
تقي زاده
Succès stratégiques de l'armée syrienne, Israël inquiet !
Selon Al Manar , " Israël est diablement inquiet des succès stratégiques de l'armée syrienne dans la banlieue de Damas et à al Quassir
et tente d'impliquer d'une manière ou d'une autre les Etats Unis de façon directe dans la guerre contre la Syrie. "" une récente réunion à l'institut stratégique de la sécurité intérieur israélien a été d'ailleurs consacrée aux points marqués par l'armée d'Assad ces derniers jours. l'argument chimique mis en avant depuis jeudi contre la Syrie , repris à plusieurs reprises par les autorités US est compris en ce sens . Des prétendus documents (fabriqués) sur foi des quels les USA accusent la Syrie d'avoir utilisé la substance chimique contre la population syrienne ont -ils été refilés aux américains par Israel?
Israël menace la Syrie
le chef d'état major israélien, Benny Gantz a annoncé se préparer à lancer une offensive contre la Syrie. C'est le journal al Hayat qui revient sur ces déclarations .
" Israël n'attendra pas que le danger des armes chimiques syriennes se rapprochent de Tel-Aviv. Israël interviendra en Syrie si la moindre danger menace le Golan ou Israel. " Gantz a critiqué la Russie pour son soutien à Assad tout en accusant l'Iran et le Hezbollah d'implication en Syrie. jeudi, Israël a accusé le Hezbollah d'avoir envoyé un drone dans son ciel, information démentie par la résistance libanaise; le régime sioniste affûte ses armes en vue d'une vaste attaque contre la Syrie, le Liban et Gaza.
Accusations chimiques contre Damas: l’exemple de l’Irak ressuscité ?
Depuis que les Américains ont exploité l’affaire des ADM en Irak, en allusion aux armes de destruction massive, pour harceler ce pays, lui imposer des sanctions pour finalement l’envahir, de nombreux analystes sont totalement persuadés que la question des armements chimiques (AC) en Syrie sert les mêmes objectifs, mais avec Damas.
Au début de la crise syrienne, les Occidentaux se sont vite mis à la tache de mettre en garde contre le recours des forces gouvernementales à cet armement, menaçant d’intervenir militairement. Si ce n’étaient les avertissements sérieux de la Russie, puis le double véto sino-russe, l’Otan serait depuis longtemps dans la capitale syrienne.
Dernièrement, cette affaire est martelée de nouveau. Depuis l’attaque chimique perpétrée à Khan al-Assal à Alep, au lendemain de sa reconquête par les forces gouvernementales.
Pourtant, la logique des évènements et des réalités sur le terrain, (15 militaires y ont été tués) sans oublier les menaces proférés en vidéo au préalable, permettent de pencher beaucoup plus vers l’accusation des rebelles, et de soupçonner de surcroît des parties occidentales et turques par derrière de les y a avoir assistés. D’autant plus que dans l’enceinte onusienne, Français et Britanniques se sont mis de concert pour les couvrir, entravant l’envoi d’une commission d’enquête onusienne, et s’attelant à accuser le gouvernement syrien de l’avoir entravé.
En même temps, et pour la première fois depuis l’éclatement du conflit syrien, les Britanniques, suivis par les Français, se sont mis à marteler qu’ils détiennent des preuves sur un recours limité des forces gouvernementales à l’arme chimique, spécifiant le gaz de sarin.
Raison en est-il que leurs assertions ont été inscrites dans le cadre de la campagne de couverture du bombardement chimique de Khan al-Assal.
Curieusement, cette campagne de matraquage s’est poursuivie, escortant les avancées importantes de l’armée syrienne régulière à Homs et Damas. Récemment, les Israéliens ont suivi le pas. Durant la visite à Jérusalem occupée du secrétaire d’Etat américain à la guerre Chuck Hagel, et par la voix du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Or, devant ce dernier, Hagel a fait la sourde oreille. Jeudi, il a quelque peu fléchi. "La communauté américaine du renseignement conclut, avec différents degrés de certitude, que le régime syrien a utilisé des armes chimiques à petite échelle en Syrie, en particulier du sarin", a affirmé Hagel face aux journalistes à Abou Dhabi.
Mais sans changer de position: ses propos ont hâtivement été suivis par les explications d’un haut responsable du Pentagone: « différents degrés de certitude signifie dans le jargon du renseignement américain que ses agences ne sont pas toutes du même avis ». Et par une annonce de la Maison Blanche, selon laquelle « les indices ne constituaient pas encore une preuve formelle à ses yeux».
