
تقي زاده
Drones d'Israël contre Alger?
Ce premier raid aérien qui a coûté la vie le premier novembre à trois Algériens alors qu'ils traversaient le Sahara occidental vers Tindouf Rabat vient d'y nier toute implication et il a peut-être raison.
Car à regarder de plus près les images des camionnettes calcinés l'opération à laquelle le président Tebboune a fait mercredi allusion en évoquant "une arme sophistiqué" et en promettant de la venger présente de curieuses similarités avec ces raids qui ont eu lieu tout au long de 2019 et début 2020 en Irak ou sur la frontière syro-irakienne lesquels raids visaient la Résistance irakienne. En termes plus clairs le modus operandi est trop israélien pour qu'on ne s'en doute pas... Surtout que le Sahara est depuis 2020 est devenu un peu la chasse gardée des Sionistes qui a la faveur des accords d'Abraham veulent y lancer des travaux de prospection pétrolière voire y ériger une usine à drone kamikazes. En août quand de vastes incendies se sont déclarés en Kabylie parallèlement à la visite de Lapide à Rabat où il prétendait faire partie de l' alliance Maroc-Israël contre celle Iran-Algérie, des sources n'avaient pas écarté l'hypothèse d'une attaque aux drones massive. Le communiqué de la présidence affirme : Plusieurs facteurs désignent les forces d'occupation marocaines au Sahara occidental comme ayant commis, avec un armement sophistiqué, ce lâche assassinat.
Le communiqué de la présidence algérienne ne précise ni l'endroit exact où l’attaque a eu lieu, mais certaines sources, a indiqué à indique que "les camionneurs algériens ont été tués entre Aïn Bentili et Bir Lahlou en territoire libéré, par où passe la route entre l’Algérie et la Mauritanie."
" Les deux camionneurs à bord de leurs véhicules MAN, en étaient à leur premier voyage et étaient accompagnés par un troisième algérien de Ouargla habitué du trajet. [....] Les deux camions étaient à l’arrêt lorsqu’ils ont été touchés par des tirs d’artillerie provenant du mur de séparation marocain se trouvant à plus de 25 km des lieux. Les deux camions se trouvaient sur la route qui est fréquentée par le trafic routier et ne s’étaient pas écartés. "
L'attaque a donc visé les camionnettes dans l'objectif précis d'en tuer les passagers ce qui laisse penser que le convoi n'était pas n'importe quel convoi , peut-être bien militaire et a destination du Front Polisario.
Puis, la présidence algérienne n'a pas non plus donné plus de précisions sur "l'armement sophistiqué" que le Maroc est accusé d'avoir utilisé dans l'attaque, mais Rabat avait pris livraison à la mi-septembre d'une première commande de drones de combat israéliens , et on en a vu la manifestation a travers des assassinats ciblant les commandants du Polisario.
Que se passe-t-il au juste? Israël en se retranchant derrière Rabat a lancé une nouvelle attaque contre l'armée algérienne visiblement a coup de drone moins culotté que celle visant la Kabylie mais bien précise ou en d'autres termes après avoir éliminé physiquement des membres du Front Polisario c'est a l'ANP qu'il s'en prend. Mais l'expérience de la guerre contre Israël a prouvé que l'entité n'a pas l'habitude de reculer et que ces attaques aux drones qu'il multiplie tendront à coup sûr d'amplifier. Et si Israël s'exerçait aux attaques aux drones contre les sites énergétiques algériens ? Après tout la précipitation avec laquelle l'entité a signé avec le Maroc des contrats gazier d'une durée de 8 ans lui permettra d'avoir largement le temps de cibler le secteur si ardemment convoité de l'énergie en Algérie...
« Leur assassinat ne restera pas impuni », réaffirme la présidence algérienne dans son communiqué en rendant hommage aux trois victimes innocentes de cet acte de terrorisme d'État... Ainsi soit-il !
Maarib libérée : une pierre, trois coups
Les forces de l’armée yéménite et des Comités populaires ont réussi à récupérer de nombreuses régions des provinces d’Al-Bayda, Shabwa et Maarib.
La progression des forces de Sanaa dans Maarib est fulgurante et selon Yahya Saree, porte-parole des forces armées yéménites, il ne reste que deux villes jusqu’à la libération complète de la totalité de la province.
