
تقي زاده
La section féminine du concours international de Coran débute à Téhéran
Un certain nombre de responsables coraniques, religieux et culturels, y compris le chef de l'organisation des affaires d’Awkaf, l’Hojat-ol-Islam Ali Mohammadi et le secrétaire du Conseil pour le développement de la culture coranique, l’Hojat-ol-Islam Hamid Mohammadi étaient présents à la cérémonie, avec la récitation de versets coraniques par l'éminent récitant Iranien, Mehdi Adeli.
Ensuite, Masoumeh Farzaneh, responsable du comité des femmes de la compétition, a prononcé un discours dans lequel elle a noté que 28 mémorisatrices du Coran de 28 pays participent à l'édition de cette année.
Elle a ajouté que 14 experts du Coran, 9 d'Iran et 5 d'autres pays, forment le panel des juges.
Les trois premières lauréates de ces compétitions seront récompensées à la cérémonie de clôture mercredi, a-t-elle noté.
Selon elle, trois événements, dont une exposition, sont prévus en marge du concours.
L'Eram Hotel de Téhéran accueille la compétition dans la section féminine.
Le 35ème Concours International du Coran de la République Islamique d'Iran a été officiellement lancé lors d'une cérémonie jeudi.
Il comprend cinq sections, dont celles pour les hommes, les élèves et les étudiants du séminaire.
Près de 370 invités étrangers, y compris les prétendants, les experts du Coran et les membres des groupes, sont arrivés en Iran pour l'événement coranique.
Le nombre de pays participant à la compétition cette année est de 84.
Russie: nouvelles preuves de fabrication d’armes chimiques par les terroristes en Syrie
Selon des preuves avancées par l'armée russe, le groupe terroriste Jaysh al-Islam produirait des armes chimiques en Syrie.
Le ministre russe de la Défense a déclaré vendredi que les frappes occidentales sur la Syrie n’avaient pas ramené la stabilité dans le pays, selon l’agence de presse Fars News .
« Je tiens à souligner que ces frappes aériennes se sont déroulées à un moment inopportun ; c'est-à-dire deux jours avant que nous ne terminions les opérations dans la Ghouta orientale », a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec l'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura.
Il a souligné que les frappes américaines, britanniques et françaises n'ont pas réussi à stabiliser la Syrie.
Par ailleurs, l'armée russe affirme, preuves à l’appui, que les groupes rebelles armés détenaient une quantité considérable de produits chimiques comme l’hexamine qui entre dans la composition des armes chimiques. « Des analyses d'échantillons prélevés sur les sites de la Ghouta orientale en Syrie montrent qu'ils contiennent des marqueurs chimiques comme l’hexamine », a annoncé un responsable militaire russe.
Cela prouve bien que les terroristes de Jaysh al-Islam produisent des gaz toxiques dans la ville de Douma, rapporte Sputnik.
Pour rappel, le 7 avril dernier, suite à l'avancée de l'armée syrienne dans la ville de Douma dans la Ghouta orientale, l’opposition syrienne a accusé le gouvernement de Damas d’avoir mené une attaque chimique contre la région. Une semaine plus tard, cette allégation sans fondement a ouvert la voie à une attaque en Syrie des États-Unis menées en coordination avec la Grande-Bretagne et la France.
La Syrie et la Russie rejettent catégoriquement les accusations d’attaque chimique à Douma.
Syrie: les rapports de la CIA mettent en garde contre un retrait US
Dans son dernier article l'éditorialiste de Rai al-Youm, Abdel Bari Atwan se pose la question suivante: pourquoi les États-Unis auraient-ils décidé de se retirer de la Syrie ? La réponse est bien multiforme: Ce serait d'abord un pas franchi dans le sens des promesses électorales du président Trump quand il affirmait en 2016 vouloir retirer les troupes US de la Syrie, promesse qu'il a d'ailleurs réitéré il y a un mois au grand dam des généraux US.
Trump a avoué que « les Américains avaient dépensé quelque 70 milliards de dollars ces 17 dernières années au Moyen-Orient sans en tirer grands profits ».
Plus loin dans son article, l'auteur évoque le plan « Bolton » porté au grand jour par les médias outre-Atlantique et qui consiste à créer une armée arabe en Syrie en lieu et place des forces que les États-Unis détiennent dans le sud et le nord-est syriens : « Mais les Américains auraient-ils décidé de lâcher prise? »
Attaque de l'aéroport T4: Israël redoute une réponse de Téhéran
Les résultats d'un récent sondage indiquent que le régime israélien craint que l’Iran réplique à l’attaque aérienne contre la base militaire T4 située dans la province syrienne de Homs.
