de La Mecque, retardant la traditionnelle parade des forces de sécurité en charge du hajj.
Des responsables saoudiens ont annoncé l'arrivée de l'étranger de quelque 1,4 million de fidèles pour le hajj, qui doit réunir autour de 2 millions de personnes, contre 3,2 millions l'an dernier. La baisse est due à des travaux d'extension sur le site de la Grande mosquée et aux craintes du coronavirus MERS.
Des barrages routiers ont été établis autour de La Mecque et les fidèles non munis d'une autorisation officielle ont été refoulés. Des patrouilles de police étaient déployées sur des zones isolées et désertiques pour empêcher les clandestins.
Le hajj commence dimanche et s'achève le 18 octobre. Lundi, les fidèles se rassemblent sur le Mont Arafat, moment fort du pèlerinage.
La Vie de l'Imam Muhammad al-Baqir (P)
Le cinquième Imam est Mohammed surnommé Al Bâqir (P). Son père est l’Imam Ali fils de Al Hussein (P), plus connu sous le nom de Zein El Abédine (P). Sa mère est Fatima (P), fille de l’Imam Al Hassan (P).
Il est né le lundi 1er Rajab de l’an 57 de l’Hégire. Son père et sa mère étaient respectivement le petit-fils et la petite-fille de l’Imam Ali Ibn Abi Talib (P) donc du Prophète (P).Ainsi, il était le premier à être descendant de l’Imam ‘Ali (P) des deux côtés en plus d’être totalement imprégné de l’environnement éducationnel du Prophète de l’Islam (P).
Il eut également le malheur de vivre à l’âge de quatre ans le massacre de Karbala où fut martyrisé son grand-père Al Hussein (P).
Citons pour mieux cerner son caractère quelques passages du « Guide islamique des enfants » de Abbas Ahmad Al Bostani (pages 30 et 31).
« Il fut un homme de beaucoup de qualités de grandeur, de révérence et de piété. Il était la quintessence du savoir, de la courtoisie et des dispositions au bien. Il fut dévot, humble et généreux.
Les récits ci-après sont révélateurs de la qualité de son caractère :
Un jour, un chrétien insulta l’Imam en le traitant de Baqar (une vache). L’Imam lui répondit : « Je suis Al Bâqir (celui qui exhume la connaissance) ». Le chrétien rétorqua : « Tu es le fils d’une cuisinière ». L’Imam répondit : « C’était son travail ». Le chrétien, injurieux, répliqua : « Tu es le fils d’une mère barbare ». L’Imam lui dit : « Si tu as dit la vérité qu’Allah lui pardonne, et si tu as menti, qu’Allah te pardonne ».
Ayant constaté cette bonté chez l’Imam, le chrétien se convertit à l’Islam.
Jabir Ibn Abdullah Al Ansari, un compagnon du noble Prophète raconta : « Un jour j’étais avec le Prophète (P), qui gardait son petit-fils Hussein (P) sur ses genoux et jouait avec lui. Le Prophète me dit alors : « O Jabir ! Ce fils des miens engendrera un fils ayant pour nom ‘Ali qui à son tour engendrera un fils appelé Muhammad. O Jabir ! Lorsque tu le rencontreras, transmets-lui mes salutations. Après quoi tu ne vivras plus longtemps. »
L’Imam Al Bâqir (P) était un océan de connaissances et pouvait répondre à toute question sans hésitation. Ibn Ata Al Makki dit à ce propos : « Je n’ai jamais vu de grands savants se sentir aussi inférieurs devant quelqu’un, qu’ils le sont devant Muhammad Al Bâqir (P). Ainsi j’ai assisté à son entretien avec Hakim Ibn Utayba : celui-ci était comme un enfant face à son instituteur ».
Muhammad, fils de Muslim relate : « jamais une question ne m’est venue à l’esprit sans que je manque de la poser à l’Imam Muhammad Al Bâqir (P), jusqu’à ce que le nombre de questions que je lui ai posées ait atteint 30 000. »
A Médine où il était la référence ultime en matière de Connaissance, il arrivait que les gens évitassent de le rencontrer de peur de subir des représailles des dirigeants Ommeyades de l’époque. ‘Umar Ibn Abdel ‘Aziz, après s’être rendu compte de l’affaiblissement de la dynastie Ommeyyade à la suite de multiples coups portés par les révoltes des populations, décida d’interdire les injures qui étaient proférées tous les vendredi à l’encontre des descendants du Prophète(P) depuis l’Imam ‘Ali (P). Egalement il prit la décision de rendre aux descendants du Prophète le champ de dattiers connu sous le nom de Fadâk que Fatima Zahra (P), qui l’avait hérité de son père le Prophète (P), avait réclamé à Abû Baker pendant son règne.