Les objectifs de la libération de Maarib
Le site Internet Al-Ahed énumère trois objectifs avec trois résultats pour la libération du Yémen. Maarib est important pour le Yémen de trois points de vue : politique, militaire et économique.
Du point de vue politique, Maarib fait partie du territoire occupé du Yémen et en aucun cas, elle ne peut rester entre les mains de ses occupants. Elle doit retourner dans le giron de la souveraineté nationale.
Du point de vue militaire, tant qu’elle est le foyer des forces affiliées à l’Arabie saoudite, des éléments d’al-Qaïda, de Daech, des takfiristes, des résidus du Parti réformiste (affilié au gouvernement démissionnaire) et d’autres mercenaires de Riyad, ce foyer dangereux menace toutes les zones adjacentes, à savoir al-Jawf au nord, Sanaa à l’ouest et al-Bayda au sud.
Du point de vue économique, l’Arabie saoudite utilise Maarib comme un outil pour bloquer et couper le pétrole, le gaz et l’électricité dans le but d’affecter tous les aspects de la vie des gens. Avec la libération de Maarib, une partie de ce siège oppressif sera brisée et les complots de la coalition de Riyad seront déjoués.
Les résultats de la libération de Maarib
D’abord, au niveau national, la défaite de la coalition et en particulier son projet de démembrement amènera les Saoudiens à la table des négociations sans chantage. Elle mettra également un terme à leurs manœuvres politiques et à leurs jeux dangereux en faveur de l’avenir du peuple yéménite.
Deuxièmement, les habitants de Maarib retourneront dans leurs maisons et leurs fermes après des années d’exode forcé. D’un autre côté, le retour de la sécurité et de la paix fera chuter les prix des matières premières, ce qui s’est récemment produit dans les villes libérées du sud du Yémen.
Troisièmement, au niveau régional, le prince héritier Mohammed ben Salmane perdra l’une de ses cartes gagnantes. Il perdra également son statut de puissance régionale et extrarégionale. En somme, toutes ses cartes seront grillées.
Drone iranien: Méga-gaffe US?
L’industrie des drones ou véhicules aériens sans pilote (UAV) en République islamique d’Iran connaît ces dernières années une croissance considérable et s’est transformée en une entreprise de grande envergure. Et ce nouvel envol n’a pas échappé au viseur des pays occidentaux.
Le drone Mohajer est le premier drone iranien de fabrication locale qui a conduit à la création de la première industrie d’UAV appelée Quds Air Industries. Ensuite, l’industrie aéronautique iranienne (HESA) s’est tournée vers la construction de drones et a connu un grand essor.
Les États-Unis peuvent-ils boycotter l’industrie des drones iranienne ?
En juillet dernier, le Wall Street Journal annonçait que l’administration Biden prévoyait de dérouler une série de sanctions contre la capacité croissante de frappe de drones et de missiles de précision de Téhéran.
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken vient de déclarer que les États-Unis utiliseraient tous les moyens possibles pour empêcher la fourniture de matériaux et de technologies liés à l’industrie des drones à l’Iran.
Au sujet d’un éventuel boycott de l’industrie iranienne des drones, Ruhollah Modaber, un expert en affaires internationales, a précisé dans une interview avec l’agence de presse YJC que les propos des responsables américains étaient explicables : « Premièrement, dans le système international, les drones sont des armes conventionnelles et ne sont mentionnés comme armes non conventionnelles dans aucune convention juridique ou militaire internationale. Si les États-Unis veulent boycotter l’industrie iranienne des drones, ils violent en réalité le droit international et la Charte des Nations Unies, ainsi que toutes les conventions en droit interne. »
« Les drones iraniens font partie du système de défense dissuasif qui consiste à défendre le territoire national. Les États-Unis n’ont donc pas le droit de les toucher. Il en va de même pour le Conseil de sécurité de l’ONU, car les drones sont des armes conventionnelles et ont pour vocation d’assurer la sécurité du pays. Les propos de la partie américaine vont à l’encontre de la levée de l’embargo sur les armes contre l’Iran, ils ne sont en aucun cas crédibles et leur objectif est de saper l’infrastructure de défense de notre pays », a-t-il poursuivi.
