تقي زاده

تقي زاده

mercredi, 11 février 2015 01:00

En route pour la guerre, les yeux fermés

Il est clair, aux yeux de toutes et de tous, que l’Occident impérialiste accorde tous ses soins à la préparation d’une guerre à l’Est de l’Europe. La première étape se déroule depuis un certain temps. À travers les “sanctions économiques”, il s’agit d’épuiser la Russie comme on le ferait d’un taureau de combat qui, sous les banderilles d’hommes à pied, puis sous la pique du picador, perd peu à peu son sang et sa vigueur, devenant ainsi plus apte à entrer dans le jeu du torero.

C’est déjà ainsi qu’il en était allé avec l’Irak de Saddam Hussein, jusqu’au moment où il a été possible de lui porter une estocade fatale dont ce pays n’a plus aucune chance de se remettre douze ans plus tard… Les criminels qui ont réussi ce coup fameux, capable de produire un chaos d’une telle permanence, n’ont bien sûr pas été inquiétés. Tout au contraire, ils auront été des pionniers : ils ont suscité des vocations : Sarkozy hier, en Libye ; Hollande aujourd’hui, aussi bien contre la Syrie que contre la Russie… Et bien d’autres, ici ou là, notamment en Pologne et en Ukraine.

L’Europe n’attend plus que de trouver son chef…

Quant à son maître, elle n’a plus depuis longtemps à le désigner. Il se désigne lui-même : ce sont les États-Unis.

Dans ce contexte, il ne sera pas inutile de relire le grand stratège U.S. d’origine polonaise, Zbigniew Brzezinski, qui écrivait dans Le Grand échiquier – L’Amérique et le reste du monde, paru en 1997 : “À bien des égards, la suprématie globale de l’Amérique rappelle celle qu’ont pu exercer jadis d’autres empires, même si ceux-ci avaient une dimension plus régionale. Ils fondaient leur pouvoir sur toute une hiérarchie de vassaux, de tributaires, de protectorats et de colonies, tous les autres n’étant que des barbares… Pour anachronique qu’elle puisse paraître, cette terminologie peut s’appliquer à certains États situés dans l’orbite américaine.” (pages 34-35)

En France, il est assez clair que la population dort tandis que la guerre est déjà déclarée. La souveraineté n’est plus qu’un vague rêve auquel elle ne se risque plus du tout. Mais la bourgeoisie nationale dort elle aussi : ce qui est tout de même plus étonnant. Elle dort sur ses richesses, elle dort sur son patrimoine mobilier et immobilier. Elle dort sur l’argent qu’elle a placé un peu partout dans le monde, frauduleusement ou très honnêtement : si les choses tournent mal, elle rejoindra cet argent investi, ces villas qu’elle a acquises, qui au Maroc, qui ailleurs, ces enfants qui sont installés aux Etats-Unis, dans les émirats, etc…

Le temps de la grande recomposition ne lui fait pas peur. Et donc, elle dort.

Comme Zbigniew Brzezinski le remarquait en 1997 : pour calmer le monde, il ne faut pas grand- chose. Ainsi, Rome disposait-elle de très peu de moyens au regard des superficies à couvrir, à pied ou à cheval :

“À l’apogée de l’empire, l’effectif des légions romaines déployées à l’étranger se montait à trois cent mille hommes.” (page 35)
Or, maintenant, avec les avions, les drones, les fusées interplanétaires et les satellites, il paraîtrait ne plus s’agir que d’un jeu d’enfant pour savoir intervenir pertinemment à la minute un peu partout sur la planète. De sorte que notre géostratège émérite peut s’émerveiller à bon compte :

“Coïncidence remarquable, en 1996, la puissance prépondérante, les États-Unis, malgré la différence d’échelle entre les populations, protégeait les marches de son domaine à l’aide d’un contingent de 296 000 soldats professionnels.”

Mais le pire n’est peut-être pas là.

Il est dans le somnambulisme généralisé de nos contemporains endormis du continent européen : de vrais abruti(e)s des… droits de l’homme.

