تقي زاده

تقي زاده

Le président iranien Rohani a déclaré que les ennemis sont en colère contre la tranquillité et l'amélioration de l'économie iranienne et cherchent à lui envoyer des signes négatifs pendant les dernières semaines de la présidence de Trump.
Dans ses remarques de mardi, M. Rohani a noté que malgré les actes des ennemis et toutes les difficultés, l'administration iranienne a fait tous les efforts possibles pour prévenir l'insécurité psychologique et l'instabilité de la situation économique du pays.

Il a souligné que les ennemis n'ont pas réussi à atteindre leur principale cible, qui a fait s'effondrer l'économie iranienne par la campagne de pression maximale.

Il a ajouté qu'en planifiant le budget de l'année prochaine, l'administration s'est concentrée sur le maintien et le renforcement du processus de développement du pays tout en soutenant les personnes à faibles revenus.

M. Rohani a également déclaré que le budget de l'année prochaine n'est pas un budget dépendant du pétrole.
Le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) affirme que la guerre au Yémen et ses conséquences ont coûté la vie à 223 000 personnes jusqu'à présent.
 
 
Les Nations unies ont publié mardi des statistiques sur le nombre de victimes de l'agression de la coalition saoudo-émiratie contre le Yémen.

Ce nombre très élevé est "inacceptable", peut-on lire dans le rapport.

L'organisme international a également déclaré que le Yémen avait atteint un point irréversible et avait maintenant besoin d'un cessez-le-feu pour mettre fin à la guerre.

À cet égard, le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) au Yémen a réagi la nuit dernière au meurtre de 14 femmes et enfants dans la province yéménite occidentale d'Al-Hudaydah.

Le bureau a déclaré dans un communiqué que l'attaque contre les femmes et les enfants était "inacceptable et injustifiable".

Selon la déclaration, l'attaque était "horrible et constitue une violation flagrante du droit humanitaire international, de sorte que les parties concernées sont tenues de prendre des mesures pour protéger les civils".

Le Bureau a souligné que les parties impliquées doivent trouver une solution pour une paix durable et pour prévenir la pauvreté et sauver la vie des gens.

Selon la déclaration, le Yémen est actuellement confronté à la pire crise humanitaire au monde et plus de 80 % de ses habitants ont besoin d'une aide et d'un soutien humanitaires.

Le Yémen est la cible de l'agression émiratie-saoudienne depuis six ans, soutenue par les États-Unis et les pays occidentaux. Le but de cette agression était de ramener le président démissionnaire et fugitif de ce pays.

Ce n'est pas uniquement les drones armés de missiles de l'Iran qui ont trouvé une pignon sur rue au e Venezuela , pays dont le président a très clairement manifesté l'intérêt de restructurer son armée à l'aide de l'Iran. En effet depuis mai 2020 date à laquelle l'Iran a décidé d'établir un corridor anti-sanction reliant le golfe Persique aux Caraïbes et d'y aller jusqu'à engager ses propres pétroliers, une mission au demeurant superbement réussie sous les yeux impuissants de la IVe flotte US, les Vénézuéliens ont appris beaucoup de choses de ces conseillers iraniens sur place.

 

Au Sahara occidental, il y a quelque chose qui ne va pas visiblement: près d'un mois après que Rabat s'est emparé de Guerguarat, et ce, sous pression conjuguée de l'axe US/Israël/OTAN/Emirats, et ce, pour déstabiliser la profondeur stratégique algérienne, Paris refait le "coup africain" cette fois avec le Maghreb: ainis samedi les pro et les anti Sahara autonome se sont affrontés sur la place de la République, ce qui a fait d'ailleurs largement le jeu de la dictature militaire née sous Jupiter puisque Marocains et Algériens français se sont affrontés donnant à la police le prétexte de réprimer encore une fois les Maghrébins. Que l'affaire du Sahara occidental s'invite dans les rues de la France, c'est qu'au Maghreb, le plan de l'Empire n'a pas bien fonctionné: le Front Polisario qu’Israël et partant Rabat accuse d'avoir des liens avec le Hezbollah, aurait fait preuve d'une résistance inattendue. Mais il y a plus :

L'anti -sraélienne Mauritannie, elle aussi, n'est pas tombée dans le piège tendu par l'Empire : le Parti au pouvoir en Mauritanie vient de condamner les provocations de l'armée marocaine et confirmer que « nous reconnaissons le Sahara occidental et ne nous rallierons pas au Maroc ».  Hamdou Abdel-Malek, le représentant du Parti au pouvoir en Mauritanie a souligné que la Mauritanie reconnaîssait la République arabe sahraouie démocratique (RASD) sans manquer de condamner l'ingérence marocaine dans la zone tampon à la frontière mauritanienne. Il n'a pas manqué non plus de dénoncer l'intervention militaire de Rabat  dans la zone tampon avec la Mauritanie, et a accusé l'armée marocaine de voler les biens de citoyens mauritaniens dans une zone appelée « Kandahar ».

