تقي زاده

تقي زاده

Au Daghestan, un tireur inconnu, en ouvrant le feu sur des fidèles orthodoxes rassemblés pour célébrer la fête religieuse orthodoxe de Maslenitsa, a transformé en drame cet événement annonçant le jeûne du carême.

Selon un bilan provisoire, 5 personnes, éventuellement toutes des femmes, ont été abattues devant une église de la ville de Kizliar, dans le sud-ouest de la Russie. L’identité des victimes, auxquelles il faut ajouter 4 blessés, reste encore à établir.

Selon le communiqué du ministère russe de l'Intérieur, c’est dans la ville de Kizliar, chef-lieu administratif du raïon de Kizliar dans la République du Daghestan, que le drame s’est produit. Un homme, qui a ensuite été abattu, a tiré avec un fusil de chasse sur un groupe de personnes quittant l'église au terme de la fête de Maslenitsa, célébrée la semaine précédant le carême par les chrétiens orthodoxes russes.

L’ambassade de Turquie en Russie a catégoriquement démenti l’utilisation d’armes chimiques par l’armée turque en Syrie.

Dans un communiqué paru ce dimanche, l’ambassade turque affirme que « les rapports concernant une attaque chimique à Afrin sont infondés ».

Selon les médecins à Afrin, six personnes avaient les « pupilles dilatées » et « des difficultés respiratoires » suite à une attaque chimique présumée de la Turquie.

Les diplomates turcs dénoncent des allégations « mensongères » et un effort de « propagande » visant à ternir l’offensive que mène depuis le 20 janvier la Turquie dans la région d’Afrin contre la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG).

Par ailleurs, selon les Forces démocratiques syriennes (FDS), à majorité kurde, 180 civils ont été tués depuis le 20 janvier, principalement dans des frappes turques, et 413 autres blessés.

Lundi dernier, dans une conférence de presse hebdomadaire, Bahram Qassemi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a appelé la Turquie à stopper son intervention militaire en Syrie et à respecter l’intégrité territoriale du pays.

Deux Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par des tirs de l'armée israélienne, ont déclaré dimanche des sources médicales palestiniennes. 
 
Les deux victimes palestiniennes ont été tuées à l'est de la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, selon ces sources.
 
Selon des témoins oculaires palestiniens, ils ont été atteints par des tirs près de la bande de Gaza, gouvernée par le mouvement palestinien Hamas.
 

L'armée israélienne a déclaré sans autres précisions qu'elle avait tiré "des coups de semonce" en direction d'un groupe de Palestiniens près de la clôture" d'une manière suspecte".
Le leader de la Révolution islamique, l'ayatollah Sayyed Ali Khamenei, a assisté samedi soir à une cérémonie de deuil marquant l'anniversaire du martyre de Hazrat Zahra (SA).
Comme les années précédentes, les cérémonies de deuil sont organisées pendant plusieurs jours en présence du chef de la revolution islamique dans le  Husseiniyeh Imam Khomeini à Téhéran.


Un grand nombre de personnes et les responsables des instances islamiques étaient présents à l'événement.


S'adressant à la cérémonie, l’Hojat-ol-Islam Kazem Sediqi s’est exprimé sur le noble statut spirituel et les vertus de Hazrat Zahra (SA), la fille bien-aimée du Prophète Muhammad (PSL).


Les musulmans chiites et d'autres dans différentes parties du monde organisent chaque année des cérémonies au mois de Jumada al-Ula pour honorer le mémoire de Hazrat Zahra (SA).

