
تقي زاده
EIIL menace de détruire la Kaaba
Abu al - Maqdasi Torab, un membre du groupe EIIL déclaré via un message sur son compte Twitter, que le chef du groupe terroriste, Abou Bakr al - Baqdadi avait ordonné la démolition Kaaba.
En réponse au commentaire sur ces menaces, Al- Maqdasi soutenu dans son message que le pèlerinage en contradiction avec le monothéisme et donc condamner tout édifice sacré doit être détruit.
En parallèle avec les menaces de EIIL , le roi d'Arabie Saoudite , Abdollah bin Abdelaziz Al Saoud , a publié un message pour marquer le début du mois sacré du Ramadan , qui a indiqué qu'il ne permettra pas à des groupes terroristes font des dégâts dans votre pays.
Une source gouvernementale Arabie saoudite a indiqué samedi que les forces du pays sont en état d'alerte pour les menaces EIIL. Il a été libéré quelques jours après la communication des médias saoudiens veillera à ce que les membres de EIIL avaient pris le contrôle de la frontière avec l'Irak Arabie ville de Arar.
Guide suprême : les ennemis se battent contre l'Islam au nom de l'Islam
Dans un discours prononcé à l'occasion du premier jour du mois sacré du Ramadan , le guide spirituel de l'Iran a déclaré que les intentions des ennemis sont dues à une sensibilisation accrue et un aperçu de la communauté islamique .
En se référant à la notion de « islam américain » présenté par le fondateur de la République islamique d'Iran, l'Imam Khomeiny (que Dieu ait son Gloria), l'ayatollah Khamenei a souligné ses différences avec le vrai islam promues par le Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui et sa famille).
" Bien que l'islam est le nom islamique américaine et l'apparence, est compatible avec la suprématie et le sionisme, accepter la souveraineté des oppresseurs, et entièrement servir les objectifs de l'hégémonie et les Etats-Unis, " a-t-il noté.
En ce qui concerne la documentation et les preuves confirmant le rôle et les services de renseignement ennemi création imminente dans la propagation des conflits dans certains pays islamiques comme l'Irak, le chef suprême a ajouté que la connaissance de la communauté islamique de la connaissance empêche les deux tels événements Coran comme la trahison des enseignements du Coran.
Le samedi, l'ayatollah Khamenei a examiné les éléments restants de Saddam Hussein, ainsi que des membres du groupe takfirie Etat islamique d'Irak et du Levant (EIIL) que les auteurs de crimes récents enregistrés en Irak et a dit que nones un conflit entre chiites et sunnites, mais une guerre entre le terrorisme et ceux qui s'opposent à ce fléau.
Rebelles de l'EIIL en Irak - Les rebelles syriens rejettent la proclamation d'un califat
Les rebelles syriens ont rejeté, la proclamation par les rebelles de "l'Etat islamique" (EI) d'un califat à cheval entre la Syrie et l'Irak, la qualifiant de "nulle et non avenue".
"Nous considérons l'annonce" par l'EI de la proclamation d'un "califat comme nulle et non avenue, légalement et logiquement", ont déclaré ces principales factions de la rebellion syrienne dans un communiqué.
Dimanche, les rebelles de l'EIIL --qui se fait désormais appeler "l'Etat islamique" (EI)-- a proclamé la création d'un "califat" sur une zone allant d'Alep, dans le nord de la Syrie, à Diyala, dans l'est de l'Irak.
Irak : Washington a-t-il reculé face à Maliki?!
Le gouvernement de Nouri al-Maliki considère la crise sécuritaire dans le nord-ouest du pays pour éradiquer les groupes terroristes par une politique de « main de fer ».
Selon l’agence iranienne Fars, 21 jours après l’attaque surprise des terroristes étrangers de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) et des mercenaires internes de l’ancien parti Baath contre des régions du nord-ouest de l’Irak, la situation qui prévaut en Irak est qualifié par beaucoup d’analystes comme « le calme avant la tempête ».
