تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 28 décembre 2023 11:34

Conseil d'Imam Ali

L’Imam Ali (paix sur lui) a dit à un home qui lui demandait de le conseiller :*

*1 : « ne sois pas comme celui espère l’autre monde sans faire de bonnes actions, et qui voudrait se repentir dans un avenir lointain dans l’espoir d’une lingue vie »*
 
*2 : « Il parle le langage des ascètes et se conduit comme celui que la vie passionne. »**

*3 : si les biens de ce monde lui sont octroyés il ne s’en rassasie point et s’il en est privé il ne se contente point de ce dont il dispose.*
*Il désirerait encore d’avantage de ce qui reste.*
*Il interdit les mauvaises actions mais ne s’en prive pas, il recommande ce qu’il ne fait point. »*

*4 : « il estime les gens de bien mais ne fait pas comme eux.*
*Il déteste les pécheurs alors qu’il en fait partie.*
*Il hait la mort à cause du nombre de ses péchés et se complaît dans ce qui lui fait craindre la mort.*
*S’il est bien portant il est fier de sa personne et il désespère dès qu’il a un malheur. »*

Un groupe de femmes issues de différentes couches de la société a rencontré mercredi matin 27 décembre le Leader de la RII, l’honorable Ayatollah Seyyed Ali Khamenei.

Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a reçu mercredi en audience un groupe de femmes à la veille de l’anniversaire de la bienheureuse naissance de la vénérée Fatemeh al-Zahra (bénie-soit-elle) qui coïncide avec la journée nationale de la femme et la fête des Mères.

Chaque année, les Iraniens commémorent la journée nationale de la femme et la fête des Mères le 20e jour du mois lunaire de Jamadi al-Thani, qui marque l’anniversaire de la vénérée Fatemeh Zahra (bénie soit-elle).

L’Ayatollah Khamenei a expliqué la vision logique et rationnelle de l’islam sur la présence des femmes au sein de la famille et leur activité illimitée dans la société, la politique et la gestion à différents niveaux.

« L’un des points forts de l’Islam réside dans l’attention qu’il porte à la femme et son statut au sein de la famille et de la société. Dans tous les domaines liés à la femme, l’Islam repose sur une logique solide et rationnelle », a-t-il dit avant de souligner : « Tout type d’activité sociale est ouvert aux femmes comme aux hommes en Islam à condition de respecter deux questions sensibles et importantes : la famille et le danger de l’attirance sexuelle. »

« L’identité féminine, les droits, les devoirs, les libertés et les limites de la femme sont des questions vitales et déterminantes envers lesquelles, il existe deux approches différentes  : une approche occidentale et une approche islamique qui s’opposent l’une à l’autre. »

Déclarant que l’approche occidentale se résume à la recherche du profit et du plaisir des femmes, le Leader a ajouté : « Il y a un point qui me paraît important : le système culturel et civilisationnel occidental n’est pas disposé à discuter de telles questions ». 

« La culture occidentale, le système occidental, le système civilisationnel et culturel de l’Occident ne peuvent pas débattre de tels domaines », a-t-il indiqué, soulignant que l’Occident recourt à la force et à la fanfaronnade, aux arts, au cinéma ainsi qu’au cyberespace pour faire avancer la question des femmes. 

« L’Occident n’est pas prêt à discuter, il n’est pas disposé à répondre aux questions. La raison en est que l’Occident n’a aucune logique », a souligné le Leader de la Révolution islamique. 

Ailleurs dans ses remarques, l’Ayatollah Khamenei a déclaré qu’une musulmane ne pouvait pas trouver de meilleur modèle que la vénérée Fatemeh al-Zahra (bénie-soit-elle), conseillant aux femmes de suivre la voie de cette figure sacrée dans plusieurs domaines dont les taches ménagères, les activités sociales et politiques, la sagesse et le savoir. 

Mettant l’accent sur la « justice de genre » dans la société, l’Ayatollah Khamenei a déclaré qu’il n’y avait aucune restriction à la présence des femmes dans divers postes de direction, dans les domaines politiques, sociaux et culturels. 

Faisant référence aux élections législatives qui auront lieu deux prochains mois, le Leader a qualifié d’« essentiel » le rôle actif de la femme iranienne au sein de sa famille et de sa société afin d’évaluer les candidats aux élections et d’encourager les membres de la famille à se rendre aux urnes.  

 

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a réagi à l’assassinat du général de brigade Seyyed Razi Moussavi et a mis en garde le régime sioniste soulignant qu’il doit s’attendre à un compte à rebours difficile en réponse de cet acte terroriste.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a présenté ses condoléances pour le martyre de ce conseiller militaire du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) en Syrie, à sa famille et aux peuples d’Iran et de Syrie. Il a déclaré que le général Moussavi s’était battu courageusement pendant de nombreuses années aux côtés du général Qassem Soleimani pour assurer la sécurité de l’Iran et la région contre le terrorisme.

L’assassinat du général Moussavi par le régime sioniste a suscité des réactions fermes des autorités iraniennes.

Le président Ebrahim Raïssi a qualifié cet acte terroriste de « nouveau signe de la frustration et de l’impuissance du régime sioniste dans la région ».

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, l’a fermement condamné. Il a souligné que la République islamique d’Iran avait le droit de prendre les mesures nécessaires pour y riposter, assurant que l’Iran se réservait le droit d’exercer toute action en justice au moment et lieu appropriés.

Les relations publiques du CGRI ont confirmé que l’assassinat du général Moussavi, conseiller militaire du CGRI en Syrie, avait eu lieu le 25 décembre dans le quartier Sayyida Zeinab à Damas.

Arnaud Develay, juriste international et Imadeddin Hamrouni, analyste politique, s’expriment sur le sujet.

