
تقي زاده
Indonésie: 5.000 personnes présumées disparues
Mais les secours craignent que des milliers d'autres dépouilles ne se trouvent dans deux quartiers de Palu particulièrement dévastés.
Attaque armée en Cisjordanie: deux des Israéliens blessés sont décédés
La zone industrielle se trouve à côté des colonies de Barkan et d'Ariel, dans le nord de la Cisjordanie, un territoire palestinien occupé illégalement par Israël depuis plus de 50 ans.
Assad : une victoire à Idlib ferait échouer le Deal du siècle
En réaction aux verbiages des parties occidentales avant le début de la bataille d’Idlib, le président syrien a affirmé que la libération de cette province déjouerait les plans des États-Unis et de l’Occident.
Le Comité central du parti Baath a tenu aujourd’hui une réunion présidée par le secrétaire régional du parti, le président Bachar al-Assad.
« La question du Deal du siècle est aussi ancienne que la cause palestinienne, mais elle s’est accélérée dernièrement en vue de bénéficier de la défection d’un certain nombre d’États du front anti-israélien », a-t-il fait savoir.
L’Inde défend farouchement son indépendance face aux États-Unis
De retour de Moscou où il a rencontré de hauts responsables militaires russes, le commandant des forces armées indiennes, le général Bipin Rawat, a déclaré que l’Inde poursuivrait sa politique indépendante.
L’Inde, qui a toujours été proche de la Russie, a clairement défié les États-Unis, en achetant vendredi à Moscou le système de défense antiaérienne S-400 à l’occasion de la visite en Inde du président russe Vladimir Poutine. Ce contrat va à la fois agacer et embarrasser les États-Unis. La transaction s’élève à 5,2 milliards de dollars, selon des responsables diplomatiques indiens joints par l’AFP.Dans ce droit fil, le général Bipin Rawat a déclaré que New Delhi poursuivrait sa politique indépendante et qu’il comptait acquérir des hélicoptères Kamov et d’autres équipements russes.
« Suite à l’achat de S-400 à la Russie, l’Inde encourt des sanctions américaines. Néanmoins, les Russes se réjouissent de la coopération avec l’armée indienne. Ils savent que notre armée est puissante et capable de défendre nos intérêts », a-t-il souligné.
Au sujet du développement de la coopération indo-américaine, il a dit avoir assuré les autorités russes qu’il a rencontrées à Moscou de l’autonomie de New Delhi.
L’Inde cherche aussi à accéder à la technologie aérospatiale russe.
Hmeimim : un radar volant de l’OTAN intercepté par la DCA syrienne
Un radar volant de l’OTAN a été intercepté par la DCA syrienne alors qu’il menait une mission de reconnaissance sur une base militaire russe en Syrie où sont désormais déployés des systèmes de défense antiaérienne S-300.
La DCA syrienne a intercepté l’avion de détection et de commandement de l’OTAN, Boeing E-3A Sentry, connu également sous le nom d’AWACS, qui de provenance d’Allemagne, a survolé pour une durée de 3 heures les eaux internationales de l’est de la Méditerranée à proximité du Liban afin de scanner la base militaire russe Hmeimim près de Lattaquié en Syrie, a rapporté Sputnik.
Depuis la livraison de systèmes russes de défense antiaérienne S-300 à l’armée syrienne, les avion-espions de l’US Air Force font régulièrement des tours à proximité des côtes syriennes où sont situées les bases militaires russes.
Ayant promis de renforcer les systèmes de guerre radio-électroniques en Syrie, Sergueï Choïgou, le ministre russe de la Défense avait fait état lors d’une réunion avec le président russe Vladimir Poutine et les membres du Conseil de sécurité de la fédération de Russie, du débarquement du dispositif de guerre électronique « Krassukha-4 » le 25 septembre en Syrie dans le cadre de la livraison des S-300.
Deir ez-Zor : les terroristes de Daech héliportés par la coalition US
Les médias syriens ont fait part, samedi soir, d’une opération héliportée de la coalition américaine lors de laquelle elle a sorti un nombre d’éléments supposément de Daech de la localité d’al-Shaafa, au sud-est de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie. Au nombre de ces éléments, il se pourrait qu'il y ait des officiers occidentaux.
