
تقي زاده
Nouvelle crainte US, 2 milliards de dollars de contrats signés avec Pékin
Certains membres du Parlement irakien ont conseillé au Premier ministre irakien de travailler dans le sens de l’accord Bagdad-Pékin et d'empêcher l’ingérence des États-Unis qui prétendent vouloir aider le pays à sortir de la crise actuelle.
Selon l'agence de presse iranienne Fars News, l'accord entre Bagdad et Pékin, dont les premiers signes de la mise en œuvre ont été révélés pendant le mandat de l’ex-Premier ministre Adel Abdel al-Mahdi, est toujours dans un état d'ambiguïté. La commission économique du Parlement irakien insiste sur le fait que l'accord est en cours, pourtant certains membres du Parlement font état d'une intervention américaine pour empêcher cet accord.
Pour en savoir plus: Les États-Unis se servent de l’Irak comme d’un champ de bataille économique contre la Chine
« L'accord avec la Chine, dont les préparatifs ont été faits avant même la création du gouvernement d'Adel Abdel al-Mahdi en 2018, est toujours valable et malgré le changement de gouvernement, rien n’a changé. Mais la situation actuelle du pays exige que les problèmes internes soient d'abord résolus », a déclaré Nadi Shakir, membre de la commission économique et d'investissement du Parlement irakien.
Ainsi le président du groupe parlementaire Badr a déclaré que les États-Unis et certains pays arabes du golfe Persique faisaient obstruction à l'accord avec la Chine. La Chine a reçu 750 millions de dollars des fonds destinés à la mise en œuvre de l'accord avec l'Irak et peut résoudre de nombreux problèmes. Par conséquent, le gouvernement devrait considérer cet accord comme une solution aux crises dont souffre le pays, en particulier dans le secteur de l'électricité.
En septembre 2019, Adel Abdel al-Mahdi s'est rendu en Chine pour une visite de cinq jours et a signé huit accords et mémorandums d'accord avec le pays dans les domaines de la finance, du commerce, de la sécurité, du génie civil, des communications, de la culture et de l'éducation. Selon les observateurs, ce rapprochement de l’Irak vers l'Est et son éloignement des États-Unis ont poussé Washington à exercer une pression sans précédent sur Bagdad.
Est-ce que les missiles balistiques antiradars du CGRI sont-ils devenus hypersoniques ?
Lors de l’exercice militaire « Grand Prophète-14 » organisé par le CGRI, un missile balistique anti-radiation (ARM) a été dévoilé. Des images montrent le missile en action, ciblant un prototype du radar du système de défense américain THAAD. Son impact violent témoigne de sa vitesse de frappe.
Les missiles balistiques antiradars sont une initiative qui n'est disponible que pour la République islamique d'Iran. De rares pays disposent d'armes de défense aérienne ne détiennent que des missiles anti-radiation tirés depuis l’air.
Il y a presque 6 ans, la force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique a dévoilé Hormuz-1, le premier missile balistique antiradar iranien, capable de détruire les systèmes radars embarqués sur les porte-avions, ainsi que des batteries telles que le Patriot.
Grâce à son système de guidage mixte et son système de navigation inertielle, le missile balistique anti-radiation (antiradar, ARM) Hormuz-1 localise sa cible avec une haute précision et frappe exactement la source de radiation qu’il a repérée.
Lors de l'exercice du CGRI baptisé Grand Prophète-14, un nouveau missile antiradar de fabrication iranienne a été testé. L'essai de tir consistait à prendre pour cible un modèle du radar AN/TPY-2 du système antimissile THAAD. Les exercices de simulation se sont donc déroulés dans des conditions proches de la réalité du terrain.
Le radar AN/TPY-2 est un radar utilisant l'antenne réseau à commande de phase en bande X avec plus de 25 000 modules. Il peut détecter tout aéronef à une distance de mille kilomètres. C'est le plus sensible senseur du système de défense américain THAAD. Il peut être démonté et assemblé dans un autre endroit.
La politique des États-Unis au Liban renforce la Résistance et affaiblit Washington
Cela fait des mois que les USA cherchent à étouffer économiquement le Liban et à en accuser le Hezbollah. D'un côté, le retrait des capitaux menace et de l'autre, il y a le chantage anti-gouvernement de l'ambassadrice américaine, Dorothy Shea, qui a tout essayé. Mais l'engrenage s'est bloqué. Rien n'avance plus désormais. Les banques que le Hezbollah a proposé d'assainir se placent en face du peuple et l'armée que l’Occident a toujours voulue faible face a celle d’Israël voit en Hezbollah un appui. Les USA ont tout faux ?