En fin de vie, Dame Fatima-Zahra (as) déclara : « C’est le dernier jour de ma vie, je veux laver les cheveux et les vêtements de mes enfants, car ils seront bientôt orphelins, sans mère ! »

L’imam Ali (as) fut surpris de constater que sa chère épouse avait quitté son lit et avait commencé à faire des travaux ménagers. Il lui demanda ce qu’elle faisait, et elle lui répondit :

« C’est le dernier jour de ma vie, je veux laver les cheveux et les vêtements de mes enfants, car ils seront bientôt orphelins, sans mère ! »

L’imam Ali (as) lui demanda comment pouvait-elle savoir que ce jour était celui de son départ. Elle lui dit qu’elle avait vu son père, le Messager d’Allah (saws), en rêve, qui lui dit qu’elle le rejoindrait cette nuit là. Elle demanda ensuite à l’imam Ali (as) d’exécuter son testament.

« Demande-moi ce que tu veux, fille du Messager d’Allah », dit l’imam Ali (as). Puis, il demanda à chacun de quitter la maison et il vint s’asseoir auprès d’elle.

Fatima (as) commença :

« Cousin, ai-je déjà prononcé des mensonges, ai-je manqué de dévotion, ou t’ai-je déjà désobéi depuis que je suis ta compagne ? »

L’imam Ali (as) répondit :

« Par Allah ! Tu es trop dévouée, trop pieuse, trop honorable et trop craintive d’Allah (pour me donner une raison) de te réprimander ou pour m’avoir désobéi. Je vais te perdre et nous serons bientôt séparés, mais c’est une destination inévitable. Par Allah, tu as renouvelé le chagrin que j’ai subi avec la mort du Messager d’Allah (saws), ta mort et ton départ seront une grande calamité, mais à Allah nous appartenons, et c’est à Lui que nous retournerons. » 

Quelle calamité douloureuse, amère et triste. Certes, c’est une calamité pour laquelle il n’y a pas de consolation, et un désastre pour lequel il n’y a aucune compensation.

Puis, ils ont tous deux pleuré et l’imam Ali (as) embrassa sa tête et dit :

« Demande-moi ce que tu veux, je serai dévoué et j’exécuterai tout ce que tu m’ordonneras de faire. »

Fatima (as) lui dit :

« Puisse Allah te récompenser de Sa Grande Bonté… Cousin, je te demande d’abord de te remarier après ma mort, ma nièce Umamah sera comme une mère pour mes enfants. En outre les hommes ont besoin des femmes. »

Elle ajouta ensuite :

« Je te demande de ne pas permettre à quiconque m’a fait une injustice, d’assister à mes funérailles, car ils sont certainement mes ennemis et les ennemis du Messager d’Allah. Ne leur donnes pas non plus l’occasion de prier sur moi, ni même leurs adeptes. »

Fatima Zahra (as) était à présent prête à rencontrer son Seigneur. Elle prit un bain puis se coucha. Elle donna l’ordre à Asma Bint Umais d’attendre un moment, puis d’appeler son nom. Si elle ne donne aucune réponse, cela signifierait qu’elle (as) aura rejoint son Seigneur.

Asma s’exécuta, elle attendit un moment, puis appela le nom de Fatima… mais il n’y eut pas de réponse.

Asma répéta l’appel :

« Ô fille de Muhammad le choisi ! Ô fille du plus honorable d’entre les hommes ! Ô fille du meilleur de ceux qui ont marché sur terre ! »

Il n’y eut toujours pas de réponse. Le silence accabla la maison. Asma entra alors dans la chambre et s’avança vers le corps sans vie de Fatima (as), elle avait quitté ce bas-monde.

À ce moment-là, Hassan et Hussein (as) arrivèrent et demandèrent : « Où est notre mère ? »

Asma resta silencieuse.

Hassan et Hussein (as) se dirigèrent vers leur mère et la trouvèrent morte. Puis, Hussein se tourna vers Hassan et dit : « Qu’Allah nous console pour notre Mère ! »

Durant ce temps, l’imam Ali (as) était à la Mosquée. Hassan et Hussein (as) allèrent le retrouver pour lui annoncer la triste nouvelle. En entendant leurs paroles, l’imam Ali (as) tomba, inconscient.