En effet, ce sont les hélicoptères de la coalition américaine qui ont effectué l’opération de transfert des terroristes de Daech vers l’extérieur de Deir ez-Zor.
Les terroristes dont la plupart étaient blessés ont été transférés vers un endroit inconnu. La localité d’al-Shaafa est occupée par Daech, supplétifs takfiristes des forces US basées à Al-Tanf.
D’après des rapports officiels, les Américains ont, à maintes reprises, aidé les terroristes de Daech à quitter la région dans la mesure où Daech n'est qu'un nom d'emprunt pour dissimuler la vraie identité des parties impliquées dans la guerre contre l'Etat syrien et ses alliés.
Pourquoi les USA proposent-ils à l'Iran "une connexion au réseau commun" de communication militaire américano-russe en Syrie?
La réaction américaine à la frappe balistique iranienne contre Hajin à Abou Kamal a été singulière : d'une hostilité ouverte, les Américains en sont désormais à proposer à l'Iran "une connexion au réseau commun de communication militaire américano-russe". À ceci s'ajoutent des rapports publiés par les Think Tanks américains qui font état, ces derniers jours, de l'incapacité US à faire face à une guerre généralisée ayant plusieurs fronts. Pourquoi?
Dans son index sur la capacité de l’armée américaine, le laboratoire d'idées et lobby américain basé à Washington, Foundation Heritage écrit que malgré le budget alloué à l’armée américaine, celle-ci aurait du mal à se battre si elle était forcée à faire face à deux conflits simultanément .
" Les équipements militaires modernes de l'armée américaine représentent les deux tiers de ce qu'ils devraient être. Les équipements utilisés sont également plus anciens et moins performants, et leur utilisation au niveau d’alerte engendrera des problèmes ", indique l’index de la force militaire américaine publiée par la Fondation Heritage qui propose des analyses des problèmes de politique de défense de l’année écoulée.
Irak : al-Fath met en garde Israël et les USA contre toute attaque visant la Résistance
La coalition al-Fath en Irak met en garde les États-Unis et Israël contre la riposte écrasante à toute attaque qui viserait les positions de l’axe de la Résistance situées en Irak.
Entesar Hassan al-Moussaoui, le représentant de la coalition d’al-Fath auprès du Parlement irakien, a mis en garde ce samedi 6 octobre les États-Unis et Israël contre toute attaque visant les positions des forces de la Résistance en Irak.
« Washington et Tel-Aviv veulent relancer le terrorisme après la victoire des forces de la Résistance islamique et des Hachd al-Chaabi », a déclaré Entesar Hassan al-Moussaoui lors d’une interview accordée à l’agence irakienne de presse Al-Maalouma.
Pour Entesar Hassan al-Moussaoui, le consulat américain à Bassora dans le sud du pays représente « un sérieux danger » pour la sécurité et la souveraineté irakienne.
Palestine condamne le complot israélien pour chasser UNRWA de Al-Qods
La Palestine dénonce un complot israélien nouveau pour remplacer les services de l’UNRWA et expulser subrepticement dans la ville occupée d’Al-Qods (Jérusalem).
Al-Qods israélien maire, Nir Barkat, a annoncé jeudi dernier qui avait produit « un plan détaillé » pour remplacer l’Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA, pour son sigle en anglais) et assumer les services fournis par cette Agence dans la partie orientale d’Al-Qods.
« Cette décision fait partie d’une campagne agressive lancée par l’occupation israélienne de judaïser la ville d’Al-Qods et d’éliminer son identité palestinienne, agissant surtout sur le secteur de l’éducation dans la ville sainte », a déploré aujourd'hui samedi le ministère d’Éducation en Palestine.
Le portefeuille des palestinien, a également examiné cette mesure dans le cadre de « une série d’étapes malveillantes » du gouvernement américain à bloquer les opérations de l’UNRWA et mettre fin à l’humanitaire et l’éducation prend en charge les réfugiés palestiniens.
L’annonce du maire israélien survient près d’un mois depuis que Washington a annoncé la coupe de tout le budget alloué à l’UNRWA sous prétexte que c’est « une opération a irrémédiablement échouée ».
Selon le nouveau plan israélien, les écoles de l’UNRWA, qui comptent environ 1800 élèves, fermera à la fin de cette année scolaire, et les enfants seraient transférés dans les écoles municipales.