De telles décisions encouragèrent les Musulmans de l’époque à rendre visite à l’Imam Al Bâqir (P) sans plus aucune crainte. Cette ère fut appelée pour sa fécondité Al Asr Azahab ou l’époque d’Or.
L’Imam Muhammad Al Bâqir (P) se rappelait toujours Allah. Son fils, l’Imam Ja’far Al Cadiq (P) raconta : « Mon père se rappelait Allah à tout moment ; partout où je l’accompagnais, je le voyais évoquer Allah; même lorsqu’il conversait avec les gens, il gardait Allah dans la mémoire; il accomplissait la prière de Tahajjud (surérogatoire de minuit) régulièrement, était dévoué à l’adoration d’Allah, et pleurait d’amour d’Allah.
Jusqu’au règne de l’Ommeyyade ‘Abdul Malick Ibn Marwan, la monnaie utilisée par les musulmans était la monnaie byzantine. Un conflit éclata, et l’empereur byzantin voulut utiliser l’arme économique, et envoya un ultimatum après quoi les musulmans seraient privés de la monnaie byzantine.
Embarrassé et craignant le pire, le calife demanda conseil à tous les notables mais la situation étant tellement imprévisible ils se déclarèrent tous dépourvus de solutions. C’est alors que l’imam Bâqir (P) voyant que la réputation de l’islam allait être atteinte et que l’état islamique risquait d’être déstabilisé par ses ennemis , conseilla au calife de collecter suffisamment d’or et d’argent de toutes les provinces islamiques afin de frapper une monnaie islamique pour remplacer la monnaie byzantine.
Il (P) indiqua le poids adéquat et les inscriptions qu’il fallait mettre sur la nouvelle monnaie.
Il mourut empoisonné le lundi 7 dhul-hijja de l’an 114 après l’Hégire, à l’âge de 57 ans et fut inhumé à Bâqia à Médine. »
La France, bientôt sous la coupe de wahhabisme?!
Plus de 400 combattants partis de la France en direction de la Syrie et d’autres pays en feu du monde musulman…
Les chiffres présentés dans le nouveau livre Les Egarésdu grand journaliste d’investigation Jean-Michel Vernochet font peur.
Il se trouve que l’on étale maintenant au grand jour la triste vérité sur la préparation des jihadistes dans les camps d’entraînement de l’Europe occidentale. Une frontière passoire, l’argent qatari qui déferle, le silence pudique des autorités ne font que contribuer à la propagation du conflit syrien dans l’esprit des musulmans européens, en l’occurrence français et belges. Le wahhabisme est à cent lieues de l’islam pacifique nord-africain qui ne reconnaît pas le prosélytisme sous la menace et reste attaché à ses saints et à ses racines multiculturelles. Le mouvement takfiriste qui engloutit le monde musulman est déjà aux portes des grandes villes françaises, mais toujours ignoré de façon ostentatoire par les responsables de l’administration.
Anne-Marie Lizin est Présidente honoraire du Sénat de Belgique. Elle raconte sa perception du problème syrien et le lien entre le wahhabisme et le recrutement des terroristes en Europe : « En considérant comme acquise la connaissance de la situation de guerre actuelle en Syrie, nous nous voyons depuis la Belgique ou la France d’ailleurs, le recrutement qui a eu lieu et qui continue, des jeunes et moins jeunes qui sont faits pour les opérations de jihad, mais qui n’ont rien de religieux, qui sont vraiment des actions rémunérées. Donc nous sentons vraiment à quel point aujourd’hui les puissances qui ont payé ces gens qui sont des Sunnites et qui sont de plus en plus extrémistes au fur et à mesure que la guerre se développe, ces puissances doivent cesser maintenant de donner cette capacité financière à ces gens. Et c’est plus important que de stopper les armes. C’est au moins aussi important que de stopper des armes chimiques en Syrie, de réussir à arrêter le financement des extrémistes. Et le financement des extrémistes sunnites est clairement fait par l’Arabie saoudite.
