تقي زاده

تقي زاده

Certaines sources d'information ont fait état de tirs de roquettes et de missiles sur des colonies sionistes dans le nord et le sud de la Palestine occupée, mercredi 15 novembre.

Des sirènes d'alarme ont en effet retenti dans les colonies de Kiryat Shemona, Margaliot et Upper Al-Jalil, dans le nord de la Palestine occupée.

La chaîne al-Jazeera a rapporté que la base militaire de Raisat Al Alam du régime sioniste dans la région de Talal Kfar Shouba a été visée par un missile.

La chaîne de télévision israélienne Channel 14 a quant à elle, relayé des informations relatives à des drones survolant la région de Zareit, à la frontière Nord de la Palestine occupée. Au même moment, des sirènes d'alarme ont retenti dans la ville d'Ashkelon, dans le sud des territoires occupés.

 

Les attaques israéliennes contre le peuple palestinien à Gaza ne font qu’augmenter les coûts pour Washington en tant que plus grand partisan de Tel-Aviv et responsable de la poursuite de l’agression, a indiqué le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, lors de sa rencontre avec Martin Griffiths, secrétaire général adjoint des Nations unies aux affaires humanitaires, qui s’est tenue mercredi 15 novembre dans la ville suisse de Genève.

M. Amir-Abdollahian a exigé la fin immédiate de l’agression sanglante d’Israël contre la bande de Gaza, s’attardant sur le fait que le régime d’occupation israélien n’aura aucune chance de gagner la guerre.

« Malheureusement, la portée des attaques du régime sioniste contre Gaza s’étend et il est nécessaire de prendre des mesures immédiates et efficaces pour y mettre un terme », a-t-il précisé.

Soulignant le rôle de Washington dans l’agression israélienne contre les Palestiniens dans la bande de Gaza, le haut diplomate de la République islamique d’Iran a déclaré : « Les États-Unis envoient quotidiennement à Tel-Aviv toutes sortes d'armes, y compris des armes au phosphore et autres armes interdites, soit depuis Chypre, soit directement via leurs bases dans toute la région, et ces bombes sont larguées sur les Palestiniens opprimés de Gaza ».

Les autorités nicaraguayennes ont réitéré mardi 14 novembre le soutien sans équivoque de la nation centraméricaine au peuple palestinien et à ses dirigeants face à l'attaque militaire israélienne en cours contre les habitants sans défense de la bande de Gaza assiégée.

Mardi, le président nicaraguayen, Daniel Ortega, et la vice-présidente Rosario Murillo ont réaffirmé le soutien de Managua au peuple opprimé face à « l'agression terroriste » du régime de Tel-Aviv, arguant que le peuple a été « attaqué sans aucune pitié ».

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a averti que l'Iran et le mouvement de résistance libanais Hezbollah pourraient décider de s'engager dans la guerre en cours à Gaza s'ils étaient provoqués par les actions israéliennes.

Lavrov a déclaré dans une interview à la chaîne de télévision RT publiée mercredi que ni l'Iran ni le Hezbollah n'avaient « aucune envie » de participer à la guerre à Gaza, sauf en cas de provocations de la part du régime israélien.

« Ni l’Iran ni le Liban ne veulent être impliqués dans cette crise », a-t-il déclaré.

« Il n’y a aucun appétit du Liban et, pour autant que je puisse en juger d’après la récente déclaration du chef du Hezbollah [Sayyed Hassan] Nasrallah : « Il n’y a aucun appétit pour une grande guerre, à moins qu’elle ne soit provoquée, à moins que Gaza ne soit plus considérée comme un endroit où les Palestiniens devraient continuer à vivre. Et je ne vois aucun appétit en Iran », a-t-il ajouté.   

Le policier français qui a ouvert le feu sur Nahel, adolescent franco-algérien de 17 ans, a été remis en liberté mercredi 15 novembre, après la décision du juge d’instruction, a fait savoir France Info, radio publique d’information française, citant des sources proches de ce dossier.

Le fonctionnaire de 38 ans, Florian M., était en prison depuis le 29 juin dernier. Il reste mis en examen pour « homicide volontaire » et est désormais placé sous contrôle judiciaire et a interdiction de quitter la France, de se rendre à Nanterre, de porter une arme, et d’entrer en contact avec les parties civiles

Dans le cadre de ses politiques anti-syriennes, la France a émis mardi un mandat d’arrêt international contre le président syrien Bachar Assad sous prétexte de sa complicité présumée de crimes contre l’humanité dans les attaques chimiques perpétrées à l’été 2013 en Syrie, a fait savoir mercredi 15 novembre Le Figaro.

