تقي زاده

تقي زاده

Des éléments des forces de défense et de sécurités du Mali étaient ce mardi à l'école de la délégation générale aux élections (DGE) dans le but de jouer pleinement leur rôle dans le processus électoral en cours et d' observer les règles requises en la matière.

Il est à noter que dans la perspective de l'élection présidentielle du 28 juillet, les initiatives sont nombreuses en vue de la bonne tenue de cette échéance électorale. C'est dans ce cadre que la délégation générale aux élections (DGE) a initié ce mardi à Bamako une conférence à l'attention des forces de défense et de sécurité du Mali.

Cette rencontre portait le rôle des forces de défense et de sécurité du Mali avant et pendant le jour du vote.

A l'ouverture de cette rencontre, le délégué général aux élections, le général Siaka Sangaré, a affirmé que les forces de défense et de sécurité "doivent observer de façon scrupuleuse les règles de neutralité et d'impartialité", sinon, dit-il, "le contraire risque de fausser les règles du jeu".

Il a rappeler que ces forces "doivent assurer la sécurité des personnes, des matériels ainsi que les lieux de vote, sans manifester leurs opinions", même s'il reconnaît qu'il "est permis à celles-ci d'avoir leurs points de vue".

Répondant aux participants à cette conférence, le général Sangaré a précisé qu'"il n'y aura pas de vote anticipé pour les militaires et autres porteurs d'uniforme" ajoutant qu'il "est cependant permis à ceux (militaires et autres porteurs d'uniforme) qui sont sur le terrain (théâtre des opérations) de livrer des procurations afin que leurs proches puissent voter à leur place".

A l'issue de cette conférence, le ministre malien de la sécurité intérieure et de la protection civile, le général Tiéfing Konaté, a affirmé que ses "éléments (forces de défense et de sécurités) sortent requinqués de cette rencontre".

Les services de renseignements algériens et leurs homologues russes seraient à l’origine du revirement américain dans le soutien aux dirigeants islamistes du Qatar et de l’Egypte ainsi que dans les pays qui ont connu des événements du printemps arabe.

En effet, le président des Etats-Unis, Barack Obama avait décidé de se débarrasser des deux responsables qataris, Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim, en mai dernier eu égard aux documents très compromettants pour lui, que les services russes –avec l’aide des services algériens- ont fait parvenir à quelques Sénateurs américains et à des journalistes du Washington Post et du New York Times.

Selon Tunisie-Secret qui révèle ces informations ce lundi sur son site web, l’affaire devait être étouffée n’eut été la détermination du Sénateur James Inhofe, qui avait réussi à convaincre un grand nombre de ses collègues républicains.

Les convaincre que cette fois-ci, la procédure de destitution (impeachment) contre Obama doit aller jusqu’au bout, compte tenu des faits qui lui sont reprochés et sur lesquels il va devoir s’expliquer devant le Sénat.

L’attaque d’Al-Qaïda contre l’ambassade US à Benghazi

Dès le début du mois de mai dernier, James Inhofe avait persuadé bon nombre de ses collègues Sénateurs d’entamer une procédure d’Impeachment contre Obama, accusé d’avoir dissimulé aux américains la vérité sur l’attaque contre l’ambassade des Etats-Unis à Benghazi, lors de laquelle l’ambassadeur Chris Stevens a été violé et exécuté.

La tentative de dissimuler certaines vérités sur l’attaque de Benghazi par la Maison Blanche est qualifié de “mensonge d’Etat le plus flagrant de l’histoire américaine”.

Mais l’initiative des sénateurs visant à destituer le président a tourné en “comité spécial d’enquête du Sénat” sur l’affaire Benghazi et plus exactement sur le rapport de la CIA qui a été retouché par l’administration Obama, dissimulant ainsi des vérités que l’opinion publique américaines devait connaitre. Le rôle du Sénateur de l’Arizona John McCain a été déterminant dans cette tournure des événements.

