
تقي زاده
Le régime israélien détruit les maisons des Palestiniens
Les forces israéliennes ont encore démoli des maisons appartenant à des palestiniens dans les villages du désert de Néguev.
La démolition a eu lieu à proximité du quartier Arara.
Talab Abu Arar un bédouin, membre de la Knesset israélienne, a dénoncé ces actes de destructions abusifs. Il a déclaré qu'elles ont un but politique et démographique.
Dans la première semaine d’août, 14 bâtiments résidentiels palestiniens ont été détruits ou confisqués par les autorités israéliennes.
Ces maisons étaient situées dans la zone C de la Cisjordanie occupée.
Malgré les condamnations internationales, Israël continue de détruire des maisons palestiniennes sous différents prétextes.
Alep: les drones remplacent les chasseurs
Les drones de combat syriens ont pris d'assaut un convoi de véhicules blindés des terroristes dans l'Est d'Alep tout en pilonnant à coup d'artillerie lourde les positions des terroristes dans le sud et le sud-ouest de la ville.
Une contre -attaque des terroristes de Daech contre la banlieue-Est de Homs a également été repoussée, infligeant à ces derniers un lourd bilan de 60 morts.
Selon le centre de commandement de l'armée syrienne, les forces syriennes utilisent largement des équipements et munitions performants et le recours à cet arsenal sophistiqué leur a permis d'être plus efficaces dans leurs attaques contre les positions terroristes.
Les repaires terroristes sont ainsi visés par des drones téléguidés qui pourraient remplacer des chasseurs syriens. L'un des chefs de guerre terroristes a également été liquidé au cours des raids à l'artillerie contre les positions de Daech dans le Sud et le Sud-Ouest, le dénommé Chams Abou Mahmoud.
Pyongyang menace les USA d’une frappe nucléaire "à la moindre provocation"
La Corée du Nord a accusé les Etats-Unis d'avoir essayé de pénétrer sur son territoire et les a menacés d'une frappe nucléaire "à la moindre provocation", lit-on dans une dépêche de l'Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA).
"Les tentatives des Etats-Unis de pénétrer en Corée du Nord sont plus que jamais insensées", indique le texte. "Le droit à une frappe nucléaire préventive n'est pas un monopole des Etats-Unis", indique l'agence.
Les forces armées nord-coréennes sont passées au régime de frappe préventive afin de venir à bout de l'hystérie militaire incongrue de l'adversaire. Tous les groupes opérationnels sont prêts à porter un coup sans merci contre l'ennemi à la moindre provocation, selon Pyongyang.
Les Etats-Unis ont récemment déployé sur leur base de Guam trois bombardiers stratégiques B-2 Spirit capables de porter des armes nucléaires. Début août, le Pentagone a annoncé vouloir envoyer pour la première fois depuis dix ans dans le Pacifique une escadrille de bombardiers supersoniques à long rayon d'action et à géométrie variable B-1B Lancer.
Iran célèbre anniversaire de la naissance de l'Imam Reza (P)
Imam Reza (P), le huitième guide de chiites, né le 11 Dhu al-Qada (onzième mois du calendrier musulman) l'année 148 de l'hégire lunaire (765 AD) dans la ville de Medina, située dans la péninsule arabique.
En Iran, les gens chiites décorent les mosquées, les maisons, les rues et les magasins avec des ornements et des lumières colorées également distribué des bonbons dans le cadre des célébrations pour l'anniversaire de la naissance de l'Imam Reza (P).
Dans cette grande fête, certains artistes combinent mélodies traditionnelles avec des services religieux harmonieuses pour honorer ce grand Imam.
Cette ambiance festive est encore plus perceptible dans la ville sainte de Machhad (nord-est de l'Iran), où le mausolée de ce noble caractère est.
En outre, le mausolée "Shah Cheragh" (Roi de la Lumière), qui abrite les tombeaux des fils de l'Imam Musa al-Kazim (paix soit sur lui) et ses frères de l'Imam Ali ibn Musa al-Reza (P) à Shiraz (sud de l'Iran) sont remplis de lumière et de couleur pour marquer la naissance de l'Imam Reza (P).
Une cérémonie semblable a lieu au mausolée de Hazrat Masumeh (la paix soit sur elle), la sœur de l'Imam Reza (P), dans la ville sainte de Qom, au sud de la capitale iranienne, Téhéran.
