تقي زاده

تقي زاده

l'offensive d'envergure des unités de l'armée syrienne et de leurs alliés du Hezbollah se poursuivent de plus bel dans le triangle Daraa/Quneitara/Damas avec en toile de fond la reprise du village Sabsaba , des hauteurs stratégiques de Tel Fatima dans le nord ouest de la province de Daraa. dans le même temps les sukhoi et les hélicoptères syriens bombardent très violemment les différente slocalités de Daraa à savoir Kfar nassaj , Kfar Chams, al Haran Cheikh Messkin, Ankhal, Jassem, et Daraa. l'épicentre du conflit se situe dans deux localités de Kfar nasseh et de Kfar Shams , soit deux localités que le Hezbollah tente de libérer . la progression des unités de l'armée et du Hezb dans cette région s'est soldée par la libération des hauteurs stratégiques de Tal Gharin, d Tal Fatima, des villages de al Habariya , de Hamrit et de Soltaneh. le fait d'avoir repris le contrôle de ces collines assure aux forces syro hezbollah une suprématie militaire importante en termes de puissance de feu. selon les sources militaires syriennes quelques 5000 obus de mortier ont été tirés ces trois derniers jours, et plus de 70 raids aériens ont été lancés contre les positions takfiries dans les localités de Kfar nassej, de Hamit, de Soltaneh, de Tal Gharin. outre l'artillerie lourde et l'aviation de l'armée syrienne et du Hezbollah, les drones de la Résistance ne cessent de sillonner dans le ciel de la région pour identifier les position et les repaires des terroristes. deux facteurs importants qui ont joué en faveur des forces syriennes et hezbollahies auront été le soutien ferme des unités d'artilleries, les raids aériens précis et très violents , la rapidité et la cohésion des combattant au sol et au coeurs de leurs offensives. le centcom des terroristes s'est réuni même en urgence en présence des commandants français, israéliens, américains, saoudiens, qataris britanniques, jordaniens et ceux de l'Asl et d'Al Nosra du Front islamique et d'autres milices actives à Daraa et à Quneitara. Au cours de cette réunion, les chefs de guerre occidentaux ont exprimé leur inquiétude des progrès réalisés ces dernières semaines par l'armée syrienne et ses alliés du Hezbollah , de la brigade des Fatemiyoun et de Zeynabiyoun . ces commandants ont très clairement fait signifier aux chefs takfiris ceci : les hauteurs stratégiques de Tal al Hara , soit les collines les plus hautes du sud de la Syrie ne devraient pas tomber entre les mains de Assad et de ses alliés . au cours de cette réunin, le centcom a décidé de décentraliser , d'atomiser la puissance du feu de l'armée syrienne depuis l'axe nord ouest de Daraa : les unites militaires du front al Nosra, de l'ASL et du Front islamique devront de la sorte prendre d'assaut sous les 48 heures à venir la ville de Sanmin ( contrôlée par les Assadistes ) , ville située dans le sud es de Kfar Chams et près de Tal Hara. si tal Hara retombe à nouveau entre les mains de l'armée, le rapport des forces change de fond en comble en faveur des assadistes et du Hezbollah : cela signifiera la fin des dessins tramés depuis plus de 1.5 dans le centcom jordanien des Takfiris. mais pourquoi Tal al Hara est-il important? les hauteurs de Tal al Hara situés dans les provinces du sud syrien surplombent sous un angle de 360 degrès la majeur partie de Daraa de Quneitara ainsi qu'une grande partie d'Israël .... Israël est mis presque au pas à Quneitara.....

Six civils ont été tués et deux autres blessés après qu'une bombe placée en bordure de la route a frappé lundi un véhicule dans la province de Nangarhar dans l'est de l'Afghanistan, a déclaré un porte-parole du gouvernement provincial.
"Un Toyota a sauté sur un engin explosif improvisé (EEI) sur une route à Pandullah, une localité du district d'Achin. L'explosion a tué six personnes sur la scène", a confié Ahmad Zia Abdulzai.

