تقي زاده

تقي زاده

Au nom de Allah,  Le Miséricordieux, Le plus Miséricordieux 

Le jour d'Achoura de l'an 61 Hijir, Le petit fils bien aimé du Noble Prophète (sawas), Imam Hussein est tombé en martyre au Karbala en Iraq. Il n'a pas accepté l'allégeance du Tyran Yazid ibn Muawya ibn Abusofiane.
Le messager d'Allah (sawas) avait déjà parlé du martyre de Seyedna Imam Hussein et avait pleuré pour ce grande tragédie.

Le Messager d'Allah sawas à dit: Hassan et Hussein sont les maîtres des Jeunes au Paradis.
Il(p) a dit: Hussein est de moi et je suis de Hussein. 
Connaître le message de Hussein dans ses actes et ses paroles est bénéfique pour tous les musulmans et même les non musulmans. Son message est: Le vrai Djihad, Non à l'injustice, d'être libre, sur la voie d'Allah swt.

 Le Dynastie de Bani-Omayades après le massacre de la famille du Prophète saws, ont déclaré le jour d'Achoura comme une fête en signe de victoire,  alors que ni le Noble Prophète sawas, ni sa famille,  ni ses compagnons n'ont pas fêté le jour d'Achoura. ?
 
Le gouverneur de Medine a reçu l'ordre de Yazid de prendre l'allégeance de 3 personnes : Hussein ibn Ali, Abdullah ibn Omar et Abdullah ibn Zubair, si ils n'acceptent pas,  tu dois capiter leurs têtes.
 
 L’Imam Hussein  savait les intentions cachées de Yazid qui voulait qu’il lui prête allégeance ! Cela signifie que son califat est légitime. L’Imam,  refusa de prêter allégeance à Yazid.
 
Seyedna Imam Hussein disait:
Yazid est un libertin qui ne cache pas son libertinage, un alcoolique et un assassin de l’âme innocente que Dieu a interdit de tuer et ne gouverne pas selon la Volonté de Dieu. Quelqu’un comme moi ne saurait donc prêter serment d’allégeance à quelqu’un comme lui

L’Imam Hussein : « Je ne suis pas sorti en corrupteur ou en oppresseur, mais je suis plutôt venu, pour réformer la nation de mon grand-père le Messager de Dieu (sawas). Je désire ordonner au bien et interdire le blâmable et suivre le chemin de mon grand-père et de mon père, Ali bin Abi Taleb ».

Il a quitté Médine vers la Mecque puis vers kuffa en Iraq. Il ne voulait pas que son sang soit versé sur la terre sacré de la Mecque....

L’Imam Hussein, savait qu’il serait tué dans le désert avec ses compagnons et sa famille. Mais, par cet acte, il voulait réveiller les Musulmans de leur sommeil ! Connaître la vérité sur Yazid et savoir que les Omeyyades feraient tout par amour du pouvoir, même s’ils tuaient la tribu du Prophète, (sawas), et jusqu’à emmener leurs femmes en captivité.

Sur la terre de Karbala,  Le 10 Muharram de l’an 61 de l’Hégire,  Hussein et ceux qui étaient avec lui essayèrent d’empêcher les combats d’avoir lieu et de convaincre l’armée de Yazid de se tourner vers la vérité, et ils les avertirent des conséquences de leur travail, alors Hussein, (Que la paix soit sur lui !) s’adressa à eux :

« Ô gens, accepter mon rang, revenez à vous-mêmes et blâmez-les, et voyez s’il vous est permis de me tuer et de violer ma sainteté... Ne suis-je pas le fils de la fille de votre Prophète, le fils de son tuteur, son cousin, le premier des croyants en Dieu et celui qui a confirmé Son Messager. Hamzah, le Maître des Martyrs, n’est-il pas l’oncle de mon père ? Ou pas Jafar, le pilote est mon oncle ? N’as-tu pas entendu ce que le Messager de Dieu m’a dit, à mon frère et à moimême : ce sont les deux seigneurs de la jeunesse du peuple du Paradis ? »

Ils le savaient bien, mais Satan les a tentés, alors ils ont préféré une vie d’humiliation avec Yazid , ils ont dit à l’Imam Hussein: « Prêtez allégeance à Yazid tout comme nous lui avons prêté allégeance » !

Al-Hussein (Que la paix soit sur lui !) leur répondit : « Non, par Dieu, je ne lui ferai pas sous la contrainte le cadeau d’une personne humiliée, et je ne m’enfuirai pas non plus comme un esclave, l’humiliation est trop loin de ma vocation. »

Assalam Alayka Ô, Maître des Martyres, Ô  Hussein ibn Ali, Petit fils du Prophète (sawas).