Une source judiciaire a confirmé l’émission de quatre mandats d’arrêt pour complicité présumée de crimes contre l’humanité, qui viserait le frère du président syrien, Maher Assad, ainsi que deux généraux de l’armée syrienne, à savoir Ghassan Abbas et Bassam al-Hassan.

Le gouvernement syrien n’a pas jusqu’ici réagi à ces mandats d’arrêt émis par la justice française.

La France, qui a toujours adopté une politique hostile à l’égard du gouvernement légitime en Syrie, a prétendu que selon des informations américaines, plus d’un millier de personnes ont perdu la vie dans ces attaques chimiques du 21 août 2013.

Toujours selon Le Figaro, ces investigations, menées au titre de la « compétence extraterritoriale » de la justice française, portent également sur les attaques chimiques présumées dans la nuit du 4 au 5 août 2013 dans deux villes syriennes, Adra et Douma.

Le régime d'occupation israélien a lancé un assaut militaire contre l’hôpital al-Shifa dans la bande de Gaza, qui est venu héberger des milliers de patients et de personnes déplacées qui y cherchent refuge suite à une guerre israélienne incessante.

« Sur la base de renseignements, les forces de l’armée israélienne mènent une opération précise et ciblée » contre l'hôpital, ont indiqué les forces sionistes dans un communiqué mercredi.

Prendre pour cible des hôpitaux et tuer des civils est considéré comme un crime de guerre. Israël commet ces crimes dans la bande de Gaza assiégée depuis début octobre.

Un haut responsable du mouvement de Résistance islamique de la Palestine, Hamas a déclaré que le régime israélien, qui a plongé la bande de Gaza dans une guerre incessante, planifie de répéter une autre Nakba (catastrophe), faisant référence au nettoyage ethnique des autochtones palestiniens par le régime de l'apartheid israélien en 1948.

« Le régime israélien envisage de reproduire une autre « Nakba » sous les yeux du monde moderne », a dénoncé ce mardi Osama Hamdan, membre du Bureau politique du Hamas, siégé dans la bande de Gaza.

Israël a tué plus de 11 500 Palestiniens dont plus de 8 000 femmes et enfants, à Gaza depuis le 7 octobre, date à laquelle il a lancé son agression contre l’enclave palestinienne.

Les attaques de l'armée israélienne contre les hôpitaux détruisent le système de santé de Gaza et devraient faire l'objet d'une enquête en tant que crimes de guerre, a déclaré Human Rights Watch alors que les hôpitaux de Gaza sont hors service.

Human Rights Watch, (HRW) a rejeté dans un nouveau rapport les allégations des sionistes prétendant que la Résistance palestinienne utilisait les hôpitaux de Gaza à des fins militaires. Cette organisation souligne que les attaques israéliennes contre les hôpitaux et les infrastructures médicales constituent un crime de guerre et que les Etats-Unis et l'Europe devraient cesser de soutenir militairement le régime israélien.

À la suite des attaques brutales et constantes du régime sioniste contre des centres civils, en particulier les hôpitaux, les centres médicaux et de santé dans la bande de Gaza, HRW a annoncé qu’aucune preuve ne justifiait de priver les hôpitaux et les ambulances de leur statut protégé conformément aux normes de droit international.

 

Des groupes de défense des droits vont poursuivre le gouvernement néerlandais pour avoir « soutenu » les crimes israéliens à Gaza.

Quatre groupes de défense des droits poursuivent le gouvernement néerlandais pour sa position sur le conflit à Gaza, qui, selon eux, équivaut à soutenir les violations commises par Israël, rapporte l’agence Anadolu.

Dans une déclaration commune mardi, Oxfam Novib, Amnesty International, PAX et The Rights Forum ont affirmé que les Pays-Bas sont « en partie responsables des violations des lois de la guerre et des punitions collectives infligées à la population civile de Gaza », notamment en raison de leurs exportations continues d'armes en Israël.

Ces déclarations contre le gouvernement néerlandais ont été évoquées depuis que malgré l'augmentation significative du nombre de victimes civiles à Gaza, le gouvernement d’Amsterdam poursuit ses exportations des armes vers Tel-Aviv sans faire aucun cas des lois sur les droits de l'homme.