تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 06 septembre 2012 20:12

"Comment les sionistes voient Nasrallah ?"

«Cet homme nous a vaincu par la force de sa personnalité».

"Si Hassan Nasrallah possédait nos armes il pourrait envahir Israël en trois jours. Si nous avons comme dirigeant Hassan Nasrallah, nous pourrons conquérir le monde en trois heures ... "

Un officier sioniste

«Si nous avions Nasrallah nous ne serions jamais abattu."

Un soldat israélien

«Cet homme nous a vaincu par la force de sa personnalité».

L'un des chefs militaires

"Nous faisons confiance à M. Nasrallah plus qu’au gouvernement."

Presse israélienne

«Nous avons tué al-Moussawi et quelqu’un de plus fort l’a succédé."

Les colons juifs

"Hassan Nasrallah, la plus forte personnalité arabe que nous avons confrontés."

Ministre israélien

"Honnête, courageux, intelligents n’abandonne jamais ses droits."

Psychanalyste israélienne

«Nous avons peur que celui qui succédera Nasrallah soit plus intelligent que lui."

Analyste israélien

"Hassan Nasrallah a un aspect charismatique et un apparence charmante."

Commission Vinograd

«La presse et la télévision contribuent à notre défaite parce qu'ils répètent du matin au soir Nasrallah est fort, Nasrallah est charismatique, Nasrallah est honnête ».

Shimon Peres

jeudi, 06 septembre 2012 20:04

Six martyrs à Gaza

Raid aérien israélien et bombardement sur Gaza ont causé la mort de six civiles et le monde est sourd et muet

La ville palestinienne de Beit Hanoun, a annoncé ce matin, le martyr de six de ces habitants tués dans le bombardement israéliens qui ont touché un groupe de citoyens palestiniens, tandis qu'un autre civiles a été grièvement blessé dans un raid aérien israélien près du camp de réfugiés de Bureij dans la bande de Gaza.

Dans ce contexte, le porte-parole du ministère de la Santé à Gaza Ashraf al-Qodra a déclaré que «trois palestiniens sont tombés martyr à cause du bombardement israélien à l'est de Beit Hanoun dans le nord de la bande de Gaza ce matin. »

Trois Palestiniens sont tombés martyr, mercredi soir, après un raid sioniste sur le camp de réfugiés de Maghazi au centre de la bande de Gaza.

Les maîtres des écoles juridiques apprenaient les sciences chez l’Ahl-ul-Bayt (AS) et cela était pour eux un honneur et une source de réussite. L’Imam Abou Hanifa profitait des idées de l’Imam ’Ali (AS), allant jusqu’à faire d’une fameuse phrase du Noble Prophète (PSL), l’un des privilèges de son école:

«انا مدينة العلم و علىٌ بابها »

« Je suis la cité de la science et ’Ali en est la porte ».

Dans son Ahsan Al-Takãsim, Mokadasi écrit: «Abou Hanifa se félicitait d’avoir bénéficié de la science de l’Imam Sãdiq (AS), en disant: «لولا السنتان لهلك النعمان ».

« N’était-ce ces deux années passées à étudier auprès de l’Imam Al-Sãdiq, Nu’man eut péri».

Mãlik ibn Anas était l’un des disciples de l’Imam Al-Sãdiq (AS). Shãfiï a fait ses études chez lui et Ahmad ibn Hanbal étudia à son tour chez Shãfiï. Ce dernier n’a rapporté de hadith que de ceux d’Ali. C’est pourquoi il a été accusé d’être Chiite, mais lui se disait fier de cette accusation, en disant:

«Je suis chiite. Mon point de départ est le point le plus pur et source d’honneur».

« Je suis né à La Mecque, mais j’ai vécu à A’kila. Mon école est la plus belle et la meilleure des écoles».