Puis, Lorsqu’il reprit conscience, il dit :

« Qui me consolera maintenant, Ô fille de Muhammad ? Tu étais celle qui me consolait, qui va prendre ta place maintenant ? »

Les femmes Hashimites s’étaient rassemblées pour recevoir la malheureuse nouvelle. Une fois de plus, une calamité s’abattait sur eux, alors qu’ils portaient encore la blessure de la perte du Prophète (saws).

Tout le monde était venu consoler l’imam Ali (as) et ses deux enfants…

Allah est avec vous, Ô enfants de Zahra !

Hier encore, vous perdiez votre grand-père, le Prophète d’Allah (saws), et vous voilà accablés par un nouveau malheur ! Soyez patients, car c’est la volonté du Seigneur, le Tout-Puissant.

Qu’Allah éleve notre Dame Fatima-Zahra (as) et qu’Il maudisse ses assassins.

Il est primordial pour tout musulman de s’informer sur Ahl el Bayt (as), de s’attacher à leur amour et bien sûr de les obéir. Voici donc quelques hadiths sunnites sur les mérites de Fatima Al-Zahra (as), la fille chérie du Saint Prophète (sawas).

La première au paradis

Le Prophète (sawas) a dit : « la première personne qui entrera dans la paradis est Fatima »

أول من يدخل الجنة فاطمة

Al-Khassa’is Al-Kubra, d’Al-Soyuti, vol 2, page 225

Une partie du Prophète

Le Prophète (sawas) a dit : « Fatima est une partie de moi, donc celui qui lui fait du mal me fait du mal »

عن رسول الله ( صلى الله عليه وآله ) قال : فاطمة بضعة مني فمن أغضبها أغضبني

Sahih Bukhari, vol 5, hadith 3556, page 26

Bukhari a aussi rapporté que le prophète (sawas) dit : « Elle n’est rien d’autre qu’une partie de moi, l’énerve ce qui m’énerve et me fait mal ce qui lui fait mal »

عن رسول الله ( صلى الله عليه وآله ) قال : فإنما هي بضعة مني يريبني ما أرابها ويؤذيني ما آذاها

Sahih Bukhari, vol 7, page 47
Muslim l’a aussi rapporté dans son sahih, vol 4, le livre/chapitre des mérites de Fatima, mais avec une petite différence.

L’odeur du paradis

Le Prophète (sawas) a dit : « je sens l’odeur du paradis par le cou de Fatima »

أشم رائحة الجنة من نحر فاطمة

Yanabi’ Al-Mawadda, vol 1, porte 55

La princesse des femmes du paradis

Aïcha rapporte que le prophète dit quelque chose à Fatima qui la fit pleurer puis il lui dit autre autre chose qui la fit rire. Elle lui demanda ce que c’était mais Fatima refusa de lui dire. Après la mort du prophète, elle la demanda de nouveau. Fatima dit alors que le prophète l’informa qu’il mourra très prochainement et qu’elle sera la première de sa famille à le rejoindre, et elle alors pleurait.

Il lui avait alors dit : « N’accepte-tu pas d’être la princesse/maitresse des femmes du paradis ou des femmes des croyants ? » Et elle rigola pour cela.

عن عائشة قالت : أقبلت فاطمة تمشي كأن مشيتها مشي النبي ( صلى الله عليه وآله ) ، فقال النبي ( صلى الله عليه وآله ) : مرحبا بابنتي ، ثم أجلسها عن يمينه أو عن شماله ، ثم أسر إليها حديثا فبكت . فقلت لها : لم

تبكين ؟ ثم أسر إليها حديثا فضحكت . فقلت : ما رأيت كاليوم فرحا أقرب من حزن . فسألتها عما قال ؟ فقالت : ما كنت لأفشي سر رسول الله ( صلى الله عليه وآله ) ، حتى قبض النبي ( صلى الله عليه وآله ) فسألتها . فقالت : أسر إلي أن

