
تقي زاده
Accord anti-dollar russo-indien
La Russie et l’Inde sont en train d’examiner les moyens susceptibles de supprimer le dollar des transactions bilatérales. Selon un accord conclu en octobre entre la Russie et l’Inde les deux pays sont en train d’examiner la question de l’élimination du dollar de leurs transactions commerciales. Pour définir le mécanisme de l’utilisation du rouble russe et de la roupie indien dans leurs transactions et éliminer le dollar les deux parties sont en train de mener des consultations dans le cadre d’un groupe de travail formé à cet effet, a écrit le quotidien indien Hindu Business Line. Actuellement le volume des échanges commerciaux entre les deux pays s’élève à 11 milliards de dollars par an. Ce groupe de travail est composé d’autorités gouvernementales, de banques centrales et de banques d’importation et d’exportation de ces deux pays. Jusqu’à présent ce groupe de travail a tenu des sessions. Les deux pays ont l’intention de remplacer le dollar par leur monnaie nationale dans leurs échanges commerciaux bilatéraux et d’augmenter le volume de ces échanges. On s’attend à ce que ce groupe de travail prévoit un mécanisme pour 2015 et 2016 pour changer la devise qu’utilisent actuellement la Russie et l’Inde dans leurs transactions.
Daech et la pénurie de kamikazes !
Les sources proches des groupes terroristes font état d’une crise au sein de Daech à qui manque de kamikazes à Raqqa ! Des sources proches des groupes terroristes en Syrie révèlent que ces derniers temps, le groupe terroriste de Daech se trouve devant une nouvelle crise interne à Raqqa en Syrie, car il y manque de candidats aux attentats suicides. A Raqqa, fief des terroristes de Daesh dans le nord de la Syrie, les chefs de l’organisation terroriste étaient déjà aux prises avec la crise de défection des dizaines de leurs membres. Maintenant, ils ont un autre nouveau problème : les sources proches de Daech révèle que les chefs de l’organisation ont du mal à convaincre leurs membres de se présenter candidats aux opérations suicides. La crise est plus grave, car parmi les membres qui refusent de se présenter comme candidats aux opérations suicides, il y a aussi des membres, ressortissants d'autres pays, ce qui est considéré comme un coup dur contre Daech.
D’après des sources locales à Raqqa, Daech se trouve actuellement face à une crise dans cette ville syrienne en raison des désertions successives de ses membres depuis plusieurs semaines, surtout parmi les candidats potentiels aux opérations suicides. Daech a installé des postes de contrôle sur les routes autour de Raqqa pour identifier, arrêter et exécuter les déserteurs. Selon des sources locales, les chefs de Daesh recrutent les candidats aux opérations suicides plutôt parmi les membres de nationalités étrangères, étant plus crédules et plus candides que les autres. D’après ces sources, les cas de désertion et de refus de se présenter candidat aux opérations suicides se multiplient après la défaite de Daech à Kobani dans le nord de la Syrie. Depuis cette défaite militaire, certaines sources indiquent que les membres de Daech n'obéissent plus comme avant aux ordres de leurs commandants, et craignent d’être tués par les combattants kurdes.
Washington accuse la Russie
Les Etats-Unis ont accusé vendredi la Russie de continuer à déployer des armes lourdes dans l'est de l'Ukraine, avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu signé jeudi.
Nous sommes très préoccupés par la poursuite des combats (...) et par les informations concernant des chars et des systèmes de missiles supplémentaires venus ces derniers jours de l'autre côté de la frontière, de Russie, a déclaré la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki.
L'armée russe a déployé une importante quantité de (pièces) d'artillerie et de lance-roquettes multiples (...) Nous sommes sûrs qu'il s'agit de systèmes militaires russes, pas des séparatistes, a encore accusé Mme Psaki, en lisant un communiqué lors de son point de presse quotidien.
