تقي زاده

تقي زاده

L’Union européenne reste engagée à l’accord nucléaire et rejette les récents propos d’Emmanuel Macron. 

L’Union européenne a réagi, lundi 2 février, à la récente proposition du président français selon laquelle les négociations sur le nucléaire iranien doivent inclure l’Arabie saoudite. L’Union européenne a annoncé que la proposition d’Emmanuel Macron relevait de son « opinion personnelle » et a rappelé son engagement à l’actuel accord nucléaire. 

Israël a annoncé ce mardi qu’un deuxième drone s’était écrasé dans la bande de Gaza en deux jours. Hier, le Hezbollah a également annoncé qu’il avait abattu un quadricoptère de l’armée israélienne au sud du pays. L’augmentation du nombre des aéronefs abattus de l’armée israélienne révèle que le potentiel militaire de l’armée israélienne était en déclin. En revanche, l’axe de la Résistance possède déjà des technologies de pointe à affronter toute agression éventuelle de l’armée israélienne. 

Ce mardi, l’armée israélienne a annoncé dans un tweet qu’un drone s’était écrasé dans le sud de la bande de Gaza et qu’il n’y avait aucune inquiétude quant aux fuites d’informations.

Une source de sécurité a également déclaré à Gaza que le service de sécurité affilié au Hamas avait saisi le drone écrasé.

 

Dans le cadre de sa nouvelle stratégie, l’armée américaine a annoncé le déploiement de ses bombardiers dans l’ouest de la Norvège sous le prétexte de faire face aux menaces éventuelles de la Russie et de la Chine.

Pour la première fois, l’armée de l’air américaine stationne un certain nombre de bombardiers stratégiques sur sa base aérienne à l’ouest de la Norvège.

 Selon le site Star and Stripes, cette initiative américaine est due à l’importance croissante de la région Arctique dans la stratégie militaire. Plus de 200 membres de l’armée de l’air de la base aérienne de Dyess, au Texas, devraient arriver à la base aérienne d’Orland avec un escadron expéditionnaire de bombardiers B1-B Lancer pour soutenir les missions éventuelles contre la Russie et la Chine dans la région, a déclaré mardi le Commandement américain en Europe dans un communiqué.

mercredi, 03 février 2021 08:55

Syrie : du sang "américain" va couler...

Cet aveu d'échec de l'ex numéro deux du département d'état, Jeffry Feltman, où il reconnait que les Etats Unis d’Amérique ont "militairement " perdu les dix ans guerre en Syrie, et que par conséquent, il conviendrait que Biden opte pour une nouvelle approche à savoir "réduire à l'extrême famine" les Syriens, ce n'est pas par la Loi César que le nouveau président US veut l'appliquer : le corridor maritime anti sanction que l'axe de la Résistance a mis en place depuis des années et qui alimente la Syrie en essence et denrées alimentaires et qui s'est même étendue depuis mai 2020 aux Caraïbes pour faire intégrer le Venezuela, a fait de la Loi César, une loi bien creuse, même si les Américains ont tout fait pour que le contraire se produise, y compris, au Liban où ainsi que le reconnait Feltman, la cible des hostilités US est à la fois le Hezbollah mais encore les banques puisqu'elles sont les poumons de l'économie syrienne.

Un analyste irakien a révélé l’infiltration américaine au sein du service de sécurité d’Irak pour fournir des informations aux terroristes de Daech. Dans le même temps, un autre convoi militaire américain a été pris pour cible des forces de la Résistance dans le sud de l’Irak.

Kamel al-Bayati, analyste politique irakien, a déclaré dans un entretien avec l’agence de presse al-Maalomah que les États-Unis tentaient d’imposer leur diktat aux Irakiens et de collecter des informations délicates auprès des services de renseignement pour en fournir aux terroristes de Daech dont la réapparition garantirait et justifierait la présence illégale des forces américaines en Irak
Kamel al-Bayati a déploré que le gouvernement irakien ne passe pas à l’acte pour expulser les militaires américains bien que les États-Unis continuent de s’ingérer dans les affaires militaires et sécuritaires de l’Irak. 

Entre le samedi 31 janvier 2021 et ce mardi 2 février, trois drones israéliens ont été interceptés dans le ciel de Gaza et du sud du Liban, deux dans le premier, un dans le second. Au point de pousser l'armée israélienne et ses cohortes d'analystes de pacotille à reconnaître qu'il se passe quelque chose "d'inhabituel" , "d’éminemment dangereux dans le ciel du Moyen-Orient". En effet, à peine parallèlement au test réussi d'un second porte-satellites iranien, du nom de Zoljanah qui succède à Qassed, cet autre porte-satellites qui a réussi au mois d'avril 2020 à placer en orbite basse le premier satellite militaire iranien, Nour-1, il y a comme une éclosion d'une "DCA" intégrée de la Résistance libano-palestinienne dans l'air. Car abattre un drone israélien au Liban ou à Gaza, c'est une chose mais le fait de pouvoir en prendre le contrôle par système de brouillage électronique interposé, puis de le prendre de sorte que toutes ces données en soient déchiffrées et utilisées à des fins militaires anti-israéliennes, c'en est une autre.

Surtout en temps de guerre et alors même qu'aussi bien le Liban que Gaza rognent le frein pour en découdre avec une entité sioniste parfaitement aux abois laquelle entité bombe le torse à l'adresse de ses "amis golfiens" qui ont vendu la cause palestinienne et trahi la Résistance, gratuitement. 