Et d’ajouter : « Les propos des Américains témoignent aussi de leur peur : la politique iranienne s’appuie sur les atouts internes et la production locale des technologies de pointe amène à la confusion. Car l’industrie des drones repose sur une technologie que peu de pays possèdent. »
Pour en savoir plus : Drones iraniens : le nouveau cauchemar d’Israël
Tous les drones iraniens sont-ils de fabrication locale ?
L’industrie iranienne des drones est une industrie indigène et les autorités à Téhéran ne cessent de la souligner.
Le général de division Mohammad Baqeri, chef d’état-major général des forces armées de l’Iran, a déclaré en mai dernier lors d’une visite de l’Organisation des industries aéronautiques du ministère de la Défense que « la République islamique d’Iran a atteint sa maturité » en concevant et produisant des moteurs d’avions avancés, divers types d’avions, des drones et des missiles.
Le général de division Seyyed Abdolrahim Moussavi, commandant en chef de l’armée iranienne a quant à lui souligné le caractère autonome et l’indépendance de l’industrie des drones du pays.
Le général de division Hossein Salami, commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), a déclaré en marge du festival Malik Ashtar des forces armées, qui s’est tenu fin octobre à l’état-major des forces armées, que la croissance de la puissance de défense de l’Iran ne faisait plus de doute : l’industrie aéronautique et aérospatiale et les systèmes de guerre électronique iraniens ont fait leurs preuves aussi bien lors des essais que sur le terrain de combat.
Des drones très loin, très proches
Les drones iraniens sont aussi intéressants du point de vue de la qualité et la précision de frappe. Ils ont à plusieurs reprises défié les navires américains dans le golfe Persique et fait la une de l’actualité.
Le général Hajizadeh, commandant de la force aérospatiale du CGRI, avait affirmé en juillet 2019 dans une émission télévisée de la chaîne 1 que « les avions qui survolent le golfe Persique s’amusent parfois à provoquer les navires américains qui contactent aussitôt la tour de contrôle pour demander le respect de la distance. Parfois, il n’y a aucun appareil au-dessus d’eux et pourtant, ils imaginent le contraire ! »
Une industrie qui s’exporte
Selon les experts iraniens, les drones iraniens sont à la pointe de la technologie mondiale et intéressent donc de nombreux pays.
Avec la levée de l’embargo sur les armes contre l’Iran le 18 octobre dernier, l’exporter de divers types d’armements devrait reprendre.
Cependant, l’Iran n’a pas attendu la levée de l’embargo pour développer sa propre industrie et devenir autosuffisant dans le domaine de la défense.
Le pays est producteur et exportateur de chasseurs bombardiers, chars, véhicules de transport de troupes, armes individuelles, destroyers, systèmes de défense, radars et drones.
Que veut le chef de la CIA à Poutine?
Les États-Unis auraient conclu que pour faire face à la Chine, il leur faut trouver de nouveaux arrangements avec les Russes et pour ce faire, ils essaient diverses pistes afin de briser à leur propre façon ce qu’on pourrait appeler l’alliance stratégique sino-russe.
Il y a quelques jours, les forces navales russes et chinoises ont pris part aux manoeuvres conjointes « Interaction maritime 2021 » en mer du Japon. Concernant le litige Pékin-Taipei, la Russie et la Chine sont sur la même longueur d’onde, tandis que les deux pays viennent d’annoncer leur appui au dialogue censé aboutir à une levée des sanctions anti-iraniennes. La tâche ne sera donc pas si facile pour Washington, étant donné de multiples sujets qui rapprochent les deux puissances de l’Est.
« Depuis 2010, date à laquelle Barack Obama est devenu président des États-Unis, la question de la reprise des relations avec la Russie a été relancée », a déclaré à l’ILNA l’expert des affaires américaines Diako Hosseini, au sujet des raisons de la visite du directeur de la CIA en Russie et de ses entretiens avec les autorités chargées des renseignements.
En début d’année, au mois de janvier, le nouveau président américain Joe Biden s’est entretenu avec son homologue russe Vladimir Poutine. Au menu des discussions notamment : l’avenir du traité New Start. Cet accord arrivait à échéance le 5 février. Moscou s’est empressé d’acter sa prolongation. L’une de leurs discussions portait sur un accord selon lequel le nombre de têtes nucléaires ne devrait pas dépasser les 1 550.