Yahyã ibn Mo’in a accusé Shãfiï d’être Rãfidite, en disant: «J’ai lu son livre sur la sirah, sans y trouver d’autre nom que celui d’Ali.» Shãfiï proclame son Chiisme dans ces vers:

« Ô cavalier, arrête-toi à l’endroit où l’on jette les pierres à Mina,

Et cris aux gens qui sont assis ou qui se tiennent debout, à l’aube, du haut de la montagne

Aux hãjis, qui en se dirigeant vers Mina,

 

Sont en tumulte, comme s’enflent les eaux de l’Euphrate.

 

Si l’amitié de la famille du Prophète signifie l’abandon de la religion

 

Témoignez, ô les deux mondes, que je l’ai abandonnée».

 

De même, Ahmad ibn Hanbal, préférait ’Ali aux autres compagnons du Prophète (PSL). Une fois, on lui demanda qui était le meilleur compagnon du Prophète (PSL)? Il répondit: «Abou Bakr, puis Omar et ensuite Othmãn». Quelqu’un dit: «Et ’Ali?».

Ahmad répondit: «Vous avez posé une question sur les compagnons du Prophète (PSL), alors qu’Ali c’est Mohammad lui-même».

jeudi, 06 septembre 2012 18:36

L’Islam et la Polygamie

A la différence de ce qu’il a fait avec la polyandrie, l’Islam n’a pas aboli totalement la polygamie, mais il y a mis des restrictions. Ainsi, d’une part, il a fixé à quatre le nombre maximum de femmes avec lesquelles un homme pourrait se marier, et d’autre part, il a posé certaines conditions et imposé certaines exigences à quiconque se propose de se marier avec plus d’une femme, de telle sorte que se marier avec plusieurs femmes n’est pas donné à n’importe qui ni, n’importe comment. Nous traiterons de ces conditions plus loin, et nous expliquerons pourquoi l’Islam n’a pas banni totalement la polygamie.

Il est surprenant qu’au Moyen Age, alors que la propagande anti-musulmane était à son paroxysme, les détracteurs de l’Islam aient dit que c’était le Prophète qui avait inventé pour la première fois la coutume de la polygamie. Ils prétendaient que cette coutume était le fondement de l’Islam et la cause principale de sa propagation rapide parmi les différents peuples du monde. En même temps, ils alléguaient que la cause du déclin des peuples orientaux était la polygamie.

Dans son livre "Histoire des Civilisations" (Vol.I) Will Durant écrit: «Les hommes du Clergé du Moyen Age croyaient à tort que la polygamie était une invention du Prophète de l’Islam. Comme nous le savons, la vie matrimoniale de la plupart des sociétés primitives était marquée par la polygamie. Il y a plusieurs causes à son apparition. Dans les sociétés primitives, les hommes étaient pour la plupart occupés à la chasse ou au combat, et le niveau de la mortalité était évidemment très haut parmi eux. Et, étant donné que le nombre de femmes excédait en conséquence celui des hommes, il était inévitable d’adopter ce système. Il n’était pas possible de laisser un grand nombre de femmes dans un état de célibat, car le taux de mortalité étant très élevé dans les sociétés primitives, il fallait que toutes les femmes procréent. Il ne fait pas de doute que ce système s’adaptait à ces sociétés non seulement à cause de l’excédent du nombre de femmes par rapport à celui des hommes, mais aussi parce qu’il renforçait numériquement les hommes. A l’époque moderne, les hommes les plus forts et jouissant d’une très bonne santé se marient habituellement tard et engendrent peu d’enfants. Tandis que dans le passé, les hommes solides pouvaient avoir les meilleures femmes et faire beaucoup d’enfants. C’est pourquoi cette pratique a continué à exister pendant très longtemps, non seulement parmi les peuples primitifs, mais même parmi les peuples civilisés. Ce n’est que récemment qu’elle a commencé à disparaître graduellement dans les pays orientaux. L’agriculture a stabilisé la vie des hommes et réduit les difficultés et les périls des époques anciennes, entraînant l’égalisation approximative du nombre des hommes et des femmes.

