
تقي زاده
African UN envoys ask Trump to meet leaders after vulgar remark
African UN envoys have suggested that US President Donald Trump meet with African leaders in Ethiopia this month after he was reported to have described some immigrants from Africa and Central America as coming from “sh*thole” countries.
African envoys met with US Ambassador to the UN Nikki Haley on Thursday, telling her that “it could be useful” for Trump to address African leaders directly when they meet in Addis Ababa at the African Union.
That meeting is due to take place on January 28-29, according to the African Union website.
The African diplomats said that South African UN Ambassador Jerry Matjila spoke on behalf of the group.
Haley said she regretted the political drama around Trump’s reported vulgar remarks at a White House meeting on immigration, according to diplomats at the UN meeting.
Trump referred to Haiti, El Salvador and African nations as “sh*thole countries” during a White House meeting last week, dismissing a congressional immigration proposal, according to those at the meeting.
During the meeting, Trump also allegedly expressed preference for accepting European immigrants from countries such as Norway.
The president has denied using that language, but others present insist he did.
Dozens of former US ambassadors to African countries have written to Trump expressing “deep concern” over his comments about the continent and warning that respectful engagement is crucial to protecting American interests.
The letter, signed by 78 former American envoys, urges Trump to have positive interactions with African countries.
The letter, dated Tuesday, asks Trump to “reassess” his views on the 54-nation continent, which it calls blessed with “almost unparalleled natural resources” and with which the US has deep historical ties.
On Thursday, several dozen Haitians protested outside the US Embassy in Port-au-Prince against the offensive comments.
"We are here today to let President Donald Trump know that we declare him persona non grata in Haiti," said protest leader Mario Joseph, a prominent human rights lawyer and activist in the Caribbean island nation.
Another demonstration was planned for next week.
Trump’s alleged remarks have sparked widespread criticism in the US and abroad. He was widely condemned by many African countries and by international rights organizations for the comments.
The Haitian government said it was shocked by the reported remarks, which came on the eve of the anniversary of the country's devastating January 2010 earthquake.
The Trump administration has said that about 60,000 Haitians who have been allowed to stay and work in the US since the earthquake must leave the country by July 2019.
Protesters across the United States staged anti-racism rallies on Monday in response to Trump’s vulgar phrase.
Many immigration advocates have criticized Trump as a demagogue who has unfairly portrayed non-European immigrants as criminals and inherently suspicious.
Depuis la frontière syrienne, les forces américaines tirent sur l’armée irakienne
Ghassem Mossalah, un commandant des Unités de mobilisation populaire irakiennes dont les forces sont présentes dans la partie ouest de la province d’al-Anbar, a souligné que Washington posait des obstacles à l’opération de libération du joug de Daech de la localité d’al-Baghouz, située sur la frontière syro-irakienne.
« Ce qui empêche la libération de la région d’al-Baghouz, ce sont les pierres jetées par les États-Unis. Les forces américaines, qui contrôlent la partie syrienne de la frontière, tirent sur l’armée irakienne, les Unités de mobilisation populaire ou encore les gardes-frontières, et ce alors qu’ils savent que Daech contrôle cette partie de la frontière irakienne et que l’on tente ardemment de la libérer », a affirmé Mossalah.
Les cercles politiques et sécuritaires irakiens ont fourni des preuves, des statistiques et des données prouvant que les États-Unis ne veulent pas que Daech soit détruit en Irak et qu’ils restent coûte que coûte dans la région pour faire pression sur les Irakiens et pour défendre leurs propres intérêts.
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Le Pakistan procède à de nouveaux tirs de missiles balistiques et de croisière
Dans l’objectif de développer ses programmes balistiques, le Pakistan a procédé à des tests de missiles balistiques et de croisière.
Selon les médias pakistanais, le principal but de cette nouvelle série de tirs de missiles à titre d’essai est de développer les programmes balistiques d’Islamabad.
Dans le cadre de ces essais balistiques, des missiles à combustible solide d’une portée de plus de 2 000 kilomètres doivent être testés.
Islamabad s’apprête donc à de nouveaux essais balistiques, et ce alors que l’Inde, son rival voisin, a essayé jeudi avec succès un missile balistique Agni-V, dont les caractéristiques le rendent capable de porter une charge nucléaire de plus d’une tonne.