Deux civils à bord de la voiture ont été blessés et le véhicule a été détruit, a ajouté le porte-parole.

Les victimes ont été transférées vers un hôpital du district.

Les talibans utilisent souvent les EEI pour perpétrer des attentats suicides et des attentats à la bombe en bordure de route contre les forces de sécurité, mais les armes létales provoquent souvent des décès et des blessés chez les civils.

Lundi matin, deux enfants ont été tués et trois personnes blessées dans l'explosion d'un EEI à Jalalabad.

Environ 3700 civils ont été tués et plus de 6800 autres blessés dans les conflits et les attentats commis par les talibans en 2014, selon les statistiques publiées par la mission de l'ONU déployée dans le pays.

Les forces gouvernementales irakiennes ont lancé lundi une offensive d'envergure, mobilisant quelque 30.000 hommes et l'aviation, pour reprendre au groupe Daech la ville de Tikrit à 160 km au nord de Bagdad.
L'armée irakienne et les milices alliées du gouvernement ont avancé vers le nord ces derniers mois et remporté quelques victoires. Mais elles se sont cassées les dents plusieurs fois à Tikrit.

La bataille engagée lundi matin est "la plus massive" lancée depuis la prise par Daech en juin 2014 de pans entiers du territoire irakien, a déclaré à l'AFP un officier de l'armée irakienne, joint par téléphone.

"Des chasseurs-bombardiers, des hélicoptères et l'artillerie visent Tikrit pour assurer la progression (des forces pro-gouvernementales) et couper les voies de ravitaillement", a-t-il ajouté, précisant que les forces de sécurité avançaient "depuis trois directions".

Des militants se sont emparés mardi de deux champs pétroliers situés dans le centre du pays, a déclaré à l'AFP le porte-parole des gardes des installations pétrolières.
"Des militants ont pris le contrôle des champs d'Al-Bahi et Al-Mabrouk et sont en route pour prendre le champ d'Al-Dahra, après le retrait de la force qui était chargée de surveiller ces sites, faute de munitions", a déclaré le colonel Ali Al-Hassi.


Les sites d'al-Mabrouk et al-Bahi situés à quelque 200 km au sud de Syrte (environ 500 km à l'est de Tripoli) sont à l'arrêt depuis plusieurs semaines, en raison des violences et du fonctionnement ralenti des terminaux d'exportation.

Le personnel des deux sites a été évacué après une première attaque début février qui avait fait au moins 11 morts. Cette attaque qui n'avait pas été revendiquée a été attribuée également par les gardes des installations pétrolières à des militants.

Le champ d'al-Mabrouk est exploité par une coentreprise dirigée par la Compagnie libyenne de pétrole (NOC), dans laquelle le groupe français Total détient des parts.

Depuis plusieurs semaines, la Libye est le théâtre d'une série d'attaques revendiquées ou attribuées à Daech.

L'industrie pétrolière libyenne, autrefois lucrative, est durement affectée par l'anarchie dans le pays. Avant la révolte de 2011 qui a renversé le régime de Mouammar Kadhafi, la production s'élevait à plus de 1,5 million de barils par jour, représentant 95% des exportations du pays et 75% de ses revenus.

Mais la production est tombée à quelque 350.000 barils par jour en décembre alors que Fajr Libya a lancé une offensive meurtrière pour s'emparer de terminaux pétroliers dans l'Est libyen. L'armée a repoussé cet assaut, qui a provoqué des incendies dans des réservoirs pétroliers au terminal d'Al-Sedra.

Il faut cesser d'utiliser les droits de l'Homme comme paradigme sécuritaire, a déclaré lundi à Genève Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères, lors de la séance d'ouverture de la 28ème session du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies.
Il faut s'élever contre l'islamophobie et les extrémismes de toute sorte et les Nations Unies sont un cadre idoine pour mener à bien ce combat, a poursuivi M. Zarif, soulignant néanmoins la nécessité d'améliorer les organes, mécanismes et procédures du Conseil des droits de l'Homme.

