تقي زاده

تقي زاده

« Au cas où une implication israélienne s’avère dans l’acte de sabotage survenu dans le complexe nucléaire de Natanz, l’ouverture d’une enquête internationale à ce sujet deviendra un impératif », a annoncé la Commission des affaires internationales du Conseil de la Fédération de l’Assemblée fédérale de la Fédération de Russie.

Selon la chaîne Al-Jazeera, cette déclaration tombe à peine quelques heures après que le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, eut annoncé que l’Iran prendrait sa revanche contre les sionistes pour cet acte de sabotage, et d’ajouter que la centrale de Natanz poursuivra son travail plus fort qu’avant en utilisant des équipements plus avancés.

Dans une autre déclaration, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Saïd Khatibzadeh s’est réjoui du fait que l’incident de Natanz n’a provoqué aucune perte en vie humaine ni aucun dégât environnemental.

Les États-Unis possèdent des missiles balistiques intercontinentaux obsolètes depuis plus d'un demi-siècle, selon les dires d’un ancien responsable militaire américain. Le National Interest soulève la question dans un article signé Peter Hoss. Il critique les partisans du programme visant à augmenter la durée de vie utile des missiles balistiques Minuteman III et souligne la nécessité de mettre en œuvre le projet de création d'un nouveau missile stratégique de dissuasion nucléaire (GBSD). 

Le journal indique que les missiles Minuteman III ont déjà été mis à jour deux fois, fin des années 90 et début 2000, pour augmenter leur durée de vie jusqu'en 2030.

Exprimant son présumé soutien à l’Ukraine, le ministre français des Affaires étrangères a déclaré que la Russie devrait clarifier ses récents mouvements militaires à ses frontières.

Ayant fait état, dans un communiqué publié ce lundi 12 avril, de ses discussions sur la situation en Ukraine lors des appels avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, et le ministre fédéral allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, Jean-Yves Le Drian, chef de la diplomatie française s’est dit préoccupé par les récents mouvements importants de troupes russes près de la frontière orientale de l’Ukraine et en Crimée. 

"La France considère qu'il est important que la Russie clarifie le cadre et les raisons de ces actions, notamment à travers l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe », a-t-il lancé.

Le Drian a appelé la Russie à mettre fin à ce qu’il appelle les provocations et à adopter les plans nécessaires pour entamer la désescalade sans délai. En outre, il a souligné le plein soutien de la France à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de l'Ukraine à l'intérieur de ses frontières internationales; indiquant que la France ne reconnaît pas le rattachement de la Crimée à la Russie.

Sur fond du soutient US au terroristes de Daech opérant en Irak, les forces des Hachd al-Chaabi ont mené une opération d’envergure contre les cellules terroristes dans la province de Diyala.

L'armée irakienne et les forces des Unités de mobilisation populaires irakiennes (Hachd al-Chaabi) ont lancé une opération d’envergure contre les cellules dormantes de Daech aux premières heures de ce lundi 12 avril, a rapporté IRNA.

Terminée dans l’après-midi, l'opération a été menée dans la province Diyala à la frontalière de l’Iran. Elle a conduit à la saisie de quantités importantes d'équipements, de moyens de transport.

Cette seconde « explosion terroriste » en l'espace de huit mois, qui a visé le dimanche 11 avril, à peine quelques heures après le passage du président Rohani, le méga site d'enrichissement de Natanz, et qu'Israël a revendiquée à mot couvert, alors même que le chef du Pentagone se trouvait au même moment à Tel-Aviv pour dire à l'armée israélienne qu'elle est désormais "majeure et vaccinée" et qu'il lui appartient à s'assumer  si jamais une grande guerre, à savoir une guerre irano-irako-yéméno-syro-sud libanais venait à éclater contre  l'axe de la Résistance, - puisque cet axe n'est ni la Chine ni la Russie et que le moment venu, il n'hésiterait un seul instant, à passer à l'acte, à tirer de supers missiles sur Aïn al-Asad, à descendre des P8, E11 AGlobal Hawk, à faire saigner l'US Army en Irak et en Syrie, à capturer des marines US ou britanniques, à bousiller leurs navires, leurs sous-marins, à les frapper même au domicile... bref à briser en mille morceaux le pseudo aura de superpuissance US, son principal fond de commerce à travers le monde, a été peu porteuse.

 

Selon le site web libanais, South Front, un drone développé conjointement par la France et Israël a été récemment repéré dans un aéroport marocain situé sur la côte de la région contestée du Sahara occidental. Le 10 avril, plusieurs sources ont partagé une photo montrant le drone, identifié comme un EADS Harfang, dans l'aéroport de Dakhla. Une courte vidéo du drone survolant une partie non spécifiée du Maroc a également fait surface en ligne.

