تقي زاده

تقي زاده

Le Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, affirme que le mouvement qui a commencé en Palestine se poursuivra et mènera à la victoire complète des Palestiniens.

Lors d'une rencontre, samedi 14 octobre, avec l’éminent religieux nigérian Cheikh Ibrahim Zakzaki, en visite à Téhéran, l'Ayatollah Khamenei a évoqué la situation dans les territoires palestiniens. En effet, la bande de Gaza assiégée subit les frappes aériennes israéliennes les plus féroces pour le septième jour consécutif depuis l'opération surprise du Hamas samedi dernier.

« Aujourd’hui, la puissance de l’Islam se manifeste dans les évolutions que traversent les territoires de la Palestine », a-t-il déclaré.   

Le bilan des attaques barbares d'Israël contre la bande de Gaza continue de s'alourdir près d'une semaine après sa guerre contre la bande de Gaza assiégé.

Le nombre de morts dans la bande de Gaza est monté à 1 951, a indiqué vendredi soir le ministère palestinien de la Santé du Hamas, après la multiplication des bombardements israéliens sur ce territoire palestinien. Ces frappes incessantes « ont coûté la vie à 1 951 martyrs incluant au moins 614 enfants », a-t-il précisé dans un communiqué, ajoutant que 7 696 personnes avaient été blessées, six jours après l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël.

Par ailleurs, le Hamas a annoncé que 70 personnes, pour la plupart des femmes et des enfants, ont été tuées lors des frappes israéliennes contre des convois fuyant la ville de Gaza vers le sud.

 

Pour le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, l'Occident cherche à falsifier les réalités sur le terrain dans la bande de Gaza et à légitimer les crimes israéliens dans l'enclave côtière assiégée.

M. Amir-Abdollahian a rencontré le président syrien Bachar al-Assad à Damas vendredi soir. Il a surtout souligné que le front de la Résistance était capable de s'opposer au régime israélien d'apartheid. L'appel de Washington aux groupes palestiniens à faire preuve de retenue, alors qu"il a fourni à l'armée d'Israël divers types de munitions en soutien à sa guerre contre la bande de Gaza, lui a particulièrement paru étrange et incohérent. 

Le ministère iranien des Affaires étrangères a condamné une attaque du régime israélien contre un véhicule transportant des journalistes dans le sud du Liban, qui a entraîné la mort de l'un d'entre eux.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Nasser Kanaani a publié vendredi un communiqué dans lequel il a condamné l'attaque d'artillerie israélienne ayant visé un véhicule transportant des journalistes dans le village libanais d'Alma al-Shaab.

Il a présenté ses condoléances et exprimé sa sympathie aux survivants ainsi qu'à la communauté internationale des journalistes.

Alors que le régime israélien intensifie brutalement et aveuglement ses frappes contre la bande de Gaza, le département d'État américain met en garde les diplomates américains sur toute mention d'un éventuel « cessez-le-feu » dans leurs déclarations publiques.

L'avertissement a été émis dans un message consulté par le HuffPost et diffusé vendredi 13 octobre à tous les diplomates américains « travaillant sur les questions du Moyen-Orient ».

Citant le contenu du message, le site d'information américain a déclaré : « Les hauts responsables [américains] ne veulent pas que les documents de presse incluent trois expressions spécifiques, "désescalade/cessez-le-feu", "fin de la violence/effusion de sang" et "rétablir le calme". »

En mobilisant un nombre sans précédent de 300 000 réservistes, le régime israélien a déclaré une « longue » guerre contre Gaza en réponse à l'opération Tempête d'Al-Aqsa. Les mouvements de résistance de Gaza ont lancé l'opération samedi en réponse à la campagne militaire et de destruction d'Israël qui dure depuis des décennies contre les Palestiniens.

Des millions de musulmans à travers le monde ont manifesté pour condamner les atrocités du régime israélien contre le peuple palestinien alors que le régime de Tel-Aviv bombarde la bande de Gaza avec des milliers de bombes et y impose un blocus total.

