تقي زاده

تقي زاده

Le président Bachar al-Assad a examiné avec une délégation française, présidée par le membre du Sénat français Jean Pierre Vial, l’état des relations syro-françaises et les développements dans la zone arabe et en Europe, notamment en ce qui concerne le terrorisme.
Lors de cette rencontre, les membres de la délégation française ont exprimé le désir de nombreux députés français de visiter la Syrie pour s’informer de la réalité et la transmettre au peuple français , mettant l’accent sur la nécessité de coordonner et d’échanger les informations entre les deux pays quant aux questions d’intérêt commun.


Ils ont souligné l’importance de l’action commune dans les différents domaines pour l’intérêt des deux peuples, français et syrien, assurant que le rétablissement de la sécurité et la stabilité dans la région et la coopération avec la Syrie pour mettre fin au terrorisme qui menace l’Europe aussi sont dans l’intérêt de la France.

Pour sa part, le président al-Assad a insisté que la Syrie, au fil de l’histoire, était et restera toujours pour le développement et le renforcement des relations avec les autres pays sur la base du respect de la souveraineté et de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui, mettant l’accent sur le rôle important que jouent les parlementaires dans la rationalisation des politiques gouvernementales de façon à réaliser les intérêts des peuples.

Valls critique la rencontre

Manuel Valls a condamné jeudi "avec la plus grande vigueur" l'initiative de parlementaires français qui ont rencontré le président syrien Bachar al-Assad.

"Je veux condamner avec la plus grande vigueur cette initiative", a lancé le Premier ministre sur BFMTV-RMC.

Selon le porte-parole d’OEAI, Behrouz Kamalvandi, Salehi doit se réunir à Genève pour répondre Moniz « questions techniques » de pourparlers sur le nucléaire.

Le secrétaire américain, quant à lui, se joindre aux pourparlers sur le programme nucléaire du pays perse à la demande du secrétaire d'Etat américain John Kerry.

Les réunions à Genève font partie des dialogues qui empêchent l'Iran et le G5+1 (États-Unis, la Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l’Allemagne) pour tenter de parvenir à un accord par prochaines 30 Juin, pour mettre fin à des différends occidentaux sur la nature du programme nucléaire de Téhéran.

Antoine Bara, écrivain chrétien libanais, dans son livre «زینب صرخة أکملت مسیرة» sur Hazrate Zeinab (SA), a déclaré qu’il avait commencé ce livre en 1986 et que ce livre avait pris 25 ans de recherches dans 365 livres de références.

Antoine Bara a expliqué : « Ce livre a été traduit en persan par Gholam Hossein Ansari et publié aux Éditions internationales. Ce livre était très difficile ainsi que l’étude et la comparaison des différentes revayats, car la personnalité d’Hazrate Zeinab (SA) est une personnalité complexe.»
« Mes sources, a-t-il dit, étaient plus chrétiennes que chiites, qui sont très affectives, ou sunnites, qui sont très partiales et considèrent l’évènement d’Ashura comme une sédition. »
« Les chrétiens d’Orient connaissent bien les Ahl-ul-bayt (AS) et le sens du martyre, mon objectif était essentiellement de montrer comment a réagi Hazrate Zeinab (SA) à cet évènement auquel elle avait participé volontairement», a-t-il ajouté.
L’ écrivain chrétien libanais a précisé : « Hazrate Zeinab (SA) lors de son mariage avec Abdoullah ben Jaafar, avait posé comme condition de pouvoir aller voir son frère quand elle le voudrait et c’est avec l’autorisation de son mari qu’elle a accompagné l’Imam Hossein (as) à Karbala. »
« Hazrate Zeinab (SA) dans son discours au palais de Yazid et d’Ebn Marjane, a réussi à faire aboutir le mouvement de l’Imam Hossein (AS) qui sans elle, aurait peut-être été oublié », a-t-il déclaré.

« L’islam est une religion de paix et de fraternité et l’idéologie takfiriste n’est pas islamique », a déclaré un religieux mauritanien.