Le traité New Start est un accord, entre la Russie et les États-Unis, portant sur le désarmement nucléaire. Il a été signé à Prague, en République tchèque, en 2010, par les présidents de l’époque : Barack Obama du côté des États-Unis, et Dimitri Medvedev pour la Russie. New Start a pris officiellement la suite du traité de désarmement russo-américain Start I (Strategic Arms Reduction Treaty), signé en 1991 par George Bush et Mikhail Gorbatchev, qui expirait en décembre 2009.
Mais sous Donald Trump, en raison de son comportement et de ses visions politiques, les relations avec la Russie ont radicalement changé. L’ex-président a retiré les États-Unis de nombreux accords internationaux et a saboté les relations avec la Russie, qu’il s’agisse du traité Ciel ouvert (signé en 1992) – qui autorise une surveillance aérienne pacifique des pays participants, en accusant la Russie de violations répétées des termes de cet accord – ou du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) signé en 1987, accusant encore une fois Moscou de l’avoir violé pendant des années, ce qui ouvre la voie à une nouvelle course aux armements dirigée contre la Russie, mais surtout contre la Chine.
Pour en savoir plus : E-Press du 19 octobre 2021
Selon les autorités américaines, les Russes se sont directement ingérés dans l’élection présidentielle américaine de 2016, ce qui a jeté un froid sur les relations entre Washington et Moscou.
Avec l’investiture Joe Biden, les deux pays s’orientent vers la résolution des problèmes et de leur conflit. Initialement, les dirigeants russes et américains se sont rencontrés en Suisse, plusieurs réunions ont eu lieu. Et dernier développement en date, l’arrivée du chef de la CIA à Moscou.
Les États-Unis et la Russie semblent être arrivés à la conclusion qu’ils devraient mettre l’accent sur leurs intérêts communs. Mais, des questions telles que l’Ukraine, l’Afghanistan, la Syrie sont au cœur des différends.
« Washington pense que contrairement à la Chine, la Russie peut entretenir des coopérations plus vastes avec les États-Unis, d’où le déplacement du chef de la CIA. Sans aucun doute, au menu des discussions figurera le traité de désarmement nucléaire New Start, le dernier accord bilatéral du genre liant les deux principales puissances nucléaires mondiales. Je pense que les États-Unis sont arrivés à la conclusion qu’ils doivent réorganiser leurs relations avec la Russie comme par le passé et éviter les conflits pour mieux se concentrer sur la Chine. Combien de fois avons-nous entendu des responsables américains que la Russie devrait se comporter de manière plus prévisible ! Je crois surtout que ce sont les Américains qui devraient être plus prévisibles », a expliqué Diako Hosseini.
« Les actions de Trump au cours des quatre dernières années ont progressé de telle sorte que la confrontation, non seulement avec la Russie, mais avec d’autres pays, est devenue difficile. En somme, je pense que les Américains cherchent à accéder à un nouvel accord avec les Russes pour atteindre leurs objectifs à l’égard de la Chine. En d’autres termes, la capacité de coopération de la Russie est supérieure aux différends avec la Chine », a-t-il conclu.