Toujours selon la même source, les douze versions du rapport de la CIA obtenues par le journaliste Jonathan Karl de la Chaine ABC prouvent bien que les termes “terrorisme”et “Al-Qaïda” ont été volontairement supprimés de la version initiale, et que la version finale du rapport s’est évertuée à présenter l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi comme l’action spontanée de quelques “têtes fêlées”, offensées par une vidéo parodiant le prophète Mohamed, et non une attaque terroriste planifiée par Al-Qaïda, qui voulait commémorer l’anniversaire de l’agression terroriste sur les Tours Jumelles de New York. Ces révélations sont en contradiction directe avec la version relayée par Jay Carney, le porte-parole de la Maison Blanche.

D’ailleurs un mémorandum fuité le 2 mai 2013 et obtenu par Jonathan Karl cite la porte-parole du Département d’Etat Victoria Nuland, demandant à ses collaborateurs d’éviter de mentionner que la CIA avait prévenu le Département d’Etat d’une éventuelle attaque terroriste à l’anniversaire du 11 septembre, dans la mesure où cela pourrait apporter de l’eau au moulin des Républicains pour leurs critiques de la politique internationale d’Obama.

Le refus de Barack Obama, pendant plus de deux semaines, de qualifier l’agression de Benghazi “d’attaque terroriste” a conduit plusieurs observateurs à supputer que la demande de Victoria Nuland d’éviter de parler de terrorisme remonte à Obama en personne.

Ces révélations ont amené le député de Floride, Ted Yoho, à déposer une proposition de loi le 26 juin dernier, pour interdire à toute agence ou institution américaine, l’allocation de fonds en vue de fournir une assistance militaire aux forces dites d’opposition en Syrie.

S’exprimant devant la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Yoho a réitéré ce qu’il avait dit à l’origine : “Quiconque pense qu’armer l’opposition rebelle en Syrie est une bonne idée devrait apprendre les leçons du passé. Les mêmes politiques ont créé des monstres en Irak, Afghanistan et ailleurs dans le monde. L’opposition syrienne est un mélange de groupes comme les Frères musulmans de Syrie et autres organisations qui ont fait allégeance à Al Qaïda”.

Al-Qaïda, une succursale des services qataris

Les relations entre Al-Qaïda et le Qatar remontent à des années. Outre le soutien financier à cette organisation terroriste apporté par des hommes d’affaires qataris proches de Hamad Ben Jassim, ainsi que par des associations dites caritatives, Al-Jazeera est devenue le principal relai médiatique de “cheikh Ben Laden”, comme l’appellent les présentateurs de cette chaîne islamo-terroriste.

Tous les services occidentaux étaient au courant de cette collaboration étroite entre l’oligarchie mafieuse et l’organisation terroriste…jusqu’au jour où cette relation est devenue trop flagrante pour pouvoir continuer.

En dépit du fait qu’Obama avait encore besoin des services d’Al-Qaïda en Syrie, en Irak et au Maghreb, ainsi que des très précieuses relations entre cette ” ONG ” de Ben Laden et Qatar Charity, le président américain a saisi la gravité de l’affaire en se débarrassant rapidement de ses deux complices et valets devenus trop encombrants : Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim.

Sans toutefois prévenir François Hollande, ce qui aurait évité à celui-ci de se rendre à Doha 24h avant l’éviction officielle des deux Hamad.

Obama a changé les deux têtes du pouvoir au Qatar pour que le président de la première démocratie du monde ne soit pas accusé à son tour de soutien au terrorisme, notamment celui d’Al-Qaïda, supposée être l’ennemi numéro1 des Etats-Unis et du monde entier.

Barack Obama savait très bien que Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim finançaient les Frères musulmans, Al-Qaïda et d’autres groupes terroristes, mais tant que cela servait les intérêts stratégiques de l’Empire, il a laissé faire ses valets.

Si cette collaboration étroite entre le Qatar et Al-Qaïda était encore floue en Tunisie, au moment des événements de janvier 2011, elle est devenue parfaitement claire en Libye, ensuite en Syrie. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Français ont décidé de faire le grand nettoyage au Mali.