Un haut responsable du mouvement de résistance palestinien, Hamas, a déclaré que les mains du président américain Joe Biden portaient le sang des enfants palestiniens de Gaza.

S’exprimant lors d’une conférence de presse à Beyrouth, mardi 26 décembre, le représentant du Hamas au Liban, Oussama Hamdan, a déclaré que Washington orchestrait l’agression contre le territoire palestinien assiégé.

Soulignant que les mains du président américain sont tachées du sang des enfants palestiniens de Gaza, il a réaffirmé la position du mouvement de résistance sur la « nécessité de mettre fin à l’agression contre le peuple palestinien par les forces d’occupation israéliennes à Gaza ».

« Notre peuple n’attend pas des trêves temporaires que l’occupation violerait par de nouvelles atrocités contre les civils ; il souhaite plutôt un arrêt complet de l’agression », a déclaré le responsable du Hamas.

Suite aux critiques et aux protestations de divers pays à la poursuite de guerre par le régime israélien contre les Palestiniens à Gaza et le massacre des femmes et des enfants, l’État cubain a condamné, de son côté, les attaques du régime d’occupation

Le président cubain, Miguel Díaz-Canel Bermudez, en qualifiant de « terroriste » le régime israélien, a dit mercredi 27 décembre qu’ils [les militaires du régime sioniste] commettaient le massacre et un génocide dans la bande de Gaza.

Selon Sputnik, Diaz-Canel a noté sur X que le massacre et le génocide perpétrés par le régime israélien dans la bande de Gaza étaient une « humiliation pour toute l’humanité ».

Critiquant le silence des pays occidentaux devant les crimes du régime israélien à Gaza, il s’est interrogé : « Combien de temps y aura-t-il l’impunité pour le régime israélien, combien de temps y aura-t-il l’impunité pour perpétrer des massacres ? »

 

Alors que la mise en œuvre des plateformes monétaires et bancaires entre la République islamique d’Iran et la Russie a conduit à l’ouverture d’un nouveau chapitre des relations bancaires entre les deux pays, le gouverneur de la Banque centrale d’Iran a quitté, mardi 26 décembre, Téhéran pour Moscou à la tête d’une délégation chargée de renforcer la coopération bancaire et monétaire avec la Russie.

Lors de sa visite à Moscou, le gouverneur de la Banque centrale d’Iran, Mohammad Reza Farzin, s’est entretenu mercredi 27 décembre avec la gouverneure de la Banque centrale de Russie, Elvira Sakhipzadovna Nabioullina, et d’autres responsables russes.

Figuraient parmi les questions abordées lors de la rencontre, le renforcement de la coopération bancaire et monétaire entre l’Iran et la Russie dans le cadre d’un accord de libre-échange signé entre l’Iran et les États membres de l’Union économique eurasienne.

Après plus de trois ans et demi de négociations, l’Iran et les États membres de l’Union économique eurasienne ont conclu un accord de libre-échange, lundi 25 décembre, à Saint-Pétersbourg en marge de la réunion du Conseil suprême de l’Union économique eurasienne.

Au moins six jeunes Palestiniens ont été tués dans une frappe de drone israélien en Cisjordanie, alors que la violence et les bombardements s'intensifient contre la bande de Gaza.

Six Palestiniens ont été tués et plusieurs autres blessés lors d'une frappe de drone israélien mercredi matin 27 décembre contre le camp de réfugiés de Nour Shams, dans la ville de Tulkarem, dans le nord-ouest de la Cisjordanie occupée.

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré dans un communiqué que « six martyrs (palestiniens) sont arrivés à l'hôpital gouvernemental Thabet Thabet, dans la ville de Tulkarem ».

Les forces yéménites ont confirmé avoir mené une attaque aux missiles contre le sud de la Palestine occupée et un porte-conteneurs qui naviguait vers les territoires occupés, en soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza, qui sont soumis à une guerre génocidaire menée par Israël depuis le 7 octobre dernier.

La marine yéménite a lancé une attaque balistique contre le navire commercial MSC United, ont indiqué mardi les forces armées yéménites dans un communiqué.

« Le navire a été pris pour cible après que l'équipage a, pour la troisième fois, ignoré les appels des forces navales, ainsi que les messages d'avertissement répétés », ajoute le communiqué.

Dans la matinée de ce mercredi 27 décembre, l'aviation israélienne a ciblé des zones résidentielles dans les villes de Bint Jbeil et de Yaroun, au sud du Liban, selon le correspondant de la chaîne Al Mayadeen. 

Des ambulances se sont dépêchées vers la ville de Bint Jbeil. Les médias israéliens ont rapporté qu'il s'agissait de la première attaque contre la région de Bint Jbeil depuis 2006 et que cela pourrait déclencher une guerre régionale.

Quelques minutes plus tard, la chaîne libanaise LBCI a précisé qu'au moins cinq personnes ont été tuées en martyr ou blessées lors de l'attaque contre deux maisons.

Il est à noter que dans la nuit de lundi à mardi, les drones et les chasseurs de l'armée israélienne ont également visé diverses zones du sud du Liban avec de l'artillerie et des bombes au phosphore.  

Les forces d'occupation israéliennes ont commis un autre crime odieux : la saisie des corps des martyrs palestiniens et le vol de leurs organes vitaux.

Dans un communiqué déchirant, le Bureau des médias du gouvernement à Gaza a révélé que les forces d'occupation israéliennes avaient remis les corps mutilés de 80 martyrs non identifiés après avoir volé leurs organes. Le régime israélien a refusé de préciser l'identité des corps et les endroits où ils ont été volés.

L'occupation a répété le crime de vol d'organes plus d'une fois au cours de sa guerre génocidaire, selon le communiqué.