جبرئيل كان يعارضني القرآن كل سنة مرة ، وإنه عارضني العام مرتين ، ولا أراه إلا حضر أجلي ، وإنك أول أهل بيتي لحاقا بي ، فبكيت . فقال : أما ترضين أن تكوني سيدة نساء أهل الجنة أو نساء المؤمنين ؟ فضحكت لذلك

Sahih Bukhari, vol 4, page 248

Fatima passe et les gens baissent leurs yeux

Le Prophète (sawas) dit : « Un annonciateur de la part de Dieu le jour du jugement annoncera ‘baissez vos yeux jusqu’à ce que Fatima passe’ « 

مناد من قبل الله يوم القيامة ينادي غضوا أبصاركم حتى تمر فاطمة

Lisane Al-Mizane, d’Al Asqalani, vol 3, page 237

vendredi, 16 février 2018 12:07

La Grandeur de Fatima Zahra ('alayha Salâm)

Le Messager d’Allah (saws) a dit : « Quatre femmes sont les meilleures, entre toutes, dans le Paradis: Asiyâ fille de Muzâhim, Maryam, fille de 'Imrân, (la mère de 'Issa- Jésus (as)), Khadîja, fille de Khuwaylid, et Fâtima, fille de Muhammad(as). »

 

L'Imam Ahmad ibn Hanbal dans Musnad et Hafiz Abu Bakr Shirazi dans Nuzulu'l­Qur'an fi Ali relatent de Muhammad ibn Hanafiyya et du commandant des croyants, Ali. Ainsi qu'Ibn Abdu'l-Barr dans Isti'ab sur le compte de Fatima qui le relie d'Ummu'l­Mu'minin Khadija, d'Abdu'I-Warith ibn Soufian et d'Anas ibn Malik. Cheikh Sulayman Balkhi Hanafi en chapitre 55 de Yanabiu'l-Mawadda. Seyyed Ali Hamadani dans Mawaddatu'l-Qurba, Mawadda 13 - ceux-ci et beaucoup d'autres narrateurs de hadith ont rapporté d'Anas ibn Malik: « Il y a quatre femmes prépondérantes de ce monde: Marie, fille d'Imran. Asiya, fille de Mazahim. Khadija, fille de Khalid et Fatima, fille de Muhammad. »

 

Muhammad Isma'il Bukhari dans son Sahih et l'Imam Ahmad ibn Hanbal dans le Musnad relatent d'Ayesha bint Abi Bakr qu'elle a entendu du Prophète (psl): « Ô Fatima, je te donne la bonne nouvelle qu'Allah t'a rendue supérieure à toutes les femmes des mondes et t'a fait la plus pure de toutes les femmes de l'Islam. »

 

Bukhari dans son Sahih, partie 4, page 64, Muslim dans Sahih partie 2, dans le chapitre "mérites de Fatima," Hamidi dans son Jam'a bainu's-Sahihain, Abdi dans son Jam'a bainu's¬Sihahu's-Sitta - ceux-ci et beaucoup d'autres ont rapporté sous l'autorité d'Umu'l-Mu'minin Ayesha, le saint Prophète a dit: « O Fatima! Es-tu heureuse d’être la maîtresse des femmes de tous les mondes ? »

 

 

Il est de notoriété publique que Dame Fatima (as) avait atteint le haut degré des "Siddiqun." Il lui a été attribué le titre de Siddiqah  par  Le Messager d’Allah(saws), et ceci est mentionné dans Ryad An-Nidhirah v.2, p.202. et dans Sharaf An Nubuwwah.