Les premières mesures prises par cheikh Tamim prouvent a posteriori les raisons pour lesquelles son père a été éjecté : expulsion immédiate de Khaled Mechaal et d’autres dirigeants du Hamas qui vivaient à Doha après avoir longtemps profité de la générosité syrienne, fermeture de la représentation “diplomatique” des Talibans à Doha, humiliation et expulsion de Youssef Qaradaoui, neutralité apparente dans les affaires intérieures égyptiennes…

La surprise égyptienne

Mais, dans la précipitation, Obama n’a pas réalisé que le changement à la tête de l’oligarchie qatarie pouvait avoir un impact immédiat sur l’Egypte.

Cela s’appelle en stratégie et en géopolitique un effet d’agrégation ou un effet secondaire. Les officiers libres de l’armée égyptienne ont profité de cette brèche pour déposer, le 3 juillet, Mohamed Morsi, d’autant plus qu’ils étaient certains du soutien d’une grande majorité du peuple égyptien, totalement édifiée sur la “morale”, la “compétence” et le “patriotisme” des Frères musulmans au pouvoir grâce au soutien financier et médiatique du Qatar et à l’appui diplomatique des Etats-Unis.

Pour le général Abdefattah Al-Sissi, c’était en réalité une course contre la montre: juste après son premier communiqué du 26 juin, les Frères musulmans avaient pris la décision de l’arrêter et de dissoudre le haut conseil militaire.

Face à cette situation qui était totalement imprévisible et à ce fait accompli, Obama avait d’abord parlé d’une “seconde révolution “, et non point de coup d’Etat.

Dans un second temps, ne sachant plus sur quel pied danser, il a déclaré que “les lois des Etats-Unis n’autorisent pas de soutenir financièrement un pays victime de coup d’Etat”, allusion à l’aide annuelle (1 milliard et demi de dollars) que l’Amérique accorde à l’armée égyptienne depuis des années.

Depuis la semaine dernière, la position américaine s’est stabilisée autour d’une solution médiane : on prend acte du changement en Egypte, mais il faut libérer Mohamed Morsi et s’abstenir de persécuter les Frères musulmans.

Ce n’est pas le sort de Mohamed Morsi qui inquiète l’administration américaine, mais tous les engagements secrets de ce président vis-à-vis d’Israël et des Etats-Unis.

L’engagement (écrit) le plus scandaleux, qui a provoqué la colère et l’indignation des égyptiens, est le renoncement de l’Egypte à 40% des territoires du Sinaï au profit des réfugiés Palestiniens.

L’affaire ne serait pas grave s’il s’agissait d’un acte de générosité islamiste à l’égard du peuple palestinien. Mais en réalité, il s’agissait d’une “promesse de vente” dans laquelle les Frères musulmans ont touché 8 milliard de dollars du Trésor américain.

Le document attestant cette opération “immobilière”a été envoyé par le général Al-Sissi au Sénat américain. Ce document porte la signature de Mohamed Morsi, de Mohamed Badi, le chef suprême des Frères musulmans, et de Khairat al-Chater, Frère musulman et l’une des plus grosses fortunes du pays.

Comme l’a avoué Abdallah Al-Achaal, l’ancien numéro2 des Affaires étrangères égyptiennes dans le gouvernement Morsi, cette transaction arrangeait Obama, Israël, les Frères musulmans et le Hamas.

C’est cette affaire, qui est entre les mains des Sénateurs républicains américains, qui inquiète beaucoup Barack Obama, d’autant plus que ces Sénateurs réclament le remboursement illico des 8 milliards de dollars.

Le président américain pourrait toujours invoquer la raison d’Etat et sa volonté de “résoudre” définitivement le conflit israélo-palestinien, en offrant au Hamas –et non pas à l’autorité légitime palestinienne- un territoire qui appartient à l’Egypte, la fameuse solution de la “patrie de substitution”. Il pourrait aussi mobiliser le lobby sioniste pour le défendre, mais il ne peut rien pour sauver la tête de Mohamed Morsi qui pourrait être jugé et exécuté pour Haute Trahison.