Donc je pense sur l’Arabie saoudite les pressions doivent être faites ; nous avons vu circuler de différentes positions saoudiennes aujourd’hui affirmant qu’ils pourraient continuer même si les Etats-Unis prenaient clairement position contre ce financement. Mais je pense que c’est plutôt factice et qu’en fait ils ont peur de recevoir l’ordre de ne plus continuer.
Nous pensons qu’il existe aujourd’hui dans les semaines qui vont venir d’ici à la Conférence de Genève que nous espérons, dans ces semaines-ci il faut montrer que pendant toutes ces années, c’est-à-dire deux années de guerre civile de plus en plus brutale, il y a eu une opposition qui a osé refuser ces mercenaires jihadistes. Et qui a dit : « Nous ne voulons pas ça ! Nous ne le voulons pas à Damas ! Nous ne le voulons pas dans Homs, Alep, dans aucune des villes ! Nous voulons garder la citoyenneté syrienne ! » Et c’est la façon d’aider les chrétiens comme c’est la façon d’aider les Alaouites, comme c’est la vraie et bonne façon d’aider les Kurdes ! Les Kurdes ont des milices ; Ils ont eu des négociations plus militarisées avec le pouvoir et lesdits jihadistes. Mais ce qu’il faut pousser c’est l’idée qu’il y a une position, favorable aujourd’hui, après deux ans de clandestinité et de difficultés, à la citoyenneté syrienne, donc au maintien d’un Etat. Et cela a aidé M. Brahimi à mettre au point cette conférence de Genève 2 ; cela s’appelle le comité de coordination de changement démocratique en Syrie. Voilà seulement que l’on commence à oser en parler en France. Ils méritent qu’on en parle parce qu’ils ont été d’une correction pendant ces 2 ans en refusant l’action militaire et le financement des jihadistes et en disant pertinemment : « Nous allons changer le pouvoir, mais le changer de façon qui respecte l’Etat syrien. Et c’est ça qui est au cœur du débat aujourd’hui.
Donc ce Comité de Coordination de changement démocratique est vraiment le modèle de ce qui peut réussir à maintenir un Etat – un Etat laïque mais pas dans le sens de la sécularité militante qu’on peut voir par exemple en Belgique, mais clairement la laïcité en fait à la française ! Et je crois qu’en les soutenant et en leur donnant une grande place par rapport au travail qu’ils ont fait, on arrivera à mener à bien la pacification et la neutralisation d’une guerre qui a été complètement exportée en Syrie en utilisant des arguments religieux, mais tellement factices qu’ils n’ont trompé personne. »
Dans le nouveau livre de J.-M. Vernochet Les Egarés on lit notamment de longs passages sur la nouvelle propriété du Qatar sur le sol français y compris le club Paris Saint-Germain, Total, Vinci et autres.
Et s’il y a des Français qui croient qu’il suffit de jouer au collaborationnisme comme pendant la période du Vichy, ils se trompent vraiment sur toute la ligne. Il faudra changer le pays de fond en comble pour être conformes aux normes takfiristes : renoncer au vin, raser les églises, détruire les lieux saints, voiler les filles, prier 5 fois par jour, soutenir et payer pour la lutte sainte des wahhabites dans d’autres pays. Ce sera une occupation sans fin jusqu’au jour où la France comprendra qu’il n’y a qu’un seul salut : combattre pour sa propre religion qui était autrefois chrétienne, et pour sa souveraineté. Ce jour-là ce sera une autre France.
La présentation des idées du Coran permet de neutraliser la propagande anti islamique
Certains pensent que la date d’utilisation du Coran est dépassée. Nous devons expliquer que le Coran est un programme de vie qui ne doit pas être envisagé uniquement dans la lecture et la mémorisation.
Seyed Hamze al Mousavi Al Kufi, directeur du Centre coranique de Koufa en Irak, et du Centre culturel « Al Hikmat » de Najaf, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que la présentation des idées du Coran en marge des compétitions, permettait de neutraliser la propagande anti islamique et de donner des réponses aux critiques faites au Coran.
« Certains pensent que la date d’utilisation du Coran est dépassée. Nous devons expliquer que le Coran est un programme de vie qui ne doit pas être envisagé uniquement dans la lecture et la mémorisation. Nous devons expliquer les idées du Coran sur la femme, la communauté et d’autres sujets sociaux, pour éviter les critiques et les fausses accusations.
Certaines habitudes et restrictions faites aux femmes, sont le résultat de préjugés et d’une mauvaise compréhension de l’islam. Nous espérons que les activités coraniques féminines ne se limiteront pas aux compétitions, les femmes au début de l’islam avaient un rôle social et en islam, l’éducation est un droit pour tous mais les activités des femmes doivent rester dans le cadre du respect de la pudeur et de la morale, pour éviter la corruption morale.