 

Mufadhdhal Ibn Amr a dit:

  « J'ai demandé à l'Imam as-Sadiq (as): « Qui a fait les grandes ablutions à dame Fatima (as) (Ghusl Mayyet) à sa mort bénie ? »

  

Il a répondu: « Amir Al -Mu'minîn (as) (Ali). »

  

Je réagis de telle manière qu'il apparaisse comme si je croyais que ce n'était pas possible que l'Imam Ali (as) ait pu le faire , Ainsi donc, l'Imam Sadiq (as) a dit: « Il semblerait que tu ne sois pas à l'aise avec ce que je viens de te dire ? »   

J'ai dit: « Que je sois sacrifié pour toi, je le suis bien sûr. »

  Il dit alors : « Ne sois pas ennuyé par cela, parce que Fatima était une `Siddiqah', personne d'autre qu'un `Siddiq' ne pouvait lui faire les grandes ablutions. Ne sais tu pas que personne n'a faite les ablutions à Marie (as) excepté Isa – Jésus - (as) ? "

  Aisha a rapporté :

« Je n'ai jamais vu une personne qui ressemble autant au Saint Prophète par l'apparence, la conduite, la bonne guidée et le discours, dans sa manière de s'asseoir ou de se tenir debout que Fatima. Quand elle entrait, le Messager d'Allah se mettait debout, l'embrassait et lui souhaitait la bienvenue. Puis il tenait sa main et lui demandait de s'asseoir à sa place. »[Tirmidhi et Ibn Abdur rabbah dans Al Eqd al-Farid: v.2, p.3]

 

De même que la citation de Al Bayhaqi dans son Sounan vol. 7, p. 101, Aisha a dit:   

« Je n'ai jamais vu une personne qui ressemble autant au Saint Prophète par sa manière (habitude) de converser et de dialoguer que Fatima ... »

  

Le Saint Prophète (saws) a dit à Aisha:

« Sûrement Ali est celui qui m'est le plus aimable de tous les hommes et le plus précieux pour moi. De ce fait, reconnais ses droits, et rends lui l'hommage qui lui est dû. » [Ryadh An-Nidhirah: v.2, p.161., Dhakha'er al-Uqbi: p.62. ]

 

   Le Prophète de l’Islam (saws) : « Fatima est l’ange des femmes. Quand j’ai la nostalgie du parfum du paradis, je respire celui de Fatima. »

 

Le Prophète de l’Islam (saws) : « Ma fille fut appelée Fatima, puisque le Seigneur l’a épargnée elle et tous ceux qui se disent ses adeptes, du feu. » (Et c’est logique, celle ou celui qui prendre comme exemple Fatima dans la vie sera un vraie croyant/croyante)

Le Prophète d’Allah (saws) : « Je suis l’arbre, Fatima sa fleur, Ali sa fécondation, Hassan et Hossein ses fruits, et les épris des gens de la Demeure sont en vérité ses feuilles paradisiaques. »

 

Le Prophète de l’Islam (saws) : « Quiconque connaît Fatima comme elle le mérite, a su comprendre la nuit de la Détermination. Elle est nommée Fatima parce que personne ne saurait parvenir à saisir ce qu’elle est vraiment. »

 

Le Prophète de l’Islam (saws) : « Quiconque afflige Fatima, m’a affligé ; et celui qui m’a affligé, a affligé Dieu. »

 

Le Prophète de l’Islam (saws) : « Fatima est la prunelle de mes yeux, le fruit de mon cœur. »

 

 « Fatima était la prunelle des yeux et le fruit du cœur du Messager de Dieu. » (Bihar al-Anwar, t.43, p. 54)

 

Le Prophète de l’Islam (saws) : « En vérité, le Seigneur a comblé le cœur et le corps de Fatima jusqu’à la moelle de ses os de la foi et de la certitude, de sorte qu’elle est la soumission même en Dieu. »

 

L’Imam Ali – béni soit-il : « Par Allah, ta maison est celle de la paix et de la sérénité. Lorsque je rentrai, il me suffisait de te regarder pour que tous les chagrins et les peines se dissipent. » 

 

Il est rapporté que le Saint-Prophète de l'Islam (saws) dit un jour à l’Imam Ali (as) : « Sais-tu pourquoi ma fille s'appelle Fatima ? »

 

L’Imam Ali (as) lui répondit: « Je t’en prie, dis-le moi. »

Le Saint-Prophète (saws) lui dit: « C'est parce qu'elle et ses partisans et ceux qui le suivent seront exempts du feu de l'Enfer. »

 

 

 

Quand le verset glorieux 63, de la sourate "La Lumière" a été révélé:

 

« Ne considérez pas l'appel du Prophète comme un appel que vous vous adresseriez les uns aux autres ! », les musulmans cessèrent d'appeler le Saint-Prophète (saws) en disant " Ô Mohammad". Ils dirent dès lors : " Ô Envoyé de Dieu" ou " Ô Prophète de Dieu."