Le commandant en chef de la Force Qods du CGRI affirme une fois de plus que le soutien à la résistance dans la région qui luttent contre le régime d'occupation israélien fait partie intégrante des politiques « stratégiques immuables » de la République islamique d'Iran.

Le général de brigade Esmaïl Qaani, commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a fait ces remarques, jeudi 11 juillet, lors d’une visite sur les fronts de la Résistance dans la région où il a rencontré des commandants et responsables de la Résistance.

Il a mis l’accent sur le soutien inébranlable de l’Iran à la résistance du peuple palestinien. Et de souligner que cette politique « est approuvée par tous les piliers de l’establishment islamique [du pays] et soutenue à l'unanimité par la nation iranienne ».

De leur côté, les figures de la Résistance ont exprimé leur gratitude envers la République islamique pour son soutien sans faille à la cause palestinienne.

La dernière rencontre entre le général Qaani et les hauts responsables de la Résistance date du mois de mai lorsque ces derniers s'étaient rendus à Téhéran pour rendre hommage à l’ancien président iranien, Ebrahim Raïssi, mort en martyr suite à un accident d'hélicoptère.

Ils ont discuté de l'actuelle situation politique, sociale et militaire dans la bande de Gaza, qui subit une guerre génocidaire menée par Israël depuis octobre 2023, ainsi que de l'opération Tempête d’Al-Aqsa, lancée par les groupes de résistance de Gaza en représailles aux atrocités accrues du régime sioniste à l'encontre des Palestiniens.

À ce jour la campagne militaire du régime de Tel-Aviv, a tué près de 38 350 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants.

Les groupes de résistance à Gaza se sont engagés à défendre la bande côtière avec toutes leurs ressources, affirmant qu’il serait impossible d’éliminer la résistance du territoire palestinien.

Plus tôt, le président élu de l’Iran, Massoud Pezeshkian, avait assuré au chef du bureau politique du mouvement de résistance basé à Gaza, le Hamas, Ismaïl Haniyeh, la victoire finale des Palestiniens dans la guerre génocidaire du régime israélien contre la bande de Gaza.

« Je suis convaincu que grâce à la résistance historique du peuple palestinien et à la lutte héroïque des combattants de la Résistance dans la guerre en cours, la chère Palestine remportera la victoire », a écrit Pezeshkian dans un message adressé aux responsables du Hamas.

Le secrétaire général du Hezbollah a fustigé les efforts déployés par l'Occident notamment l'Amérique pour malmener la culture de la résistance et du jihad, affirmant que Washington propage la culture de la mort.

Lors d'un discours prononcé au cours des cérémonies de deuil de Muharram, jeudi soir 11 juillet, Seyyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah a déclaré que « la résistance au Liban a libéré la terre et préservé la dignité et la vie ».

Seyyed Hassan Nasrallah a dénoncé les efforts déployés pour éloigner les gens de la résistance et des valeurs associées au jihad, soulignant que « cela a été facilité par l’émergence de groupes terroristes tels Daech qui sont la création des services de renseignement américains et britanniques et ont utilisé un dialogue qui aide à cibler la culture religieuse et djihadiste et les valeurs qui y sont associées, comme le martyr et le jihad ».

Et d'ajouter « qu’après l’an 2000, une forte campagne a commencé en Occident aux niveaux culturel, médiatique et autres, ciblant tout ce qui touche à la résistance au point que le mot jihad a été habillé d’une connotation péjorative ».

Le secrétaire général du Hezbollah a noté que « le jihad, la résistance et le martyre font partie de la chère et heureuse culture de la vie parce qu’ils font partie des éléments de sa défense et de sa survie », ajoutant que « la culture de la vie ne vient pas des États-Unis, car ils répandent la culture de la mort, et celui qui exprime aujourd’hui la culture de la vie est celui qui défend, résiste, tombe en martyr et endure ».

La dignité et la fierté, poursuit-il, ne peuvent être obtenues qu’en possédant la force, la résistance et le pouvoir de dissuasion pour affronter l’agresseur.

Dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité de l'ONU, l'ambassadeur et représentant permanent de l'Iran auprès de l'ONU a rejeté les accusations sans fondement portées par les États-Unis contre l’Iran sur la fourniture d’armes à Ansarallah du Yémen.

L’ambassadeur et représentant permanent de l'Iran auprès de l'ONU, Amir Saeed Iravani, a considéré les allégations des États-Unis contre la République islamique d'Iran sur la livraison d'armes au Yémen comme un écran de fumée pour dissimuler l'acte d'agression de Washington contre ce pays de la péninsule arabique.

Lundi, Stephanie Sullivan, l'envoyée adjointe des États-Unis auprès des Nations unies, a réitéré les accusations de Washington contre Téhéran, sur la livraison d’armes au mouvement de résistance populaire yéménite, Ansarallah.