Selon le quotidien libanais AsSafir, quoique la position américaine est « confuse, elle n’en constitue pas moins une tentative occidentale de cristalliser une accusation chimique contre Damas ». Alors que le quotidien alAkhbar estime qu’elle constitue « une soumission américaine à la vision israélienne ».
Inversement, le rédacteur en chef du quotidien arabophone londonien Al-Quds Al-Arabi, Abdel Bari Atouane va plus loin, estimant que ces accusations sont les prémisses d’une guerre qui se prépare.
Dans l’introduction de son édition d’infos du jeudi 19h30, la chaine de télévision al-Manar a expliqué les déclarations de Netanyahou comme étant le reflet d’une volonté d’impliquer militairement les Américains en Syrie.
Au minimum, il serait question pour les Israéliens de la création d’une zone sécuritaire au sud de la Syrie, aux confins avec la Jordanie et la Palestine occupée. Ce qui permettrait de calmer les esprits de certains des experts israéliens lesquels craignent que le chaos en Syrie ne permettent la prolifération de groupes anti israéliens.
Ce vendredi, les ténors de l’insurrection syrienne, désespés par leurs pertes, ont repris à leur compte ces revendications, espérant agiter ce qu’ils considèrent être « la paralysie du Conseil de sécurité ».
Prenant pour prétexte les soupçons de Washington, un membre de la Coalition des forces de l’opposition et de la révolution en Syrie a réclamé via l’AFP une intervention des Nations Unies, ou au moins de l’Otan. Le but minimum étant d’imposer "une zone d’exclusion aérienne", pour l’aviation syrienne.
Comme si la campagne britannique leur a donné de nouveau espoir.
Alors que les autorités syriennes ne sont pas du tout dupes et gardent à l’esprit l’exemple irakien: « ceux qui ont utilisé des armes chimiques à Khan al-Assal sont bel et bien les terroristes. La Syrie a collaboré avec les Nations Unies pour l’envoi d’experts pour savoir qui et comment ces armes ont été utilisées et quelles sont leurs séquelles. Mais les Nations Unies et leur secrétaire général ont commencé à parler de la nécessité d’une enquête dans plus d’une région syrienne sous prétexte que les forces syriennes avaient auparavant utilisé des armements chimiques. Sachant que personne ne s’était plaint auparavant. Sauf lorsque la Syrie a exigé une enquête qu’ils ont commencé à demander une enquête un peu partout. Pour deux raisons : la première est qu’ils voudraient que cette délégation se transforme en une commission d’inspection, similaire à celle de l’Irak, et qui a fini par le détruire. Et deuxièmement, parce qu’ils veulent que les groupuscules terroristes échappent à leur crime en dilapidant cette affaire », a déclaré le ministre syrien de l’information Omrane al-Zoebi, dans une conférence de presse ce vendredi, rapporte par Sana.
L'exemple de l'Irak semble tout aussi vivant chez l'administration américaine . Non point parce qu’il lui a coûté cher en soldats, comme ce fut le cas au Vietnam, mais parce qu’il ne lui a pas fourni les résultats escomptés. Sans oublier le trou économique dans lequel elle s’est engouffrée de par son cout astronomique. Et le constat désolant qu'elle s'est obligée de faire: celui que l'Iran, son ennemi juré en est sorti renforcé.
Au vu des déclarations officielles sur le cas syrien, les réserves de Washington ont le dessus, et sont l’expression d’une fin de non-recevoir à toute velléité de guerre directe. Au rythme des contrats d'armes conclus avec ses alliés, aussi bien arabes qu'israélien, il est clair qu'elle privilégie toujours les guerres par procuration.
Israël en est le premier lésé: depuis 2006, il a bati sa stratégie de guerre sur un va-t-en guerre américain à ses souhaits. Ce qui ne semble plus être le cas.
le drone du Hezbollah force l'hélicoptère de Netanyahu à attérir !
Un drone du Hezbollah a pénétré le ciel de Haîfa forçant l'helicoptère du premier ministre Netanyahuà atterir
en catastrophe! le vice ministre sioniste de la Guerre Danny Danon a confirmé la présence du drone du Hezbollah dans le ciel d'Israel ; " il s'agit d'un acte d'agression , d'un incident très grave, a réagi Netanyahu. Après s'être informé de la présence du drone libanais en Israel l'helicoptère de Netayahu a été forcé d'atterir le temps de permettre aux F16 sionistes d'intercepter l'appareil. le dome de fer a encore prouvé son incapacité à intercepter les missiles et les drones étrangers. ' nous allons faire tout ce qui est dans notre pouvoir pour défendre notre sécurité"
La lettre de Moaz al-Khatib, à Nasrallah!
