تقي زاده

تقي زاده

samedi, 26 avril 2025 19:18

En présence du Coran

« La puissance est à DIEU, à Son Messager et aux croyants » (Coran LXIII, 8 AL-MUNĀFIQŪN (LES HYPOCRITES),
 
L’Imâm Jafar as-Sâdiq a donné â ce verset l'explication  suivant :
 
 « DIEU a donné au croyant la liberté d’agir dans toutes ses affaires, mais Il ne lui a pas donné la liberté d’être humilié. Sois donc glorieux et tenace devant les défis et devant tous les oppresseurs. »
L’Imâm Jafar a dit également: « Le croyant est plus résistant que la montagne. La montagne peut être amoindrie par les pioches, mais rien ne peut amoindrir la foi du croyant. »
 
 
Il(p) a dit également:
 « Trois personnes sont les plus proches de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, jusqu’à la fin du Jugement dernier.
 Le premier c’est celui qui étant puissant ne laisse pas sa colère le pousser à traiter injustement ceux qui sont moins puissants que lui. Le deuxième c’est celui qui lorsqu’il est  invité à juger entre deux hommes le fait sans prendre parti ni pour l’un ni pour l’autre, ne serait-ce que de la quantité d’un grain d’orge. Et le troisième est celui qui dit la vérité, que ce soit dans son intérêt ou contre son intérêt. »

Dans Al-Kafi, il est rapporté de Khithama, qui a dit : 

"Je suis entré chez l'Imam Sadiq  (paix sur lui) pour lui faire mes adieux alors que je m’apprêtais à partir pour Médine, Il (paix sur lui) m’a dit :
Ô Khithama, transmets mes salutations à ceux de nos partisans que tu rencontreras et recommande-leur de craindre Allah, le Tout-Puissant. Que leurs riches soutiennent leurs pauvres, que leurs forts aident leurs faibles, que leurs vivants assistent aux funérailles de leurs morts, et qu’ils se rendent visite dans leurs maisons. Car, leur rencontre les uns avec les autres maintient en vie notre cause. 
Qu’Allah fasse miséricorde à celui qui fait revivre notre affaire. 
Ô Khithama, transmets à nos partisans que que nous ne pouvons rien leur garantir auprès de Dieu, sauf par de bonnes actions. Ils n’atteindront notre wilaya (allégeance) que par la piété (wara‘). 
Et les gens qui éprouveront le plus de regrets au Jour de la Résurrection sont ceux qui ont prôné la justice, mais ont agi à l’opposé".

LA VIE DE IMAM
 

Le sixième Imam du descendance du Prophète (sawas), Ja’far Sadiq (AS) est né le Vendredi 17 Rabi' al-Awwal de l'an 83 de l'Hégire. Son célèbre titre était "al-Sadeq" (Le Véridique). Il a été élevé par son grand-père, l'Imam Zayn al-'Abidine pendant 12 ans, et ensuite sous le patronage de son père, I'Imam Muhammad al-Bâqir pendant 19 ans .

La période de son Imamat a coïncidé avec la période la plus révolutionnaire et la plus fertile en événements de l'histoire musulmane, la période où l'on a assisté à la chute de l'Empire omayyade et à la montée de la dynastie abbasside.

Les guerres intestines et les bouleversements politiques apportaient des changements rapides dans le gouvernement. Donc le Saint Imam a assisté aux règnes de différents rois, depuis la chute d'Abdul Malik jusqu'au souverain omayyade, Marwân Ibn al-Hakam. Il a survécu jusqu'à l'époque de Abul Abbâs al-Saffâh et d'al-Mançour, tous deux de la dynastie abbasside.

Sous l’Imamat du 6e Imam (AS), les conditions de diffusion des sciences islamiques furent donc encore plus propices . Non seulement le contexte politique était favorable mais par ailleurs, suite aux efforts de publications des hadiths du 5e Imam (AS) et de ses élèves, les gens avait pris conscience de leurs besoins en connaissances islamiques et attendaient d’autres « récits » concernant les « gens de la Maison ». De plus la dynastie omayyade était vacillante. La dynastie abbasside qui n’était pas bien établie cherchaient une légitimité à travers le soutien de la famille des martyrs de Karbala.