- Une vaste campagne médiatique :
Aux premiers jours du combat, l’armée irakienne était sous le choc de la surprise. Mais à la deuxième semaine, tandis que la crise sécuritaire entrait progressivement dans une phase politique, l’armée a su retrouver et se remettre en Etat à l’aide de la mobilisation populaire et des sources d’imitation et des dignitaires religieux. En outre, l’armée a réussi à arrêter l’avancée des groupes terroristes, et a pu sortir plusieurs zones importantes, comme la ville de Kirkuk, du contrôle des terroristes de l’EIIL. Aux premiers jours de la crise, l’EIIL profitait aussi d’une vaste campagne médiatique de ses soutiens régionaux et internationaux : les médias régionaux et internationaux voulaient suggérer que la crise en Irak n’avait pas des sources extérieures, mais qu’il s’agissait d’une révolution interne contre la tyrannie et l’oppression. Ces médias n’ont pas hésité par exemple de désigner l’action des terroristes de l’EIIL comme « révolution des tribus sunnites ».
- La révélation de la complicité des résidus du parti Baath avec l’EIIL :
La complicité des résidus de l’ancien parti Baath de Saddam Hussein avec les terroristes de l’EIIL a été révélée à la deuxième semaine de la crise. En même temps, certaines informations ont été diffusées sur la survenance des divergences entre l’EIIL et les baathistes en ce qui concernait l’application ou non des lois de la Charia dans les régions sous contrôle des terroristes extrémistes de l’EIIL. Dès le début, on a compris qu’il serait tout à fait possible que le scénario des différends internes parmi les groupes terroristes pourrait se répéter en Irak comme cela a été le cas en Syrie.
- Le comportement douteux des hommes politiques kurdes, et le combat courageux des peshmergas :
La tentative de certaines autorités du gouvernement de la région autonome du Kurdistan irakien pour exploiter la crise survenue dans le nord-ouest de l’Irak a soulevé de nombreuses questions quant à la position d’Arbil par rapport au gouvernement central de Bagdad. Il est évident que quand la crise sera terminée, les autorités de Bagdad devront trouver une réponse appropriée et sage à ce type de comportant de la part des responsables du Kurdistan irakien. Certes, les peshmergas se sont mobilisés pour empêcher les terroristes de l’EIIL de s’infiltrer dans les régions kurdes d’Irak. Lors des affrontements qui ont eu lieu entre les terroristes de l’EIIL et les peshmergas, de nombreux combattants kurdes sont tombés courageusement en martyr. Pourtant au niveau des dirigeants politiques, certains courants ont voulu exploiter la situation prévalant dans le pays pour proclamer leur indépendance par rapport au gouvernement central de Bagdad.
- La crise sécuritaire entre dans une phase politique :
A la deuxième semaine de la crise, la survenance de deux événements politiques liés à la crise en Irak, a dévoilé les plans politiques auxquels correspondaient les activités des terroristes de l’EIIL : d’abord, Tareq al-Hachemi, ancien vice-président irakien, recherché par la justice irakienne, a déclaré que le Premier ministre Nouri al-Maliki était responsable de la crise et a demandé sa démission. Ensuite, le président du Parlement irakien, Oussama Al-Nujaïfi, s’est opposé à la tenue d’une session du Parlement pour délibérer sur l’annonce de l’état d’urgence.
- Les dignitaires religieux appellent le peuple à soutenir le gouvernement :
Tout de suite après l’intensification de la crise et dès le début de la phase politique des tensions, les sources d’imitation chiites et les grands dignitaires religieux qui avaient parfaitement identifié les éléments qui se cachent derrière la crise actuelle, ont appelé le peuple irakien a se mobiliser massivement afin de soutenir la position du gouvernement de Bagdad dans son combat contre les terroristes de l’EIIL. En très peu de temps, plus de deux millions d’Irakiens chiites, sunnites ou appartenant aux autres groupes ethniques et confessionnels ont répondu affirmativement à l’appel des dignitaires religieux et se sont inscrits pour prendre l’arme et se battre contre les terroristes de l’EIIL.