Syrie : les terroristes échouent à briser le siège d’Alep
L’opération militaire de l’armée syrienne et de la Résistance se poursuit sur tous les axes de la province d’Alep. Les terroristes ont échoué à s'y infiltrer et à en briser le siège.
Une source d’observation dans la chambre centrale des opérations d’Alep a confié au journaliste de Fars News qu’au cours de ces dernières 24 heures, l’opération militaire se poursuivait sur tous les axes d’Alep mais que les attaques contre Hamdaniya et ses zones résidentielles s’étaient affaiblies en raison de l'évacuation progressive des 50 000 habitants de cette ville.
Un grand nombre de membres de l’armée syrienne et de leurs alliés ont rejoint les nouvelles lignes de combat à Alep et ils ont progressé, sur le terrain, dans la direction du sud.
L’aviation syrienne a bombardé à une dizaine de reprises les repaires des terroristes, repoussant ainsi leur avancée sur le front de la vieille ville d'Alep.
USA : un orateur de la prière et son assistant abattus à New York
Un orateur de la prière et son assistant ont été tués par balles samedi à proximité d'une mosquée de New York, a indiqué la police.
Maulama Akonjee, 55 ans, et son assistant Thara Uddin, 64 ans, ont été touchés à la tête peu avant 14 h, heure locale (18 h GMT) dans le quartier populaire d'Ozone Park, dans l'arrondissement du Queens.
Ils ont été transportés à l'hôpital Jamaica, où le décès de l’orateur Akonjee a été constaté et où l'autre homme, Thara Uddin, a succombé à ses blessures, a indiqué un porte-parole de la police à l'AFP.
La police a fait savoir qu'elle ignorait à ce stade les motivations du tireur.
"Rien n'indique dans l'enquête préliminaire qu'ils aient été pris pour cible en raison de leur foi", a dit la police à des journalistes.
Sarah Sayeed, du bureau du maire de New York, a cependant souligné que la police examinait ce double meurtre "sous tous les angles", y compris celui d'un crime motivé par la haine religieuse.
Un homme soupçonné d'être l'auteur des coups de feu, et actuellement en fuite, s'est approché des deux victimes par derrière. Des témoins ont vu le suspect s'éloigner du lieu avec une arme de poing après les tirs, d'après la police.
Selon des médias américains, les deux hommes ont été tués alors qu'ils sortaient de la Grande Mosquée Al-Furqan après la prière, en tenue religieuse.
"Quand un responsable religieux est tué en plein jour dans les rues du Queens, nous devons rester une communauté unie et demander justice !" a tweeté le représentant du quartier au sein du conseil municipal de la ville, Eric Ulrich.
Selon des images diffusées sur Twitter, quelques centaines de personnes se sont rassemblées samedi soir près de la scène du crime, criant : "Nous voulons que justice soit faite !"
Une importante communauté musulmane, principalement originaire du Bangladesh, vit à Ozone Park.
Bien que la police ait déclaré ne pas disposer pour le moment d'indices liant le double meurtre à la religion et ne pas avoir d'indications sur l'identité du tueur, des musulmans ont estimé que cet orateur de la prière et son assistant avaient été victimes de l'islamophobie.
"C'est un crime motivé par la haine, de quelque manière qu'on le considère", a déclaré Kobir Chowdhury, qui dirige la mosquée Masjid Al-Aman à Brooklyn, proche du lieu du double meurtre.
"C'est de la haine envers l'humanité, c'est de la haine envers les musulmans, ce sont des islamophobes qui causent ce genre de problèmes", a affirmé ce religieux.
"Quand on garde le silence, on permet à ces crimes de continuer", a déclaré Afaf Nasher, directrice de la principale association américaine de défense des musulmans, CAIR (Council on American-Islamic Relations), pour la région de New York.
Libération des passagers d'un hélicoptère pakistanais enlevés par des talibans
Cinq Pakistanais et un co-pilote russe ont été transportés vers Islamabad en hélicoptère, a-t-il ajouté, précisant qu'ils étaient tous en bonne santé.
Ils avaient été pris en otage le 4 août par des talibans après que leur appareil a été contraint à un atterrissage d'urgence dans la province de Logar (est). Les talibans avaient ensuite incendié l'hélicoptère et emporté ses passagers vers une zone sous leur contrôle, selon les autorités locales.
