تقي زاده

تقي زاده

Une base militaire israélienne a été la cible de tirs au moment où le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu visitait la frontière séparant la Palestine, la bande de Gaza et l’Égypte.

Juste au moment où Benjamin Netanyahu visitait la bande frontalière entre la Palestine, Gaza et l’Égypte, jeudi 7 mars au soir, une base militaire de l’armée israélienne a été la cible de tirs d’origine inconnue.

Benjamin Netanyahu (au centre), accompagné de ses conseillers, a visité la frontière égyptienne dans le village de Nitzana, dans le désert du Néguev, le 7 mars 2019. ©AFP

Lors de cette visite, Le Premier ministre israélien a fanfaronné, une nouvelle fois, et  promis une « riposte doublement sévère » d’Israël à toute attaque survenue à la frontière de Gaza.  

Il a rencontré le chef d’état-major de l’armée, le commandant de la Région Sud et le commandant d’un bataillon réservé à Gaza pour examiner la situation des frontières de la Palestine occupée.

 

Bloomberg a lancé une bombe jeudi. Citant des sources de haut rang au courant des discussions américano-allemandes lors de la Conférence sur la sécurité de Munich le mois dernier, l’agence de presse a révélé que le vice-président américain Mike Pence a tenté de persuader la chancelière allemande de provoquer directement la Russie en envoyant des navires allemands dans le détroit de Kerch.

Merkel n’aurait pas consenti à de tels agissements, les rejetant comme « une manœuvre navale dans l’arrière-pays de la Russie destinée à provoquer le président russe, Vladimir Poutine ». Selon des sources, Merkel aurait donc résisté aux pressions de Pence, citant les réserves exprimées par le président ukrainien Petro Porochenko qui considérerait cet acte comme « insuffisant » pour garantir que la Russie ouvre définitivement le détroit.

Les forces navales iraniennes ont réussi à contrecarrer une attaque de pirates contre un pétrolier iranien dans le golfe d’Aden.

Des pirates se trouvant à bord de 11 vedettes ont attaqué un pétrolier iranien transportant une cargaison de plus de 150 000 tonnes dans le détroit de Bab el-Mandeb, mais les commandos de la 60e flotte de navires de guerre de la Marine iranienne, qui patrouillent dans le golfe d’Aden dans le cadre d’une mission à l’étranger, ont réussi à repousser l’attaque.

Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a mis en garde ce vendredi 8 mars, contre les ingérences étrangères dans les affaires intérieures vénézuéliennes et les sanctions contre le Venezuela, dans lesquelles il voit « la répétition des voies catastrophiques ».

« Il ne faut s’engager de nouveau dans des voies catastrophiques. Le gouvernement chinois a jusqu’à présent mis en garde à plusieurs reprises contre les ingérences dans les affaires intérieures vénézuéliennes et les pressions exercées sur le président Maduro », a affirmé Wang Yi.

« Pékin prône un dialogue pacifique permettant de trouver une solution politique pour résoudre les divergences entre le gouvernement et ses opposants en vue de garantir la sécurité du peuple et la stabilité de ce pays », a-t-il ajouté.

C’est dans l’intérêt d’Israël de mener la politique de « diviser pour régner » dans la région pour que ses adversaires soient engagés dans des conflits les uns contre les autres, estime Glen Segell, chercheur au Centre Ezri pour les études sur l’Iran et le golfe Persique à l’Université de Haïfa.

Dans une note publiée dans le journal israélien The Jerusalem Post, Glen Segell évoque la récente réunion du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avec de hauts responsables des pays arabes du sud du golfe Persique pendant la tenue de la conférence de Varsovie (Pologne), ce qui a ouvert la porte, selon lui, à des spéculations sur un autre État du Moyen-Orient, c’est-à-dire l’Irak.  

« Israël n’a jamais réussi à se lier d’amitié à la fois avec l’Iran et l’Irak. En effet, d’autres pays ont même cherché à attiser le feu du conflit entre Téhéran et Bagdad en croyant que cela créerait un équilibre souhaitable dans la région », a-t-il écrit.

« Israël et l’Iran sont en désaccord profond, tout le monde le sait. Mais si Israël essaie de se lier d’amitié avec l’Irak, cela ne surprendra personne », a-t-il ajouté.

L’auteur admet que le gouvernement israélien est à des années-lumière de l’établissement de relations diplomatiques avec un pays comme l’Irak. Mais il propose que Tel-Aviv essaie de profiter des conflits d’intérêts qui peuvent exister entre les acteurs publics et les acteurs de la société civile dans tous les pays de la région.

En conclusion, Glen Segell écrit : « La politique de diviser pour régner doit être menée par Israël de sorte que les États arabes et leurs acteurs non étatiques soient en conflit et en guerre les uns contre les autres. »

aujourd'hui est commémoré en Iran l'anniversaire de la naissance de l'imam Mohammad al-Baqer, le cinquième imam des musulmans chiites.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : L'imam Mohamad al-Baqer (P), connu sous le nom de «Baqer al-Ulum» (un analyste scientifique avisé) a ouvert les yeux sur le monde lors de la 57ème année de l'hijra lunaire, dans la ville de Médine, dans la péninsule arabique. Il a assumé la responsabilité de guider la communauté musulmane après le martyre de son père, le quatrième imam des chiites, l'imam Ali ibn al-Husein (P).

Au cours des 19 années de son imamat, il s'est efforcé de clarifier les principes fondamentaux de la religion musulmane et a réussi à tenir sa bannière. Dans tout le pays perse, les habitants décorent les mosquées, les maisons, les rues et les magasins avec des ornements et des lumières colorés, et distribuent des friandises pour célébrer la naissance de cette étoile au firmament de la religion islamique.

