تقي زاده

تقي زاده

Un accord turco-russe à Idlib est la pire des choses qui aurait pu arriver à Israël. Israël vient de perdre une carte majeure dans sa politique d’escalade en Syrie.

Le porte-parole du département d’État américain a salué la conclusion d’un accord entre la Russie et la Turquie sur la mise en place d’une zone de désescalade à Idlib.

Le lundi 17 septembre, le président russe Vladimir Poutine a rencontré son homologue turc Recep Tayyip Erdogan à Sotchi. La rencontre a duré plus de quatre heures et demie. Les deux hommes ont convenu, à l’issue de ces entretiens, de mettre en place une zone de désescalade dans la province syrienne d’Idlib d’ici au 15 octobre.

« Nous saluons les efforts de la Russie et de la Turquie pour empêcher une offensive militaire des forces d’Assad et de ses alliés contre Idlib. Les États-Unis souhaitent une désescalade de la tension à long terme en Syrie. Ils n’ont toutefois eu aucune implication dans les pourparlers entre la Russie et la Turquie », a déclaré le porte-parole du département d’État américain. 

Il a ensuite mis en garde le gouvernement syrien et ses alliés contre toute attaque visant la province d’Idlib.

 

Israël vient de reconnaître avoir attaqué Lattaquié en Syrie tout en imputant la responsabilité de cette agression à Damas et à Téhéran.

L’armée israélienne a reconnu, ce mardi 18 septembre, son implication dans les attaques aériennes nocturnes de la veille contre la ville syrienne de Lattaquié.

L’armée israélienne a regretté la mort de militaires russes dans une frappe aérienne israélienne, mais en a imputé la responsabilité à Téhéran et à Damas.

Le général de brigade Ronen Manelis, porte-parole de l’armée israélienne, a reconnu l’attaque d’Israël contre la Syrie, disant que l’armée israélienne avait pris pour cible une installation militaire syrienne qui « produisait des armes létales de haute précision » pour les livrer au Hezbollah libanais de la part de l’Iran.

Lors d’un entretien téléphonique, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a présenté ses « regrets » au président russe Vladimir Poutine et a accusé le gouvernement syrien d’être responsable de ce drame.

Ces nouvelles accusations anti-iraniennes visent en effet à camoufler le rôle d’Israël dans cette agression et à justifier, d’une manière ou d’une autre, les attaques israéliennes contre le territoire syrien. Mais la Russie, qui n’est pas dupe, pointe explicitement du doigt le régime israélien comme responsable de la destruction de son avion Il-20.

Le quotidien israélien Yediot Aharonot a déploré que le communiqué qu’a publié le ministère russe de la Défense constitue un message ferme et dur à l’encontre Israël.

Les chiites de différentes nationalités ont participé à une procession de deuil à l’occasion de Muharram à Dearborn dans l’Etat de Michigan.

Selon le site d’information alkafeel, les participants portaient des drapeaux noirs en signe de deuil et soulignaient la nécessité de suivre les leçons de l’événement de Karbala.

 

 

تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
Un jeune Palestinien de 16 ans a succombé samedi à ses blessures subies le mois passé lors d'une manifestation à Gaza, ont indiqué les services de secours. 
 
Des soldats israéliens avaient abattu l'adolescent le 3 août, à l'ouest de Khan Younis, une ville au sud de la bande de Gaza.

Les manifestations contre les forces d'occupation israéliennes ont commencé il y a six mois. Les manifestants plaident en faveur du droit au retour dans leur pays, qu'ils ont été contraints de quitter ou ont fui lors de la création d'Israël en 1948.

Selon le ministère de la Santé palestinien, l'armée israélienne a mortellement abattu 178 personnes depuis le début des protestations le 30 mars. Plus de 19.000 autres ont été blessées.

Les chiites musulmans de partout dans le monde n’oubliez pas le jour de Tassua, un jour avant le martyre de l’Imam Hussein (P), troisième Imam chiite et petit-fils du prophète de l’Islam. 

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Arrive Tassua, un des jours plus importants de l’histoire islamique pour les musulmans chiites. Le neuvième jour du mois de Muharram du calendrier lunaire, lorsque commémorant le martyre de Abalfazl Abas (que la paix soit sur lui), le frère du troisième imam des chiites, l’Imam Hussein (P), petit-fils du prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P). Qui, avec sa famille et ses partisans se jeta sur le tyran du temps : le calife omeyyade, Yazid. 

Tout cela a été vécu dans l’année 680 apr. J.-C. dans le désert de Karbala, située dans l’actuel Irak. C’était une bataille inégale, les soldats de Yazid, ils ont bloqué l’accès à l’eau de l’Imam et ses compagnons. Son frère, Abalfazl Abbas essayé d’obtenir de l’eau et ennemi de rangs fauché, il atteint le fleuve de l’Euphrate, mais le retour est tombé en martyr. 