Interrogé avant-hier devant le Sénat, Obama a avoué que son gouvernement a dépensé 25 milliards de dollars, “avant et après la révolution égyptienne, pour que les Frères musulmans prennent le pouvoir. Notamment dans les élections législatives et présidentielles”.

Obama a ajouté : ” Nous avons également soutenu les salafistes, mais moins que les Frères musulmans, qui étaient si désireux d’arriver au pouvoir qu’ils nous ont proposé de travailler pour nos intérêts et ceux d’Israël”.

En réponse à l’une des questions, il a indiqué que”les relations des Frères musulmans étaient très forte avec le Hamas et les mouvements extrémistes dans le Sinaï. Ils ont ainsi fait baisser les attaques contre Israël. Mohamed Morsi nous a été très rapidement d’un grand service dans la crise en Syrie lorsqu’il a rompu ses relations avec ce pays et qu’il a encouragé les Egyptiens à faire le djihad contre la Syrie”.

Lorsque le Sénateur lui a dit que cette politique s’avère être un échec puisque le pouvoir des Frères musulmans s’est écroulé et sur quelles données il s’est basé pour prendre de tels risques, Obama a répondu qu’il s’est fondé sur des rapports de renseignement et sur les analyses de Madame Patterson (ambassadeur des USA en Egypte), qui nous a convaincu que l’Egypte était définitivement sous le pouvoir des Frères musulmans”.

Le stand du secrétariat du saint sanctuaire de l’Imam Hussein(AS) à la 21e exposition internationale du Saint Coran de Téhéran a exposé aux visiteurs, le drapeau du saint sanctuaire de l’Imam Hussein(AS).

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique(IQNA), il s’agit d’un drapeau vert sur lequel, le nom de l’Imam Hussein(AS) est écrit par un tissu rouge.

La majorité des visiteurs de la 21e exposition internationale du Saint Coran de Téhéran se rendent dans le stand du secrétariat du saint sanctuaire de l’Imam Hussein(AS) pour visiter le drapeau.

Le stand a procédé à inscrire les visiteurs qui désirent visiter les saints sanctuaires de l’Imam Hussein et de l’honorable Abbas(AS) par contumace.

Une pétition pour faire acte d’allégeance envers l’Imam Hussein(AS) existe également dans ce stand et les visiteurs peuvent en la signant, refaire acte d’allégeance envers lui. Des livres de récit en arabes sont également exposés dans le stand du secrétariat du saint sanctuaire de l’Imam Hussein(AS).

Les pourparlers entre l'Iran et le groupe 5 +1 autour du programme nucléaire iranien vont continuer, et est actuellement prévu que le nouveau président perse Hasan Rohani nommer le nouveau groupe chargé d'effectuer les entretiens, a rapporté mercredi l' iranien des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi ministre.

Selon le ministre iranien des Affaires étrangères, comme indiqué précédemment, la courante persane année civile 1392 (du 21 Mars a commencé, 2012 jusqu'au 21 Juin 2013), est un bon moment pour résoudre cette affaire, donc trop signes indiquent.

"Nous espérons que M. Rohani prendre officiellement bureau, puis déterminer l'équipe de dialogue, ils (G5 +1) ont également montré une volonté d'entamer des pourparlers", a ajouté M. Salehi.

Le ministère des Affaires étrangères de la Russie, de son côté publié un communiqué mardi dans lequel il a annoncé que les diplomates de haut niveau G5 +1 (comprenant les Etats-Unis, le Royaume-Uni, France, Russie, Chine et Allemagne) ont exprimé leur intérêt pour la poursuite du dialogue avec l'Iran dès lors d'une réunion présidée par le chef de la politique étrangère de l'Union européenne (UE), Catherine Ashton, le même jour à Bruxelles, capitale de la Belgique.

Jusqu'à présent, l'Iran et le Sextet ont tenu plusieurs rounds de négociations sur une variété de sujets, afin de se concentrer sur le programme nucléaire pacifique de l'Iran.