Le site d’information youm7 a annoncé qu’Abdoullah ben Bieh, chef de l’Association pour la paix dans les sociétés islamiques, avait déclaré que l’islam était une religion de paix et de fraternité, que l’idéologie takfiriste n’était pas islamique et que les propagateurs du takfirisme devaient être poursuivis en justice.
« Personne n’a le droit de recourir à la violence et nous ne devons pas donner aux takfiristes l’occasion de jouer à ce jeu de guerre », a-t-il dit.

samedi, 28 février 2015 08:09

le troisième tour des négociations

Lancement du 3ème round des consultations Zarif/Kerry. Selon Farsnews, le troisième tour des consultations des chefs de la diplomatie iranienne et américaine, respectivement, Mohammad-Javad Zarif et John Kerry, en présence du Président de l'OIEA, Ali-Akbar Salehi, et du secrétaire américain à l'Energie, Ernest Moniz, a débuté, à Genève, il y a quelques minutes. Dimanche soir et lundi matin, les deux parties ont mené des heures de discussions, en vue de dissiper les divergences, sur l'accès à un accord nucléaire global.

Genève: le troisième tour des négociations Salehi/Moniz

Le troisième tour des négociations nucléaires techniques entre l'Iran et les Etats-Unis, présidées par le président de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique et le secrétire américain à l'Energie, Ernest Moniz, a pris fin ce lundi à Genève Le troisième tour des négociations Salehi/Moniz avait débuté à 14 heures, heure locale à Genève, simultanément à la réunion des ministres iranien et américain des Affaires étrangères. Après deux heures de discussions, ils se sont joints aux négociations Zarif/Kerry. Les hauts responsables de l'énergie atomique de l'Iran et des Etats-Unis avaient également mené deux tours de discussions samedi et dimanche. Les analystes occidentaux voient dans la participation du président de l'OEIEA et du secrétaire américain à l'Energie aux récentes négociations le renforcement de l'aspect technique de ces négociations, la qualifiant de signe de changement dans le processus des pourparlers. Depuis vendredi, les délégations iranienne et américaine mènent d'intenses tractations à Genève. Ce lundi, les vice-ministres iraniens des Affaires étrangères, Abbas Araqchi et Madjid Takht Ravantchi, ont une rencontre bilatérale avec le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Serguëi Riabkov à Genève.

Nucléaire: "un long chemin à parcourir"(Zarif)

« On a avancé dans une certaine mesure sur certains points, mais nous avons encore un long chemin devant nous, pour parvenir à l’entente définitive », a affirmé le Ministre iranien des Affaires étrangères qui parlait des négociations nucléaires de Genève.

Selon l’agence Tasnim, le chef de la diplomatie iranienne Mohammad-Javad Zarif a parlé devant les journalistes des négociations nucléaires avec les responsables américains. « Au cours de ces trois derniers jours, nous avons eu des négociations sérieuses, efficaces et constructives, avec les pays des 5+1, surtout avec la partie américaine qui avait participé à ces pourparlers avec ses Ministres des Affaires étrangères et de l’Energie », a déclaré Zarif aux journalistes. « Sur certains points, l’entente s’est obtenue dans une certaine mesure, mais nous avons encore un long chemin devant nous afin de parvenir à l’entente définitive », a souligné le Ministre pour dire :

« Evidemment, aucune entente ne sera obtenue, tant qu’il n’y aura pas d’entente sur toutes les questions. » « De ce fait, les négociations vont se poursuivre et nous avons décidé de continuer les négociations la semaine prochaine en marge du Conseil des Droits de l’Homme », a poursuivi Mohammad-Javad Zarif. Le 3ème tour des négociations entre Zarif et John Kerry a eu lieu ce lundi à 14h, heure locale, à l’hôtel Wilson de Genève. Tout comme les 1er et second tours, le patron de l’Organisation Iranienne de l’Energie Atomique (OIEA), Ali-Akbar Salehi et le Secrétaire américain à l’Energie Ernest Moniz, ainsi que les vice-ministres des Affaires étrangères des deux parties, ont participé à ces négociations. Les négociations des Ministres des Affaires étrangères de la RII et des Etats-Unis ont pris fin ce lundi à Genève.