A partir de là, la situation tourne peu à peu en faveur du gouvernement. Pourtant le manque d’expérience du gouvernement pour des situations d’urgence comme celle-ci a créé en quelque sorte une nouvelle crise en ce qui concerne l’inscription des volontaires et leur encadrement. En tout état de cause, en dépit de ce type de problèmes, la foule des volontaires qui précipitaient à s’inscrire pour faire la guerre contre les terroristes a changé considérablement la donne en faveur du gouvernement de Nouri al-Maliki.
- Les visites des diplomates étrangers à Bagdad :
A cette étape, de nombreuses personnalités internationales et les hauts diplomates de plusieurs pays se sont rendus à Bagdad afin d’arracher des concessions politiques au gouvernement de Nouri al-Maliki, en essayant de profiter de la crise actuelle en Irak. Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry et le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague se sont rendus, dans ce cadre, à Bagdad, mais le gouvernement central de l’Irak a résisté aux pressions politiques internes et externes en faisant état de sa ferme volonté à combattre les terroristes et à les expulser tous d’Irak.
- Les débuts de la politique de « main de fer » :
Le gouvernement de Nouri al-Maliki considère la crise sécuritaire dans le nord-ouest du pays pour éradiquer les groupes terroristes par une politique de « main de fer ». Après l’adoption de cette stratégie par le gouvernement irakien, les Etats-Unis ont renoncé à leur position initiale vis-à-vis du gouvernement du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki. Les signes en été clairs pendant la visite du secrétaire d’Etat américain, John Kerry, à Bagdad. Avant de se rendre en Irak, John Kerry avait dit devant les journalistes que Washington exigeait la démission du Premier ministre irakien, mais quand il est allé à Bagdad, Nouri al-Maliki lui a dit explicitement que l’idée de la formation d’un gouvernement de salut national serait le prélude d’un coup d’Etat contre le processus démocratique en Irak. La fermeté de la position de Bagdad a amené le secrétaire d’Etat américain à renoncer à sa position initiale.
- Washington recule de sa position initiale :
Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a déclaré que pour calmer la tension en Irak, il vaudrait mieux qu’un gouvernement de salut national soit formé à Bagdad. Mais le changement de cap rapide de John Kerry à ce sujet a rappelé celui de 2013 quand la Maison Blanche a changé sa position à l’égard d’une éventuelle intervention militaire contre la Syrie. On ne sait pas exactement ce qui s’est passé pendant la rencontre de John Kerry avec Nouri al-Maliki à Bagdad, mais après cette rencontre, la Maison Blanche a décidé de changer de cap vis-à-vis des événements de l’Irak.
En tout état de cause, cela a augmenté le moral et la confiance en soi des partisans du gouvernement de Nouri al-Maliki leur donnant plus de courage pour réprimer les terroristes extrémistes de l’EIIL et les résidus de l’ancien parti Baath, confiance de soi que l’on a déjà vu en Syrie dans le visage du président Bachar al-Assad lors de ses rencontres avec les représentants des pays occidentaux auxquels ils avait confié la ferme volonté des Syriens pour résister aux complots étrangers visant le reversement du gouvernement de Damas.
- La mobilisation de 2 millions de volontaires chiites et sunnites, l’arrivée des Soukhoïs russes :
Quelques heures après le départ du secrétaire d’Etat américain qui a quitté Bagdad pour Arbil, le gouvernement irakien a annoncé la nouvelle de la livraison par la Russie des avions Soukhoï. Ne même temps, les médias ont fait état de l’organisation par Bagdad de près de 2 millions de combattants volontaires pour faire la guerre contre les terroristes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). Ces annonces ont révélé la ferme volonté du gouvernement irakien a se battre contre cette crise sécuritaire qui a été imposée au pays par les puissances étrangères. En outre, tout le monde a compris que Bagdad était prêt à entrer dans de nouvelles alliances régionales et internationales.
- Des alternatives pour importations des marchandises en Irak :
Sur le plan économique, il faut souligner que les gouvernements jordanien et turc, ont fermé leurs frontières avec l’Irak, dans une décision prise en conformité avec les objectifs des terroristes, en empêchant l’exportation des marchandises vers l’Irak. Mais il s’est avéré très vite que Bagdad a des alternatives rassurantes en ce qui concerne l’importation des marchandises de première nécessité, ce qui permet à Bagdad de poursuivre avec force son projet de combat contre le terrorisme.