Le parfum du Prophète (p), Ahlulbayte
*Dieu, le Seigneur des mondes, place toute créature sur la voie de la guidance et l’oriente vers la perfection à condition qu’elle ne sorte pas de la voie de la perfection comme le grain d’un fruit qui devient un arbre fruitier s’il est placé dans une terre fertile, ou pourrit s’il est jeté à la poubelle.*
*Le Seigneur des mondes a élu le Sceau des prophètes (SAWA) pour qu’il oriente les créatures vers les bontés et la perfection.*
*“عترة خیرة رب العالمین”,*
*la lignée de l’Élu du Seigneur des mondes.*
* *«Obéissez à Allah, et obéissez au Messager et à ceux d entre vous qui détiennent le commandement», j ai dit:*
*«O Messager d Allah, nous connaissons Allah et nous connaissons Son Messager, mais qui sont ceux qui détiennent le commandement et dont Allah a associé leur obéissance à ton obéissance?» Il (s) répondit:*
*«O Jâbir, ce sont mes successeurs et les dirigeants (Imâms) des musulmans après moi. Le premier parmi eux est Ali ibn Abï Tâlib, puis Hassan, puis Husayn, puis Ali ibn Husayn, puis Muhammad ibn Ali qui est connu dans la Thora en tant que al-Bâqir [celui qui fend (le savoir)] ...* *puis al-Sâdiq Ja far ibn Mubammad, puis Müsa ibn Ja far, puis Ali ibn Müsâ, puis Muhammad ibn Ali, puis Ali ibn Muhammad, puis Hassan ibn Ali, puis celui dont le prénom et le surnom sont les miens, l'Argument d'Allah sur Sa terre et ce qui demeure de Lui auprès de Ses serviteurs, le fils de Hassan ibn ALI..»*
HADITHS DU JOUR
*Le Prophète (sawas):*
*استكْثِروا مِن الإخوانِ؛ فإنَّ لكلِّ مؤمنٍ شَفاعةً يومَ القيامةِ.*
*Le Noble Prophète (Que le salut de Dieu soit sur lui et sa descendance):*
*رسول الله (صلی الله علیه و آله):*
*Le Noble Prophète (Que le salut de Dieu soit sur lui et sa descendance):*
*Le plus bas degré de la mécréance est lorsque l 'homme entend une parole sur son frère et la mémorise pour le déshonorer; ceux-là n ont aucune valeur.*
*C’est Toi Qui donnes la suprématie à qui Tu veux, Qui fais périr les rois et en rends (rois) d’autres; entre Tes Mains se trouve le bien et Tu es Puissant sur toute chose! Invocation du Messager de Dieu (sawas) le jour de la bataille des Partis*
*«O Messager d Allah, nous connaissons Allah et nous connaissons Son Messager, mais qui sont ceux qui détiennent le commandement et dont Allah a associé leur obéissance à ton obéissance?» Il (s) répondit:*
*«O Jâbir, ce sont mes successeurs et les dirigeants (Imâms) des musulmans après moi. Le premier parmi eux est Ali ibn Abï Tâlib, puis Hassan, puis Husayn, puis Ali ibn Husayn, puis Muhammad ibn Ali qui est connu dans la Thora en tant que al-Bâqir [celui qui fend (le savoir)] ...* *puis al-Sâdiq Ja far ibn Mubammad, puis Müsa ibn Ja far, puis Ali ibn Müsâ, puis Muhammad ibn Ali, puis Ali ibn Muhammad, puis Hassan ibn Ali, puis celui dont le prénom et le surnom sont les miens, l'Argument d'Allah sur Sa terre et ce qui demeure de Lui auprès de Ses serviteurs, le fils de Hassan ibn ALI..»*
*LES QUATORZE INFAILLIBLES*
Dua'a Al-Ghariq (invocation du naufragé),
Deraa, base balistique anti-Israël!
Ces dernières années, les mercenaires d’Israël et des États-Unis déployés dans la province syrienne de Deraa (sud) ont fait tout leur possible pour mener la soi-disant attaque contre la capitale syrienne, mais le 9 septembre, une fois entrée dans la province syrienne de Deraa, l’armée syrienne n’a pas trop laissé le choix aux mercenaires d’Israël et des États-Unis qui ont dû plier l’échine et se soumettre aux conditions établies par le gouvernement syrien.
Après que le cessez-le-feu sous l’égide russe entre le Comité de sécurité syrien et le Comité central de Deraa soutenu par les terroristes a été violé par ces derniers, l’armée syrienne, en envoyant des troupes de la 4e division et du matériel militaire lourd dans la province syrienne de Deraa, avait l’intention de nettoyer une bonne fois pour toutes la zone de la présence des terroristes pro-Israël.
Des éléments terroristes à Deraa, en violant l’accord conclu avec l’armée syrienne, ont pris d’assaut à plusieurs reprises les positions et les postes de l’armée syrienne à Deraa faisant des morts et blessés au rang de l’armée syrienne dans ces zones.
Avec la médiation des Russes, un autre ultimatum a été lancé aux chefs de tribus locaux afin qu’ils puissent mettre en œuvre un processus de désarmement et de reddition des terroristes dans les plus brefs délais.
