La grâce octroyée par le président Trump à son ancien conseiller national de sécurité, le général Michael Flynn, parait être un soutien à QAnon ; un groupe qui lui paraît lié. De même que le renvoi de leaders du Pentagone semble suivre les objectifs du général Flynn.

تقي زاده
Que peut demander l'Iran à Pyongyang après le déverrouillage de Fordo?
Le vice-ministre des Affaires étrangères de la Corée du Nord a rencontré l'ambassadeur de la République islamique d'Iran, Seyed Mohsen Emadi, à Pyongyang.
Le site web Kcna Watch a rapporté ce jeudi 3 décembre que la réunion avait eu lieu le 30 novembre pour marquer la fin de la mission de Seyed Mohsen Emadi, en tant qu'ambassadeur d'Iran en Corée du Nord.
Lors de cette rencontre, les deux responsables ont souligné les excellentes relations et coopérations de longue date établies entre leurs pays respectifs.
A l’heure actuelle, ces relations se développent dans divers domaines.
Les dirigeants du monde sont étonnés par la façon dont l'Iran gère la guerre économique
"Personne, ni les Etats-Unis ni l'Europe, n'aurait pensé que l'Iran pouvait très bien résister à une telle guerre économique", a-t-il ajouté.
Il n'y a eu aucune coupure d'eau, d'électricité ou de gaz en Iran au cours de ces trois années et le pays n'a pas été contraint d'acheter du diesel à l'étranger, a noté M. Rohani, ajoutant que de nombreux dirigeants mondiaux se demandent comment l'administration a réussi à gérer le pays.
Exprimant sa confiance dans le fait que l'Iran va également surmonter la crise du coronavirus, le président a déclaré que la situation du pays dans le cadre de la pandémie n'est pas pire que celle des Etats occidentaux.
L'administration a maîtrisé la situation avec un plan de deux semaines, a-t-il dit à propos des restrictions pour lutter contre la transmission du COVID-19 en Iran.
Ailleurs dans ses remarques, M. Rohani a réitéré l'opposition de l'administration à un projet de loi parlementaire qui exige que le gouvernement suspende la mise en œuvre volontaire du protocole additionnel du traité de non-prolifération nucléaire (TNP).
Le président a exhorté les législateurs à laisser les professionnels s'occuper de la diplomatie avec patience, prudence et une longue expérience de la défaite des États-Unis aux Nations unies.
Hadith: La piété
Je crains Dieu - Le Prince des croyants- Imam Ali (que la paix soit sur lui) a remarqué un homme [et a vu] l'effet de la peur sur lui, et a dit: Qu'as-tu ? Il a dit:
J'ai peur de Dieu
Il a dit: Ô Abdallah, crains tes péchés et crains la justice de Dieu contre toi dans les griefs de ses serviteurs, et obéis-lui comme il te l'a assigné, et ne lui désobéis pas dans ce qui est bon pour toi, et alors n'ai plus peur de Dieu après cela.
Il ne fait d'injustice envers personne et ne le puni pas au-delà de ce qu'il mérite; à moins que tu ne craignes une mauvaise fin.
Dans le sens que tu Changes, ou te transformes, dans ce cas si tu veux que Dieu te prévienne de la mauvaise fin :
Saches que ce que tu fais de bien, c'est grâce à Dieu, et ce que tu fais de mal, c'est Grâce au répit et l'ajournement qu'il t'accorde par Clémence envers toi (Al bûrhan fi tafsir al qurân, partie 1, p. 228)
L’amour de la famille de Muhammad(p)
Le Prophète Mohamed (p) dit:
??Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad est un martyr.
??Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad est pardonné.
??Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad est mort repenti.
??Certes ! Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad
est mort en ayant une foi complète.
??Et sans aucun doute ! Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad, l'ange de la mort
lui donne l’heureuse nouvelle du paradis, et ainsi que les deux anges qui l'interrogent (Munkar et Nakeer).
??Et en vérité, celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad sera mené vers le paradis comme la mariée est amenée à la maison de son mari.
??Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad, il lui sera ouvert deux portes dans sa tombe vers le paradis.
??Celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad, Allah fera de sa tombe un endroit sacré de visite pour les anges de la pitié.
??Et certes, celui qui meurt avec l’amour de la famille de Muhammad, est mort avec ma sunna.
?? Et sans aucun doute ! Celui qui meurt avec la haine de la famille de Muhammad, arrivera le jour de
jugement tandis qu'on lui imprimera sur son front qu'il a désespéré de la miséricorde d'Allah.
??Celui qui meurt avec la haine de la famille de Muhammad est mort mécréant.
??Et en vérité, celui qui meurt avec la haine de la famille de Muhammad, ne sentira jamais l'odeur du
paradis. »
Références sunnites :
-Tafsir Al-Kabir par Fakhr-Al-Din Muhammad Ibn Umar Al-Razi, publication en Egypte
(1357/1938), sous le commentaire du verset 42:23, partie 27, pp. 165-166.
-Tafsir Al-Kashshaf par Al-Zamakhshari.
-Tafsir Al-Kabir par Al-Tha'labi.
Le général Flynn, QAnon et les élections US
En accordant avec éclat sa grâce présidentielle au général Michael Flynn, Donald Trump a jeté le trouble.
Certes, ce grand militaire est poursuivi pour avoir menti aux enquêteurs du Russiagate (et non pas pour d’autres crimes qu’il aurait lui-même commis). Il cherchait à protéger son patron des intrusions de la Justice ; ce dont celui-ci le remercie aujourd’hui.
Mais surtout parce que cet homme a un curriculum vitæ remarquable. Directeur du Renseignement militaire, il remit en cause le soutien de l’administration Obama à Al-Qaïda, à Daesh et à leur maison-mère, les Frères musulmans. Il batailla pour stopper la guerre contre la Syrie et maintenir le président Bachar el-Assad à son poste. À l’issue d’un mémorable conflit, au cours duquel il fut soutenu par les généraux Mattis et Kelly, il fut contraint de démissionner.
- Réunion au Conseil national de sécurité US, le 13 juin 2013 à la Maison-Blanche. L’ambassadeur de la Confrérie secrète des Frères musulmans, Youssef al-Qaradâwî, n’ayant pas pu se rendre à Washington car interdit d’accès au territoire US, il s’est fait représenter par son adjoint, le cheik Abdallah Bin Bayyah (second à gauche avec le turban).
Il commença alors une carrière dans le privé en travaillant pour Cambridge Analytica, la firme qui analysa de méga-données du trafic internet pour aider les campagnes électorales de nombreux dirigeants actuels, dont Ted Cruz [1] puis Donald Trump aux USA. Puis, il créa avec son fils, Michael Jr, une société de lobbying, dont la Turquie fut un client. Il plaida pour elle en faveur de l’extradition de Fetuhllah Gülen, accusé d’avoir fomenté le coup d’État de 2016. À l’époque le président Recep Tayyip Erdogan n’était pas encore le protecteur des Frères musulmans et hésitait à devenir le leader du nationalisme turc. Il était donc souhaitable d’extrader le leader islamiste qui avait mis en œuvre le coup d’État sur les ordres de la CIA.
En définitive, le général Flynn se rapprochait de Donald Trump, s’investissait dans sa campagne contre les Puritains au point d’être sélectionné comme possible vice-président, voire secrétaire à la Défense ou conseiller national de Sécurité. C’est ce dernier poste qu’il occupera 24 jours lors de l’investiture du président Trump jusqu’à sa démission forcée par l’enquête du Russiagate.
Depuis cette date, il se faisait discret, exclusivement occupé à sa défense judiciaire.
- Le général Flynn et le président Trump
D’où cette question : que faisait donc alors ce maître-espion si proche de Donald Trump ?
Le 14 septembre 2019, il fut annoncé comme orateur, avec George Papadopoulos, à une conférence sur les « Soldats de l’ère digitale » à Atlanta. Il s’agissait de la première manifestation publique du mouvement QAnon. Mais face à l’intérêt de la presse, il annula sa participation.