Par ce que chaque année, vêtus de noir, des millions de musulmans chiites commémorent les cérémonies de deuil le jour de Tassua, neuf en arabe. Un jour avant le même Imam Hussein (P) et ses compagnons sont tombés martyrs. 

Tout cela et autres rituels pour symboliser la force d’âme, courage et sacrifice ainsi une position éternelle dans la bataille de la vérité contre le mensonge et la lutte de l’humanité et de la morale contre l’injustice et l’oppression. Selon les chiites, l’Imam Hussein (P), avec sa force et son sacrifice, a empêché la transformation de l’Islam dans une fausse religion. 

Le président sud-coréen s’est rendu à Pyongyang avec une grande délégation de personnalités politiques et économiques ; les États-Unis s’inquiètent alors des transactions commerciales qui pourront, certainement, nuire au mécanisme de sanctions qu’ils ont imposées contre la Corée du Nord.

Le président sud-coréen est arrivé, ce mardi matin 18 septembre à Pyongyang, à la tête d’une délégation de 110 responsables et personnalités politiques et économiques.

Moon Jae-in et son épouse ont été accueillis à l’aéroport Sunan de Pyongyang par le leader nord-coréen Kim Jong-un, son épouse et sa sœur ainsi que des centaines de personnalités politiques nord-coréennes.

Le président sud-coréen à l'aéroport de Sunan à Pyongyang. ©Yonhap 

Le président sud-coréen a souhaité, avant son départ pour la Corée du Nord, que les entretiens des deux parties aboutissent à une avancée dans le processus de la dénucléarisation de la Péninsule coréenne et la revivification des discussions Washington/Pyongyang.

 

Avant ce déplacement du président sud-coréen en Corée du Nord, un entretien téléphonique a eu lieu entre les ministres des Affaires étrangères des deux Corées. Washington craint, pourtant, que les transactions commerciales des deux Corées ne diminuent le poids des sanctions imposées contre la Corée du Nord, vu le nombre considérable de PDG de grandes compagnies sud-coréennes qui accompagnent le président à Pyongyang, parmi d’autres, l’héritier de Samsung Lee Jae-yong et le vice-président de Hyundai Motor. La délégation sud-coréenne doit visiter plusieurs lieux importants de Pyongyang. Le président sud-coréen entend renforcer la coopération économique entre les deux pays. 

Les deux hommes doivent aussi débattre, lors de leur troisième sommet, de l’apaisement des tensions militaires sur la péninsule. Le président sud-coréen se dit déterminé à faire tout pour rétablir une paix durable entre les deux Corées et affirme que même « les évolutions internationales ne pourront contrer ses efforts ».

Certes,  ce rapprochement des deux Corées ne plaît guère aux États-Unis  qui continuent de sanctionner Pyongyang avec qui ils sont, d’ailleurs, en négociations après le démantèlement par ce dernier de ses sites nucléaires conformément à ses engagements.

Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du département du Trésor américain a annoncé ce vendredi qu’il appliquerait de nouvelles sanctions contre un individu et trois sociétés en relation avec les sanctions anti-Pyongyang.

Le département du Trésor américain a annoncé, il y a moins de deux mois,  l’application de nouvelles sanctions contre une banque russe, accusée d’avoir « facilité une transaction importante » d’un banquier nord-coréen lui-même déjà visé par des sanctions américaines.

Les Américains ont même avancé une initiative bizarre exhortant Pyongyang à transférer 50 % de ses ogives nucléaires sur le sol britannique.

Le journal Rodong Sinmun, organe officiel du Parti du travail de Corée, a annoncé que tant que les discussions ne sonnaient pas la fin de la guerre entre les deux Corées, et qu’un régime de paix pour mettre fin au conflit n’était pas annoncé, les risques d’escalade ne sembleraient pas très loin et le moindre incident pourrait nous faire repartir à zéro sapant les quasi-normalisations avec Séoul et Washington.

Des cibles russes à Lattaquié ont été attaquées, lundi soir, par Israël secondé par la France. 

Des dernières informations, en provenance de la Syrie, font état d'une attaque balistique conjuguée France/Israël contre des cibles russes à Lattaquié. Selon le ministère russe de la Défense, peu après des frappes aux missiles, depuis quatre F-16 israéliens, contre la banlieue de Lattaquié, une frégate française a visé un avion russe au dessus de la Méditerranée avec 14 militaires à bord.

L'appareil, un II-20 a perdu tout contact avec la base aérienne russe Hmeimim vers 00h23 (Heure locale) après que la frégate française Auvergne a tiré des missiles. Il survolait la Méditerranée à 35 km de la côte syrienne. Pour la première fois depuis le début de la guerre contre la Syrie, Israël se fait accompagner de l'un des membres de l'Otan, la France pour frapper non seulement des sites militaires syriens mais aussi des cibles russes. 

Le ministère russe de la Défense a affirmé dans un communiqué, émis le 17 septembre, que l’attaque de missiles sur la ville syrienne de Lattaquié a été réalisée depuis la mer parallèlement au tir de missiles israéliens contre des cibles russes à Lattaquié.