Le président iranien élu, Hasan Rohani, a rencontré mardi des anciens combattants Sacré Défense (la guerre imposée par l'Irak contre la nation perse entre 1980 et 1988) où pour commémorer les martyrs, a déclaré la victoire de l'Iran dans ce conflit appartient à la nation tout entière.

Le nouveau président lors de son discours a dit que la raison pour laquelle le régime israélien n'a pas de réelle capacité de menacer le pays perse et encore moins ne peut donner une mesure militaire contre l'Iran, parce qu'ils savent que la nation iranienne va résister, comme il l'a fait au cours des huit années de guerre qui ont émergé victorieux.

Rohani continuait à affirmer que «nous avons imposé une guerre politique, économique et psychologique, mais la nation, a déclaré que les élections doivent résister et agir avec un plan et une prudence plus précis», car selon le président, le l'extrémisme ne fonctionne pas lorsque vous utilisez la réflexion peut atteindre la cible.

Le syndicat, un accord, l'interaction dans le pays et le monde, de poursuivre une politique étrangère dynamique, en évitant l'extrémisme et utiliser la raison pour éviter le désaccord, comme Rohani, étaient les principaux messages qui se dégagent des récentes élections présidentielles.

Le porte-parole de la Commission de la sécurité nationale et la politique étrangère Assemblée consultative islamique d'Iran, Hossein Hosseini Naqhavi a souligné mardi dans le droit du peuple égyptien pour définir l'avenir de leur pays.

"Téhéran suit de près les derniers développements en Egypte, et les autorités du pays persans considèrent que l'opinion des Egyptiens doit déterminer le sort du pays arabe", a déclaré Naqhavi Hosseini.

Se référant à la position de la Turquie concernant la situation en Egypte, le porte-parole de la Commission de la sécurité nationale de la politique étrangère du Parlement iranien a souligné qu'Ankara soutient le président égyptien déchu Mohammad Morsi, et la poursuite de cette politique pourrait faire face à l'Egypte avec une crise majeure.

Naqhavi Hosseini a exhorté les dirigeants des partis et des groupes égyptiens de travailler ensemble pour mener la nation vers une paix et une fin aux tensions dans la rue.

 

mardi, 16 juillet 2013 22:55

El Baradaï en Israël !!

le nouveau vice président égyptien et chef du parti Al Dastour , Mohamad El Baradaï a fait un escale de 5 heures à Tel-Aviv où il s'est entretenu avec les autorités sionsites des récentes évolutions d eson pays. Plusieurs commandants de l'armée égyptienne accompagnaient El Baradaï, affirme la radiok d'Israël qui n'en révèle pas aucun autre détail. Ex directeur général de l'AIEA, El Baradaï n'a cessé de décrier les politiques de Morsi et d'exhorter les egyptiens à descendre dans la rue le 30 juin dernier. El Baradaï reconnait avoir convaincu l'Europe et les Etats Unis d'apporter leur soutien à l'armée égyptienne pour limoger le président élu. les commentaires de la presse israélienne ne sont pas très optimiste au sujet d'El Baradaï qu'ils soupèonnent d'avoir des "tendances pro iraniennes". Israël reproche à ce dernier de s'être comporté avec mensuétude à l'égard de l'Iran pendant son mandat à la tête de l'AIEA et d'avoir permis à ce pays de dévélopper son programme nucléaire.

Le représentant de la République du Mali à l’exposition internationale du Saint Coran a affirmé que l’existence des traductions du Saint Coran en langues africaines locales témoignait des besoins langagiers et spirituels de la population de ce continent pour se libérer de la dépendance en écriture latine.

Jamal Dimbour, responsable du stand de la République du Mali au secteur « Coran et Culture des Nations » à la 21e exposition internationale du Saint Coran de Téhéran et expert des questions islamiques a indiqué lors d’une interview accordée à IQNA: « Jusqu’il y a quelques années, toutes les traductions du Saint Coran en Afrique notamment au Mali étaient en français ou en anglais, ou elles étaient transcrites en latine, mais aujourd’hui, les peuples de ce continent se libèrent de la dépendance langagière et essaient de lire la Parole Divine en leurs langues locales.»