La conférence était organisée par Richard Granville, le fondateur du moteur de recherches Yippy. Mais de QAnon précisément, on ne sait rien. Juste que par cette signature, il se pose comme un haut-fonctionnaire de Défense habilité au secret de niveau « Q » et qu’il entend rester Anonyme. Des messages abondamment relayés lui attribuent de mener une enquête sur un cercle pédophile au sein de la très haute bourgeoisie puritaine, dans la continuité du Pizzagate, incluant de nombreuses personnalités d’Hollywood et du Parti démocrate, dont les frères Podesta.
John Podesta a été secrétaire de la Maison-Blanche sous la présidence de Bill Clinton puis directeur de la campagne électorale d’Hillary Clinton. En plein Russiagate, il avait mis en cause le Réseau Voltaire comme un faux-nez du Kremlin après que Michael Flynn Jr. eut relayé un de mes articles révélant le projet de réforme du Renseignement US de son père [2]. .
Avant l’élection présidentielle du 3 novembre, « Q » diffusait des messages informant d’une opération imminente contre les conspirateurs qui allaient truquer le scrutin. Depuis, il a révélé la perquisition, en Allemagne, des locaux du groupe Dominion, impliqué dans les décomptes électoraux US. Cependant si cette intervention policière a bien eu lieu, il n’est possible de vérifier qui l’a ordonnée, ni pourquoi, et encore moins ce qui a été trouvé.
L’avocat personnel de Donald Trump et ancien maire de New York, Rudy Giuliani, a pour sa part évoqué plusieurs formes de trucage des élections : au niveau des inscriptions électorales, des urnes elles-mêmes, des bulletins envoyés par correspondance, des décomptes automatiques des bulletins et enfin des transmissions des résultats des machines. C’est là qu’interviendrait le logiciel de Dominion. Il compterait moins de voix pour Donald Trump et plus pour Biden au prorata des suffrages exprimés. Il aurait été utilisé dans plusieurs pays pour truquer les élections, dont au Venezuela.
Il se trouve que le président Hugo Chávez a souvent requis des observateurs électoraux du Réseau Voltaire. L’un d’eux avait découvert à l’avance et dénoncé un trucage du scrutin. Le pays utilisait des machines électorales éditant un reçu à chaque vote. Dominion avait établi à l’avance une liste de ses machines électorales qui devraient être vérifiées, en comparant les résultats électroniques aux reçus. Dès lors, on pouvait savoir que les autres machines pourraient être truquées sans risque. Ce n’est pas le président Chávez qui voulait falsifier les résultats, mais la société Dominion, pour le compte d’on ne sait qui. Le général qui avait organisé le scrutin avait été arrêté avant celui-ci pour corruption et haute trahison.
L’avocate du général Flynn, Sidney Powell, s’est jointe à l’équipe de Rudy Giuilani lors d’une conférence de presse. Ancienne procureure fédérale de Caroline du Nord, elle s’est faite un nom contre la pègre et la corruption. Devenue avocate, elle a démontré le caractère abusif de l’enquête menée contre Flynn et l’a faite annuler. Elle vient d’annoncer aux côtés de Giuliani qu’elle finissait la rédaction d’une nouvelle plainte contre Dominion pour fraude massive.
Le renvoi de cinq des principaux leaders du Pentagone [3] porte la signature du général Flynn : les partants étaient tous impliqués dans le soutien de la Confrérie secrète des Frères musulmans et de leurs organisations terroristes, Al-Qaëda et Daesh.
Donald Trump bluffle-t-il ou a-t-il saisi les fraudeurs la main dans le sac ? Dans ce cas, va-t-il leur livrer bataille ou négocier avec eux ?
[1] « Ted Cruz PsyOp », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 8 février 2016.
[2] “Disturbing report on Trump’s national security adviser emerges on pro-Putin website Gen. Flynn’s son suspected as source”, Think Progress (Center for American Progress), January 17, 2017.
[3] « Donald Trump ne joue pas seulement au golf, il purge le Pentagone », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 novembre 2020.