Le commandement central de l’armée syrienne a annoncé, dans un communiqué, que les chasseurs du régime israélien ont attaqué lundi soir un établissement des industries techniques à Lattaquié. L’attaque a causé des dégâts matériels et tué deux personnes qui étaient sur place.   

« L’ennemi veut ainsi rehausser le moral chez les groupes terroristes échoués à Idlib face aux victoires fulgurantes de l’armée. Cela affirme encore une fois de plus qu’Israël soutenait directement les terroristes en Syrie », indique le communiqué.

L’agence d’informations syrienne SANA a annoncé plutôt que les systèmes de défense antiaérienne de l'armée syrienne avaient repoussé lundi une attaque de missiles menée depuis" air et mer "contre la banlieue de la ville de Lattaquié.

 

Il est peut-être temps que les israéliens pensent à priver leur PM du pouvoir : le régime de Tel-Aviv embrase tous les fronts. En Syrie, il vise la base militaire russe à Hmeimim, les sites militaires syriens à Homs et envoie ses chasseurs bombarder Gaza. Les positions de la Résistance dans le sud de la bande de Gaza ont été prises pour cible, ce mardi 18 septembre à l'aube, par des chasseurs israéliens.

Selon le site d’information palestinien Maa, les avions de combat de Tel-Aviv ont frappé le siège des forces de la Résistance dans la localité d’al-Qarareh à Khan Younès.

Hier, dans l’après-midi les chasseurs israéliens ont bombardé la bande de Gaza lorsque deux Palestiniens s’approchaient de la clôture frontalière. Ces deux Palestiniens ont été tués.

Dans le même temps, des sources locales ont fait part du retentissement de quelques explosions à Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza dont le bilan est encore inconnu.

D’autre part le site d’information israélien Wala a rapporté lundi dans la soirée :

« Les autorités israéliennes ont prié les habitants de la colonie d’Efrat en Cisjordanie de rester chez eux pour des raisons de sécurité. »

Depuis le début de la Grande marche du retour, il y a quelques mois, le régime a multiplié ses raids aériens sur la bande de Gaza.

Depuis le 30 mars dernier, les Palestiniens organisent chaque vendredi des manifestations dans le cadre de la Marche du grand retour pour réclamer la fin de l’occupation israélienne et du blocus de Gaza. Jusqu’à présent, 177 Palestiniens ont été tués et plus 19.000 ont été blessés.

La dernière attaque israélienne par missiles aurait-elle atteint les objectifs escomptés ? Nombreux sont des analystes politiques à croire que de telles attaques ont un effet bien limité sur l’Iran et la Syrie qui sont actuellement plus qu’en tout autre temps focalisés sur Idlib.

Le fameux journaliste arabe et éditorialiste du journal arabophone Raï al-Youm, Abdel Bari Atwan, s’attarde dans une analyse sur le dernier cas de l’agression israélienne contre la Syrie.

Alors que toutes les parties avaient retenu leur souffle en attendant le déclenchement de l’opération ultime à Idlib, l’agence de presse SANA, citant une source militaire, fait part d’une nouvelle attaque israélienne, dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 septembre, contre l’aéroport international de Damas, et d’ajouter que plusieurs missiles ennemis ont été interceptés et détruits.

Deux versions seraient envisageables sur les cibles des missiles israéliens :

- La première version vient de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, proche des groupes opposés à Assad et dont le siège se trouve au Royaume-Uni. D’après cette version, les missiles israéliens ont visé un stock d’armements près de l’aéroport de Damas.

- La deuxième version est celle diffusée par la chaîne 2 de la télévision israélienne. Cette chaîne de télévision prétend que les missiles israéliens ont visé un avion de transport iranien, un Boeing, à peine quelques heures après son atterrissage à l’aéroport de Damas et qui était porteur d’armes dernier cri, soit à destination de l’armée syrienne, soit à destination du Hezbollah libanais.

En Irak, les groupes et les partis sunnites et kurdes proches de Washington ont compris que les États-Unis ne garantiraient plus leurs intérêts, peut-on lire dans un rapport d’Al-Araby Al-Jadeed datant du 17 septembre.

Le site d’information qatari indique qu’au fil des ans, les groupes et les partis irakiens qui suivaient les politiques américaines se sont progressivement rendu compte que leurs intérêts ne seraient plus garantis comme par le passé.

« La crédibilité actuelle de Washington en Irak a été compromise de sorte que même les alliés sunnites et kurdes font davantage confiance à l’Iran qu’à l’Amérique », ajoute Al-Araby Al-Jadeed.

Lire aussi: Irak : les habitants de Bassora dénoncent l’attaque au consulat iranien

Le rapport souligne que la plupart des factions politiques au sein du Parlement irakien sont actuellement en accord sur la rédaction d’une proposition de loi pour faire sortir toutes les forces étrangères surtout les Américains du pays.