Conçu pour emporter une ogive nucléaire de 1,5 tonne, Agni-V est un missile de trois étages de 17 mètres de long et pesant près de 50 tonnes. Son rayon d'action est de 5 000 kilomètres. Le missile peut également être utilisé pour mettre des satellites en orbite.
Le Pakistan compte au nombre des pays détenteurs de l’arme nucléaire et procède chaque année à de nouveaux tirs de missiles, dont la plupart sont capables de porter une ogive nucléaire.
L’armée pakistanaise cherche à renforcer ses capacités défensives et militaires afin de ne pas prendre de retard par rapport à son puissant voisin indien.
La Turquie défie les USA et intervient en Syrie
Sur fond d'une imminente intervention militaire de la Turquie à Afrin, l’une des trois zones contrôlées par les forces kurdes et leurs alliés dans le nord de la Syrie, et de la formation d’une nouvelle « Force de sécurité aux frontières », le département d'État américain avait appelé la Turquie à ne pas intervenir en Syrie. Mais en mauvais entendeur, l’armée turque a lancé une offensive, dans la matinée du 19 janvier, contre les positions kurdes dans le nord de la Syrie.
En réponse à l'appel de la Maison Blanche de ne pas intervenir à Afrin, zone sous le contrôle du Parti de l’Union démocratique (PYD) et de son aile armé, les Unités de protection du peuple (YPG), le chef de la diplomatie turque a affirmé: « Nous interviendrons dans la région d’Afrin et nous ne nous attendons pas à une opposition russe. Pour ce faire nous nous sommes entretenus avec les Russes et les Iraniens au sujet l’utilisation de l’espace aérien. »
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La porte-parole de la diplomatie américaine Heather Nauert a appelé la Turquie, lors d’une conférence de presse, à concentrer ses efforts sur la lutte anti-Daech plutôt que de procéder à une intervention militaire à Afrin.
Mercredi 17 janvier, le Conseil de sécurité nationale de Turquie (MGK) s’est réuni sous l'égide du président turque Recep Tayyip Erdogan pour discuter des dernières évolutions dans le nord de la Syrie.
« La Turquie ne permettra pas la création d'un corridor de terrorisme et d'une armée de terroristes près de ses frontières. Ankara prendra toutes les mesures nécessaires contre les menaces en provenance de la Syrie », souligne la déclaration publiée au terme de la réunion du Conseil qui dénonce également la formation d'une Force armée composée de "l'organisation terroriste PKK/PYD" dans le nord de la Syrie, nommée « Force de sécurité frontalière ».
« Nous sommes déçus que l'un de nos alliés au sein de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) fournisse des armes aux terroristes qu'il considère comme ses alliés, sans tenir compte de notre sécurité », a poursuivi le Conseil soulignant la nécessité de « récupérer les armes, les véhicules et les équipements fournis à PYD et YPG par les Américains, étant donné que la lutte contre Daech touche belle et bien à sa fin ».
Suite à cette montée des tension et aux affrontements entre les éléments terroristes et les Unités de protection du peuple (YPG) à proximité d’Afrin dans la province d’Alep, l’unité d’artillerie de l’armée turque a lancé une offensive, ce vendredi matin, contre les positions des forces kurdes répandues sur les axes de l’est, du nord et du nord-ouest d’Afrin.
Terrorisme chimique : Moscou avertit l’Occident
La Russie tire la sonnette d’alarme quant à la propagation du terrorisme chimique qui pourrait outrepasser les frontières du Moyen-Orient.
Lors de son intervention, jeudi 18 janvier, lors de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU axée sur la non-prolifération des armes de destruction massive « ADM », le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov a déclaré: « Il est nécessaire de prendre en considération de réels risques de propagation du terrorisme chimique au-delà du Proche-Orient étant donné le nombre important de combattants étrangers parmi les extrémistes. Venus en Syrie et en Irak de l'étranger, des terroristes ont déjà eu la possibilité d'acquérir une expérience pratique et des compétences pour créer et utiliser des armes chimiques. »

« Certains pays occidentaux préfèrent fermer les yeux sur l’usage par les terroristes des armes chimiques en Irak et en Syrie, ce qui contredit certaines résolutions onusiennes », a-t-il fait savoir.