Maintenant, la polygamie, même dans les sociétés primitives ou sous-développées, est devenue le privilège d’une petite minorité de riches, alors que chez les grandes masses, l’homme doit se contenter d’une seule femme, et peut s’adonner à l’adultère, lorsque cela est possible, pour avoir un peu plus de jouissance.»

Source: MUTAHARI. Mortadhã, Les Droits de la femme en Islam, Traduit par al-Bostani, éd. Ansariyan, Téhéran, 2002, PP.249-251.

Tunis- Hassan Danesch, représentant de la république islamique d'Iran a remporté le premier rang, à la 2e édition des compétitions internationales du Saint Coran de la Tunisie.

Lors d’un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, Sadegh Ramadhani Gol Afzani, attaché culturel de la RRI en Tunisie a dit : « Le président de la République de Tunisie, Moncef Marzouki, a remis, lors d’une cérémonie organisée au palais de Carthage, les prix aux lauréats de 2e Prix international de Tunis pour la mémorisation et la psalmodie du saint Coran. »

Selon lui, « Hassan Danech, récitant iranien a réussi à remporter la première place au concours de la psalmodie du Livre Divin. »

« En compétitions du psalmodie du saint Coran, l’iranien Hassan Danech, l’égyptien Mohammad Djamal Omari, le yéménite Youssef Abdelkhalek, et les récitants libyen et marocain ont été présentés comme les cinq premiers lauréats », a-t-il ajouté.

« Quant à l'épreuve de meilleure mémorisation du saint Coran, elle a également été remportée par un marocain : Mohammad Lartcech.

Le libyen Mohammad Houji, le koweitien Khaled Djassem et les représentants de Qatar et Yémén ont remporté les deuxième, troisième, et 5e places du concours de la mémorisation du saint Coran », a dit l’attaché culturel de la RII en Tunisie.

La cérémonie de clôture s’est déroulée en présence de Mufti de la République, du ministre des Affaires religieuses et de plusieurs ambassadeurs de pays islamiques accrédités à Tunis.

La deuxième édition du concours international de Tunis pour la mémorisation et la psalmodie du Saint Coran, a démarré, samedi, à la cité des sciences avec la participation de 36 candidats de différentes nationalités.

Le jury de ce concours sera composé de plusieurs oulémas venus de Tunisie, d'Egypte, d'Algérie et du Yémen.

Téhéran- Le secrétaire général du Hezbollah libanais prononce, le mercredi 5 septembre, un discours via la vidéoconférence lors des cérémonies d’ouverture de la 3e édition de la conférence international sur la résistance islamique qui se tient à Ispahan.

Selon le site d’information Al Nashrah, cette conférence de deux jours aura pour hôte la mairie d’Ispahan et se tiendra à l’hôtel Abbassi.

Différents thèmes dont l’éveil dans les pays islamiques et la lutte contre l’arrogance, le processus du déclin d’Israël après la chute des dictateurs en Egypte et en Tunisie et la résistance des nations révolutionnaires à côté de la résistance seront examinés au cours de la conférence d’Ispahan.

Les futures perspectives de la résistance islamique et les stratégies de l’éveil islamique sont d’autres axes qui seront passés en revue au cours de la conférence sur la résistance islamique.

Des oulémas et experts des différents pays dont la Palestine, le Liban, la Syrie, l’Azerbaïdjan, le Bahreïn, l’Arabie, la Turquie, la Tunisie, le Yémen et l’Indonésie participent à la conférence.

La conférence et le festival internationaux de la résistance islamique se tient chaque année avec la coopération de la fondation culturelle « Sobh Qarib » et les autres instances culturelles iraniennes. La première édition de cette conférence a eu lieu à Téhéran et la seconde, dans la sainte ville de Meched.

Lors d’une audience accordée au Président du Turkménistan, le 30 aout 2012, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a déclaré que la politique de la République islamique d’Iran envers ses voisins, était basée sur "l’amitié et la coopération".