Le chef démissionnaire de la Coalition des opposants syriens a fait part d'un complot séditioniste contre le monde de l'Islam.
"Une sédition dangereuse visant à embraser le monde de l'Islam est en cours", a-t-il écrit, dans sa lettre, à l'adresse de Hassan Nasarallah. "Cette sédition, commencée par la Syrie, se propagera à d'autres pays, dans la région, comme la Turquie ou le Liban", ajoute la lettre. Al Khatib prétend, dans cette lettre, que l'ingérence du Hezbollah, en Syrie, ne fera que compliquer les choses et il lui demande de retirer ses forces de la Syrie.
"L'Iran détient des forces partout dans le monde "!!! (Moshe Yaalon)
Il s'agit, visiblement, d'une hantise, qui, de génération en génération, s'empare des dirigeants israéliens! Ainsi, au cours de sa rencontre avec le chef d'état-major canadien,
le ministre sioniste de la Guerre, Moshe Yaalon a dénoncé un Iran, "qui est impliqué dans tous les conflits" !! "L'Iran envoie des forces, dans différentes régions de la planète (!!!) et veut exporter sa révolution, non seulement, dans les pays de la région, mais aussi, dans le monde entier (!!)", s'est plaint Yaalon, auprès de son homologue canadien. "Aroutz Sheva", qui rapporte cette information, dévoile, aussi, le portrait d'un ministre sioniste, particulièrement, "nerveux", qui tape, peut-être, le poing sur la table, en exigeant qu'un plan de guerre soit concocté et mis en oeuvre contre l'Iran : "Les sanctions économiques n'ont pas pu arrêter le programme nucléaire iranien, il faut un plan d'attaque, qui devra être mis en application, en dernier recours". Les délires de Yaalon ne trompent plus personne. L'Iran n'a pas besoin de détenir des troupes, des agents ou des forces, à travers le monde, vu qu'il n'occupe aucun pays, n'a aucune ambition hégémonique, aucun dessein de domination du monde!
Pourquoi Assad ne tombe pas ?
Bachar al-Assad jouit du soutien populaire et du soutien d'une armée puissante, a reconnu le ministre espagnol des Affaires étrangères, en expliquant les raisons pour lesquelles Assad ne tombe pas. "Il y a, aussi, la Russie, qui continue à rester à ses côtés".
José Manuel García-Margallo, en visite, au Liban, où il doit rencontrer les autorités de ce pays, s'est entretenu, au palais présidentiel, avec le Président libanais, Michel Sleimane, de la situation générale, dans ce pays, et des relations bilatérales. Ils ont, également, examiné la question des réfugiés syriens, au Liban, les contacts effectués par ce pays, pour la tenue d'une conférence internationale, sur la situation de ces réfugiés syriens, et l'importance des soutiens des pays voisins de la Syrie, dans ce droit fil. Sleimane a salué la présence de l'Espagne, au sein des forces internationales de la FINUL, dans le Sud du Liban, en souhaitant
Rebélion syrienne: Destruction du minaret de la Grande Mosquée d'Alep
Le minaret de la Mosquée des Omeyyades d'Alep, joyau historique de cette métropole du nord de la Syrie, s'est effondré mercredi.
Le minaret de la mosquée historique des Omeyyades, autour duquel de violents combats se sont déroulés durant des mois, s'est effondré mercredi, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) sans autre précision.
La Mosquée des Omeyyades se situe dans la Vieille ville d'Alep, classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
La télévision d'Etat a affirmé que des combattants du Front jihadiste Al-Nosra ont fait sauter le minaret de la mosquée d'Alep puis l'ont filmé (...) pour ensuite faire endosser (les dégâts) à l'armée syrienne.
Il se peut que le minaret se soit effondré tout seul en raison de la violence des combats au cours des derniers mois, a indiqué de son côté Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.
Le 28 février, les rebelles se sont emparés de cette mosquée construite au 8e siècle, puis rebâtie au 13e siècle, après le retrait de l'armée.
La mosquée, également connue sous le nom de Grande mosquée d'Alep, avait déjà subi d'importants dommages à l'automne 2012 à la suite de combats entre rebelles et soldats.