Selon un rapport publié par le journal Maariv, plus de 73% des colons israéliens habitant les territoires occupés palestiniens pensent que des menaces sécuritaires planent sur eux.
Nouveau plan américain pour démembrer la Syrie
Des sources diplomatiques et militaires russes font état de la mise en application d’un nouveau plan commandité par les États-Unis pour démembrer la Syrie.
La chaîne Al-Mayadeen citant certaines sources diplomatiques et militaires russes a annoncé cette nouvelle, sans manquer de rappeler que des groupes armés projetaient de lancer une vaste opération militaire dans le but de former un gouvernement indépendant vis-à-vis de Damas, avec Deraa comme capitale. À en croire ces sources, un point de passage a été établi entre Israël et la Jordanie pour transférer des armes lourdes vers les régions sous contrôle des groupes armés.
« Tout comme la région située à l’est de l’Euphrate contrôlée par les Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les États-Unis, un nouveau gouvernement sera mis en place avec Deraa comme capitale. Il est fort probable que l’attaque chimique présumée à Douma soit évoquée par l’Occident pour justifier sa nouvelle agression contre la Syrie », ont-elles précisé.
Le journaliste d’Al-Mayadeen a déclaré que Moscou avait déjà mis en garde contre la mise en application d’un tel scénario.
Le terrorisme, au sommaire de la réunion Iran-Irak-Syrie-Russie à Bagdad
La création de coalitions tripartite ou quadripartite au Moyen-Orient où l’Iran, la Syrie, la Russie, l’Irak et la Turquie jouent un rôle de premier rang, a nettement influé sur les crises en Syrie et en Irak. Elles pourraient donc accueillir de nouveaux adhérents et contribuer au règlement d’autres conflits.
Selon Tasnim News, le ministre iranien de la Défense Amir Hatami se trouve depuis mercredi 18 avril à Bagdad en visite officielle pour participer au sommet quadripartite Iran-Irak-Syrie-Russie sur le renseignement et rencontrer les autorités militaires et sécuritaires irakiennes.
L’objectif de ces quatre pays à Bagdad est de coordonner leur lutte contre « le terrorisme ». «La coopération sur le plan du renseignement entre les quatre pays pour des objectifs communs et des missions contre le terrorisme a été une expérience réussie pour ramener la stabilité et la sécurité et doit être la base de toute coopération future», a déclaré le général Amir Hatami.
En 2015, un accord de coopération dans le domaine de la Défense a été signé lors du passage à Téhéran du ministre irakien de la Défense, Khaled al-Obeidi.
L’actuelle visite de M. Hatami à Bagdad a été, quant à elle, marquée par la tenue de la première commission mixte de coopération en matière de défense Irano-irakienne et la réunion quadripartite Iran-Irak-Syrie-Russie contre le terrorisme. Cette coalition a vu le jour fin 2015 alors que la Russie commençait ses frappes ciblées contre les positions terroristes en Syrie.
« Les responsables russes, iraniens et syriens sont arrivés en Irak. Ils ont entamé des discussions autour du terrorisme et notamment du groupe terroriste Daech. Il existe un accord stratégique entre l’Irak et les États-Unis. Ces derniers ont le devoir de protéger l’Irak en cas d’attaque venant de l’étranger. Mais vu le laxisme et le désengagement de Washington, Bagdad a été obligé de trouver un nouvel allié militaire et de se tourner vers la Russie », a par ailleurs expliqué un député du Parlement irakien.
Le ministre iranien de la Défense a indiqué en début de séance de cette réunion quadripartite que la coalition Iran-Irak-Syrie-Russie avait eu un « rôle important dans la défaite de Daech ».
Dernières initiatives en date : sur ordre du Premier ministre Haïder al-Abadi, des F-16 de l'armée irakienne ont mené jeudi des frappes aériennes contre les positions de Daech en Syrie.
Durham, 1ère ville américaine à interdire l'entraînement de la police par l'armée israélienne
Dans la ville américaine de Durham, en Caroline du Nord, la décision a été prise par les élus d’interdire à la police locale d’être entraînée par l'armée israélienne.
Selon la chaîne Al-Jazeera, une coalition d'organisations communautaires de la ville de Durham, dans l'État américain de Caroline du Nord, a réussi à faire pression sur le Conseil municipal pour interdire la formation et les échanges entre le département de police de Durham et l'armée israélienne.
Une motion soulignant que « l’armée et la police israéliennes ont une longue tradition de violence et de racisme contre les Palestiniens et les Juifs de couleur », a été adoptée à l’unanimité par le Conseil municipal de la ville.
