تقي زاده

تقي زاده

Au moins quinze personnes ont perdu la vie après que l’aviation militaire israélienne a mené des frappes aériennes contre des positions dans le flanc ouest de Damas et dans les environs de la capitale syrienne.

Citant une source militaire, l’agence de presse officielle syrienne SANA, a rapporté que des avions de guerre israéliens ont lancé ce jeudi vers 15 h 20 heure locale (12 h 20 GMT) depuis le Golan occupé une attaque contre plusieurs bâtiments résidentiels dans le quartier de Mazzeh à Damas et la ville de Qudsaya dans gouvernorat de Rif Dimachq.

La source a ajouté que l’attaque avait fait 15 morts et 16 blessés.

Selon les informations, il y avait des femmes et des enfants parmi les victimes ; le bilan était préliminaire et pourrait s’alourdir.

Les frappes aériennes israéliennes contre la Syrie interviennent dans le contexte des attaques sanglantes du régime sioniste contre les Palestiniens dans la bande de Gaza assiégée et contre la nation libanaise.

 

La guerre n’est ni dans l’intérêt de l’Iran, ni de la région ni du monde, mais l’Iran apportera une réponse ferme à tout acte portant atteinte à sa sécurité, a indiqué, ce jeudi 14 novembre, le président iranien lors d’une rencontre avec le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a souligné la nature pacifique du programme nucléaire de la République islamique d’Iran et sa position principale et ferme concernant la prohibition de la production d’armes nucléaires.

« Comme nous l’avons à maintes reprises annoncé, conformément à la fatwa du Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, nous ne chercherons et ne chercherons pas à construire d’armes nucléaires, un principe auquel personne n’est censé renoncer. »

Notant que l’Iran poursuit son programme nucléaire dans le cadre des principes et des permis légaux de l’AIEA et conformément aux droits octroyés par celle-ci à des pays, M. Pezeshkian a déclaré que Téhéran est prêt à coopérer avec cette organisation internationale en vue de dissiper « les ambiguïtés et les doutes présumés sur l’activité nucléaire pacifique de notre pays ».

« Cependant, le monde entier est convaincu que l’Iran adhère à la paix et la sécurité universelles », a-t-il indiqué.

 

Lors d’un discours prononcé ce jeudi après-midi sur Gaza et les derniers développements dans la région, Seyyed Abdel Malek al-Houthi, leader du mouvement yéménite Ansarallah a déclaré que le projet sioniste dirigé par l’Amérique et Israël est un projet hostile contre les musulmans. 

Soulignant que le but de ce projet est de confisquer la liberté et l’indépendance des nations et les droits des musulmans, il a affirmé que ce projet constitue une menace contre les musulmans et viole leur identité, leur religion, leur indépendance et leur liberté. 

L’Amérique cherche à établir son contrôle total sur la région

Al-Houthi a souligné que l’Amérique cherche uniquement à préserver ses intérêts et à dominer la région, et a précisé : « Les Américains ont l’intention de placer les nations et les gouvernements de la région sous leur contrôle direct et celui d’Israël. »

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a averti que le Front de la Résistance vengerait toute agression israélienne, ajoutant que les ennemis de l’islam recevraient des coups « douloureux » en cas d’un conflit élargi avec les musulmans.

Dans un discours adressé aux forces du CGRI lors d’un exercice d’assaut et de sécurité organisé jeudi 14 novembre dans la capitale Téhéran, le général de division Hossein Salami a mis en garde contre tout acte d’agression visant la République islamique d’Iran. Il a salué la résilience et la détermination de la nation iranienne dans les moments difficiles ainsi que les sacrifices consentis par les musulmans pour défendre leurs territoires au fil des ans.

Soulignant que les principales puissances mondiales ne peuvent pas résister à la détermination de la République islamique d’Iran, le général Salami a déclaré que toutes les « forces du mal » se sont alignées à l’heure actuelle contre l’islam et les musulmans dans une confrontation historique.

« Les armées les plus modernes du monde sont venues en aide au régime sioniste. La scène montre une formation mondiale de puissances qui entendent nous forcer à nous soumettre à leur volonté pour qu’elles contrôlent le sort des musulmans, occupent leurs terres et les privent de leur identité religieuse », a indiqué le commandant en chef du CGRI.