L'imam Baqer (P), témoin du martyre de l'imam Hussein (P) à Karbala alors qu'il n'avait que quatre ans, est mort empoisonné à 57 ans, à l'instigation du calife omeyyade. Il y a deux dates différentes de la naissance du cinquième imam des musulmans chiites: celle de Rajab (septième mois du calendrier islamique) et les trois de Safar.

La 10ème édition du Festival international du film « Short to the Point » en Roumanie accueille sept courts-métrages et animations iraniens.
 
Les courts-métrages iraniens intitulés «l'Obscurité» (Ombra) réalisé par Saeid Jafarian, « Shahrivar » de Samira Norouz Nasseri, « Block » réalisé par Mostafa Rabani, « Bitter Sea » de Fatemeh Ahmadi, « Blue Sky, Clean Earth » réalisé par Mahyar Mandegar et les courts-métrages d’animation intitulés « Watch Me » de Reza Mehranfar et « Tangle » réalisé par Maliheh Gholamzadeh seront projetés à la 10ème édition du Festival du film « Short to the Point » en Roumanie.

Ce festival qui a débuté son travail en 2009, projette et présente dans plus de 30 villes de Roumanie, les courts-métrages qui ont parvenus à entrer dans les catégories compétitives mensuelles de ce festival.

Les gagnants seront présentés le 31 mars 2019.
Les gouvernements européens et leurs services de renseignement sont redevables des efforts de l'Iran pour leur sécurité, a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.avons vu que les groupes terroristes et Takfiri étaient à l'origine d'incidents, d'insécurité et de violences dans les rues de Paris et d'autres capitales européennes. La lutte iranienne contre le terrorisme était sérieuse dans la région, ce qui a conduit à l'échec des terroristes en Syrie, a rappelé Bahram Ghassemi.

Mais il reste encore des restes de terrorisme dans la région, a-t-il dit soulignant qu'un consensus mondial est nécessaire pour l'éliminer.

Il a ajouté que les pays européens devaient prêter attention au fait que la propagation de la violence en Europe par des groupes terroristes revenait à leurs propres actions.

Les terroristes ont été formés et armés dans cette région par des centres spécifiques. Avec l'aide des outils financiers fournis, ils ont provoqué l'horreur en Europe, selon lui.

La République islamique d’Iran condamne le terrorisme sous toutes ses formes, dans le monde entier, et considère le phénomène du terrorisme comme une menace, a-t-il souligné.

Nous pensons qu'il ne faut pas adopter une politique de deux poids deux mesures en matière de terrorisme, a conclu le porte-parole de la diplomate iranienne.

M. Ghassemi a ensuite précisé que Téhéran va accueillir prochainement une délégation européenne afin de suivre les conditions de mise en œuvre de l'INSTEX (Instrument de soutien aux transactions commerciales avec l'Iran, malgré les sanctions américaines).

Les responsables iraniens tentent de mettre en place un mécanisme pour lancer leurs actions concrètes dans ce domaine, a-t-il dit avant d'ajouté que ces dernières semaines, des experts iraniens et européens avaient mené des négociations positives et constructives sur les questions bancaires et commerciales.

INSTEX a été enregistré après des mois de négociations et de discussions techniques à la suite de la sortie unilatérale de l'administration américaine de l'accord nucléaire de 2015 avec l'Iran.
 
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, a déclaré lundi que Téhéran s'acquittait de ses engagements en matière nucléaire dans le cadre du Plan global d'action conjoint (PGAC).
 "Il est essentiel que l'Iran continue de mettre pleinement en œuvre ces engagements", a déclaré Amano, s'adressant au conseil des gouverneurs de l'AIEA à Vienne.

L'agence continue de vérifier le non-détournement de matières nucléaires déclaré par l'Iran dans le cadre de son accord de garanties, selon le responsable.

L’AIEA a répété qu’elle entreprenait des analyses et agissait «de manière impartiale, indépendante et objective, dans le cadre des garanties existantes».
Bahram Qassemi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a déclaré que Téhéran ne souhaitait pas que le conflit du Haut-Karabakh entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan affecte les relations avec ses deux voisins.
  Qassemi a souligné que la politique de l’Iran sur la question du Haut-Karabakh était claire et n’avait pas changé, selon le site officiel du ministère des Affaires étrangères.

Il a déclaré que la question, qui peut inquiéter nos voisins, devrait être résolue sur la base du droit international et par le biais de négociations.

M. Qassemi a également précisé que l'Iran était prêt à aider à régler le différend, qui est un problème majeur entre Bakou et Erevan depuis des années.

Ses commentaires sont intervenus quelques jours après la visite officielle du Premier ministre arménien à Téhéran, au cours de laquelle il s’est entretenu avec le Leader et le président iraniens et a signé plusieurs accords de coopération avec l’Iran.

Le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan a également tenu une réunion séparée avec des Arméniens d’Iran dans un club à Téhéran, où des pancartes en arménien sur le conflit du Haut-Karabakh ont été placées dans le complexe sportif appartenant aux Irano-Arméniens vivant en Iran.

Se référant aux pancartes placées dans le complexe sportif Ararat, Qassemi a déclaré que Téhéran n’approuvait pas ce geste et le reconnait "inacceptable".

"L’Iran cherche à élargir ses relations avec ses voisins sur la base du respect mutuel, sans ingérence dans leurs affaires intérieures", a-t-il ajouté.

Le Haut-Karabakh, situé à l'intérieur de l'Azerbaïdjan mais contrôlé par des Arméniens de souche, gère ses propres affaires avec le soutien de l'Arménie depuis la fin de la guerre séparatiste en 1994.

Le conflit du Haut-Karabakh a éclaté dans les dernières années de l'Union soviétique. Les efforts pour parvenir à un règlement permanent ont échoué malgré la médiation menée par de nombreux pays.