L’Imam Ja’afar Sadiq (AS) se mit à diffuser les sciences religieuses et des textes islamiques . Les doctes et les savants venaient de tous le coin pour l’interroger au sujet des sciences islamiques, de l’histoire des prophètes, des Imams, de la philosophie… Celui-ci discutait avec diverses catégories sociales, dialoguait avec les représentants des différentes nations et religions.

L’Imam éduqua de nombreux croyants, format de multiples élèves ; des centaines de livres rassemblant les hadiths shi’ites et les propos scientifiques de l’Imam durent publiées sous le nom de « Principes » (Oçoul). Profitant du cours répit que lui laissait la lutte entre les Ommayades et les Abbassides, l’Imam (AS) consacra son temps à l’éducation des musulmans et à la formation des spécialistes des sciences religieuses : plus de quatre mille savants ont profité de son enseignement, de son savoir et de sa sagesse.

L’Imam (AS) avait demandé à ses élèves d’enregistrer par écrit les cours qu’il leurs dispensait. Il leurs disait : « Aux périodes troubles et d’anarchie de nombreuses œuvres sont détruites ; vous aurez alors besoin de ces livres et de ces textes qui deviendront les seules références religieuses et scientifiques des musulmans. »

Aussi à ses cours les élèves de l’Imam (AS) apportaient leurs plumes et leurs encriers…
Ses disciples ont compilé des centaines de livres relatifs aux différentes branches de la science et de l'art. Outre le "Fiqh" (la Jurisprudence), le "Hadith" (la Tradition) et le "Tafsîr" (l'exégèse), l'Imam dispensait également des cours de mathématiques et de chimie à certains de ses disciples. Jâbir Ibn Hayyân al-Tartûcî, le célèbre savant en mathématiques était l'un des disciples de l'Imam, et a beaucoup appris des connaissances et de la guidance de ce dernier, ce qui lui a permis d'écrire 400 livres sur des sujets divers.

La chute des Omayyades et la montée des Abbassides ont constitué les deux importants événements de l'histoire musulmane. L'état d'anarchie était en progression. On se trouvait au milieu d'une telle obscurité mortelle que le personnage de l'Imam Ja’far Sadiq (AS) se dressait comme un phare déversant continuellement sa lumière pour éclairer les vastes étendues des ténèbres pécheresses qui l'entouraient. Le monde s'inclinait devant sa personnalité vertueuse et admirable. Abou Salma Khallâl lui a offert le trône du califat, mais l'Imam, perpétuant la tradition caractéristique de ses ancêtres a décliné fermement cette offre en raison des conditions critiques qui prévalaient à l'époque.

C'est une vérité historique indéniable que d'affirmer que tous les grands savants de l'Islam étaient redevables, pour ce qui concerne leur instruction, aux Ahl-Elbayt qui constituaient la fontaine des connaissances et de l'instruction pour tout le monde. Al-'Allamah al-Chiblî écrit dans son livre "Sirat al-Nu`mân'': "Abou Hanifah a fréquenté pendant une très longue période l'Imam al-Çâdiq, acquérant auprès de lui des connaissances étendues et précieuses en matière de Fiqh et de Hadith. "Tous les deux math-hab (rites) islamiques -le sunnisme et le chiisme - croient que la source des connaissances d'Abou Hanifah provenait principalement de son association avec l'Imam al-Câdiq."

En raison de ses immenses connaissances et de ses nobles enseignements, les gens se sont rassemblés autour de lui avec toute la dévotion et toute la révérence qui lui étaient dues. Cette haute position et le pouvoir croissant de notre Imam (AS) n'a pas manqué de susciter la jalousie et surtout la peur du gouvernant abbasside, Mançour al-Dawânîqî qui, craignant la popularité de l'Imam, a décidé de le supprimer. L'Imam mourra effectivement des suites d'un empoisonnement, le 15 Rajab de l'an 148 de l'Hégire.