Des reliques appartenant selon la tradition au prophète Mahomet, trois cheveux et un fragment de dent, avaient alors été subtilisées. Outre l'architecture superbe des lieux, ces reliques étaient l'une des principales attractions du lieu saint.
L’Islam n’est pas ce qui est présenté dans les écoles occidentales
En lisant des livres sur l’Islam et surtout le chiisme, je me suis rendu compte que l’Islam n’était absolument pas ce qui est présenté en Occident notamment dans les écoles américaines et suédoises.
La Suédoise Céclilia Hedstorm qui a passé son enfance aux Etats-Unis a fourni des explications, lors d’un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, sur la manière dont elle s’est convertie à l’Islam et au chiisme.
Elle explique: « Avant de me familiariser avec l’Islam, je croyais, comme la majorité des Suédois, en un esprit transcendant et pas en Dieu. »
« Après avoir rencontré un musulman en 1997, raconte-t-elle, j’ai constaté la manière dont il faisait ses prières. Je lui ai posé des questions et il m’a répondu : « Il semble peut-être que je fais du sport, mais ce n’est pas ça. Si vous voulez avoir plus de renseignements je peux vous offrir des livres sur l’Islam et si vous avez des questions, posez-les. »
Cécilia Hedstorm ajoute : “J’ai lu différents livres sur l’islam et surtout sur le chiisme. En lisant ces livres, je me suis rendu compte que l’Islam n’était absolument pas ce qu’on présentait dans les écoles aux Etats-Unis et en Suède. »
La Suédoise qui vient d’embrasser l’Islam a expliqué : « J’étais très étonnée en lisant sur la place des femmes dans le Coran qui a été révélé il y a 14 siècles. J’ai compris pourquoi les chiites pleurent encore l’Imam Hussein(AS) après plus de 1000 ans après son martyre. »
Elle a ajouté : « Après avoir réfléchi sur tout ce que j’avais appris de l’Islam, j’ai décidé de me convertir à l’Islam. Je me souviens très bien de la première fois que j’ai accompli la prière. C’était au moment où mon époux était venu en Iran pour revoir sa famille. Je ne connaissais pas encore la manière dont on fait sa prière, c’est pourquoi je me suis assise sur le tapis de prière et j’ai parlé à Dieu. Après la fin de la prière, je sentais un profond calme en moi. »
Cécilia Hedstorm explique : « Malheureusement en raison des mauvaises idées faites sur l’Islam surtout sur le chiisme, ma famille était contre mon mariage et ma conversion à l’Islam. Mais je ne la considère pas comme responsable. Les vrais responsables ce sont les vastes propagandes négatives faites autour de l’Islam en Occident. »
« Dès ma première arrivée en Iran en 2000, j’ai dit à mon époux que l’Iran c’est le pays où je voulais vivre. Ce sentiment se renforçait en moi à chaque fois que je venais en Iran. De même, je voulais que mes enfants aient la chance de connaître leur religion et l’Ahl-ul-Bayt(AS). Le seul pays qui leur offre cette chance c’est l’Iran », affirme Hedstorm.
« Je vis depuis 9 mois à Téhéran, ajoute-t-elle, et mes enfants avouent qu’ils ne veulent plus quitter l’Iran. »
Cette femme chiite souligne : « Les discriminations et les mauvais comportements envers les musulmans sont un grand problème dont souffrent les musulmans dans les pays occidentaux et en Suède. Malgré les slogans de coexistence pacifique, le problème persistera tant que les gens n’essaieront pas de s’informer sur les autres religions et cultures. »
La Chine, la Russie, le Venezuela et l'Iran: la solution de la crise en Syrie réside dans la voie pacifique et politiques et via un dialogue national global
Le représentant permanant de l'Iran à l'ONU, Mohammad Khazaee, a affirmé que la solution de la crise en Syrie est dans le renforcement des choix politiques et pacifiques pour mettre fin à la violence et amorcer un dialogue national global entre l'opposition et le gouvernement syrien.
Dans son intervention devant le Conseil de Sécurité de l'ONU, tenue hier pour discuter des développements au Moyen-Orient, Khazaee a indiqué que toute intervention militaire en Syrie aggravera la crise et attisera la tension dans les pays de la région, soulignant que toute éventuelle décision d'intervention militaire au Moyen-Orient serait au profit de l'extrémisme, du confessionnalisme et du terrorisme.