  Fatima (as) dit: « Après la descente de ce verset, je n'ai plus osé parler à mon père en lui disant "cher père" alors. Lorsque je me trouvais en sa présence je lui disais "Ô Envoyé de Dieu". Je l'ai ainsi interpellé une, deux fois puis j'ai vu qu'une profonde tristesse l'envahissait et qu'il se détournait de moi. La troisième fois, il m'a regardée et m'a dit:

 

« Ô Fatima, ce verset n'est descendu ni pour toi ni pour ta; tu es de moi. Non! Ce verset est descendu pour les gens malveillants et les malpolis coléreux de Qoraich. »

  Puis, il a ajouté cette étonnante phrase qui nourrit l'esprit :

  « Dis donc 'cher père' Ceci est plus vital pour le cœur et plus appréciable pour Dieu ! »  

Que la paix soit sur Fatima az-Zahrâ', le jour où elle est née, le jour où elle a rejoint son Seigneur et le Jour où elle sera ressuscitée.

Le général retraité et expert en stratégie militaire libanais, Amine Hoteit, estime qu'Israël a abandonné sa stratégie de guerre par procuration en Syrie pour une stratégie de confrontation directe.

Le général évoque les récents propos du ministre israélien de l'Énergie, Yuval Steinitz, qui affirmait: "Du point de vue d'Israël, Assad et le Hezbollah sont les mêmes et au cas où une guerre éclatait, Israël choisirait de frapper le camp qu'il convient." 

La stratégie militaire israélienne a changé depuis qu'un F-16 israélien a été pris pour cible de la DCA syrienne. La riposte s'est avérée particulièrement cinglante pour Israël qui a décidé du coup de passer à la vitesse supérieure.

En effet, l'abattage du F-16 a bouleversé bien des plans qu'Israël projetait de mettre en place en Syrie. Selon Amine Hoteit, "Israël se permettra désormais de lancer des frappes sporadiques contre le territoire syrien. Parallèlement, il envisage de construire un mur de séparation sur ses frontières nord avec le Liban".

Ceci étant dit, Israël aura du mal à s'engager dans une guerre totale contre la Syrie. Surtout que le Hezbollah s'est littéralement transformé ces dernières années, passant d'une posture plutôt défensive à une posture offensive.

Tel-Aviv est bien conscient de l'ampleur et de la diversité de l'arsenal que possède le Hezbollah, arsenal capable d'atteindre des cibles situées au cœur d'Israël. Et si à cet arsenal s'ajoute la puissance de frappe de Damas, la tache sera bien difficile pour Israël. Bien qu'il soit conscient de ces risques, le régime semble ne pas avoir d'autre choix. Le choc de la riposte syrienne a été toutefois si intense qu'il pourrait bien tomber dans le piège.

Le discours belliciste que vient d'adopter la France de Macron à l'égard de la Syrie reflète une nouvelle étape qui s'ouvre en Syrie: les États-Unis et leurs alliés occidentaux ne renonceront pas à la Syrie et ils sont décidés de cesser la guerre par procuration, qui est la leur depuis 2011, pour une confrontation militaire directe. Or, Israël est la partie qui pâtira le plus d'une guerre directe avec l'axe de la Résistance, pour cause des frontières qu'il partage avec la Syrie et le Liban.