Des manifestations ont eu lieu vendredi 13 octobre dans plusieurs États, dont l'Iran, le Yémen, l'Irak, le Liban, le Pakistan, la Syrie, l'Afghanistan et la Jordanie, et ainsi que d'autres pays à travers le monde alors que le mouvement de résistance palestinien Hamas a appelé les Palestiniens à organiser des rassemblements vendredi pour soutenir la Palestine.

En Iran, des dizaines de milliers de personnes ont participé aux rassemblements nationaux, scandant des slogans en soutien aux Palestiniens et condamnant les États-Unis et le régime d’apartheid de Tel-Aviv.

Les manifestants portaient également des banderoles pro-palestiniennes. Certaines personnalités politiques iraniennes ont également participé aux manifestations.

 

« Les groupes de résistance palestiniens feront face avec autorité à l’agression du régime sioniste », ont annoncé les hauts responsables du Hamas et du Jihad islamique lors d’une rencontre vendredi 13 octobre à Beyrouth avec le ministre iranien des Affaires étrangères.

Selon l’agence de presse Fars, le ministre des Affaires étrangères de la RII, Hossein Amir-Abdollahian, s’est entretenu avec certains hauts responsables des mouvements de résistance palestiniens Hamas et Jihad islamique au cours de sa visite à Beyrouth.

Les brigades  d’Ezzedine al-Qassam ont utilisé pour la première fois le missile "Ayash 250" en le tirant en direction du quartier général du commandement de la région nord du régime sioniste.

Selon l'agence de presse Fars, le missile "Ayash 250" a été lancé pour la première fois lors de l'opération "Tempête d'Al-Aqsa" le vendredi 13 octobre, après que les Brigades Qassam ont annoncé le bombardement du siège de la région nord de l'entité sioniste dans la région occupée de Safed.

L'Iran a condamné vendredi l'attentat à la bombe meurtrier perpétré contre une mosquée chiite dans le nord de l'Afghanistan, le qualifiant de "crime terroriste le plus cruel".

L'explosion a frappé la mosquée Imam Zaman à Pol-e-Khomri, la capitale de la province de Baghlan, alors que les fidèles se rassemblaient pour la prière du vendredi. Les rapports font état d'au moins 17 morts et 50 blessés.

Un communiqué du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a dénoncé cette attaque « douloureuse » dans les termes les plus fermes et déclaré qu'elle montre que ses auteurs sont « détournés des véritables enseignements de l'Islam ».

Il a présenté ses condoléances aux familles des victimes et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés.

Un communiqué distinct de l'ambassade d'Iran en Afghanistan a également condamné l'attaque terroriste, accusant « des terroristes extrémistes soutenus par les États-Unis et le régime sioniste ».

Aucune revendication de responsabilité n'a été effectuée dans l'immédiat.

Un responsable taliban a déclaré à Reuters qu'ils cherchaient à déterminer de quel type d'explosion il s'agissait.

Selon le correspondant de Fars news, envoyé à Beyrouth, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, qui se trouve actuellement à Beyrouth, sa deuxième destination dans le cadre de sa tournée dans la région, a rencontré Nabih Berri, le président de le Parlement libanais, dans son bureau, ce vendredi 21 octobre dans l’après-midi.

Auparavant, il s'était entretenu avec son homologue libanais, Abdullah Bouhabib, et le Premier ministre libanais, Najib Miqati.

Lors de sa rencontre avec son homologue libanais, Abdullah Bouhabib, Amir-Abdollahian a qualifié le dialogue en cours avec les frères libanais de constructif pour les deux pays et la région, louant le rôle de son homologue dans le développement des relations bilatérales.

Le chef du service diplomatique a qualifié de primordiale la place du Liban dans la région. "Nous considérons la sécurité du Liban comme celle de l'Iran", a-t-il déclaré.