Saluant le développement des relations avec le Turkménistan, l’Ayatollãh Khãmenei a indiqué: "Les grandes et diverses possibilités dont disposent les deux pays favoriseront le développement des relations bilatérales".

Le Leader de la Révolution Islamique a loué le chef d’état turkmène pour les progrès réalisés dans son pays et ajouté: "Nos intérêts communs dans différents domaines comme celui de la mer Caspienne, peuvent servir de base à un développement croissant des relations Téhéran-Achgabat".

Lors de cette rencontre, M. Bardi Mohammadov a transmis les salutations chaleureuses du peuple turkmène au Guide Suprême de la Révolution Islamique, indiquant: "Nous ferons tous nos efforts pour encourager le développement des relations avec notre grand voisin".

"Nous estimons que le vrai pouvoir réside dans le renforcement de la volonté nationale et les progrès scientifiques et sociaux, et non dans la possession d’armes atomiques", a déclaré le Guide Suprême de la Révolution Islamique lors d’une rencontre avec M. Mugabe, président du Zimbabwe.

Reçu par l’Ayatollãh Khãmenei, M. Mugabe a qualifié d’excellent, d’édifiant et de porteur de points philosophiques profonds et mobilisateurs, le discours du Guide Suprême de la Révolution Islamique lors des cérémonies inaugurales du 16ème Sommet du Mouvement des pays non-alignés (MNA) à Téhéran, et a ajouté: "Nous sommes très contents que la présidence du MNA revienne à un pays qui a un merveilleux bilan dans la lutte contre les puissances arrogantes occidentales".

Le président zimbabwéen a estimé que les pays libres du monde étaient contents que la présidence du MNA soit entre les mains de la République islamique d’Iran qui a une philosophie révolutionnaire et ne se contente pas de discours et de slogans mais propose des actions concrètes.

" Cette situation offre une bonne occasion pour développer les relations bilatérales ", a-t-il souligné.

Critiquant les grands mensonges des Occidentaux qui prétendent défendre les droits de l’homme, la loi et la démocratie, M. Mugabe a précisé: "Les antécédents des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France, et leur double comportement face aux évolutions du Moyen-Orient, montrent que les Occidentaux ne sont en quête que du pétrole".

Expliquant que la position de l’Occident vis-à-vis de la Syrie montre qu’il cherche à affaiblir la République islamique d’Iran, le Président du Zimbabwe a ajouté: "Il est vraiment ridicule que les Occidentaux accusent l’Iran de chercher à se doter des armes nucléaires".

Après avoir écouté les propos du Président zimbabwéen, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a rendu hommage à l’esprit révolutionnaire de M. Mugabe et a souligné: «Il y a à peu près 25 ans, j’ai participé au Sommet du Mouvement des pays non-alignés à Harare où vous aviez sur le même ton révolutionnaire, accusé les membres du MNA de se contenter de parler et déclaré que seule la République islamique d’Iran, agissait. Il est temps maintenant de coopérer pour appeler et orienter tous les membres du mouvement à l’action".

L’Ayatollãh Khãmenei a accueilli le développement des relations Téhéran-Harare et souligné: « Nous estimons que le vrai pouvoir réside dans le renforcement de la volonté nationale et dans les progrès scientifiques et sociaux, et non pas dans la possession d’armes atomiques."

"L’objectif des fondateurs du Mouvement des non-alignés (MNA) était de créer un mouvement influent qui puisse jouer un rôle dans le règlement des questions régionales et internationales", a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.

"Leur objectif n’était pas de créer une instance protocolaire mais de constituer un mouvement influent et vivant, que nous devons actuellement revivifier", a précisé l’Ayatollãh Khãmenei, le vendredi 31 août 2012, lors d’une audience accordée au vice-président indonésien et à la délégation l’accompagnant à Téhéran.