Les occidentaux semblent vouloir se servir d'Israël comme d'un levier de pression face à la Russie et à l'axe de la Résistance, peu importe ce qui lui arriverait.

vendredi, 16 février 2018 12:04

Tel-Aviv est le principal soutien du terrorisme

Le chef de la résistance islamique irakienne, Al Noujaba, a soutenu la résistance jusqu’à l’élimination du régime sioniste.
Lors de la commémoration du martyre d’Imad Mougniyah, un des dirigeants du Hezbollah libanais, organisée dans le quartier sud de Beyrouth, le cheikh Akram al Ka’bi, chef de la résistance islamique, a commémoré le souvenir des martyrs tombés dans la lutte contre l’ennemi sioniste et les groupes takfiristes, et déclaré que les forces de résistance, le Hezbollah libanais et l’armée syrienne combattront jusqu’à la destruction du régime sioniste et la libération de Qods. 

« L’armée syrienne a montré sa force à l’ennemi et comme les États-Unis après les défaites successives de Daesh, ont été obligés de se battre contre les forces de mobilisation populaire en Irak,  l’attaque du régime sioniste contre les positions de l’armée syrienne et les forces de mobilisation populaires, a montré que Tel-Aviv était le principal soutien des terroristes et de ses mercenaires en Syrie », a-t-il dit.

Certaines informations avaient fait état de la mort du cheikh Akram al Ka’bi dans l’attaque sioniste contre la banlieue de Damas, mais son apparition et son discours lors de cette cérémonie, ont démenti ces nouvelles. 

Durant les 39 ans (de la révolution islamique), nous avons accompli des progrès dans plusieurs domaines, mais il y a eu en même temps des lacunes. Peut-être dans la prise de décision n'avons-nous pas agi rapidement, ou peut-être n'avons-nous pas eu un discours transparent", a-t-il dit le président iranien. 
 
Les Iraniens ont résisté devant les tentatives d’ingérence des États-Unis et réussi à déjouer leurs complots.

Le président iranien a prononcé un discours, ce dimanche 11 février, devant les Iraniens, participant à la marche marquant le 39e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, et réunie place Azadi à Téhéran.


Le président iranien a loué et remercié l’unité et la fidélité du peuple iranien envers la Révolution et ses idéaux ainsi que leur participation, aussi grandiose que jamais, aux cérémonies de commémoration de l’avènement de la Victoire de la Révolution islamique. Il s’est attardé sur les acquis importants de l’Iran durant l’année en cours dans divers domaines intérieurs et internationaux.

« Cette année, nous avons accumulé d’innombrables victoires dans la lutte contre Daech dans la région. Nous avons aidé les peuples syriens et irakiens à se sauver des terroristes. Les comploteurs cherchaient à diviser l’Irak, mais la vigilance du peuple irakien, avec l’aide de ses voisins, l’en a empêché. Ils voulaient insécuriser le Liban, mais la vigilance du peuple libanais et le soutien des pays amis ont désamorcé le complot du sionisme » a ponctué le président iranien Hassan Rohani.

« Les États-Unis entendaient s’ingérer dans nos affaires internes, mais le peuple leur a répondu, avec sa résistance, et déjoué leur complot. Les Américains ont fomenté un complot contre la RII au sein du Conseil de sécurité, mais leur plan était tombé à l’eau, car les membres du Conseil leur ont répondu négativement », a souligné le président iranien.
 

Quant au Plan global d’action conjoint, le président iranien a évoqué tous les efforts occidentaux censés détruire cet accord nucléaire, sans qu’ils ne puissent rien faire jusqu’à présent, pour avertir qu’une violation de cet accord serait au détriment des intérêts de l’autre partie. « L’Iran respecte ses engagements tant que l’autre partie le fera, elle aussi », a martelé le président iranien.

Les Iraniens célèbrent, ce dimanche 11 février le 39e anniversaire de la victoire de la Révolution iranienne qui a chassé de l’Iran le régime monarchique pour mettre en place une démocratie aux fondements religieux.