Cette dernière vocation trouve elle aussi son explication “romaine” chez Zbigniew Brzezinski : “Un facteur psychologique important contribuait aussi à la puissance impériale : aucune affirmation d’identité ne pouvait rivaliser avec le civis romanus sum (« Je suis un citoyen romain »), source de fierté et d’aspiration pour beaucoup. Finalement concédé aux sujets non romains de naissance, le statut convoité de citoyen exprimait une supériorité culturelle qui faisait de l’expansion de l’empire une véritable mission. Partout où elle s’imposait, la loi de Rome trouvait ainsi sa légitimité et incitait ceux qui la subissaient à désirer l’assimilation dans les structures impériales. La supériorité culturelle – évidente aux yeux des maîtres et admise par les sujets – renforçait l’ordre établi.” (pages 35-36)

En Europe, nous sommes, toutes et tous, porteurs et porteuses du virus des droits de l’homme à coups de fusil, comme Voltaire et ses petits camarades l’étaient de la tolérance les armes à la main, selon ses propres termes. Autrement dit, nous sommes les enfants chéris de George W. Bush et de Nicolas Sarkozy. Ces deux-là sont des modèles irrésistibles.

Leur héroïsme faisait plaisir à voir. Leur grandeur était en béton armé.

Pendant qu’ils agissaient avec leurs bombes, nous étions heureux devant nos téléviseurs… Aujourd’hui, la nostalgie nous saisit à la gorge… Leurs successeurs seront-ils aussi vaillants ? Nos écrans plats seront-ils égayés de cette vraie couleur de sang qu’ils avaient su donner à nos soirées en famille, auprès de ces êtres chers qui nous entourent devant le beau, le grand spectacle de la guerre ?…
Voilà où nous en sommes, en Europe. Le reste du monde a tout intérêt à le savoir… Voilà jusqu’où nous avons glissé. Et jusque dans quoi…

" Aujourd'hui, seuls les ennemis de cette nation sont opposent au dialogue nucléaire, c'est-à-dire les sionistes ont joint leurs efforts; Mais le monde d'aujourd'hui connaît déjà la trahison des sionistes, surtout après les crimes commis à Gaza”.

Dans son discours prononcé à l'occasion du 36e anniversaire de la victoire de la révolution islamique d'Iran (1979), a ainsi expliqué Rohani.

Le Président de persan a rappelé que les droits et intérêts légitimes du pays Perse sont les principaux objectifs des pourparlers nucléaires.

« En temps de guerre, nous avons défendu notre indépendance et aujourd'hui pour le défendre et nous continuerons à défendre sur la table des pourparlers nucléaires, » a-t-il souligné.

À cet égard, a souligné le soutien de la nation, ainsi que le leader de la révolution islamique d'Iran, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, à la tête des négociateurs iraniens, étant donné que ces négociateurs ont du mal dans le domaine diplomatique.

En ce qui concerne l'objectif de la République islamique d'Iran pour lancer des dialogues Iran-groupe 5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie et Chine, plus d'Allemagne), le leader perse a souligné que la nouvelle approche de ces dialogues est d'atteindre une compréhension mutuelle et l'accord de gagner- gagner.

C'est-à-dire, il a ajouté, Iran a démontré sa transparence pour la poursuite de ses activités nucléaires dans le cadre de toutes les normes internationales, et la contrepartie, à son tour, mettre un terme à ses « erronées, inhumaine et illégales » des sanctions contre l'Iran.

« Un tel accord profiterait l'Iran et la contrepartie, puisqu'ils ont aussi besoin de la levée des embargos », a dit Rohani pour mettre en surbrillance puis le Western « lie » qui estime que la raison de la participation de l'Iran dans les dialogues ont été les pressions causées par les sanctions.

Comme souligné Rohani, l'Iran a donné accueil à ceux dialogues par logique, pour la promotion de la paix et la stabilité tant dans la région du milieu à l'est et dans le monde entier.

À cet égard, il a demandé l'Ouest mis de côté leurs mensonges et déclarer sincèrement que le dialogue est votre seul choix pour la nation iranienne, et qu'il ne peut pas promouvoir la paix et éradiquer le terrorisme dans la région du Moyen-Orient sans l'aide de la République islamique.

Selon Rohani, l'Iran est une puissance qui a réussi à aider l’Irak, la Syrie, le Liban et le Yémen pour lutter contre le terrorisme.

« Dis leur peuple la vérité qui bénéficient de ces dialogues de partout dans le monde, pourvu que tirer profit de manière correcte et adéquate », alors il dit Rohani, « ne pense pas que l'Iran craint les pressions et sanctions, est que l'Iran cherche la stabilité mondiale et le développement ».

« Dis leur peuple la vérité qui contrecarrent de le monde a dans partout ces dialogues, pourvu que tirer profit de manière Valmont et correcte », dit-il d'alors Rohani, « ne pense pas que l'Iran craint les pressions des sanctions, HNE et cherche l'Iran stabilité et mondiale le développement ».

La poursuite de l'embargo va générer une lacune dans l'ensemble de l'Ouest, a un Apostille Rohani puis faire remarquer: « Nous savons que les dialogues au bénéfice de tous ».