- La tenue de la première session du Parlement :
Le Premier ministre irakien a appelé le Parlement à tenir sa première session. Le but de Nouri al-Maliki est de montrer que le procès politique qui a commencé par la tenue des élections législatives doit se poursuivre par la tenue du nouveau Parlement. Cependant, certains groupes politiques qui ont perdu les élections et se trouvent dans la minorité parlementaire ont décidé de boycotter les séances du Parlement. L’accent que le gouvernement met sur la nécessité de la tenue des séances du Parlement montre que Bagdad ne se soumet pas aux propagandes des Occidentaux et de leurs alliés régionaux pour semer le chaos et la tension politique en Irak. Par contre, le gouvernement se dit déterminé à respecter les résultats des élections, d’autant plus que l’un des objectifs des fauteurs de troubles en Irak était justement l’annulation des résultats des élections législatives.
- Les dernières évolutions sur le terrain :
A l’intérieur du pays, le gouvernement irakien s’appuie sur ses nouveaux équipements et ses nouvelles alliances régionales pour se battre contre les terroristes. Jusqu’à présent, plusieurs bases des groupes terroristes ont été détruites et ils ont été repoussés dans plusieurs régions. Les terroristes de l’EIIL prétendent qu’ils occupent trois provinces à population sunnites. Quant à la province de Salaheddin, à l’exception de la ville de Baiji (non pas sa raffinerie), les autres parties de la province ont été nettoyées de la présence des terroristes de l’EIIL. Dans la province de Ninive, la ville de Kirkuk est contrôlée par les peshmergas kurdes, et les Chiites et les Turcomans ont pris en main le contrôle de la ville de Talaafar. Des affrontements se poursuivent encore à Talaafar entre les forces irakiennes et les terroristes. Certaines parties de la ville de Mossoul reste encore dans les mains des terroristes de l’EIIL. Dans la province d’al-Anbar, à l’exception de la ville de Faloujah qui est occupée par les résidus du parti Baath, les autres villes ont été libérées par les forces de l’armée irakienne. A présent, la ville de Faloujah est encerclée par l’armée.
- La campagne médiatique de l’Occident pour exagérer les « réussites » de l’EIIL :
Les médias occidentaux et régionaux essaient d’exagérer sur l’importance des attaques brèves des groupes terroristes contre des régions près de Bagdad ou Karbala pour créer un climat psychologique particulier sur le terrain et dans le monde, afin de suggérer que ces terroristes seraient arrivés à Bagdad ou Karbala. Or, c’est la situation désertique des régions du sud de l’Irak qui permet aux terroristes d’organiser des opérations isolées dans certaines zones, opérations que les médias utilisent ensuite pour développer leur guerre psychologique.
- Le gouvernement de Bagdad est dans la position de force :
Contrairement aux propagandes des puissances occidentales et de leurs alliés régionaux, le gouvernement de Bagdad ne se trouve point dans une position de faiblesse pour qu’il se résigne à donner des concessions aux terroristes. Par contre, le gouvernement central est aujourd’hui dans une position offensive, ce qui donne plus de confiance en soi aux autorités irakiennes qui profitent aussi du soutien du peuple et des grands dignitaires religieux. Maintenant, le gouvernement irakien adopte la politique de la «main d fer » contre les groupes terroristes, comme cela a été le cas en Syrie. Cela inquiète les pays qui soutiennent les groupes terroristes, dans la région et dans le monde, car la prise de position de Bagdad contre les terroristes leur a envoyé des messages très clairs sur la détermination des Irakiens à battre les terroristes.
Meeting international en faveur de l’ÉIIL en France!!!
Les Moujahidines du peuple (opposition armée iranienne financée par Washington) ont tenu un très grand meeting à Villepinte, en région parisienne, le 27 juin 2014. Plus de 80 000 personnes participaient à cet événement.