Damas leur a déclaré que les terroristes n’avaient d’autre choix que de déposer leurs armes et de quitter la province méridionale de Deraa, sinon ils seront confrontés à une réaction foudroyante de l’armée syrienne.
La ville de Deraa a rejoint le processus de réconciliation nationale à la suite de la libération des banlieues est et ouest de Deraa, et est repassée sous le contrôle de l’armée syrienne sans aucun affrontement.
Environ 50 villages et villes ont rejoint le processus de réconciliation, la situation de 8 000 citoyens a été résolue et plus de 3 000 armes ont été remises à l’armée syrienne. En revanche, la résolution de la situation des personnes recherchées et ainsi que des déserteurs au sein de l’armée syrienne pourrait améliorer la situation sociale dans le sud du pays.
Adjacente à la province de Quneitra et de récif Damas depuis l’axe nord et proche de la Palestine occupée, la province stratégique de Deraa pèse un poids important dans l’équation des forces à l’échelle internationale. Riche en termes de l’économie et du commerce, elle est le pont reliant la Syrie à tous les pays d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord. Le poste-frontière de Nassib, situé dans le sud de la province, est l’un des passages les plus fréquentés de la frontière syrienne, d’où la plupart des marchandises sont transportées.
Israël a fait tout son possible pour créer le chaos à Deraa afin d’établir une ceinture de sécurité autour du plateau du Golan occupé - plus précisément de Deraa à la base américaine d’Al-Tanf. Depuis sa création, Israël a également convoité le bassin d’Al-Yarmouk à Deraa. Israël considère l’eau comme un atout de tout conflit avec les pays arabes, de sorte qu’il a mené des attaques directes sur la région du basin de Yarmouk dans le sud-ouest de la Syrie.
En 1964, les participants au sommet arabe ont décidé de mettre en œuvre des projets hydrauliques en Syrie, au Liban et en Jordanie pour exploiter les eaux des fleuves Jourdain, Litani et Yarmouk. Par conséquent, ils ont procédé à construire un barrage sur le fleuve Yarmouk pour stocker 200 millions de mètres cubes d’eau et à créer un canal à travers la Syrie, ce qui s’est heurté aux bombardements du régime sioniste contre les installations et la frontière syrienne.
La finalisation du processus de réconciliation dans les villages et les villes de Deraa a déjoué les complots des États-Unis et d’Israël, car l’armée syrienne prend le contrôle total de la région située près de la frontière avec la Jordanie, ce qui signifie l’échec complet du projet israélien de ceinture de sécurité.
De plus, la base militaire américaine située dans la région d’al-Tanf à 22 km de la frontière syro-jordanienne deviendra également un fardeau supplémentaire pour les forces américaines, ce qui pourrait pousser Washington à prendre des mesures sérieuses pour démanteler cette base.
Maarib : le coup "tortue" d'Ansarallah!
On la veut en entier et on la veut sans effusion de sang puisque Maarib est au Yémen et pas en Arabie saoudite, c'est qu'a fait savoir une source proche d'Ansarallah, interrogé par PressTV.
"Si les tribus nous rallient ce qui est sur le point de se produire, Maarib reviendra à l'Etat définitivement". Les forces de la Résistance yéménites ont continué leurs avancées à Maarib, contraignant les militaires saoudiens à quitter leur base militaire à l''aéroport d'Ataq à Chabwa. La télévision « Al-Massira » a fait part de la libération de plusieurs zones clés autour de Maarib à partir de Sarawah et la région sud-ouest. Ces libérations s'ajoutent aux gains stratégiques de ces derniers jours dans la banlieue d'Al-Juba, près de Maarib.
Selon le rapport, les forces armées yéménites ont libéré Al-Yaara, Al-Sawad et Al-Hajira, concluant des accords avec les membres des tribus de la région pour évacuer certaines bases militaires appartenant à la coalition pro-saoudienne. Suite à l’encerclement à trois volets de Maarib par l'armée yéménite et les combattants d’Ansarallah, de nombreux chefs des tribus, habitant à Maarib ont afflué vers la capitale Sanaa pour rejoindre le gouvernement du salut national et conclure un accord pour garder leur région hors du conflit.