Alors que les diplomates vont tenir une réunion de la Commission mixte du PAGC à Vienne mardi, une source informée proche de l'équipe de négociation iranienne a maintenu que la levée des sanctions américaines de manière vérifiable est la seule option pour que Washington rejoigne l'accord.
La source a déclaré à Press TV que la réponse de Washington à l'engagement unilatéral de l'Iran envers le Plan d'action global commun n'est rien d'autre qu'une démarche unilatérale visant à supprimer toutes les sanctions.

"Téhéran n'acceptera aucun résultat de la réunion de Vienne autre que la suppression de toutes les sanctions", a déclaré la source lundi soir.

La source a déclaré que l'ordre du jour de l'équipe iranienne dans les négociations de Vienne est clair. "L'Iran ne commencera ses mesures pour revenir aux engagements du PAGC qu'après la suppression de toutes les sanctions américaines et leur vérification."

"Robert Malley devra quitter Vienne les mains vides si la réunion de mardi aboutit à autre chose que la suppression de toutes les sanctions américaines", a ajouté la source, en référence à l'envoyé spécial du président américain pour l'Iran qui devrait assister aux pourparlers de Vienne.

À l'issue de la 18e réunion de la commission mixte du PAGC qui s'est tenue par vidéoconférence vendredi, les participants ont décidé de poursuivre les discussions à Vienne la semaine prochaine pour continuer les consultations et définir les mesures relatives à la levée des sanctions américaines.

Le PAGC a été signé en 2015 entre l'Iran et le groupe 5+1 et entériné par la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies.

Cependant, le président américain de l'époque, Donald Trump, a retiré unilatéralement Washington de l'accord nucléaire en mai 2018 et a rétabli les sanctions anti-iraniennes qui avaient été levées par l'accord.

Les autres parties européennes n'ayant pas réussi à respecter leurs engagements envers l'accord et à compenser l'absence de Washington, l'Iran a pris des mesures en mai 2019 pour réduire ses engagements dans le cadre du PAGC.

Le général Seyyed Mohammad Hejazi, commandant adjoint de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), soulignant que l’année 1400 est le début d’un grand changement et d’une révolution mondiale pour détruire les puissances arrogantes, antireligieuses et anti-humaines, a déclaré : « L’axe de la Résistance devient plus puissant que jamais. »é

En allusion aux péripéties de l’année écoulée, le général de brigade Seyed Mohammad Hejazi, commandant adjoint de la Force Qods du CGRI, qui parlait devant les commandants et gestionnaires de cette force, a déclaré : « Après la mort en martyre du général Soleimani et simultanément avec la pandémie de Covid-19, la pression maximale du régime arrogant et terroriste américain contre la République islamique d’Iran et l’ensemble de l’axe de la Résistance s’est formée pour briser la volonté et la résistance de notre chère nation iranienne et celles de l’axe de la Résistance; et malgré l’absence du général Soleimani, l’Iran et l’axe de la Résistance ont atteint de grandes réalisations et victoires dans de nombreux domaines. »

Alors que les coalitions navales des États-Unis et de leurs alliés dans la région du golfe Persique, pour contrer ce qu’ils appellent « l’influence régionale de l’Iran », ont échoué à plusieurs reprises, une véritable dynamique semble naître avec un fort penchant vers l’Orient et en particulier autour de l’axe de l’Iran, dans le golfe Persique, la mer d’Oman et le nord de l’océan Indien, ce qui pourrait conduire à la formation d’une nouvelle coalition navale anti-américaine dans cette région stratégique.

Une flotte de la marine pakistanaise accostée dans le port de Bandar Abbas s’est rendue dans les eaux du golfe Persique et de la mer d’Oman pour participer à un exercice naval combiné irano-pakistanais.

Selon l’ISNA, citant la marine de la République islamique d’Iran, l’amiral Reza Sheibani, porte-parole de cet exercice conjoint, déclarant que le but de cet exercice naval était d’améliorer la capacité de combat et d’échanger des informations et des connaissances militaires entre les deux marines iranienne et pakistanaise a ajouté : « Cet exercice aura lieu dans les eaux du golfe Persique et la mer d’Oman visant à démontrer la puissance navale et la synergie entre les marines iranienne et pakistanais et à établir une interaction constructive et dynamique afin de créer la paix et la sécurité durables dans la région ».