L'Iran appelle à un consensus mondial contre les mesures coercitives
Selon l'envoyé iranien, les caractéristiques de l'ère contemporaine sont que quelques pays, en particulier les États-Unis, ont tendance à imposer des mesures coercitives unilatérales contre les pays cibles pour servir leurs objectifs de politique étrangère.
De telles mesures ont un impact direct sur le droit de souveraineté des pays concernés ainsi que d'autres nations, a-t-il noté, ajoutant : "La République islamique d'Iran fait partie des pays soumis à de telles mesures inhumaines".
"Cette situation, associée à la propagation rapide et incontrôlée du coronavirus dans le monde entier, a prouvé ses conséquences néfastes sur ces pays en ce qui concerne certains défis", a-t-il déclaré.
"En fait, dans cette arène, aucune nation ne peut relever ces défis seule, et le seul outil disponible pour y parvenir est la coopération et la solidarité, et non l'intensification de mesures coercitives inhumaines contre d'autres nations pour atteindre des objectifs politiques malveillants", a-t-il déclaré.
M. Gharibabadi a noté que les mesures coercitives anti-humaines unilatérales adoptées par les États-Unis sont la raison de la restriction des capacités à maintenir et à renforcer le potentiel de prévention et de contrôle de la propagation de COVID-19.
"Ces mesures inhumaines affectent sérieusement la santé et la vie des Iraniens et d'autres nations", a noté le diplomate de haut rang, selon le site web officiel du gouvernement.
"La République islamique d'Iran a fait tout son possible et a utilisé tous ses pouvoirs pour prévenir et contrôler la propagation de ce virus hautement contagieux. Néanmoins, les mesures coercitives unilatérales des États-Unis, qui ont conduit à de sévères restrictions bancaires internationales à l'égard de l'Iran, ont fortement limité notre capacité à financer les importations de produits humanitaires, y compris les médicaments et le matériel médical", a-t-il noté.
"À l'heure où le gouvernement américain prétend avoir intégré des exemptions dans son régime de sanctions pour l'importation de produits humanitaires, cette affirmation est contraire à la réalité, et ces exemptions n'ont pratiquement pas réussi à compenser la réticence des entreprises, des banques et des hommes d'affaires à accepter des risques pour les exportations et le financement des produits humanitaires.
"De telles mesures ont un impact négatif sur la capacité des pays cibles à apporter une réponse adéquate aux conséquences sanitaires toujours croissantes de la pandémie de coronavirus", a déclaré M. Gharibabadi.
Ailleurs dans ses remarques, le diplomate de haut rang a évoqué l'assassinat de l'éminent scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh, en déclarant : "A un moment où l'Iran est soumis à des sanctions aussi inhumaines de la part des Etats-Unis, un éminent scientifique iranien du nom de Dr. Mohsen Fakhrizadeh a été assassiné, ce qui va à l'encontre du droit international, y compris les principes de la Charte des Nations Unies et les droits fondamentaux de l'homme".
Le diplomate iranien a salué les efforts de défunt scientifique, notamment la mise au point du premier kit de fabrication nationale pour le test de détection des coronavirus.
"Nous condamnons catégoriquement cet acte terroriste odieux et appelons les pays et les organisations internationales concernées à condamner clairement et fermement cet acte terroriste".
M. Gharibabadi a souligné que le moment était venu pour la communauté internationale de dénoncer cet acte criminel et a exhorté les États-Unis à lever immédiatement leurs sanctions illégales, afin que les pays cibles puissent s'attaquer à ce virus.
Le ministre azéri de la Défense condamne l'assassinat du scientifique iranien
Le général Hassanov a fermement condamné le lâche assassinat du scientifique iranien, qui était à la tête de l'Organisation de la recherche et de l'innovation du ministère iranien de la défense.
Fakhrizadeh, un scientifique de haut niveau dans le domaine du nucléaire et de la défense, a été assassiné dans une petite ville à l'est de Téhéran le 27 novembre.
Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, Ali Shamkhani, a déclaré qu'il était devenu évident pour Téhéran que les Munafeqin (terroristes de l'Organisation des moudjahidin-e-Khalq), le régime sioniste, et son service d'espionnage, le Mossad, étaient derrière cet attentat.
L'ONU adopte cinq résolutions contre le régime israélien
Selon UN Watch, la première résolution a été proposée par le "Comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien" [A/75/L.32] et adoptée par un vote de 91 - 17 - 54 (pour - contre - abstention).
"Notant avec un profond regret que 52 ans se sont écoulés depuis le début de l'occupation israélienne et plus de 70 ans depuis l'adoption de la résolution 181 (II) le 29 novembre 1947 et la Nakba sans progrès tangible vers une solution pacifique", lit-on dans une partie de la résolution.
La deuxième résolution proposée par la "Division des droits des Palestiniens du Secrétariat" [A/75/L.33] a été adoptée par un vote de 84 - 25 - 53. Prie la Division, en particulier, de continuer à suivre l'évolution de la question de Palestine, d'organiser des réunions et des activités internationales à l'appui du mandat du Comité ... d'assurer la liaison et de coopérer avec la société civile et les parlementaires, notamment par l'intermédiaire du Groupe de travail du Comité, afin de développer et d'élargir le site web consacré à la "Question de Palestine"", peut-on lire dans la résolution.
Le "Règlement pacifique de la question de Palestine" [A/75.L.34] est la troisième résolution adoptée par 145 voix contre 7. "Réaffirmant l'illégalité des activités de colonisation israéliennes et de toutes les autres mesures unilatérales visant à modifier la composition démographique, le caractère et le statut de la ville de Jérusalem et de l'ensemble du territoire palestinien occupé, y compris le mur et le régime qui lui est associé, et exigeant leur cessation immédiate".
Le quatrième a été proposé par le "Programme spécial d'information sur la question de Palestine du Département de l'information du Secrétariat" [A/75/L.35] et adopté par un vote de 142 - 8 - 11. "Rappelant l'avis consultatif rendu le 9 juillet 2004 par la Cour internationale de justice sur les conséquences juridiques de l'édification d'un mur dans le territoire palestinien occupé".
Et la résolution finale [A/75/L.29] réaffirme la souveraineté de la Syrie sur le plateau du Golan qui a été adoptée par un vote de 88 - 9 - 62. "Profondément préoccupé par le fait qu'Israël ne s'est pas retiré du Golan syrien, qui est sous occupation depuis 1967".
L'Iran et l'Afghanistan commencent le commerce ferroviaire
L'envoi aurait été expédié à titre d'essai afin d'identifier les éventuels problèmes et défis sur l'itinéraire.
Jilani Farhad, le porte-parole du gouverneur de Herat, a déclaré que le projet de chemin de fer comprend quatre sections, dont trois ont été financées par l'Iran.
Un groupe de personnes regardant l'arrivée du train a déclaré être "très heureux de voir un train sur leur lieu de vie pour la toute première fois", a rapporté Press TV.
Le chemin de fer s'étendra jusqu'à Chabahar dans le sud-est de l'Iran, stimulant le commerce de l'Afghanistan et faisant venir du froid son secteur minier pour exploiter des milliards de dollars de réserves minérales inexploitées.
Panique à Aïn al-Asad: et si le désert d’Al-Anbar se transformait soudain en un "infini champ à missile"?
Sale temps pour l’axe US/Israël : à quelques encablures du premier anniversaire de l’attentat terroriste à l’aéroport de Bagdad lequel a coûté la vie au haut commandant en chef de l’axe de la Résistance, Ghassem Soleimani, les États-Unis d’Amérique occupés à apaiser la panique en Israël où armée, colons attendent d’un moment à l’autre la riposte de l’Iran à l’assassinat du savant atomiste Fakrizadeh, viennent de tirer une partie de leur « personnel diplomatique » dans le cadre de ce qu’ils qualifient, au risque de provoquer le rire de plus d’un au Moyen-Orient de « mesure de sécurité temporaire » !