Un éventuel accord final entre l'Iran et le Sextet, réitérée par le Président de l'Iran, doit comprendre la dignité et le progrès de la nation Perse ; Puisque le gouvernement reste fidèle à son engagement d'établir une « interaction constructive » avec le monde.

À la suite de pourparlers tenues au cours de l'année écoulée, nous avons réussi à lever les sanctions mauvaises et cruelles, et nous avons empêché l'imposition de nouvelles sanctions pétrolières cruels par les États- Unis, en plus d’une partie liquidée d'argent iranien bloqué, il a exprimé.

L'Iran sera fidèle aux idéaux de leur révolution et leur détermination à progresser, et comme déjà dit le gouvernement depuis le début, les deux centrifugeuses comme l'économie du pays continueront à fonctionner correctement.

Participant à la marche célébrant l'anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, le président iranien, Hassan Rohani, a déclaré que la présence du peuple dans la marche est heureusement plus importante que celle de l'année dernière. Le peuple iranien suit les idéaux incarnées par la Révolution et l'Imam Khomeiny. Les Iraniens sont décidés à traverser tous les difficultés, a indiqué le président iranien.
Nous pouvons surmonter toutes les difficultés et en plus d'arriver au développement, nous avons la capacité d'aider les pays voisins, a-t-il précisé.

Le peuple iranien a toujours les mains ouvertes et maintenant cette condition est plus forte qu'autrefois, a-t-il ajouté.

mercredi, 11 février 2015 01:00

Le11 février célébré largement en Iran

Aujourd’hui le mercredi 11 février coïncide avec le 36ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique d’Iran. Les Iraniens prennent part massivement aujourd’hui à la marche générale du 11 février pour ainsi célébrer cette journée historique. Dans ce droit fil, le ministère iranien des Affaires étrangères a annoncé, dans un communiqué, que la présence massive de la grande nation d’Iran serait un capital incommensurable pour les responsables de la diplomatie du pays.
« La présence massive du peuple révolutionnaire iranien dans les différentes scènes dont la marche générale de l’anniversaire de la victoire de la Révolution islamique cristallise le grand appui qu’il apporte à l’Ordre islamique pour réaliser ses objectifs, ses idéaux et les revendications légitimes des Iraniens notamment sur le plan des relations étrangères », a annoncé la diplomatie iranienne dans un communiqué, ajoutant que la présence d’envergure du peuple à la marche du 36ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique serait un appui inébranlable pour les responsables du ministère des Affaires étrangères dans l’accomplissement de leurs missions notamment au cours de cette période délicate. Par ailleurs, 215 correspondants venus de 94 médias étrangers en provenance de 25 pays assureront la couverture de la marche générale du 11 février. Selon le directeur général du ministère iranien de la Culture et de l’Orientation islamique chargé des médias étrangers, le taux de participation des correspondants non-résidents des médias étrangers dans les cérémonies du 11 février a connu une hausse de 50%.

 Amrou abdel rahman, l'analyste égyptien des questions internationales, revient sur la visite, sans précédent, de Vladimir Poutine, en Egypte, pour affirmer : "Moscou cherche à accéder aux ports égyptiens, en Méditerranée, et à élargir ses coopérations militaires avec Le Caire. En effet, les coopérations économiques et politiques, de part et d'autre, et les évolutions régionales figurent au menu des discussions bilatérales. La visite de Poutine, en Egypte, marque, en effet, un nouveau chapitre, à l'échelle des coalitions stratégiques régionales. Il s'agit d'une reconfiguration stratégique, au Moyen-Orient. L'Egypte est le premier partenaire du monde arabe, un monde arabe, dont certains membres cherchaient, jusqu'ici, à renverser Assad. Or, Assad est l'allié de premier rang des Russes. Au cours de sa visite, en Egypte, Poutine a examiné de nombreuses questions, dont celle de la création d'une zone logistique russe, au large du nouveau canal de Suez. C'est là un avantage, dans la mesure où la Russie voit, à travers l'Egypte, un allié stratégique. Moscou veut un autre allié stratégique, après la Syrie, dans la région méditerranéenne. L'objectif des Russes consiste à renforcer des coopérations militaires et économiques avec Le Caire. Parmi les ports méditerranéens, il y a, évidemment, Tartous, qui apprtient à la Syrie, mais ce port ne revêt aucune importance aux yeux des Russes, si le régime Assad tombe! Tartous syrien est un port fragile, et puis, il n'est pas aussi important que celà. Ce qui n'est pas le cas des ports égyptiens".