Le Ministère palestinien, cependant, croit que la décision controversée de fermer les activités de l’Agence dans la ville d’Al-Qods est « un défi flagrant à l’ONU et ses institutions ».
La suspension des contributions américaines à l’UNRWA a suscité des critiques de la part des Palestiniens et la communauté internationale. L’autorité nationale palestinienne (ANP) a décrit la décision de nous d’une « attaque flagrante » aux Palestiniens.
La mesure, cependant, a été saluée par le régime de Tel-Aviv. Un représentant du Bureau de l’israélien premier ministre Benjamin Netanyahu, accusé, en fait, l’UNRWA de « perpétuer le conflit entre la Palestine et Israël ». « Consolider les réfugiés palestiniens statut est l’un des problèmes qui perpétue le conflit », il a soutenu.
Israël va découper la Cisjordanie en deux parties
D’après le communiqué publié par le site d’Amnesty International, les habitants de Khan al-Ahmar, situé à l’est de Qods, risquent d’être expulsés de force et transférés par l’armée israélienne dans d’autres endroits.
Les autorités israéliennes disent que les villageois palestiniens pourront choisir entre deux destinations possibles : un site jouxtant l’ancienne décharge municipale de Qods, non loin du village d’Abou Dis, ou un site à proximité d’une station d’épuration, non loin de la ville d’Ariha.
À ce sujet, le directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient à Amnesty International, Saleh Higazi, a écrit :
« Après presque 10 ans de lutte contre cette démolition injuste, les habitants de Khan al-Ahmar redoutent de voir se concrétiser le jour terrible où les habitations qui sont les leurs depuis plusieurs générations seront mise en pièces.
Cet acte est cruel et discriminatoire, mais aussi illégal. Le transfert forcé des habitants de Khan al-Ahmar équivaut à un crime de guerre. Israël doit mettre fin à sa politique de destruction des habitations et des moyens de subsistance des Palestiniens en vue d’installer des colonies. »
Khan al-Ahmar, où habite une tribu bédouine palestinienne, est entouré de plusieurs colonies israéliennes illégales. Cela fait plus de 60 ans que les habitants de Khan al-Ahmar se battent pour conserver leur mode de vie. Ils ont été expulsés de leurs terres dans le désert du Néguev dans les années 1950. Depuis lors, les régimes israéliens successifs leur font subir harcèlement, pressions et réinstallations, ajoute Amnesty International.
Le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, a annoncé, fin août 2017, que le gouvernement israélien allait évacuer tous les habitants de ce village en quelques mois.
La Cour suprême israélienne a statué à deux reprises en faveur de la démolition de tout le village de Khan al-Ahmar, le 24 mai puis le 5 septembre 2018, à la suite d’un ultime recours déposé par les villageois. L’arrêté de démolition concerne également l’école construite avec des pneus où sont scolarisés 170 enfants de cinq communautés bédouines différentes, ajoute le texte.
Le tribunal a prétendu que le village avait été construit sans les permis de construire requis, alors que, d’après le communiqué d’Amnesty International, il est presque impossible pour les Palestiniens de les obtenir dans la « zone C » de Cisjordanie, qui correspond aux zones administrées par Israël.
Le communiqué d’Amnesty International précise :
« La politique israélienne consistant à implanter ses civils dans les territoires palestiniens occupés, en détruisant arbitrairement des biens et en expulsant de force des Palestiniens vivant sous occupation, viole la Quatrième Convention de Genève et est un crime de guerre selon les termes du statut de la Cour pénale internationale. »
Depuis 1967, le régime israélien a expulsé de force et déplacé des communautés entières et démoli plus de 50 000 habitations et bâtiments palestiniens.
Maintenant, le délai accordé par Israël aux habitants palestiniens de Khan al-Ahmar pour l’évacuer a expiré. Les Palestiniens ont pourtant annoncé qu’ils contreraient tout éventuel travail de démolition du régime israélien dans les jours à venir.
Il serait utile de rappeler que vu l’emplacement géographique du village de Khan al-Ahmar, il est probable qu’une fois démoli, ce village sera remplacé par une colonie de peuplement juif qui séparerait les deux secteurs est et ouest de Qods, découpant ainsi officiellement la Cisjordanie en deux parties.