Pendant toute sa vie et à toute heure, en cachette ou en public, l’Imam enseignait les vérités de l’Islam et mettait son savoir et sa culture à la portée de tous. Pour résumer, on peut dire que ses discours et ses conseils inestimables ébranlèrent les murs de l’ignorance et du mensonge, refondant la véritable doctrine du Saint Prophète (sawas). C’est pourquoi l’on considère que le 6e Imam (AS) comme le fondateur de la doctrine shi’ite, d’où la dénomination de doctrine Ja’farite donnée à l’école ou rite shi’ite.

Par Hoda Yaq

Le 28 février 2025, Mahdieh Esfandiari, universitaire iranienne vivant en France, a été interpellée par les autorités françaises.

Selon ses amis et sa famille, sa maison a été fouillée de fond en comble par les forces de sécurité, tournant ainsi la situation à ce qui ressemble étrangement à un enlèvement.

Pendant les deux jours qui ont suivi son arrestation, aucune information sur le lieu où elle se trouvait n’a été divulguée. Ce n’est qu’après de nombreuses démarches que ses proches ont appris qu’elle avait été placée en garde à vue. Puis elle a été transférée à la prison de Fresnes, située à 470 kilomètres de Paris. Cette distance considérable a rendu extrêmement difficile pour sa famille et ses amis de poursuivre son affaire ou de lui apporter une quelconque forme de soutien.

Linguiste diplômée de l’Université Lumière, elle vit à Lyon depuis huit ans. Elle est professeure, traductrice et interprète à l’Université Lumière.

Son cas a été comparé à celui de Bashir Biazar, compositeur et documentariste iranien, arrêté à Paris l’an dernier et transféré à Metz, à plus de 300 kilomètres de la capitale. Son crime : quelques publications critiques envers Israël sur les réseaux sociaux.

Dès lors, une question s’impose : pourquoi le gouvernement français semble-t-il si déterminé à maintenir ces détenus dans un isolement presque total, loin de leurs familles et hors de portée des médias ? Pourquoi ces arrestations sont-elles si secrètes ?

Pendant les cinq semaines qui ont suivi l’arrestation d’Esfandiari, son sort est resté dans l’ombre. Ce n’est que lorsque le magazine français Le Point a fait état de son arrestation que les autorités françaises ont été contraintes de la reconnaître.

Aucune information officielle n’a été communiquée concernant les faits présumés qui lui sont reprochés ni sur l’évolution de son dossier. Cependant, certains médias français rapportent que le parquet de Paris avait inculpé l’universitaire iranienne pour « apologie du terrorisme », en se fondant sur des publications critiques envers le régime israélien diffusées sur les réseaux sociaux.

A lire: Interpellation musclée du journaliste Shahin Hazamy : quand la solidarité devient un crime en France

D’autres chefs d’accusation auraient été retenus contre elle, notamment « provocation en ligne au terrorisme », « offenses fondées sur l’origine ou la religion », et « refus de fournir les codes d’accès à ses comptes de réseaux sociaux ».

À ce jour, Esfandiari n’a pas reçu le moindre appel téléphonique de sa famille depuis près de deux mois, et personne ne dispose d’informations claires sur son sort ou sur les charges qui pèsent contre elle.

Malgré les tentatives répétées des autorités iraniennes et de sa famille pour établir un contact avec elle, le gouvernement français a rejeté toutes les demandes de visites consulaires, ainsi que toute forme de communication minimale, comme un simple appel téléphonique.

Cette absence de transparence suscite de vives inquiétudes concernant son bien-être.

Il convient de noter ici que le gouvernement français a adopté une position ferme contre certaines expressions, les qualifiant d’antisémites, tout en défendant, sous la bannière de la liberté d’expression, des publications controversées comme Charlie Hebdo.