Absolue confusion dans le camp des terroristes ! Alors que lundi, la Ve flotte US et mini satellite de Riyad le dénommé Bahreïn condamnait dans "les termes les plus vifs" l'attentat contre la vie de l'Iranien Fakhrizadeh, en contraste totale avec sa position et sa rhétorique habituelles, et ce, dans le sillage des Émirats et de la Jordanie, alliés militaires d'Israël, qui appellent, eux, au secours pour que "le Moyen-Orient déjà en proie aux tensions n'en franchisse pas un autre palier de violence", la presse sioniste a annoncé haut en couleur que l'Arabie des Salmane venait à ouvrir son ciel sur les vols militaire israéliens, laissant entendre que le face-à-face à venir avec l'Iran verrait de larges contributions de Riyad aux côtés de l'armée de l'air quasi exsangue d’Israël qui s'apprêterait, à l'heure qu'il est, à lancer des raids contre les sites nucléaires iraniens, si l'Iran appuyait sur la gâchette. 

Devant la presse, le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la RII est revenu sur certains détails en rapport avec l’assassinat du physicien atomiste Mohsen Fakhrizadeh, tandis que les derniers rapports renforcent la piste d’une implication de Tel-Aviv.

Tout comme l'a affirmé le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la RII, le parcours du physicien martyr Mohsen Fakhrizadeh et les services qu’il a rendus au pays sont « indescriptibles ».

En marge de la cérémonie des funérailles du scientifique atomiste iranien, Mohsen Fakhrizadeh, ce lundi 30 novembre, le secrétaire du Conseil de sécurité nationale, Ali Chamkhani, a affirmé :

« C'est toujours en vain que l’ennemi a essayé pendant 20 ans de l’assassiner. Il faut dire que cette fois-ci aussi, comme par le passé, les systèmes de renseignement du pays avaient prévu avec exactitude la probabilité d’un attentat contre la personne [du Dr Fakhrizadeh] ainsi que l’endroit où cela pourrait se produire. »

Le ministre israélien des Renseignements, Eli Cohen, a prétendu que le Premier ministre du régime israélien, Benjamin Netanyahu, n’avait fait, dans son récent discours, aucune allusion à une implication de Tel-Aviv dans l’assassinat du savant iranien, Mohsen Fakhrizadeh, alors que certaines sources relèvent des preuves selon lesquelles le régime sioniste est bel et bien impliqué dans cet assassinat.

D’après Eli Cohen, Netanyahu faisait allusion à ses pourparlers avec des pays avec lesquels Israël n’avait pas de relation auparavant, écrit The Times of Israel.

Ces allégations tombent alors qu’un responsable du régime israélien, interviewé dimanche par le journal New York Times, a reconnu que Tel-Aviv était derrière cet acte criminel. Ce responsable israélien qui, d’après le New York Times, était, pendant des années, responsable du dossier Fakhrizadeh au sein du régime de Tel-Aviv, a également ajouté qu’Israël continuerait de faire tout ce qu’il trouvait nécessaire pour contrer le programme nucléaire iranien.

De même, la chaîne arabophone iranienne Al-Alam a annoncé ce lundi que le pays avait accédé à des documents aptes à prouver l’implication du régime israélien dans l’attentat de Mohsen Fakhrizadeh.

Les affrontements entre les combattants yéménites et les éléments de la coalition saoudienne se poursuivent dans la banlieue nord-est de la base stratégique de Mas dans l'axe Ouest du district de Raghwan, au nord-ouest de la province de Maarib.

Au cours des derniers jours et après la libération de la base de Mas, les chasseurs saoudiens ont visé à plusieurs reprises les positions des combattants yéménites et les zones résidentielles dans la partie ouest de la province de Maarib, mais en vain. 

Une source sur le terrain a confié à Mashregh News que les forces de la coalition saoudienne menaient des contre-attaques avec le soutien des chasseurs saoudiens et tentaient de réoccuper la zone de Wadi al-Mas.

Le ministère russe des Affaires étrangères a fermement condamné l'assassinat du scientifique du nucléaire iranien, Mohsen Fakhrizadeh, avertissant que cette action visait à créer de l'instabilité dans la région.

Selon l'agence de presse russe Tass, le ministère a déclaré dans un communiqué: « Moscou condamne fermement l'assassinat du scientifique du nucléaire iranien, Mohsen Fakhrizadeh, acte qui avait pour objectif de déstabiliser la région. Nous exprimons notre grave préoccupation face à la nature provocatrice de cet acte terroriste, qui visait clairement à déstabiliser la région et à aggraver la possibilité d'un conflit régional. »

Le communiqué ajoute également : « Quiconque est derrière ce meurtre et cherche à en bénéficier pour ses propres intérêts politiques doit être tenu pour responsable. Nous exhortons toutes les parties concernées à s'abstenir de toute action qui pourrait aggraver les tensions. »

Le grand savant atomiste iranien, Mohsen Fakhri Zadeh a été lâchement assassiné il y a quelques heures dans une banlieue de la capitale iranienne, Téhéran.
Âgé de 63 ans Fakhri Zadeh avait été cité par le PM sioniste en 2017 lors de l'un de ses shows médiatiques anti Iran comme étant « l'Iranien chargé du programme de bombe atomique iranien ».
Cet acte lâche qui porte la signature du régime d'Israël est signe du désœuvrement d'une entité belliciste qui se sent dans l'impasse.