Si le meeting visait d’abord à soutenir la base militaire des Moujahidines en Irak, le camp Asharaf, et leur combat contre l’Iran, la présidente Maryam Rajavi a profité de son discours pour violemment condamner le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki et se réjouir de la progression de l’Émirat islamique en Irak et au Levant (ÉIIL).
La politique française est aujourd’hui profondément schizophrénique : d’un côté la France (comme les États-Unis) dénonce officiellement la déstabilisation d’un État par une organisation terroriste, tandis que d’un autre côté, l’Élysée participe aux côtés des États-Unis à la guerre secrète au Proche-Orient et envoie des officiers de la Légion étrangère encadrer l’ÉIIL en Syrie et en Irak.
Plus de 600 personnalités politiques des pays membres de l’Otan participaient à ce meeting. Parmi celles-ci l’ancien chef d’état-major interarmes des États-Unis, le général Hugh Shelton ;
l’ancien commandant de l’opération Iraqi Freedom, le général William Casey ;
l’ancien président de la Chambre des représentants, Newt Gingrich ;
le sénateur Joseph Lieberman (son ami le sénateur John McCain n’avait pu faire le déplacement, mais s’est exprimé par vidéo) ;
l’ancien maire de New York, Rudy Giuliani ;
l’ancien Premier ministre socialiste espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero ;
l’ancienne ministre française de la Défense, Michèle Alliot-Marie ;
l’ancien ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner ;
la vice-présidente du Parti radical valoisien Rama Yade.
Des membres des Moujahidines du peuple se battent en Syrie et en Irak aux côtés de l’ÉIIL depuis trois mois. Maryam Rajavi a rencontré le président de la Coalition nationale syrienne à Paris, le 23 mai 2014.
Moqtada Sadr a mis en garde EIIL
Le chef du courant sadriste, Moqtada Sadr a demandé aux responsables irakiens, au cours d’un discours télévisé, d’assurer un soutien international pour l’armée irakien et ce soutien doit être des pays qui n’ont pas occupé l’Irak.
Selon le site Al Manar, il entendait par ses mots, les Etats-Unis qui sont considérés comme une force occupante.
Mostada Sadr a en même temps exprimé son opposition aux aides militaires américaines.
Le chef du courant sadriste en Irak a appelé les chiites et les sunnites de dénoncer les groupes terroristes actifs ça et là, de manière unie et cohérente.
Selon le site AlsumariaNews, 11 membres de l’EIIL dont le gouverneur religieux du groupe terroriste à Al Ramadi ont été tués au cours des opérations aériennes de l’armée irakienne.
Hamed al Maleki, commandant de la force aérienne de l’Irak a annoncé : « La force aérienne a pris pour cible un centre des terroristes à Al Tamim à Al Ramadi (province d’Al Anbar) et 11 membres de l’EIIL ont été tués. »
Par ailleurs une explosion à Kademeyn au Nord de la capitale irakienne a fait 19 morts.
Selon la police irakienne 41 personnes ont été blessés à la suite de cette explosion ayant eu lieu dans un marché à Kademeyn.
Le premier ministre irakien, Nouri al maleki a souligné lors d’une rencontre avec le ministre britannique des affaires étrangères que l’armée et le peuple irakiens sont en mesure de vaincre les terroristes de l’EIIL.
S’exprimant lors d’une rencontre avec William Hague, arrivé à l’improviste à Bagdad, Nouri al Maleki a indiqué : « Les forces de l’armée et le peuple irakien ont repris aux terroristes l’initiative d’action et les évolutions en Irak changeront bientôt. »
Il a ajouté : « Un règlement politique est nécessaire en coordination de l’action militaire en vue de mettre fin à la crise irakienne. »
Les anti Balaka empêchent les musulmans de fuir le pays
De nombreux musulmans sont encerclés à Bangui par les anti Balaka soutenus par l’armée, et privés de nourriture et de soins.
Selon Shafaqna, Babakar Gaye, représentant des Nations unies en Afrique centrale, a déclaré au Conseil de sécurité que 20000 habitants des régions musulmanes d’Afrique centrale, étaient menacés et ne pouvaient pas quitter la région à cause des attaques répétées des forces de l’ordre.