Lire plus: Mahdieh Esfandiari arrêtée en France : Paris utilise son cas comme un levier de pression pour la libération de ses espions détenus en Iran

Par exemple, lorsque Charlie Hebdo a publié des caricatures satiriques du Prophète de l’islam le très vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), le gouvernement a défendu cette démarche comme un exercice de la liberté d’expression, malgré le traumatisme profond qu’elle a causé à des milliards de musulmans à travers le monde.

Un tel comportement contradictoire de la part du gouvernement français suggère une approche sélective de la liberté d’expression – une approche qui semble défaillir lorsqu’il s’agit de défendre les droits humains ou de soutenir les enfants opprimés et massacrés de Palestine.

Sur le même volet, Shahin Hazamy, un journaliste indépendant basé en France et qui suivait de près l’affaire Esfandiari, a lui-même été violemment interpellé par les autorités françaises le 22 avril 2025.

Hazamy aurait été enlevé devant sa famille, à son domicile à Paris. Bien que la raison exacte de son arrestation demeure floue, le gouvernement français a employé l’étiquette de soutien au terrorisme pour justifier ces arrestations agressives des partisans de la Palestine.

Il aurait été relâché jeudi, mais la procédure judiciaire se poursuit.

Hazamy, tout comme Esfandiari et Biazar, s’est exprimé ouvertement contre la guerre génocidaire israélo-américaine à Gaza, prenant fermement position en soutien à la Résistance. Les arrestations de Biazar, Esfandiari et Hazamy mettent en lumière les contradictions flagrantes dans les actions du gouvernement français et remettant indéniablement en question leur statut de défenseurs des droits de l’homme et de la liberté d’expression ou de violateurs éhontés de ces mêmes droits.

Lire plus: Qui est Mahdieh Esfandiari, universitaire iranienne emprisonnée en France pour son engagement en faveur de la Palestine ?

L’expérience montre que la liberté d’expression n’est protégée que lorsqu’elle s’aligne sur les discours politiques. Dans le cas contraire, le moindre geste de soutien à la Palestine ou toute déclaration sur les droits humains peut entraîner les conséquences juridiques les plus graves – et un destin incertain et silencieux qui se déroule derrière les murs des prisons et le black-out médiatique.

Hoda Yaq est une écrivaine et militante des droits de l’homme basée à Téhéran.

(Le point de vue exposé dans le présent article ne reflète pas nécessairement celui de Press TV.)

Les sirènes d’alerte aérienne ont retenti dans plusieurs colonies israéliennes, samedi matin, après le tir d’un missile balistique par les forces armées yéménites visant les territoires occupés par Israël. 

Selon les médias israéliens, l’attaque a déclenché les sirènes dans les colonies de peuplement situées dans le sud des territoires occupés, notamment à Beersheba et dans ses environs. Aucun blessé ni dégât matériel n’a été signalé dans l’immédiat.

Le troisième cycle de négociations indirectes entre Téhéran et Washington, qui a débuté dans la matinée de ce samedi 26 avril à Mascate sous la médiation du ministre omanais des Affaires étrangères, Badr ben Hamad al-Busaidi, a pris fin. Il a été convenu par les deux parties de tenir ultérieurement de nouvelles consultations.

Tout comme lors des deux précédents cycles de négociations, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, et l’envoyé du président américain Donald Trump pour les Affaires du Moyen-Orient, Steve Witkoff, ont cette fois encore été en charge de la conduite des pourparlers.

Une puissante explosion s'est produite dans le port Shahid Rajaï à Bandar Abbas, dans le sud de l'Iran. Selon les informations communiquées par le chef de l'Organisation de secours et de sauvetage du Croissant-Rouge iranien, Babak Mahmoudi, le bilan de la catastrophe s'élève dans l'immédiat à quatre morts. D'après les données les plus récentes, le nombre de personnes ayant subi des blessures s'élève à 561.