 

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a déclaré que Téhéran était prêt à mener des négociations nucléaires avec la troïka de l'UE sur la base de ses intérêts et de ses droits, mais pas sous pression ni sous intimidation.

À l’issue de ses entretiens qualifiés d'« importants et directs » avec le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafaël Grossi, jeudi à Téhéran, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a écrit dans un message sur son compte X que Téhéran était prêt à mener des négociations nucléaires avec la troïka européenne sur la base de ses intérêts et de ses droits, mais pas sous pression ni sous intimidation.

« La balle est dans le camp de la troïka européenne. Nous sommes prêts à négocier sur la base de nos intérêts nationaux et de nos droits inaliénables, mais nous ne sommes pas prêts à négocier sous la pression et l’intimidation », a-t-il réaffirmé dans son message.

Le chef de la diplomatie iranienne qui était l’ancien négociateur en chef sur le nucléaire entre Téhéran et les grandes puissances ayant débouché sur l'accord nucléaire de 2015 - officiellement connu sous le nom de Plan d'action global commun (PAC), a souligné que l'Iran, en tant que membre engagé du Traité de non-prolifération (TNP), poursuivrait sa pleine coopération avec l'AIEA.

 

Le secrétaire général du Hezbollah écrit une lettre à l’adresse des combattants du mouvement de résistance libanais, saluant leur fière lutte contre le régime israélien et ses partisans.

La lettre datée de mercredi constituait la réponse du leader du Hezbollah, cheikh Naïm Qassem, à celle qui lui avait été adressée samedi par les combattants du groupe.

« Vous êtes la fierté qui ébranle les fondements du sionisme », écrit Cheikh Qassem dans la lettre.

« La force de votre résistance renforce notre détermination et nous conduit à la victoire par la défaite de notre ennemi », a-t-il noté.

Le leader du Hezbollah a salué la foi des combattants dans la libération d'Al-Qods et des terres occupées et leur détermination inébranlable à libérer la ville sainte et le reste des territoires occupés de l'occupation israélienne.

 

Des milliers de citoyens français sont une nouvelle fois descendus dans la rue mercredi soir pour soutenir le peuple palestinien et protester contre la tenue d'un match de football entre l'équipe nationale française et l'équipe du régime sioniste.

Des milliers de supporteurs français pro-palestiniens se sont rassemblés près de la gare Saint-Lazare et du stade de France, dans la banlieue de Paris, capitale française, pour exprimer leur colère à la veille du match de football France-Israël qui doit se tenir jeudi.

Les forces de police françaises se sont affrontées aux manifestants et ont utilisé des gaz lacrymogènes pour les disperser.

 

La rapporteuse spécial de l'ONU pour la Palestine a fustigé le Parlement du régime israélien pour avoir adopté une loi autorisant la détention d'enfants palestiniens, qui sont « souvent tourmentés au-delà du point de rupture » en détention israélienne.

Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l'ONU sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés, a qualifié ce jeudi 14 novembre dans un message publié sur X la mise en détention des mineurs palestiniens par Israël d'extrême et d’inhumaine.

Le Leader de la Révolution islamique, se référant aux traits saillants de la personnalité de la petite-fille du prophète de l’Islam, la vénérée Zeïnab – béni soit-elle – tels que son discernement, son courage et sa patience exceptionnelles, la présente comme un modèle de dignité et de grandeur féminine.

La vénérée Zeïnab (bénie soit-elle), fille du vénéré Ali (béni soit-il) et de la vénérée Fatima (bénie soit-elle), ainsi que la petite-fille du Prophète de l’Islam (Que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), a grandi dans une famille, prise un modèle de foi, de courage et de piété. Elle a joué un rôle majeur lors de l’événement tragique de Karbala. Non seulement elle était présente aux côtés de son frère, l’Imam Hossein (béni soit-il), à Karbala, assumant la responsabilité des femmes et des enfants accompagnant du troisième Imam d'Ahlulbayte , mais après le martyre de son frère et de ses compagnons, elle a pris en charge la mission de préserver et transmettre le message de l’Achoura. Dans les circonstances difficiles de la capture imposée à elle par les ennemis de l’époque, Yazid et Ubaydallah ibn Ziyad, elle a fait preuve de courage et de détermination exemplaires, éclairant le peuple sur la vérité de l’événement de Karbala par ses discours. À une question sur ce qu’elle avait vu lors de Karbala, la vénérée Zeïnab donne la célèbre réponse suivante : « Je n’ai rien vu d’autre que de la beauté ». Il s’agit d’une réponse qui montre l’étendue de sa foi et de sa connaissance de la vérité de la création.