"Benyamin Netanyahu est un fou, qui a besoin, sérieusement, d'être soigné", a écrit le quotidien "Yediot Aharonot". Benyamin Netanyahu a, vivement, critiqué le quotidien "Yediot Aharonot". Alors que Netanyahu a exprimé sa colère contre un quotidien de publication de la Palestine occupée, un des analystes de ce quotidien l'a qualifié de fou, qui a besoin d'être soigné.

Benyamin Netanyahu considère le quotidien "Yediot Aharonot", comme responsable principale de la campagne lancée, pour détruire sa personnalité et celle de son épouse, a rapporté l'agence de presse palestinienne, Safa.

"Yediot Aharonot" fait tout pour renverser le Likoud et fermer le quotidien "Israël d'aujourd'hui", a écrit Netanyahu, sur sa page Face book.

Dans le même temps, Nahum Barina, célèbre analyste d'"Aharonot", a qualifié de folles et d'irresponsables, les accusations de Netanyahu.

"Netanyahu est devenu épouvantable, et il a, vaiment, besoin d'être soigné", a indiqué Nahum Barina, remettant en question ses capacités à prendre des décisions.

"As-Safir" est revenu, dans son dernier numéro, sur les récents mouvements de la Résistance et de l'armée syrienne, dans le Sud de la Syrie, les qualifiant de prélude à la "vaste contre offensive que l'armée syrienne a préparée, depuis des mois". "Le second communiqué de la Résistance et de l'armée syrienne est sur le point d'être rédigé.. Ces dernières heures, l'armée syrienne, le Hezbollah, les forces volontaires ont lancé une vaste contre-offensive, sur le front Sud, attaque préparée depuis des mois. Il s'agit de briser le siège, imposé depuis des semaines, par Israël, aux opposants syriens, Al-Nosra et le renseignement jordanien" . "La contre-attaque du triangle Syrie/Liban/Iran contre le rif de Quneitra est, en réalité, préparée depuis longtemps. Le raid anti-israélien du Hezbollah, à Chebaa, en fait, d'ailleurs, partie, raid, qui s'est produit, à peine dix jours après le raid sioniste contre Quneitra. Or, l'objectif principal de ce triangle est ceci: empêcher Israël et les terroristes takfiris de progresser vers le rif de Damas Ouest et établir le contact avec Khan al-Cheikh, Rakiya e al Tayeba". "Les chasseurs israéliens ont bombardé un convoi du Hezbollah, tuant six commandans du Hezb. Le Hezbollah projette de viser la colline des " Martyrs", à rif de Quneitra. Le traingle Iran/Syrie/Hezbollah continue à repousser Israël, à Quneitra. Ces dernières heures, le bataillon sept de l'armée syrienne a avancé vers les bases d'Al-Nosra, à Al Sanamin. Il s'agit de couper le contact entre Quneitra et l'Ouest de Deraa. Selon les terroristes, l'armée syrienne a réussi à reprendre le contrôle d'Al-Habariya, de Tal Marai, de Wal Tiha, et de Wal Danaji. Les chasseurs syriens survolent, largement, Tal al-Hara et Bala al-Hara. 
Le front de Deraa a été ouvert, il y a un an, à l'instigation des Etats Unis, et après que les pourparlers nucléaires avec l'Iran n'eurent pas abouti. Les Etats Unis envisageaient d'exacerber les menaces, dans le Sud de la capitale, cherchant à pousser, ainsi, Damas à capituler. Après l'échec de la Turquie à créer une zone d"exclusion aérienne, dans le Nord de la Syrie, au-dessus d'Alep, le front israélien à Deraa semble être la dernière solution, pour les Américains. En effet, les centcoms, basés en Jordanie, en Grande Bretagne, aux Etats Unis et en France, cherchent, depuis 2013, à compenser leur défaite et leur impuissance à s'emparer d'Al-Attiba, dans Ghouta Est. Dans cette attaque, Israël a joué un rôle central. Depuis le retrait du 82ème bataillon de l'armée syrienne de la banlieue de Cheikh Miskin, il y a deux semaines, la route Deraa- Damas est contrôlée par Israël, Al-Nosra et les soldats jordaniens du 1er bataillon. Le centcom jordanien a fusionné, ces 30 derniers jours, quelque 37 régiments, pour créer de la sorte la plus grande milice possible, à rif de Quneitra, et à l'Ouest de Deraa. C'est le rensiegnement jordanien, qui diligente les opérations contre l'armée syrienne. Or, le retour de la Jordanie, dans le Sud syrien, ne fera que contribuer à briser la ceinture sécuritaire israélienne, car la Jordanie saura, difficilement, tolérer la présence des Takfiris, à ses portes et à l'intérieur de son territoire, depuis l'immolation par le feu de son pilote Al-Kassassaba.