L'explosion de forte intensité, survenue ce samedi 26 avril, a été également entendue par les habitants des villes de Bandar Abbas et de Qeshm, selon les médias locaux.

« L'explosion s'est produite dans une partie du quai du port Shahid Rajaï », a déclaré à la télévision d'État Esmaïl Malekizadeh, haut responsable de l'administration portuaire et maritime de Hormozgan.

Mehrdad Hassanzadeh, directeur de l'organisation de gestion de crise de la province de Hormozgan, a également fait une déclaration à la télévision d'État, indiquant que les blessés avaient été transférés vers des établissements médicaux, sans toutefois préciser le nombre de personnes hospitalisées.

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont montré un énorme panache de fumée noire s'élevant de la zone de l'explosion.

 

Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré vendredi qu’il n’y avait eu aucune discussion entre Pékin et Washington sur les tarifs douaniers.

« Pour autant que je sache, il n’y a eu aucune consultation ou négociation entre la Chine et les États-Unis sur la question des tarifs douaniers, et encore moins un accord », a déclaré vendredi un porte-parole de l’ambassade de Chine aux États-Unis en réponse aux questions des médias à ce sujet.

Le porte-parole a insisté sur le fait que le président américain Donald Trump avait lancé unilatéralement la guerre commerciale et que tous les appels et affirmations concernant des discussions en cours à cet égard étaient trompeurs.

La guerre tarifaire a été lancée unilatéralement par les États-Unis, et « c’est à celui qui a fait le nœud de le défaire », a précisé le porte-parole.

Le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi et son homologue omanais Badr Al Busaidi ont discuté de la mise en œuvre et des modalités du troisième cycle de négociations indirectes entre Téhéran et Washington, prévu pour le 26 avril à Mascate. 

Araghchi, qui dirige la délégation iranienne d'experts techniques, a rencontré à deux reprises le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr Al Busaidi, afin de finaliser les préparatifs des pourparlers.

Plus tôt vendredi 25 avril, M. Araghchi est arrivé à Mascate et a rencontré des responsables omanais à la veille de prochaines négociations.

Il convient de noter qu'au cours du troisième cycle, les experts des deux parties devraient entamer des discussions détaillées sur les aspects techniques d'un éventuel accord destiné à remplacer l'accord nucléaire de 2015, officiellement connu sous le nom de Plan global d'action commun (PGAC).

La délégation technique iranienne sera dirigée par le vice-ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires politiques, Majid Takht-Ravanchi, et le vice-ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires juridiques et internationales, Kazem Gharibabadi.

 

Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies a averti que ses réserves alimentaires à Gaza étaient complètement épuisées alors qu’Israël maintient un blocus total sur les ressources essentielles, notamment la nourriture, l’eau et les médicaments, depuis plus de sept semaines.

Le Programme alimentaire mondial (PAM) a déclaré, le vendredi 25 avril, qu'il avait « livré ses derniers stocks de nourriture aux cuisines servant des repas chauds dans la bande de Gaza ». Ses cuisines « devraient être totalement à court de nourriture dans les prochains jours ».

Toujours d'après l'agence onusienne, plus de 116 000 tonnes d'assistance alimentaire – « de quoi nourrir un million de personnes pendant quatre mois » – sont entreposées à proximité des couloirs humanitaires, attendant de pouvoir entrer dans le territoire.

« Pour répondre aux besoins fondamentaux de la population de Gaza, il est essentiel que nous puissions reprendre immédiatement les livraisons de nourriture à Gaza », a déclaré Antoine Renard, directeur du PAM en Palestine, dans un message partagé sur les réseaux sociaux.

Le régime israélien bloque depuis plus de sept semaines l’aide humanitaire essentielle, notamment l'assistance alimentaire, à la bande de Gaza ravagée par la guerre, marquant le plus long blocus de l’aide depuis qu'il a lancé sa guerre génocidaire en octobre 2023.