 

La vision de l’Imam Khamenei sur la vénérée Zeïnab : « Un modèle pour l’humanité’ »

L’Imam Khamenei a souvent évoqué la personnalité de la vénérée Zeïnab (béni soit-il), la présentant comme un modèle unique pour les femmes. Selon le Leader de la Révolution, la vénérée Zeïnab, est un modèle sublime pour une femme musulmane et croyante, de par son rôle exceptionnel lors de l’événement de Karbala et sa résistance face aux ennemis.

« Lors de l’Achoura (le jour où est tombé en martyr le vénéré Imam Hossein), le sang a triomphé de l’épée et la gagnante [de l’événement de Karbala] a été la vénérée Zeïnab ; sans elle, le sang aurait été versé en vain à Karbala… Cet événement a montré que la femme n’est pas en marge de l’histoire ; elle est au cœur des événements historiques majeurs », dit le Leader.

 

En outre, l’Ayatollah Ali Khamenei met en avant des qualités de la petite-fille du prophète d'Allah (p) telles que son discernement, son courage et une patience extraordinaire, et la présente comme un exemple de dignité et de grandeur féminine. « La vénérée Zeïnab a fusionné la passion d'une femme avec la grandeur et la stabilité du cœur d'un croyant, et le langage clair d'un moudjahid dans la voie de Dieu. Sa grandeur féminine a fait paraître les faux aînés humbles et petits devant elle.

L’Imam Khamenei la considère comme « l’enseignante du comportement islamique de la femme » et décrit son rôle dans toutes les étapes de sa vie comme un modèle concret pour les femmes. Il affirme : « Dame Zeïnab, Paix sur elle, a rempli parfaitement le rôle d’épouse, de mère et de femme éminente de la lignée prophétique à Médine… Sur le plan scientifique, sur le plan de la piété, de la chasteté, de la pureté morale,… elle était une maîtresse de la spiritualité, une enseignante de la morale et une référence pour le comportement islamique de la femme. »

Le Leader de la Révolution islamique souligne également le rang spirituel de Dame Zeïnab et la considère comme un modèle pour la formation islamique de toutes les femmes. Il déclare à ce sujet : « Si la société islamique peut éduquer les femmes selon le modèle islamique - c’est-à-dire le modèle de Fatima, le modèle de Zeïnab, des femmes grandes et nobles, des femmes qui peuvent influencer le monde et l’histoire - alors la femme atteindra son rang authentique et élevé. »

Enfin, l’Imam Khamenei, en évoquant les discours courageux de Dame Zeïnab face aux ennemis, loue sa grandeur et son courage, la décrivant comme l’incarnation de la dignité. Il affirme : « Dame Zeïnab, Paix sur elle, est confrontée à un groupe disparate et peu fiable, mais elle parle avec assurance. Elle est la femme de l’histoire ; une telle femme n’est pas faible… mais elle est prise pour modèle ; le modèle pour tous les grands hommes et les grandes femmes du monde. »

vendredi, 15 novembre 2024 08:36

Fatimah après le décès du Prophète (p)

 

"Après la mort du Prophète(p), elle se couvre toujours la tête d'une écharpe de deuil; elle avait toujours les larmes aux yeux et le coeur brûlant.''

"La tendre période de la vie de la Dame de l'Islam, Fatima Zahra (Salut sur elle) s'acheva vite avec le décès du Prophète (Que la paix soit sur lui), bien qu'il soit difficile de trouver une tendre période sur toute la longueur de sa vie puisque les pressions continuelles, les guerres et les complots des ennemis contre l'Islam et contre le Prophète(p) avaient fait perdre toute la tranquillité d'esprit à Fatima (Salut sur elle). Avec le décès du Prophète (p), de nouvelles tempêtes se levèrent et conduisirent à des événements compliqués et critiques.