En tant que chef du centre de coordination du mouvement de non- alignement, Khazaee a exprimé l'inquiétude du mouvement de la violation de l'accord de 1974 concernant le Golan syrien occupé, appelant l'entité sioniste à s'y retirer totalement et à appliquer la décision des Nations Unies no 497.
De même, il a exprimé la condamnation du mouvement des pratiques sauvages de l'entité sioniste contre le peuple palestinien, faisant état de la croissance du nombre des réfugiés palestiniens en Cisjordanie du fait de l'élargissement de la colonisation et de la violence pratiquée par les colons contre les citoyens palestiniens.
De même, Khazaee a incité, à cet effet, la communauté internationale à mettre au point une initiative pour s'en finir avec les activités coloniales.
Il a, par ailleurs, réitéré l'engagement de Téhéran aux principes du pacte des Nations-Unies interdisant la menace ou l'utilisation de la force contre n'importe quel Etat membre à l'ONU.
La Chine insiste sur un processus politique conduit par la Syrie pour résoudre la crise. Le délégué permanent de la Chine auprès des Nations Unies, Li Baodong, a affirmé que son pays insiste sur le règlement de la crise en Syrie via un processus politique conduit par elle même.
Citée par /Xinhua/, Baodong a appelé, lors d'une séance tenue la nuit dernière au Conseil de sécurité et consacrée à la situation au Moyen Orient, toutes les parties concernées à appliquer, le plus tôt possible, un cessez-le-feu et à mettre fin à la violence conformément à la déclaration de Genève pour lancer un dialogue politique et un processus de transition politique sous une direction syrienne".
Il a aussi appelé à prendre des mesures pour régler le conflit palestino-israélien, émettant l'espoir que toutes les parties concernées règlent leurs conflits via les négociations conformément aux résolutions des Nations Unies ad hoc.
Il a réitéré l'appui de son pays aux droits palestiniens légitimes et à l'établissement d'un Etat indépendant et souverain. "La Chine est prête à œuvrer avec la communauté internationale pour jouer un rôle constructif dans la réalisation de la paix globale au Moyen Orient", a-t-il assuré.
Tchourkin: La décision de l'UE d'importer le pétrole de l'/opposition syrienne/ constitue une transgression de la loi internationale
Le délégué permanent de la Russie auprès des Nations Unies, Vitali Tchourkin, a affirmé que la décision de l'Union Européenne d'importer le pétrole syrien de l'/opposition syrienne/ constitue une transgression de la loi internationale et une violation de la souveraineté syrienne, la qualifiant de "dangereuse".
Dans une intervention lors d'une séance du Conseil de sécurité consacré à la situation au Moyen Orient, Tchourkin a exprimé son vif étonnement de cette décision dangereuse.
Il a affirmé que le pari sur la guerre jusqu'au bout en Syrie va aggraver la situation et accroîtrait les risques du terrorisme.
Il a aussi critiqué les partisans de l'opposition qui ont avancé une résolution très nuisible sur la Syrie à l'Assemblée de l'Onu.
"La mission essentielle en Syrie réside actuellement dans l'obligation de toutes les parties à arrêter la violence, à se mettre autour de la table du dialogue et à s'accorder sur la formation d'une direction de transition conformément à la déclaration de Genève", a-t-il assuré.
Il a qualifié de "non cohérentes et non transparentes" les résolutions du secrétariat général de l'Onu concernant l'enquêté sur l'usage des armes chimiques en Syrie, appelant à refuser les tentatives de détourner l'attention sur la demande avancée par le gouvernement syrien pour ouvrir une enquête sur l'usage des armes chimiques près d'Alep le 19 mars dernier.
Venezuela condamne les ingérences de certains pays dans les affaires intérieures de la Syrie. Le Venezuela a condamné les ingérences étrangères dans les affaires intérieures de la Syrie via la militarisation des groupes armés et affirmé son refus de ces ingérences qui constituent une violation fragrante des principes de la souveraineté et de l'indépendance politique syrienne.
Lors de la séance du Conseil de sécurité consacrée à la situation au Moyen Orient, le délégué permanant vénézuélien a affirmé que "la seule issue de la crise en Syrie est le dialogue entre les Syriens eux-mêmes".
Il a par ailleurs condamné les pratiques israéliennes contre le peuple palestinien, la détention arbitraire, la construction de colonies dans les territoires occupés et l'embargo imposé à la bande de Gaza.