Le site d’information « Al-Akhbar » a rapporté que 80% des habitants de Maarib avaient déjà rejoint le gouvernement de Sanaa, qui a sécurisé 12 des 14 régions de Maarib, et que seulement 20% de la population reste sous le contrôle des membres du « Congrès yéménite pour la réforme (al-Islah), soit les Fréristes alliés de Riyad. Selon des estimations semi-officielles, 85% des tribus Maarib sont sous le contrôle de Sanaa, et la plupart des tribus sont en première ligne, assumant la mission de sécurité et administratives dans les villes libérées. Al-Akhbar a appris de deux sources tribales à Sanaa qu’il y a des pourparlers en cours pour épargner la ville et ce qui reste de Ma’rib, notamment al-Wadi et la zone pétrolière de Safer.
Signe des temps, dimanche soir, les forces de la coalition saoudienne ont soudainement quitté l'aéroport d'Ataq dans la province yéménite de Chabwa, qui servait de base militaire comme si la perspective d'une chute de Maarib les avait terrorisé, Chabwa étant la porte d'entrée de Maarib. Hier lundi 1er novembre, une source militaire bien informée a déclaré que les forces saoudiennes avaient quitté l'aéroport d'Ataq à minuit dimanche et qu’elles sont rentrées sur le territoire saoudien. Chambva la pétrolifère, sera-t-elle la seconde d'importance à tomber entre les mains de la Résistance?
La source yéménite qui a souhaité garder l’anonymat, dans une interview avec Al-Arabi Al-Jadeed, a indiqué : « C’est la première fois depuis le déploiement des forces saoudiennes à Chabwa qu'un tel nombre de militaires saoudiens vient à quitter la province. Les forces saoudiennes utilisaient jusqu’à présent l'aéroport d'Ataq comme l’une de leurs bases militaires sur le sol yéménite. Certaines sources médiatiques affirment que les forces saoudiennes se sont retirées de l'aéroport d'Ataq, après une fuite de rumeurs sur d'éventuelles attaques "balistique" contre les bases de la coalition saoudienne dans la province de Chabwa. Disons que la libération imminente de Maarib semble déjà avoir déclenché un effet de boule de neige. Après tout, Maarib est une passerelle nord-sud. Elle se trouve à environ 120 kilomètres (75 miles) à l’est de la capitale Sanaa, et lui est reliée par une grande autoroute. Elle se trouve également à proximité d’une autre autoroute qui mène au sud de l’Arabie saoudite. Sa position requiert son importance non seulement en raison de sa proximité avec Sanaa, mais aussi parce qu’elle se trouve sur un carrefour entre les régions du sud et du nord.
Et c’est surtout sa richesse énergétique énorme qui est en jeu. Connue pour ses richesses pétrolières et ses prouesses d’ingénierie agricole, comme le barrage de Maarib, la région a longtemps jouit d’une importance stratégique au Yémen. Si les forces d’Ansarallah parviennent à prendre le contrôle total de la totalité de la province de Maarib, les mercenaires pro-Hadi perdront leurs derniers fiefs dans les provinces du centre et du nord. La libération de Maarib signifie aussi le renforcement des frontières d’un Yémen uni dans les régions du nord du pays.
Syrie: la méga"bombe" Russie/Iran?
Aucun analyste militaire ne saurait nier que l'émergence d'une seconde base aérienne russe, de la même importance que celle que Moscou détient à Lattaquié, Hemimim, va largement au-delà du nettoyage d'Idlib de la présence du Sultan et de son "armée de Turan",
surtout que cette base stratégique en devenir, se trouve non pas dans le Nord de la Syrie où Ankara s'entête à ne pas lâcher prise mais bel et bien dans le nord est syrien, soit une zone largement fréquentée par les troupes US, une zone aussi située à quelques kilomètres à peine du Kurdistan irakien où, là encore, les USA disposent du méga complexe de Harir, qui bien que malmené pendant plusieurs semaines cet été par la Résistance irakienne, qui y a exercé ses drones et roquettes intelligentes, continue à accueillir le gros des opérations de renseignement, d'espionnage et d'organisation des réseaux et cellules terroristes US/Israël, sur le dos d'un gouvernement et d'une population irakiens qui saignent périodiquement sous les coups des supplétifs daechistes du Pentagone.