Elle a prétendu que les « propres médias affiliés à l'État de la République islamique ont vanté la fourniture par le pays de technologies de missiles balistiques interdites » à Ansarallah.

Pas moins de 70 médias internationaux et organisations de la société civile ont fait pression sur le régime israélien pour obtenir un accès sans entrave à la bande de Gaza, qui est soumise à un black-out médiatique quasi total dans le contexte de la guerre génocidaire en cours menée par le régime de Tel-Aviv contre la bande côtière.

Les organisations, qui incluent l'Associated Press, l'Agence France-Presse, la BBC, CNN, The Guardian, le New York Times et le Washington Post, ont lancé cet appel dans une lettre ouverte adressée au régime sioniste jeudi.

Les organismes provenant de plus de 26 pays ont souligné qu'aucun accès aux médias indépendants n'avait été autorisé à Gaza depuis le début de la guerre en octobre dernier.

Les médias du régime sioniste ont rapporté que le mouvement de résistance libanais, Hezbollah avait lancé des attaques contre le nord de la Palestine occupée vendredi matin 12 juillet.

« Un missile a été tiré sur Rosh Hanikra et les sonnettes d'alarme n'ont pas été déclenchées », a-t-on appris de la même source.

Ces médias ont également confirmé le tir des missiles anti-blindés sur la colonie de peuplement d’al-Metula.

Bienvenue sur Œil sur Israël, qui suit les développements politiques et militaires par l'intermédiaire des experts qui interviennent dans les médias hébreux.

Dans cette émission nous suivons l'évolution des positions concernant le nouveau cycle de négociations et sur les positions de Netanyahu, Ben Gvir et Smotrich rejetant l'accord de cessez-le-feu et sur les divergences au sein de la coalition de droite, ainsi que sur les développements sur le terrain sur les deux fronts à gaza et au Liban.

 

En visite à Saint-Pétersbourg, le président du Parlement iranien s’est entretenu avec le président russe, ce dernier se réjouissant de l'adhésion permanente de l'Iran aux BRICS ainsi que de l'essor des coopérations Téhéran-Moscou.

En marge du Forum parlementaire des BRICS organisé à Saint-Pétersbourg, le président du Parlement iranien, Mohammad Baqer Qalibaf s'est entretenu dans l'après-midi de ce jeudi 11 juillet avec le président russe, Vladimir Poutine.

« Cher monsieur Qalibaf, chers ami, permettez-moi de vous souhaiter chaleureusement la bienvenue à Saint-Pétersbourg », s’est-il exprimé en ces termes.

« L’Iran est devenu membre officiel des BRICS et nous en sommes heureux. Nous avons soutenu l’adhésion de l’Iran à ce bloc », a-t-il ajouté.

La France doit économiser 25 milliards d'euros en 2024 pour redresser ses finances publiques, soit 5 milliards de plus que prévu, a annoncé le ministre français de l'Économie et des Finances. 

La France doit économiser 25 milliards d'euros en 2024 pour redresser ses finances publiques, soit 5 milliards de plus que prévu, a rapporté Europe 1 jeudi, citant le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire. 

Le ministre a fait savoir qu'il signerait "un courrier de notification à tous les ministères de leur plafond de dépenses" qui "va marquer une réduction de dépenses pour tous les ministères de 5 milliards d'euros par rapport à la loi de finances initiale". 

La  voulait économiser 20 milliards d'euros en 2024 dont 15 ont déjà été "exécutés", selon le ministre.

Concernant les 10 milliards d'euros d'économies à trouver, 5 milliards vont être demandés aux ministères, deux milliards aux collectivités locales et trois milliards devraient être dégagés par une taxation des rentes sur les énergéticiens, a détaillé Bercy (siège du ministère de l’Économie et des Finances, ndlr).

"C'est ma responsabilité pour maintenir l'objectif de 5,1% de déficit public en 2024"’, a-t-il souligné en rappelant ce cap fixé par le gouvernement.

"Le travail actuel est un travail de préparation pour construire un budget dans les temps, ce serait un mauvais signe pour les marchés qu'il n'en soit pas ainsi", a souligné une source du cabinet de Bruno Le Maire, selon Europe 1.

Le déficit public de la France a grimpé à 5,5% du PIB en 2023, soit à 154 milliards d’euros, selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Quant à la dette publique française, elle a atteint 110,6% du PIB fin 2023.

Rejetant les idées néocoloniales, Ouagadougou a décidé de se retirer de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), malgré son statut de membre fondateur, a annoncé le Premier ministre burkinabè.

Lors de la visite des représentants de l'ONU dans les pays du Sahel, le Premier ministre burkinabè, Kyelem de Tambela, a souligné que les pays du Sahel avaient une existence antérieure à la CEDEAO, et que leur retrait de celle-ci ne pourrait pas les impacter.