En dépit des acquis des Nations Unies, la propension à la politisation y prédomine, avec des conséquences négatives sur les droits de l'Homme, a-t-il estimé.

Ce phénomène a laissé des traces indélébiles sur les procédures et mécanismes du Conseil des droits de l'Homme, avec la sélectivité ou encore le principe "deux poids deux mesures", a-t-il estimé.

Alors que l'on combat l'intolérance, y compris religieuse, on justifie des caricatures qui blessent l'ensemble des musulmans du monde entier sous prétexte de liberté d'expression, a déploré M. Zarif.

Le Conseil des droits de l'Homme a ouvert lundi à Genève les travaux de sa 28ème session ordinaire qui sera consacrée à une série de questions importantes, dont la croyance religieuse et la lutte antiterroriste, les changements climatiques, ainsi que les droits de l'Homme, notamment des femmes, enfants et handicapés.

L'événement "Israëli Apartheid Week", qui devait commencer lundi soir à la Vrije Universiteit Brussel (VUB), a été annulé. Lucas Catherine, principal orateur de la soirée d'inauguration, a refusé de se présenter après que l'université a demandé de modifier le contenu du programme.
L'"Israëli Apartheid Week" est une initiative qui est organisée simultanément dans plusieurs pays. L'événement veut attirer l'attention sur ce que veut dire "la politique israélienne d'apartheid à l'égard des Palestiniens" et appelle au "Boycott, désinvestissement et sanctions" à l'encontre du régime hébreu.

En Belgique, le Comac, le mouvement des jeunes du PTB, organisait notamment l'événement. "Notre programme était connu depuis longtemps déjà, mais ce n'est qu'après la tenue de contacts entre l'ambassadeur et le recteur, que ce dernier a commencé à formuler des réclamations", a indiqué Olivier Goessens de Comac.

L'université a demandé aux étudiants un débat plus ouvert, dans lequel davantage de points de vue différents seraient pris en compte. C'est principalement la discussion Skype avec l'activiste palestinienne Khalida Jarrar qui dérange les Israéliens. Celle-ci fait partie du Front populaire de Libération de la Palestine (PFLP).

Il faut cesser d'utiliser les droits de l'Homme comme paradigme sécuritaire, a déclaré lundi à Genève Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères, lors de la séance d'ouverture de la 28ème session du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies.
Il faut s'élever contre l'islamophobie et les extrémismes de toute sorte et les Nations Unies sont un cadre idoine pour mener à bien ce combat, a poursuivi M. Zarif, soulignant néanmoins la nécessité d'améliorer les organes, mécanismes et procédures du Conseil des droits de l'Homme.

En dépit des acquis des Nations Unies, la propension à la politisation y prédomine, avec des conséquences négatives sur les droits de l'Homme, a-t-il estimé.

Ce phénomène a laissé des traces indélébiles sur les procédures et mécanismes du Conseil des droits de l'Homme, avec la sélectivité ou encore le principe "deux poids deux mesures", a-t-il estimé.

Alors que l'on combat l'intolérance, y compris religieuse, on justifie des caricatures qui blessent l'ensemble des musulmans du monde entier sous prétexte de liberté d'expression, a déploré M. Zarif.

Le Conseil des droits de l'Homme a ouvert lundi à Genève les travaux de sa 28ème session ordinaire qui sera consacrée à une série de questions importantes, dont la croyance religieuse et la lutte antiterroriste, les changements climatiques, ainsi que les droits de l'Homme, notamment des femmes, enfants et handicapés.

lundi, 02 mars 2015 13:00

Marianne dans tous ses états!