La rancune et la haine de Badr, de Khaybar et de Honeine qui étaient restées cachées dans l'ombre, du vivant du Prophète(p), se démasquèrent. Les partis des hypocrites redoublèrent d'activités...

L'absence et la séparation douloureuse d'avec son père d'une part, sa tristesse et sa désolation devant la situation d'opprimé de son époux, l'Émir des croyants, Ali (Salut à lui) d'autre part, les complots fomentés , les inquiétudes de Fatima pour l'avenir des musulmans et la conservation du coran intégrale, tant de soucis qui lui ont durement serré le cœur et torturé l'esprit. Fatima (Salut sur elle) ne désira pas, en ouvrant son cœur, déprimer le pur esprit de l'Émir des croyants, Ali (Salut à lui) qui, lui aussi, recevait de durs coups de la désagréable et déloyale situation de la Umma. C'est la raison pour laquelle elle allait auprès de la tombe du Prophète (Que la paix soit sur lui) pour se confier et se plaindre à lui. Alors, des paroles brûlantes comme la flamme du feu qui brûle dans le for intérieur de tout être, lui venaient à la bouche :
"Après toi, cher père, je me suis retrouvée seule. Je me suis sentie errante et dépourvue. Ma voix s'est éteinte, mon dos s'est brisé et l'agréable goût de la vie est devenu amer dans ma bouche."

Parfois, elle disait aussi : "Quelqu'un qui a reçu l'odeur de la terre purifiée du prophète (Que la paix soit sur lui) ne pourra jamais plus sentir l'odeur d'aucun autre parfum, jusqu'à la fin de sa vie !

Après toi, Ô père, tellement de malheurs me sont arrivés que s'ils devaient recouvrir les jours heureux, alors ceux-ci deviendraient obscurs et noirs, comme la nuit."


• Mais, pourquoi Fatima se lamente-t-elle, ainsi ?

• De quoi s'inquiète-t-elle tellement ?

• Pourquoi s'impatiente t-elle autant, telle la rué sauvage sur le feu ?

• Pourquoi donc ?"

• Laissons la répondre elle-même à tous ces pourquoi !

Oumme salameh dit : "Quand, après la mort du prophète, je suis allée rendre visite à la Dame de l'Islam, Fatima (Salut sur elle), je lui ai demandé comment elle allait; Elle me répondit ces mots des plus significatifs : " Ô Oumme salameh, que me demandes-tu comment je moi qui suis submergée par la tristesse et la douleur : il y a d’une part, le décès de mon père, le prophète (Que la paix soit sur lui) et, d'autre part, je vois de mes propres yeux que son successeur, Ali ibn Abou Taleb subit la pire des injustices.

Je jure devant Dieu qu'ils ont déchiré le voile du respect qui lui est du…

Je sais aussi que ce n’est que le fruit de la rancune de Badr, et le désir de se venger de Ohod, qui demeuraient jusqu'à présent dissimulés et masqués dans les cœurs des hypocrites.

 " Malgré tout ce qu'elle put faire pour défendre la haute sainteté de l'Émir des croyants, Ali et malgré le fort soutien qu'elle lui apporta en ces instants difficiles, son immense douleur et sa profonde tristesse ne restèrent un secret pour personne. Après la disparition du Prophète (Que la paix soit sur lui et sa famille), elle ne vécut plus très longtemps, telle qu'elle en avait supplié Dieu. Deux, trois mois plus tard, elle se hâta de rejoindre son père dans le Royaume de Dieu. Pourtant, pendant tout ce temps, elle ne manqua pas de toute sorte de générosités, se sacrifiant et se dévouant pour défendre la cause de l'Émir des croyants, Ali (Salut à lui) et pour défendre l'Islam.

" Que la paix de Dieu soit sur toi, Ô fille du Prophète de Dieu. Que la bénédiction de Dieu soit sur toi !»