Sergueï Lavrov a ajouté: « Nous avons proposé à plusieurs reprise d'adopter une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU ou au moins une déclaration de son président condamnant les actes concrets de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie et en Irak. Malheureusement, toutes nos propositions ont suscité une résistance de la part de nos collègues occidentaux qui préfèrent fermer les yeux sur les faits d'utilisation et même de fabrication d'armes chimiques par les terroristes et qui lancent des allégations contre Damas. »
Le premier convoi des batteries S-400 arrive en Chine
La Russie a commencé à livrer à la Chine des batteries de son système de défense antimissile S-400, dans le cadre d'un accord signé en 2014, selon des sources proches de l'armée russe.
"La mise en œuvre du contrat a commencé et le premier convoi a été envoyé en Chine", ont rapporté, jeudi 18 janvier, les médias russes citant un responsable qui a requis l'anonymat.
Selon la même source, une station de contrôle, une station radar, du matériel d'énergie et de soutien, des pièces détachées et d'autres éléments constituant le système S-400 composent le premier convoi.
La source anonyme ajoute que ni le transfert de technologie, ni la production sous licence n'ont été prévus dans le contrat.
En 2017, la Russie a fourni des formations nécessaires à un groupe de militaires chinois pour qu'ils puissent manier le système.
Le contrat fait de la Chine le premier client étranger du S-400 russe, suivie par la Turquie. L'accord, scellé en 2014, a été officiellement confirmé le 12 septembre 2017 par la Russie, pour une valeur de 2,5 milliards de dollars.
Fin 2017, Moscou a laissé entendre un accord de vente du système de défense antimissile S-400 à l'Arabie saoudite. Entré en service en 2007, le S-400 est considéré comme le système de missiles antiaériens à longue portée le plus sophistiqué de Russie. Capable d'atteindre des cibles à une distance de 400 km et à une altitude de 30 km, le système peut détruire des avions, des missiles de croisière et des missiles balistiques. Il peut également viser des cibles terrestres.
Le renouvellement d’un pacte nucléaire entre le Japon et les USA
Renouvelant un pacte sur le nucléaire, le Japon et les USA suscitent l’inquiétude de la Chine.
Pour la Chine, le renouvellement du pacte qui autorise à mettre en place un système de recyclage du combustible nucléaire, pourrait inciter le Japon à se munir de l’arme nucléaire.
L’agence de presse japonaise Kyodo a confirmé que le pacte de retraitement du combustible nucléaire entre le Japon et les USA se renouvellerait automatiquement en juin 2018, après l’expiration du délai de 30 ans. Selon l’agence, l’accord renforce la dépendance de Tokyo à Washington en matière d’énergie.
La Chine, de son côté, s’inquiète. Le pacte permet au Japon de retraiter le combustible usé des réacteurs nucléaire pour en extraire l’uranium et le plutonium. Elle reproche également aux deux parties à ne pas avoir révisé ni modifié certains articles de l’accord. Mais vu la montée des tensions en Asie de l’Est, l’administration américaine a préféré ne pas revoir le pacte entré en vigueur en 1988.
Selon Ji Young Chang, professeur au département des sciences politiques et des relations internationales de l’université de Pékin, le renouvellement de ce pacte sans révision ni modification est une menace pour toute la région de l’Asie de l’Est. Il démontre que le Japon a l’intention de procéder à l’enrichissement d’uranium. Vu l’ensemble du cycle du combustible nucléaire et des matières que possède Tokyo, ce dernier est parfaitement en mesure de fabriquer des armes nucléaires.
Le Japon dispose de 47 tonnes de plutonium à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Une quantité qui lui permet de fabriquer cinq bombes atomiques.
Le nouveau missile du Hamas défie le Dôme de fer israélien
Israël reconnaît les défis que pourrait représenter un nouveau missile du Hamas pour son système de défense aérien Dôme de fer.
Le site web israélien 0404 fait part de l'inquiétude de l'armée d'Israël face à l'arsenal balistique du Hamas.
"Le Hamas dispose de missiles lourds et sophistiqués, marqués par leur haute précision. Il les utilisera très probablement en cas de déclenchement d'un nouveau conflit", indique le site.