Les femmes qui jouent un rôle d’éducatrice doivent plus que les autres, être informées sur les enseignements coraniques. Heureusement malgré les attaques culturelles des ennemis, nous sommes face à une augmentation des activités coraniques spécialement dans les milieux chiites. Bien entendu, une lecture du Coran sans compréhension et application des règles n’est pas souhaitable. Certains accusent les chiites d’être éloignés du Coran.
Les compétitions sont une bonne réponse mais ne peuvent pas excuser des comportements non islamiques de la part des musulmans dans le monde. Le Coran est notre constitution, nous avons besoin d’écoles qui enseignent comment appliquer ses enseignements. Les riwayats et les hadiths rapportés des saints Imams (AS) ont tous des racines coraniques que nous devons enseigner et mettre en parallèle », a-t-il dit.
Pas de raison de priver l'Iran de ses droits
Il n'y a aucune raison de priver l'Iran de son droit de développer un programme d'énergie nucléaire pacifique et a déclaré le chef de l’Assemblée consultative islamique d'Iran, Ali Larijani, dans une interview mercredi à la chaîne américaine CNN.
Soulignant que la République islamique d’Iran est l'un des signataires du Traité de Non Prolifération (TNP), a dit qu'il n'y a aucune raison de refuser au peuple ses droits légitimes Persique.
Pour reprendre les mots du président de l'Iran, Hassan Rohani, parlementaire persan a souligné que les problèmes du monde ne peuvent être résolus par la voie diplomatique et pour cela il faut l'aide des institutions et des organisations telles que les Nations unies internationales.
En ce qui concerne la demande de Washington pour l'Iran de suspendre son programme nucléaire pacifique, Larijani a déclaré que cette question pourrait avoir une solution rapide, aussi longtemps que, USA et ses alliés n'ont pas d'arrière-pensées, et que Téhéran est en mesure de démontrer qu'il cherche des armes nucléaires fabriquent tout.
Bien que le gouvernement iranien affirme que l'objectif de son programme nucléaire est de produire de l'énergie à des fins civiles pacifiques, les Etats-Unis et certains de leurs alliés accusent Téhéran insiste sur le fait que ses activités nucléaires ont été détournées de l'armée.
Le prochain round de négociations entre l'Iran et mai Groupe 1 (USA, Russie, Royaume-Uni, la France et la Chine, plus l’Allemagne) aura lieu les 15 et 16 de ce mois à Genève, en Suisse.
Guide suprême : les superpuissances cherchent à empêcher l'Iran de progresser
La République islamique d’Iran exigeait la cessation de l'appui pour le réseau terroriste israélien », comme une première étape concrète pour éradiquer le terrorisme dans le monde", a déclaré jeudi le directeur du représentant permanent iranien à l'ONU, Hussein Qaribi.
Cela a été souligné par la parole des délégués Persique lors d'une réunion de la Sixième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies (ONU) pour traiter des mesures visant à éliminer le terrorisme international.
En réponse aux fausses accusations de représentation israélienne, à la même séance, pointant vers l'Iran en tant que sponsor du terrorisme, Qaribi a attiré l'attention des participants de se rappeler les coups qu'il a reçus le pays perse en raison de ce phénomène.
" Il est surprenant que le représentant d'un régime (sioniste), considéré comme un terroriste car il a été créé illégalement, condamner un pays (l’Iran) au cours des 34 dernières années, a ajouté plus de 17 000 victimes d'actes de terrorisme "surbrillance.
Aujourd'hui, l'Iran a ajouté le ministre, il ne fait aucun doute que le régime sioniste est responsable des attentats perpétrés en Palestine, y compris le meurtre d'enfants et de femmes, de génocide, de crimes et massive des citoyens armés expatriation palestinienne.
A également rendu hommage aux « nombreux scientifiques iraniens au cours des dernières années sont morts du terrorisme », que sous le rempart de la «lutte pour le développement de leur pays» et a averti d'attaques terroristes continues et sont immunitaire.
Après la victoire de la Révolution islamique de 1979, l'Iran a subi d'innombrables attaques des groupes terroristes, financé et dirigé de l'étranger.
Le dernier cas a été le assassiner de quatre scientifiques nucléaires dans les éléments dépendant du champ de l'intelligence USA et le régime israélien.