Selon Al-Hayat, le changement radical de la position de l’Occident, fait du président Bachar al-Assad le gagnant des événements de la Syrie.

Le quotidien arabophone, Al-Hayat qui paraît à Londres a publié dimanche 15 février un article signé par Elias Harfoush qui souligne que désormais l’Occident modifie radicalement son approche quant à la crise syrienne, et considère le gouvernement du président Bachar al-Assad comme une partie de la solution et non pas une partie du problème.

« Quand le président Bachar al-Assad réexamine les événements qui se sont produits depuis quatre ans, et quand il voit les puissances occidentales revenir sur leur position initiale, il a des raisons d’être fier de son action », écrit l’auteur.

L’auteur estime que c’est une victoire très important pour le président Assad de voir l’Occident changer d’approche envers son gouvernement, en revenant sur sa position prise il y a quatre ans au début de la crise. L’auteur de l’article ajoute qu’il ne faut pas minimiser l’importance des déclarations de l’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura qui confirme, lui aussi, que le gouvernement de Damas est une partie de la solution de la crise syrienne, bien que les opposants au gouvernement d’Assad veulent le nier de toute leur force.

Selon l’article du quotidien Al-Hayat, aujourd’hui, le gouvernement du président Bachar al-Assad n’est plus considéré comme un obstacle devant les efforts politiques pour trouver une solution à la crise. Al-Hayat ajoute que la position du président des Etats-Unis Barack Obama qui exigeait autrefois le départ de Bachar al-Assad, s’est transformée, et il appelle aujourd’hui implicitement Assad à rester à la tête du pouvoir. L’article conclut qu’il s’agit d’un changement majeur, car Washington soutient maintenant les initiatives de la Russie pour résoudre la crise en Syrie, tandis que l’Occident avoue que la crise syrienne ne serait résolue que par la diplomatie, ce qui signifie en quelque sorte que l’Occident accepte les conditions du président Bachar al-Assad pour la sortie de la crise.

Dès le début de la crise en Syrie, le président Bachar al-Assad annonçait qu’il se battait contre le terrorisme, aujourd’hui les puissances occidentales ont fini par accepter cette cause, en se disant hostile à l’organisation terroriste de Daesh. Ainsi, la guerre contre Daesh est devenue un point de convergence entre les puissances occidentales et le gouvernement du président Bachar al-Assad.

D’après l’auteur de cet article, le changement de la position des gouvernements occidentaux envers Damas, n’est rien de moins qu’une révolution. Il écrit : « Aujourd’hui, ce sont les Américains qui soutiennent l’initiative de Moscou pour résoudre la crise en Syrie. Le porte-parole du Département d’Etat américain a annoncé explicitement que les opposants syriens ont intérêt à participer aux discussions organisées à Moscou. Le ministre russe des Affaires étrangères a eu donc raison de dire que l’Occident admet qu’il n’y a qu’une solution diplomatique pour mettre fin au conflit en Syrie. »

Au Yémen, des nouvelles contradictoires ont été diffusées sur la livraison de bombardiers de type "Sukhoï", à Ansarallah, dans le port d'Al-Hadida.

Selon Farsnews, citant certains médias yéménites, un dénommé Ghamdan Al-Youssoufi, journaliste de sa profession, souligne que le mouvement d'Ansarallah a reçu un certain nombre de bombardiers de type "Sukhoï", dans le port d'Al-Hadida. Ce journaliste a prétendu que le gouvernement yéménite aurait, récemment, acheté à la Russie ces appareils, et qu'aujourd'hui, ils auraient été transférés par un bateau ukrainien, dans le port d'Al-Hadida, avant d'être livrés à Ansarallah.

Le mouvement d'Ansarallah n'a pas, jusqu'à présent, confirmé la nouvelle, mais certains sites web yéménites, dont Rasad 24, Mandab Press, Huna aden et Hamrin News ont diffusé cette nouvelle.