La controverse faisait rage en ce début de week-end en Hexagone. La classe politique française n'avait pas, jeudi, de mots assez durs pour condamner l'escapade à Damas de quatre parlementaires français. Leur crime? Ils y ont rencontré, mercredi, le chef de l'Etat syrien, Bachar al-Assad. A Paris, c'était la levée de boucliers et l'union sacrée retrouvée. Le président socialiste François Hollande, son prédécesseur de droite Nicolas Sarkozy, des politiciens, de toutes tendances, ont vitupéré contre le voyage de ces hardis parlementaires qui ont eu l'outrecuidance d'aller écouter l'autre son de cloche: celui des dirigeants syriens voués aux gémonies par les responsables occidentaux et français. Hors de lui, François Hollande, «martial», affirme à partir de la capitale philippine où il est en visite officielle: «Cette initiative, je la condamne.» Et d'ajouter: «Il s'agit d'une rencontre entre des parlementaires français qui n'ont été mandatés que par eux-mêmes avec un dictateur qui est à l'origine d'une des plus graves guerres civiles de ces dernières années, qui a fait 200.000 morts.» M.Hollande pêche cependant par omission, qui feint d'ignorer que dans ce nombre de morts syriens, les trois quarts des victimes sont le fait - ce que le président français se garde de préciser - des rebelles (alliés aux jihadistes d'al-Nosra, c'est-à-dire Al Qaîda) que la France soutient par tous les moyens [politique et diplomatique notamment]. On reproche au régime syrien de s'être défendu contre des attaques extérieures.
En effet, pourquoi ce qui serait normal pour la France, se défendre contre des agressions menées par des mercenaires (le Pentagone a admis récemment que plus de 25.000 jihadistes de 80 nationalités combattent en Syrie) financés par des pays tiers, ne le serait pas pour la Syrie? Même le mensonge d'Etat est mis à contribution pour noircir au possible, un pouvoir déjà suffisamment sombre par lui-même sans qu'on en rajoute. Les quatre parlementaires français, cloués au pilori en France, sont des élus du peuple et en tant que tels, ils avaient le droit d'aller s'informer à la source au regard de la manipulation, des amalgames et de la désinformation qui entourent les faits en Syrie. Aussi, il semble que la France n'est pas la plus qualifiée pour donner des leçons à qui que ce soit, qui n'est pas étrangère à la longévité des dictatures africaines - souvent pires que celle qui opprime le peuple syrien - qui maintinrent le continent noir en état de sous-développement permanent. Le dossier noir de la colonisation française en Afrique est lourd, faut-il le rouvrir? En effet, combien les Français - qui s'enveloppent dans la toge de la vertu et se présentent en redresseurs de torts - sont oublieux de leurs forfaits ici et là-bàs dans le monde, sur lesquels ils ont été prompts à tirer le voile de la mansuétude, quand ils ne pardonnent aucune infraction commise ailleurs. L'arrogance et l'unilatéralisme sont les deux piliers de la politique étrangère sous [notamment] Nicolas Sarkozy et François Hollande. Un peu d'humilité ne ferait sans doute pas de mal aux dirigeants français qui seraient bien avisés de faire leur introspection sur les tragédies qu'ils ont provoquées ou soutenues [en Afrique et au Moyen-Orient] au nom de la France. Les parlementaires français (socialiste, droite et centriste) en allant en Syrie ont tenté de savoir, faire la part des choses. Or, Paris qui n'a jamais jugé politique, ni fait l'effort de comprendre le conflit syrien, soutenait en revanche une coalition syrienne (80% de ses membres sont des bi-nationaux, en particulier français, dont certains ont rompu avec la Syrie depuis des décades) pas du tout représentative, et ignora la vraie opposition au régime de Damas, celle que les médias occidentaux qualifient insolemment d'«opposition tolérée».
Donc, une opposition suspecte dès lors qu'elle lutte contre Assad de l'intérieur de la Syrie et n'émarge pas au cahier des charges occidental. Or, la fameuse «Coalition nationale syrienne» tiraillée entre ses divers parrains [France, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Arabie saoudite, Qatar, Turquie] s'est surtout ridiculisée et s'est fait déborder par ses drôles d'alliés d'al-Nosra. Or, la donne a changé en Syrie où le régime et l'armée syriens ont repris l'initiative. C'était donc le moment de savoir ce qui s'y passe réellement. De fait, analystes et observateurs estiment désormais que le président syrien fait partie de la solution. Au grand dam d'un Occident et d'une France qui ont fait de la chute de Bachar al-Assad une condition sine qua non, au moment où oppositions de l'intérieur et de l'extérieur semblent être tombées d'accord pour rechercher une solution politique au drame syrien. Mais l'impérialisme a-t-il jamais appris de ses échecs et ses défaites?