« De nombreux musulmans sont encerclés à Bangui par les anti Balaka soutenus par l’armée, et privés de nourriture et de soins. Les chrétiens qui cherchent à aider les musulmans sont aussi menacés et plus de 50 personnes ont été tuées en deux jours.
L’année dernière les Balakas avaient pris le pouvoir et actuellement, les anti Balakas et les chrétiens qui sont majoritaires dans ce pays, se vengent sur les musulmans.
Des milliers de personnes ont été tuées et un million de personnes ont été obligées de quitter leurs habitations », a-t-il dit.
La doctrine salafiste est condamnée à l’échec
La doctrine salafite du djihad qui est celle du groupe Daech, est condamnée à l’échec.
Seyed Hemadoddin Hamruni, professeur tunisien et directeur du Centre des Ahl-ul-Bayt (AS) à Paris, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que la meilleure solution pour lutter contre le terrorisme était de développer les pays de la région au niveau économique, culturel et social.
« La doctrine salafite du djihad qui est celle du groupe Daech, est condamnée à l’échec. Certains pays occidentaux et régionaux soutiennent financièrement ces groupes terroristes et le groupe Daech est entré en guerre contre l’Irak sur leur ordre.
Ce groupe s’est formé en Jordanie dans l’optique d’un terrorisme international, et il est condamné à l’échec. L’Arabie saoudite, les Émirats, la Turquie et la Jordanie sont des pays qui aident les groupes terroristes, le régime sioniste et la France les aident au niveau de l’approvisionnement en armes et de la formation militaire et logistique.
Les grands perdants dans le conflit syrien, seront assurément la France, l’Arabie saoudite et la Turquie qui cherchaient à diviser la Syrie et l’Irak, et à affaiblir l’Iran pour profiter des richesses gazières et pétrolières de la région.
L’avenir de l’Irak dépend des Irakiens qui s’ils s’unissent, pourront sortir victorieux de ce conflit et préserver leur indépendance.
La lutte contre le terrorisme doit être internationale et les pays de la région doivent coopérer dans le respect des droits des minorités », a-t-il dit.
Irak : les opérations antiterroristes se poursuivent
Quatre véhicules des terroristes a été détruits et tous leurs passagers tués dans la région de Jarf al-Sakhr dans la province de Babylone, a fait état le ministère irakien de la Défense, dans un communiqué cité par le site web Sumeriya news, depuis Bagdad.
«Epaulées par les chasseurs de l’armée, les forces des opérations de Babylone ont détruit vendredi, quatre véhicules des terroristes transportant des armes et des effectifs, dans la région d’Al-Shahban au nord de Jarf al-Sakhr, souligne le communiqué du ministère irakien de la Défense. Les régions septentrionales de Babylone sont le théâtre d’activité d’envergure des terroristes, mais les forces de sécurité irakiennes effectuent systématiquement des opérations de nettoyage de ces régions des terroristes ; elles en ont déjà arrêté ou tué un grand nombre.
Le communiqué a annoncé également que les forces de l’armée irakienne qui ont entamé jeudi les opérations de ratissage dans la ville de Samarra, ont libéré la région de Jalam à Samarra des mains des terroristes de Daesh.
D’autre part, le porte-parole du Pentagone, John Kirby, annonce que des drones armés survolent Bagdad pour protéger les forces américaines. « Entre 30 à 35 drones de reconnaissance seront opérationnels à Bagdad, dont certains seront équipés d’armes air-sol, a ajouté Kirby.
Irak: les crimes de Daech (Images insoutebables)
Le groupe terrorise de l'EIIL ne lésine sur rien pour accomplir la mission qui lui est confiée : détruire l'image de l'humanité ainsi que celle de l'Islam ... En plus des exécutions publiques qu'il mène quasi quotidiennement.. l'EIIL jette les Chiites du sommet de la montagne, pieds et poings liés......
http://french.irib.ir/galeries/videos/item/330662-daesh-exécute-brutalement-en-syrie-et-en-irak