Daech attaque une base abritant des soldats américains
Les combattants de groupe Daech ont attaqué vendredi une base militaire de l'ouest de l'Irak sur laquelle quelque 300 soldats américains entraînent les forces de sécurité locale, selon le Pentagone et des responsables irakiens.
Aidées par les avions de la coalition internationale, les forces irakiennes ont repoussé l'attaque contre l'imposante base aérienne d'Al-Assad, située dans la province d'Al-Anbar, en grande partie aux mains de Daech, selon ces sources.
Vers 07H20 (04H20 GMT), une brigade de Daech (l'acronyme arabe de l'EI) a attaqué un local de l'armée irakienne sur la base aérienne d'Al-Assad, a indiqué un communiqué de l'armée américaine.
Les forces de sécurité irakiennes ont repoussé l'attaque, et tué huit assaillants, selon ce communiqué.
Un colonel irakien et un responsable du ministère de la Défense ont précisé qu'au moins sept kamikazes à bord d'un véhicule militaire faisaient partie du commando rebelle.
Les musulmans du Myanmar n'ont plus le droit de voter
Le gouvernement birman a privé les musulmans Rohingya de participer au référendum sur la Constitution du pays.
Le président birman, Thein Sein, a déclaré mercredi que les papiers d'identité provisoires des Rohingya n'ont plus valable à la fin du mois de mars.
Cette mesure du gouvernement birman est en contradictoire avec cette prise dans le passé qui permettait aux musulmans du Myanmar de participer aux élections.
Un centre islamique incendié au Texas
Un incendie a en partie détruit vendredi un centre islamique de la ville américaine de Houston, au Texas (sud), et la police pense que le sinistre est d'origine criminelle, ont indiqué des membres du centre.
Le sinistre est survenu trois jours après que trois étudiants musulmans ont été assassinés par un homme qui se dit contre les religions, à Chapel Hill, dans le sud-est des Etats-Unis.
La totalité d'un bâtiment appartenant à l'Institut islamique Quba de Houston a été ravagée par les flammes vendredi, a indiqué le centre sur sa page Facebook.
"Les enquêteurs ont clairement dit que l'origine de l'incendie n'était pas accidentelle", ont poursuivi les responsables.
Un responsable a précisé à la chaîne ABC que le bâtiment était utilisé pour entreposer des livres et des meubles.
Sollicités par l'AFP, les pompiers de Houston n'étaient pas disponibles dans l'immédiat pour commenter les faits.
Les forces syriennes contrôlent un triangle clé, selon les médias
L'armée syrienne contrôle désormais un triangle clé réunissant les trois principales provinces du sud, dont celle de la capitale, Damas, a rapporté jeudi un média syrien.
Cette situation a été rendue possible grâce à la dernière campagne menée par les forces gouvernementales et lancée dimanche pour couper les itinéraires d'approvisionnement des rebelles et pour éprouver le Front Al-Nosra, lié à Al-Qaïda, ainsi que les groupes partageant les mêmes vues, qui sont actifs dans cette région, a indiqué un média local.
Le triangle comprend des bastions clés que contrôlaient les rebelles et qui sont situés dans les zones rurales au sud de Damas, au nord de Daraa et au sud-est de Al-Qunaitra.
Selon des experts militaires, la campagne militaire menée dans le sud du pays s'inscrit dans le cadre d'une offensive majeure et a pour objet de sécuriser les faubourgs méridionaux de la capitale et de miner les forces rebelles des zones frontières.
La campagne a permis à l'armée syrienne de reprendre le contrôle de zones clés dans les trois provinces, tout en poursuivant sa progression dans d'autres localités, précisent les médias.
Le nombre des élèves musulmans en Grande-Bretagne a doublé
L’analyse des bilans officiels du recensement de la population en Grande-Bretagne montre que le nombre des musulmans en Grande-Bretagne et dans le pays de Galles a augmenté sur un rythme plus remarquable que celui de la population.
Selon BBC, ces bilans montrent qu’un sur 12 des élèves en Grande-Bretagne est musulman.