le site israélien Walla publie la récente évaluation de la CIA de la puissance militaire et technologique de l'Iran et estime que la RI est sur le point d'investir larfgelment dans le secteur aérosopatial. consécutivement à certains rapports qui évoquent un possible accord nucléaire entre l'Iran et les 5+1 , le site revient sur les " efforts iraniens qui se dirigent désormais vers la conception des mines maritimes , de petits sous marrins, des ramps de lancement de missiles , soit un ensemble de facteurs qui aide à élargir la puissance défensive de l'Iran près de ses côtes " " par ailleurs les iraniens fabriquent des missiles anti navire , des drones de combats qui renforcent sa puissance de feu " Walla mentionne ensuite les positions du président Rohani pour souligner : " Rohani n'a nullement dévié des principes de la politique sécuritaire iranienne. tout ce qu'il cherche, c'est de s'arroger le soutien de l'ensemble de l'appareil étatique aux négociations qu'il mène avec l'Occident dans le but d'alléger les sanctions anti iraniennes . le rapport de la CIA cité par Walla relève " les liens en nete croissance de l'Iran avec les milices armées en Irak et en Syrie , manière de bloquer l'extension de l'influence américaine au Moyen Orient et d'assurer la sécurité iranienne et celle de ses alliés " : " la guerre contre Daech a d'ailleurs exhorter Téhéran à mettre davantage d'accents sur cet aspect de la chose ". selon l'évaluation de la CIA, " l'Iran dispose d'un stock de missiles très sophistiqués capables de viser des régions dans l'est et le sud de l'Europe" . le rapport met également l'accent sur " la puissance cybernétique de la RII et les efforts iraniens censés élargir ses capacités aériennes et maritimes . " Walla accuse ensuite l'Iran, citant toujours la CIA, d'être en possession de six missiles de croisière capables de transporter des ogives nucléaires. le rapprt de la CIA publié par Walla semble constituer une riposte à un autre texte, publié la semaine dernière par Al Jazeera qui a provoqué un séisme da,ns le camp de Netanyahu. Al Jazeera a fait paraitre un rapport du Mossad où ce dernier s'oppose directement aux accusations de militarisme formulées sans cesse par Netayahu contre le nucléaire civil iranien. le rapport analytique du Mossad a été une riposte à la décision de Netanyahu de prononcer un discours devant le congrès : la guerre des rappots se poursuit de plus bel entre Netanyahu et Obama

"En cas de la moindre action militaire insensée de la part des Etats-Unis contre l'Iran, nous montrons aux Américains la véritable puissance de la République islamique", a réagi le commandant-adjoint de l'Etat-major des forces interarmes iraniennes.
" Le secrétaire d'Etat américain s'imagine que les menaces militaires pourraient dissuader l'Iran d'accéder à ses interêts incontestables", a déclaré le général Seyyed Masoud Jazayeri, en réaction aux déclarations insolentes de John Kerry lors de son interview dimanche avec la chaîne ABS. Au cours de cette interview, le secrétaire d'Etat américain a souligné qu'il faudrait régler la question nucléaire iranienne plutôt par la diplomatie que la stratégie militaire. " En cas d'un éventuel geste militaire insensé de la part des Etats-Unis, nous montrerons aux Américains la véritable puissance de la République islamique", a réitéré le général Jazayeri. Le chef du comité de la propagande défensive de l'Iran, en allusion à la puissance défensive et aux dispositions exceptionnelles et déterminantes des forces armées iraniennes, a fait remarquer que la défense catégorique et la force d'attaque vaste et sporadique de l'Iran obligeraient les Américains à se retirer de la zone stratégique de l'Asie de l'Ouest.