Avant la révolution islamique, la situation de notre pays était désastreuse. La Révolution islamique a transformé l'identité de notre société, a déclaré l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, dans la mosquée Al-javad à Arak.
Je félicite l'arrivée de l'anniversaire de la Révolution islamique au peuple iranien et à tous les opprimés du monde, a-t-il dit.

L'avènement de la Révolution islamique peut être analysé de différents points de vue dont l'identité de notre société qui est changé depuis la Révolution, a-t-il indiqué.

Selon le noble coran, la communauté humaine peut avoir deux sortes d'identité: divine et humaine. La société qui vit selon les lois divines a une identité divine, a-t-il indiqué.

La corruption et l'immoralité régnaient sur la société iranienne. Le système voulait qu'on se soumette aux ordres des Etats-Unis. Mais après la Révolution islamique, notre identité est changée et elle est devenue un symbole de notre religion, a-t-il marqué.

Aujourd'hui, lorsqu'une personne atteint à la personnalité du noble prophète de l'islam, tous les musulmans deviennent tristes. Et quand le Liban et la Palestine font une victoire devant le régime sioniste, tous les musulmans en deviennent fiers, a-t-il ajouté.

Aucune nouvelle sanction n'a été imposée à Téhéran en raison des négociations nucléaires entre l'Iran et les puissances mondiales qui durent depuis un an et demi, a déclaré le premier vice-président iranien, Es'haq Jahangiri, cité mardi par Press TV.
Réfutant les sanctions qu'il a qualifiées d'"illégales" contre l'Iran pour son programme nucléaire, M. Jahangiri a déclaré que l'Iran a ouvert un chemin de dialogue et d'échanges pour résoudre la question nucléaire avec l'Occident.

Le responsable iranien a également déclaré que tout accord nucléaire entre l'Iran et le P5+1, qui comprend les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie, la Chine et l'Allemagne, doit respecter les droits du pays à l'utilisation pacifique du nucléaire.

Le document, publié mardi par l'Agence de presse ordonnée à l'origine, souligne que l'objectif de l'espionnage était fournir des informations liées au dialogue nucléaire aux politiciens qui complotèrent le général politiques de ces pays.

Selon le texte, l'espionnage des négociations Iran-Sextet (USA, Royaume-Uni, France, Russie, Chine et Allemagne) est un échantillon des collaborations réussies dans ce domaine entre Washington et Londres.

La NSA signale ensuite que les systèmes de renseignement américains sont inquiètent de la capacité de Cyber de l'Iran, en spécifiant que les cyberattaques avancés de l'Occident à l'Iran ont fait ce pays de développer ses capacités à cet égard.

" Iran, à l'aide d'inverse ingénierie procédures de cyber-attaques, est parvenu à restituer leurs tactiques ", lit le texte.

A titre d'exemple, il fait allusion à la cyber-attaque contre la compagnie pétrolière nationale Saudi Aramco en août 2012 et après il a imputé à l'Iran, cité comme un signe de pouvoir Cyber de ce pays.

« En tenant compte du fait que l'Iran a été la cible d'une attaque similaire en avril 2012, Aramco iranien cyber attaque démontre sa capacité d'apprendre les fonctionnalités des autres, » il a conclu.

L'attentat perpétré contre l'Aramco, la plus importante compagnie de pétrole brut dans le monde, a endommagé quelques 30 000 ordinateurs, dans ce qui est considéré comme l'un des plus dommageables cybers attaque contre une seule entreprise.

Le groupe qui a revendiqué la responsabilité justifie l'attaque sur Aramco terrain c'est la principale source de revenus pour le régime de Al Saoud, a blâmé les « crimes et atrocités » dans plusieurs pays, comme la Syrie et de Bahreïn.

Les nouvelles de cyber-attaques contre l'Iran est apparu en juin 2012 dans les journaux américains « Washington Post » et « The New York Times »: ont tous deux signalé que des États-Unis et le régime israélien avaient créé le « Stuxnet » ver et un virus « Flame » à espionner l'Iran et à saboter son programme nucléaire iranien Pacifique.

En réponse à ces attaques, Téhéran a établi une base générale de cyber défense pour empêcher les virus d'ordinateur d'entrer ou de voler des données provenant des réseaux de haute sécurité du pays, y compris les centrales électriques, les installations nucléaires, les Datacenter et les banques.