L'appareil, qui se rendait officiellement vers la Russie pour des opérations d'entretien, transportait plusieurs militaires pakistanais à la retraite et un copilote russe, avait affirmé le journal pakistanais Dawn. Le Pakistan avait ainsi demandé l'autorisation à Kaboul de voler dans l'espace aérien afghan.
La Libye tente de relancer ses exportations de pétrole
Si la Libye dispose des plus importantes réserves pétrolières d'Afrique --estimées à 48 milliards de barils--, elle est paradoxalement le pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui produit le moins.
Entre 2010 et 2016, la production de brut a été divisée par cinq, passant d'environ 1,5 million de barils par jour à 300.000 b/j.
Quant aux revenus pétroliers, ils ont fondu et devraient s'élever à maximum 4 milliards de dollars (3,6 milliards d'euros) en 2016, selon des sources du secteur pétrolier libyen.
C'est plus de dix fois moins qu'en 2010 où ils étaient estimés entre 45 et 50 milliards de dollars (40,4 à 44,8 milliards d'euros).
A peine quelques cargaisons de pétrole ont quitté les ports libyens ces derniers mois. Une catastrophe dans un pays qui dépend principalement de cette ressource pour le budget de l'Etat.
La plupart des terminaux pétroliers sur la Méditerranée sont bloqués depuis des années par la milice des Gardes des installations pétrolières (GIP) dirigée par Ibrahim Jadhran, un homme qui a régulièrement défié les différents pouvoirs libyens qu'ils soient à Tripoli ou dans l'Est.
Ce blocus coûte 30 millions de dollars (26,7 millions d'euros) par jour à la Libye, avait alerté en avril Mustafa Sanallah, patron de la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC).
Des attaques de Daech ont porté un coup de plus au secteur.
Dans ce paysage désolant, un lueur d'espoir est toutefois apparue fin juillet quand le gouvernement d'union nationale basé à Tripoli a trouvé un accord avec les Gardes du GIP pour rouvrir deux importants terminaux à Ras Lanouf et al-Sedra (650 kilomètres à l'est de Tripoli).
D'une capacité respective de 200.000 et 500.000 barils par jour, ces installations ont toutefois été endommagées par Daech.
Pour arracher cet accord à la puissante milice des GIP qui contrôle le Croissant pétrolier, le GNA a accepté d'accéder à ses demandes pour des écoles et des hôpitaux ainsi que de payer les salaires des Gardes.
Le Croissant pétrolier s'étend le long d'une baie en forme de croissant entre les localités de Marsa el-Brega et Bin Jawad, dans le nord-est du pays et regroupe les principaux ports pétroliers. Outre Ras Lanouf et al-Sedra, il comprend le terminal de Zueitina, fermé et celui de Marsa el-Brega qui fonctionne sporadiquement.
Dans la foulée de l'accord avec les GIP, la Compagnie nationale de pétrole a annoncé le 1er août se préparer à une reprise régulière des exportations de brut.
Syrie: Daech enlève 2000 civils en fuyant Minbej
L'alliance de combattants arabes et kurdes regroupés au sein des Forces démocratiques syriennes (FDS) a pris il y a une semaine Minbej aux extrémistes, dont un petit nombre continue de résister dans la cité située dans la province d'Alep.
Les extrémistes ont fui avec leurs otages vers la ville de Jarablous, un fief de Daech situé à une quarantaine de km au nord de Minbej, près de la frontière turque.
La Malaisie continuera à faciliter le processus de paix dans les Philippines
En 2014, les deux parties avaient conclu sous l'égide de la Malaisie un accord global historique sur le Bangsamoro, le territoire des Moros (musulmans des Philippines), qui visait à mettre fin à des années de conflit dans le sud du pays.
"La Malaisie reste engagée à faciliter le processus aussi longtemps que le souhaiteront les parties", a déclaré le Premier ministre dans un communiqué, promettant d'apporter toute son aide à Manille.
"Bien que des difficultés subsisteront très certainement, j'ai la conviction qu'une ère nouvelle de développement et de prospérité peut voir le jour dans le sud des Philippines sous la président de M. Duterte et grâce à la médiation honnête de la Malaisie", a-t-il ajouté.