Dans la foulée, une chaîne de télévision israélienne a annoncé que le Hamas possédait de nouveaux missiles à courte portée qui pourraient défier le système de défense aérien Dôme de fer.
"Le Hamas se prépare à un éventuel conflit face à Israël et ne cesse d'optimiser son arsenal d'autant plus qu'il dispose d'un nouveau type de missile à courte portée qui est capable de charger une importante quantité d'explosifs et de causer des dégâts considérables. Ce missile a la capacité de porter entre 160 et 200 kilogrammes d'explosifs et représente une menace sérieuse pour le Dôme de fer. Il a été conçu essentiellement pour contrer les missiles à moyenne et à longue portée. Des missiles auraient été probablement installés près de la frontière de Gaza de sorte à prendre pour cible les forces de l'armée israélienne. Le Hamas a tiré de grandes expériences des précédents conflits. D'où ses efforts inlassables en vue d'accéder à la technologie qui lui permettra de cibler les colonies israéliennes situées près de la frontière de Gaza", ont confié des sources sécuritaires à la télévision israélienne, sous couvert de l'anonymat.
Dans ce droit fil, Amir Bohbot, analyste des questions militaires, a confié au site web Walla que les services de sécurité israéliens s'étonnaient que le Hamas ait pu fabriquer un missile du type R-160, malgré la surveillance perpétuelle de la bande de Gaza.
"Deux missiles R-160 ont été tirés depuis la bande de Gaza vers la ville de Haïfa. Le premier a été abattu mais le deuxième a atteint sa cible", a-t-il prétendu.
Haïfa étant située à 120 kilomètres de la bande de Gaza, Amir Bohbot a fait état de la grande surprise de l'armée israélienne face aux performances du Hamas. Les responsables locaux des colonies israéliennes n'en sont toujours pas informés, ajoute l'expert.
Le ministre israélien des Affaires militaires Avigdor Lieberman a récemment confirmé le test de trois nouveaux missiles par le Hamas.
Forces italiennes en Libye: une présence militaire qui dérange
Un député de la Chambre des représentants libyenne a qualifié d'agression flagrante le déploiement des forces militaires italiennes en Libye.
Ibrahim al-Darssi, député de la Chambre des représentants libyenne dont le siège est à Tobrouk, a déclaré, jeudi 18 janvier, que le déploiement des forces militaires italiennes en Libye mettait en évidence les vraies positions de la communauté internationale, au moins celles des grandes puissances.
"Certains pays considèrent comme légal l'envoi de contingent militaire étranger sur le sol libyen sous prétexte que le gouvernement d'entente nationale a donné son aval, alors que celui-ci n'a pas réussi à s'attribuer le vote de confiance du Parlement", a expliqué Ibrahim al-Darssi dans une interview exclusive, accordée à l'agence de presse russe Sputnik.
"Le Parlement et la majorité des Libyens voient dans l'envoi des militaires italien en Libye une agression flagrante et une occupation territoriale. Nous condamnons cet acte qui incarne l'occupation du sol libyen par l'Italie", a-t-il souligné.
Le Parlement italien a ratifié, mercredi 17 janvier, un projet de loi permettant l'envoi de 470 militaires au Niger et l'acheminement de nouveaux contingents en Libye de sorte à porter à 400 le nombre des soldats déjà déployés dans ce pays déchiré par les conflits.
Le parlementaire libyen a ensuite dénoncé le récent discours de Ghassan Salamé, émissaire spécial de l'ONU pour la Libye, auprès du Conseil de sécurité, disant qu'il avait falsifié des réalités à propos de la Libye.
"Ghassan Salamé a jugé tendue la situation dans l'Est libyen alors que la partie orientale de notre pays reste calme et stable contrairement à l'Ouest où les miliciens continuent de déstabiliser Tripoli", a-t-il expliqué.
Al-Qods est la capitale indéniable de la Palestine
L'ayatollah Khamenei a insisté que les gouvernements qui aident les Etats-Unis et le régime sioniste à la mise en place de cette décision sont des traîtres.
Le leader iranien a précisé que la cause palestinien est une question fondamentale pour tous les musulmans. La question de la Palestine ne doit pas être oubliée, a-t-il ajouté.