« Le secteur « Coran et Cultures des Nations » nous a offert l’occasion de présenter les activités coraniques en république du Mali et la façon d’enseigner le livre divin dans notre pays aux visiteurs iraniens », a-t-il ajouté.

« Les Iraniens, a-t-il précisé, ont beaucoup d’intérêt pour les traductions non latines et cherchent à obtenir plus d’information sur elles. »  Exprimant son étonnement du grand intérêt accordé par les Iraniens aux thèmes coraniques, Jamal Dimbour a souligné : « C’est pour la première fois que je participe à l’exposition du Saint Coran de Téhéran et la présence de tant de visiteurs, en dépit du mois béni de ramadan et la grande chaleur m’a étonné. J’espère voir de telles expositions s’organiser dans tous les pays islamiques. »

Converti il y a quelques années au chiisme, le responsable du stand de la république du Mali à l’exposition internationale du Saint Coran de Téhéran a expliqué : « Le chiisme était méconnu avant la victoire de la révolution islamique en Iran. Les gens n’avaient pas beaucoup de connaissance sur les enseignements et les croyances de cette école, mais après la révolution et la publication des livres sur le chiisme et la présence des Iraniens dans les pays africains, les Africains ont commencé à se familiariser avec la réalité de l’école de l’Ahl-ul-Bayt(AS). Moi, c’est après beaucoup de recherches que je suis entré au chiisme. »

« Le secteur « Coran et Cultures des Nations » de l’exposition internationale du Saint Coran de Téhéran a permis aux représentants de 30 pays du monde à définir le mode de vie coranique employé dans leurs pays pour les visiteurs iraniens. De même, il leur a permis de se familiariser avec les croyances et les idées des Iraniens sur les musulmans du monde et de ce point de vue il a permis le renforcement de la solidarité au sein des musulmans », a-t-il conclu.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, est devenu au bureau trois jurisprudences le Conseil des gardiens de la République islamique (CG), tandis qu'il a nommé une nouvelle jurisprudence pour cet organe.

Par un décret publié mardi citant l'article 91 de la Constitution, le Guide suprême iranien a reconduit l'ayatollah Mohammad Momen, l'ayatollah Mohammad Yazdi et l'ayatollah Seyed Mahmoud Hashemi Shahroudi depuis six ans. De même, le Hojjatoleslam Mahdi Shabzendedar, a été nommé en tant que nouveau membre de la CG, et remplace le défunt ayatollah Qolamreza Rezvani. Pour plus tard, l'ayatollah Khamenei a souhaité plein succès à ces membres de la CG dans l'exercice de sa gestion.

 

La Chine et la Russie opposé leur veto la décision d'un comité du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations Unies (CSONU) pour étendre les sanctions contre l'Iran au motif que ses essais de missiles balistiques n'ont pas violé les résolutions de l'ONU.

Le rapport de mai, a soumis au Conseil du groupe d'experts des Nations Unies dit que les tests de sécurité iraniennes missiles iraniens Shahab 1 et 3 (Meteor), Zelzal (Temblor), Fateh-110 (Victor) et Tondar missiles (foudre) et anti-navires des missiles balistiques Khalij-e Fars (golfe Persique) violé les résolutions de l'ONU.

Selon un rapport publié lundi par Reuters, citant plusieurs diplomates s'exprimant sous couvert de l'anonymat, la Russie et la Chine s'opposent allégations selon lesquelles des essais de missiles iraniens violation des résolutions de l'ONU.

L'opposition de Moscou et Pékin a conduit à la déception de l'ambassadeur américain Rosemary DiCarlo à l'ONU, parce que le comité n'est pas parvenu à étendre les sanctions contre l'Iran.

États-Unis et d'UE des sanctions européennes contre Téhéran, sous l'allégation selon laquelle son programme nucléaire poursuit des fins militaires. Mais l'Iran nie les accusations, affirmant qu'en tant que membre de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et signataire de la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), a le droit d'acquérir et de développer l'énergie nucléaire à des fins pacifiques.