Les allées et les venues ne cessent de se multiplier au Kurdistan irakien et pour cause !
les informations déjà diffusées sur la création d'une base aérienne US aux portes de l'Iran et à Erbil se précisent . c'est évidemment Daech et sa prétendue lutte américaine contre cette créature de la CIA qui sert de prétexte à la création de cette base. les informations sur la construction de cette base se succèdent alors que le représentant de la Maison Blanche pour la lutte contre le terrorisme évoque, lui, les possibilités de plus en plus élargies d'une intervention terrestre US en Irak contre " les miliciens". Les Etats Unis disent vouloir ouvrir cette base pour à l'effet du décollage plus rapide de leurs chasseurs de combats en mission permanente contre Daech. Helgart Hekmat, porte parole du ministère des peshmargas , lui , se montre d'ailleurs bien rassurant : " cette base se situe près d'Erbil . les avions de chasse s'y positionneront mais ce n'est de cette base que ces appareils décollerontpour bombarder Daech "!! le journal Hurriyat se réfère à d'autres sources pour affirmer : " les Américains sont sur le point d'acheter des terrains à Erbil pour bâtir une base aérienne et s'en servir pendant les 15 années à venir. Les Etats Unis ont déployé des hélicoptères Blackhawk de l'armée de l'Air US à Erbil dès le mois février. les chasseurs américains et ceux de leurs alliés occidentaux ont déclenché leurs bombardements début aôut contre les positions de Daech, bombardements qui ont visé au lieu des positions de Daech , les infrastructures syro irakiennes. pour les analystes politiques , cette base serait desitinée essentiellement ux frappes que les Etats Unis envisagent de mener contre les sites nucléaires iraniens.

mardi, 17 février 2015 01:00

Daech, une invention du Mossad !

Daech a été formé par l’appareil d’espionnage Mossad du régime sioniste, a reconnu une autorité israélienne. Les internautes ont posté sur les pages de Facebook, une vidéo montrant qu’une autorité sioniste au sein du Mossad fait part du lien entre cette organisation et les daechistes, écrit le site d’information 24 des Emirats arabes unis (E.A.U). Ne pouvant pas trouver un nom en hébreu pour les daechistes, une autorité du régime sioniste a choisi un nom arabe pour montrer que ce groupe est lié au régime sioniste. Daech est l’abréviation des services secrets pour l’appareil d’espionnage du régime sioniste. Le Mossad a choisi le nom de Daech après voir envoyé une lettre à l’appareil de renseignement de la Grande-Bretagne. La réponse était tardive mais finalement on a désigné le nom de Daech pour les terroristes en question. La question de l’aide qu’octroie le régime sioniste aux terroristes actifs en Syrie est censurée dans la plupart des médias israéliens. L’hôpital de Bouira en Israël a soigné plus de 200 terroristes transférés depuis la Syrie. Le régime sioniste soigne les terroristes actifs en Syrie; il les forme et les arme.

ministre syrien des Affaires étrangères affirme que le régime sioniste a violé à maintes reprises la résolution 350. Cité par le site web de Syrie Al’an, le ministre syrien des Affaires étrangères, Fayçal Miqdad a indiqué dans un rapport que la résolution 350, adoptée en 1974, par le Conseil de sécurité décidant le déploiement des forces internationales sur les hauteurs du Golan, superviser le respect du cessez-le-feu et empêcher les heurts dans cette zone occupée, a été à plusieurs reprises violée et transgressée par le régime sioniste. Le chef de la diplomatie syrienne qui l’a réitéré lors d’une rencontre avec Purna Chandra Thapa, le nouveau commandant des forces internationales, en mission sur les haueurs du Golan, a rappelé : « Le gouvernement syrien respecte cette résolution 350 du Conseil de sécurité et ne lésine sur aucun effort censé aider ces forces internationales pour qu’elles puissent accomplir, de la meilleure manière, leur mission et devoir. » al-Miqdad a dont demandé à l’Onu de faire pression sur le régime sioniste pour qu’il respecte, lui aussi, cette résolution, d’autant plus que ce régime coopère encore et toujours avec les groupes terroristes actifs en Syrie. « L’ONU doit entreprendre des mesures nécessaires pour mettre fin à ces coopérations. » a ponctué Feissan Miqdad.