Les USA de Bident sont en guerre contre la Chine et c'est le moins qu'on puisse dire. Après avoir assassiné l'ambassadeur chinois à Tel-aviv en septembre 2020  peu après une visite de Pompeo, ce qui a valu à Pékin la fin de l'un des plus grands projet hydraulique de la région, Biden ira-t-il tolérer a Chine en Israël? ou ce qui revient aux même, les intérêts chinois dans les territoires occupés restent-ils à l'abri pour les quatre années à venir? Certains analystes y compris au sein même des milieux sionistes n'écartent même pas un coup à l'arme orbitale US contre le port de Haïfa si l'entité continue à s'obstiner à vouloir maintenir en l'état ses liens avec Pékin. 

Le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères a dédaigné les commentaires du président français sur la nécessité d'un nouvel accord nucléaire avec Téhéran qui impliquerait l'Arabie Saoudite.
 
 Dans une déclaration publiée samedi, Saeed Khatibzadeh a répondu aux récents commentaires du président français, appelant Emmanuel Macron à s'abstenir de toute prise de position hâtive et malavisée.

"Le PAGC est un accord international multilatéral qui a été approuvé et stabilisé par la résolution 2231 du Conseil de sécurité (des Nations unies). Il n'est en aucun cas renégociable, et ses parties sont également définies et immuables", a-t-il ajouté.

Soulignant le retrait des États-Unis de l'accord nucléaire et l'incapacité de l'Europe à le maintenir, le porte-parole iranien a déclaré : "S'il existe une volonté de relancer et de sauver le PAGC, la solution est facile. Les États-Unis devraient revenir à la PAGC et lever toutes les sanctions  qui ont été imposées (à l'Iran) pendant le mandat du précédent président de ce pays (les États-Unis)".

"Si les responsables français s'inquiètent des énormes ventes d'armes aux Etats arabes du Golfe Persique, ils feraient mieux de revoir leur politique", a ajouté M. Khatibzadeh, selon le site du ministère des affaires étrangères.

"Les armes françaises, ainsi que d'autres armes occidentales, ont non seulement massacré et tué des milliers de Yéménites, mais sont également la principale raison de l'instabilité dans la région du Golfe Persique", a-t-il déclaré.

"Sans un arrêt du flot d'exportations d'armes de la France, du Royaume-Uni, des États-Unis et d'autres pays, on ne peut pas s'attendre à la stabilité et au calme dans cette région délicate", a ajouté le porte-parole iranien.

Ses commentaires sont arrivés après que M. Macron ait appelé vendredi à des discussions sur un nouvel accord avec l'Iran qui, selon lui, doit impliquer les pays de la région, y compris l'Arabie Saoudite.

"Le dialogue avec l'Iran sera rigoureux, et ils devront inclure nos alliés dans la région pour un accord nucléaire, et cela inclut l'Arabie saoudite", a déclaré M. Macron à Paris, affirmant qu'il était nécessaire de s'abstenir de faire les mêmes erreurs que celles commises dans l'accord nucléaire de 2015.
Le leader de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, a rendu hommage au défunt fondateur de la République islamique, l'Imam Khomeini, alors que l'Iran entamait les cérémonies des dix jours du Fajr (aube) marquant la victoire de la révolution islamique de 1979.
L'Ayatollah Khamenei a visité le mausolée de l'Imam Khomeini, au sud de Téhéran, pour rendre hommage au défunt fondateur de la République islamique dimanche matin.

Le Guide a également rendu hommage aux martyrs iraniens enterrés dans un cimetière voisin, notamment les martyrs de la guerre imposée par l'Irak à l'Iran de 1980 à 1988 et d'un attentat à la bombe perpétré à Téhéran en 1981, au cours duquel 72 responsables ont été tués.

La nation iranienne a renversé le régime Pahlavi soutenu par les Etats-Unis il y a 42 ans, le 11 février 1979, mettant ainsi fin à 2 500 ans de régime monarchique dans le pays.

La révolution islamique, dirigée par l'imam Khomeini, a établi un nouveau système politique basé sur les valeurs islamiques et la démocratie.

Chaque année, les Iraniens célèbrent l'anniversaire de leur révolution islamique du 1er au 11 février, lors des cérémonies des dix jours du Fajr.

Le 1er février 1979 est la date à laquelle l'ayatollah Ruhollah Khomeini est revenu d'exil à Paris pour s'installer à Téhéran.

À la mi-janvier, alors même que les forces navales iraniennes accomplissaient des exercices dans une vaste zone étendue depuis le Makran, sur la côte sud iranienne, au nord de l'océan Indien, un "sous-marin occidental" s'est rapproché de la zone des opérations, à l'effet, on s'en doute, d'espionner les étapes de la manœuvre. L'appareil qui compatit sans doute bien trop sur sa "furtivité" mais qui n'a pas tardé à en faire les frais puisque les unités héliportées du CGRI l'ont aussitôt localisé avant de lui lançant un sévère avertissement qui l'a poussé à prendre la poudre d'escampettes. Cet épisode, la presse spécialisée occidentale, en a fait  "une toute petite parenthèse" puisque le sous-marin en question n'avait été autre que le fameux USS Georgia, bâtiment à propulsion nucléaire et doté de 105 Tomahawk sur quoi le clan Trump avait tant misé pour pulvériser la côte iranienne! l'hélico de la marine du CGRI qui a chassé, lui et seulement au second jour des exercices «Eqtedar- 99», a été un SH 3D dont la mission principale consiste à repérer les unités sous-marines.