"Les pays membres du MNA dont l’Indonésie est un des fondateurs, doivent coopérer pour mettre en pratique leurs capacités et influer efficacement sur les questions régionales et internationales", a poursuivi le Guide suprême de la Révolution islamique.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté que l’usage des pays membres du Mouvement des non-alignés (MNA) de leurs expériences et de leurs progrès était une mesures réalisable au sein du mouvement et a précisé: "Le progrès des pays indépendants et islamiques a des ennemis et il faut être attentif aux complots et aux plans ourdis par les ennemis de ces pays".

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré que les divergences et les conflits religieux en particulier entre chiites et sunnites, étaient une conspiration dangereuse, ajoutant que c’était le fait de mercenaires soutenus par un certain nombre de puissances comme nous le voyons en Afghanistan et au Pakistan.

L’Ayatollãh Khãmenei a rappelé qu’Al-Qaïda et les talibans avaient été formés avec le soutien des alliés des Etats-Unis dans la région et que les Etats-Unis sous prétexte de les combattre, avaient bombardé le Pakistan et l’Afghanistan, et que leur principal objectif était de dominer ces pays.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a conseillé d’être vigilant face à ces complots dangereux de guerres ethniques et religieuses en Indonésie, en Egypte et en Lybie, et a insisté sur la nécessité d’une plus grande coopération entre les pays islamiques.

Monsieur Boediono a félicité l’Iran pour la bonne organisation du 16ème Sommet du Mouvement des pays non-alignés (MNA) à Téhéran, et a estimé que le terrain était très propice pour un développement des relations bilatérales, notamment dans le secteur économique.

"Lors des négociations que nous avons eues en marge du 16ème Sommet du MNA, il a été prévu que les secteurs privés et les commerçants des deux pays examinent de façon plus active, les possibilités de développement des relations économiques entre Téhéran et Jakarta ", a-t-il indiqué.

Lors de cette rencontre, le vice-président indonésien a qualifié d’importantes, les capacités des Etats membres du Mouvement des non-alignés (MNA) dans le règlement des questions internationales, et a ajouté que l’Indonésie souhaitait ouvrir la voie à la coexistence pacifique et à l’union des différentes ethnies et religions.

À la fin de ses propos, faisant référence à sa spécialité dans le domaine économique, le vice-président d’Indonésie s’est adressé au Guide suprême et a dit qu’il avait étudié ses points de vue sur l’économie de résistance qu’il a qualifiés de très intéressants et très originaux.

Lors d’une rencontre avec la première ministre du Bangladesh, Mme Cheikh Hassina Majed et la délégation l’accompagnant à Téhéran, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a fait allusion aux convergences culturelles et historiques de l’Iran et du Bangladesh, soulignant notamment que le persan était un langage courant au Bangladesh à une certaine époque, et a déclaré: "Ces profondes relations culturelles encouragent la coopération politique, internationale, économique et sociale".

Faisant allusion à la place importante du Bangladesh au sein de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), du Mouvement des Non-alignés (MNA) et du groupe D-8, l’Ayatollãh Khãmenei a ajouté: " La coopération entre les pays islamiques et l’usage des potentialités de chacun d’entre eux serviront sans aucun doute les intérêts des peuples musulmans et renforceront leur puissance".

Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a affirmé que le seul moyen pour faire face aux complots des pays arrogants était le rapprochement des pays indépendants et islamiques, et le développement de leur coopération.

"Si cette unité et cette coopération avaient été sérieuses nous n’aurions pas été témoins des tragédies qui se passent en Syrie et au Bahreïn", a fait remarquer l’Ayatollãh Khãmenei.

Mme Cheikh Hassina Majed a pour sa part, confirmé les déclarations du Guide suprême de la Révolution islamique avant de préciser: « Les pays islamiques et indépendants doivent mobiliser leurs possibilités et leurs potentiels pour empêcher l’imposition des décisions des puissances étrangères. Le Bangladesh désire le développement des relations entre Téhéran et Dacca dans différents domaines, notamment dans les secteurs économiques et commerciaux".