« Le Conseil s'oppose aux échanges internationaux avec n'importe quel pays ou entité dans lequel les officiers de Durham reçoivent une formation de type militaire puisque ces échanges ne soutiennent pas le type de police que nous voulons ici dans la ville de Durham », peut-on lire dans le texte.
Il souligne l'engagement de Durham, une ville de plus d'un quart de million de personnes, à créer un environnement sûr et sain pour ses habitants et à « reconnaître et partager la profonde inquiétude concernant la militarisation des forces de police à travers le pays ».
Le Parlement britannique forme un groupe antirusse
Le Parlement britannique annonce la formation d' un groupe destiné à obstruer les efforts de la Russie qui cherche à faire la lumière sur l’affaire Skripal et sur celle de l’attaque chimique de Douma.
Le groupe en question se compose de députés parlementaires influents dont les chefs des Comité de la Défense, des Affaires étrangères, du Trésor et de la Sécurité nationale, a écrit le journal britannique, The Times, ce vendredi 20 mars 2018.
Citant une source gouvernementale dans son article, The Times prétend que la Russie a publié un total de 31 faux rapports pour tenter de se soustraire à toute accusation d'implication dans l’affaire Skripal ainsi que porter un démenti aux accusations portées à l’encontre du gouvernement de Damas au sujet de l’attaque chimique présumée à Douma.
L’affaire de l’empoisonnement de l’agent double russe Skripal et de sa faille a plus que terni les relations entre Moscou et Londres. Le gouvernement britannique se dit persuadé de l’implication de la Russie dans cette affaire suite à quoi des dizaines de diplomates russes ont été expulsés du Royaume-Uni pour espionnage. Il faut préciser aussi que Washington et l’UE ont rapidement apporté leur soutien au Royaume-Uni sur ce dossier.
Le CGRI met en garde Israël contre les conséquences de tout aventurisme
Fustigeant l’aventurisme israélien au Moyen-Orient, le général de brigade Hossein Salami, commandant adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), a averti que le déclenchement de toute nouvelle guerre dans la région, aboutirait certainement à l’élimination d’Israël de la carte du monde.
S’exprimant ce vendredi 20 avril, le général de brigade Salami a déclaré que les « ennemis voulaient saper nos efforts allant dans le sens de la lutte contre le terrorisme dans la région ».

« En dépit de tout, l’Iran est parvenu à chasser les terroristes de beaucoup de pays. Aujourd’hui, le monde musulman est un champ de bataille contre les puissances mondiales qui cherchent à y réaliser leurs objectifs malsains et qui n'y arrivent point", a-t-il fait remarquer.
Plus loin dans ses propos, le commandant adjoint du CGRI a affirmé que le front de la Résistance est plus fort que jamais et que de nouvelles guerres lancées dans notre région ne ressembleront point à celles de 2008, à celles de 33 jours ou encore des 51 jours.
S’adressant aux dirigeants du régime israélien, M. Salami a souligné qu’en cas d’éclatement d’un nouveau conflit, Israël serait rayé de la carte.
« Ne comptez pas sur vos bases aériennes. Elles sont toutes à portée de main. Ne vous en remettez pas aux États-Unis, à la Grande-Bretagne et à la France. Ils arriveront au moment où vous n’existerez plus tout comme l’arrivée d’une ambulance après la mort d’un homme. Faites attention à votre comportement et ne faites pas de calculs dangereux », a-t-il martelé.
US Army : vingt millions de personnes tuées à travers le monde
Selon les résultats d’une enquête menée fin 2015 par Global Research, les États-Unis sont directement impliqués depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le massacre de près de vingt millions de personnes à travers le monde.

Selon une étude publiée par Global Research fin 2015, les États-Unis sont directement impliqués depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le massacre d’une vingtaine de millions de personnes à travers le monde.
Washington, Paris et Londres ont effectué, samedi 14 avril, à l'aube des frappes contre les positions de la Syrie sous prétexte que ce pays avait utilisé des armes chimiques à Douma.
Il existe des preuves solides qui montrent que le gouvernement syrien n’a jamais utilisé d’armes chimiques à Douma, dont l’aveu du secrétaire américain à la Défense. Par ailleurs, les experts des questions juridiques ont remis en cause la légitimité de ces frappes du point de vue du droit international.
Et pourtant, les États-Unis prétendent qu’il s’agissait d’une intervention humanitaire.
Sur les 194 pays du monde, 136 ont moins de 20 millions d'habitants, c'est-à-dire que si Washington se concentre sur un seul pays, trois quarts des pays du monde sont susceptibles d’être éradiqués par les soi-disant interventions humanitaires des États-Unis.
En outre, vu le nombre de la population de l’ensemble des pays du monde on peut dire que les États-Unis ont tué à eux seuls la population totale de 45 pays.