Les bilans montrent également que le nombre des musulmans en Grande-Bretagne qui était en 2001, d’un million 550 mille s’est élevé en 2011 à quelques 3 millions.
A présent, quelques 330 mille élèves musulmans fréquentent les écoles de Grande-Bretagne.
Les rapports montrent que la majorité des musulmans en Grande-Bretagne est jeune dont la moitié est née dans le pays et se considère comme britannique.
Ces bilans montrent également que 46% des musulmans en Grande-Bretagne vivent dans les zones défavorisées, ce qui met en cause les allégations britanniques en ce qui concerne l’égalité des droits dans ce pays.
Graver Institut islamique aux États-Unis dans la nouvelle Loi islamophobe
"Jusqu'à présent, de ce que je vois, je dois dire que ce feu a été mis intentionnellement ", a souligné Zahid Ahsan, l'un des leaders de l’institut.
Les membres du centre islamique, qui sert d'école pour les garçons et un des dirigeants communautaires de formation et du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR, pour son sigle en anglais) États-Unis ont exhorté les autorités à ouvrir une enquête à propos de la tragédie qui se est produite tôt vendredi.
Dans la même veine, Zahid a fait référence à l'acte de vandalisme a eu lieu jeudi nuit lorsque, selon ses déclarations, un homme a crié une série avec des slogans racistes.
Les pompiers de cette localité stipulent que, à la suite de l’incendie, la cour de l'immeuble a été complètement détruite.
Cela se produit quelques jours après trois résidents musulmans en Caroline du Nord, dans l'Ouest américain ont été abattus, un crime qui a choqué les musulmans à travers le monde.
La triple assassiner eu lieu mardi soir, heure locale, à proximité d'un campus de l'Université de Caroline du Nord appartement, où ils étudiaient deux des victimes, Deah Barakat, étudiant en chirurgie dentaire, 23, et son épouse Yusor Mohammad Abu-Salha, 21. Yusor sœur, Razan, 19, était un étudiant d'une autre université voisine.
Bien que la police des États-Unis affirme que l'auteur présumé du massacre, Craig Stephen Hicks, 46 exécuté crime horrible après une dispute au sujet du stationnement, mais ses messages dans votre Facebook démontrant leur caractère antireligieux, comme il lui-même défini comme « anti théiste ».
Une secrétaire nationale de l’UMP favorable à l’interdiction du voile à l’université
Lydia Guirous, secrétaire nationale de l’UMP aux valeurs de la République et à la laïcité, s’est dite cette semaine en faveur de «la neutralité» à l’université aux portes de laquelle ne doit «pas s’arrêter la laïcité», une position qui n’est pas unanime au sein du parti.
«La laïcité ne doit pas s’arrêter aux portes de l’Université. Tout comme l’école publique, l’Université publique doit être sanctuarisée et la neutralité doit s’imposer», écrit Lydia Guirous, secrétaire national aux valeurs de la République.
«La loi de 2004, interdisant les signes ostentatoires d’appartenance religieuse dans l’enseignement secondaire (BTS et IUT compris) doit aujourd’hui s’étendre à l’enseignement supérieur afin de garantir la neutralité religieuse et permettre un enseignement sans pression, sans intrusion du fait religieux», poursuit Mme Guirous, auteur du livre «Allah est grand, la République aussi».
«L’argument qui consiste à dire que nous ne pouvons pas l’interdire à l’université, car il s’agit de majeurs et donc d’adultes, n’est pas recevable. Faut-il rappeler que dans les lycées, les BTS et IUT, une bonne partie des élèves sont déjà majeurs et le voile y est pourtant interdit?», a-t-elle ajouté.
Cette position n’est pas unanime à l’UMP, où l’on précise que Mme Guirous s’exprime «à titre personnel».
Hervé Mariton par exemple avait indiqué qu’il «tolérait le voile discret à l’université».
Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, avait annoncé le 7 février que son parti allait organiser «une journée de travail sur la question +islam en France ou islam de France+».