Selon Tasnim News qui cite al-Ahed, on peut résumer en une phrase les récentes déclarations du secrétaire général du Hezbollah libanais Seyyed Hassan Nasrallah qui ont porté sur les ingérences politiques directes des États-Unis au Liban et leur politique de répression affectant sérieusement le quotidien des Libanais : « La politique des États-Unis au Liban renforce la Résistance et affaiblit Washington et ses alliés. »
Échecs des USA dans le secteur bancaire
Inutile de détailler l’équation économique du Liban. Mais, généralement des personnes influentes sont actives dans les banques et la banque centrale.
Il convient de noter que le secteur bancaire libanais est important sur le plan financier et du renseignement pour les États-Unis. Par conséquent, toute activité bancaire au Liban est exercée sous la supervision et le contrôle directs des États-Unis. Washington exige que les banques libanaises bloquent les comptes du Hezbollah et de ses alliés, tandis que le Hezbollah n'a aucun compte financier et n’effectue aucune transaction commerciale via les banques.
Grand prophète-14: la frappe contre l'USS Nimitz coordonnée depuis l'espace
En avril quand le CGRI a mis en orbite basse le premier satellite militaire du pays, un officiel américain l'a comparé à une « webcam tremblotante ». Il a eu tort : les premières images de la base d'al-Ubeid du Qatar, laquelle abrite plus de 13 000 militaires US, c'est Nour-1 qui les a transmises au QG du grand exercice « Grand Prophète-14 ».
Et d’après CNN, les « boys » ne se trouvaient pas en bon état, retranchés dans des abris en béton par crainte d'avoir à subir le même sort que leurs confrère à Aïn al-Asad, le 8 janvier dernier.
Tout ceci à fait dire à Jerusalem Post que « l'Iran est le seul pays au monde à provoquer une mise en état d'alerte des forces US au Moyen-Orient, rien que par la tenue d'un simple exercice militaire ».
Mais l'exercice était loin d'être simple. Pour la première fois, les différentes unités navales, aériennes et côtières se sont interconnectés par satellite interposé façon d'éviter des radars, des fréquences radio et partant tout possible piratage électronique ou brouillage électromagnétique. Dans le camp d'en face, on retenait son souffle.
Des experts insistent sur la puissance militaire iranienne
Et d’après CNN, les « boys » ne se trouvaient pas en bon état, retranchés dans des abris en béton par crainte d'avoir à subir le même sort que leurs confrère à Aïn al-Asad, le 8 janvier dernier.
Tout ceci à fait dire à Jerusalem Post que « l'Iran est le seul pays au monde à provoquer une mise en état d'alerte des forces US au Moyen-Orient, rien que par la tenue d'un simple exercice militaire ».
Mais l'exercice était loin d'être simple. Pour la première fois, les différentes unités navales, aériennes et côtières se sont interconnectés par satellite interposé façon d'éviter des radars, des fréquences radio et partant tout possible piratage électronique ou brouillage électromagnétique. Dans le camp d'en face, on retenait son souffle.
Le journal Jerusalem Post a rapporté : « Lors de son dernier exercice à la fois aérien, spatial et naval, l’Iran a prouvé qu'il pouvait mettre les troupes américaines en alerte sans même attaquer les bases américaines. »
L'Iran a tiré des missiles balistiques depuis des profondeurs souterraines mercredi. Le deuxième jour de la 14e manœuvre Grand Prophète, tenue sur la côte sud, a illustré « l'une des réalisations importantes et stratégiques de l'armée de l'air du CGRI, car le CGRI a tiré des missiles balistiques depuis des profondeurs souterraines lors de la manœuvre », a écrit Jerusalem Post en écho au journaliste de Fox News, Lucas Tomlinson.
L'Américain a révélé en effet que le chaos qu'ont provoqué les tirs de missiles iraniens à al-Dhafra aux Émirats où les pilotes de chasse indiens, stationnés sur la base aérienne, se sont vus obligés de se mettre à l'abri. Les pilotes devraient se rendre en Inde à bord des avions de combat Rafael de fabrication française.
Idem à al-Udeid au Qatar, où les troupes US ont été mises en état d’alerte après que les services de renseignement américains ont confirmé le tir des missiles balistiques par l’Iran.
Les forces stationnées sur les deux bases avaient été appelées à se rendre dans des abris ou les immeubles ayant des fondations solides, ajoute CNN.
Et alors que les unités submersibles, les unités de missiles (de croisière et balistique), les unités de drones et de radars réalisaient des scénarios en tout genre, allant des opérations offensives, de minage, ainsi que des opérations destinées à déconnecter les « lignes de communication » des navires ennemis, le satellite Nour-1 continuait à envoyer des images tournés au-dessus d'al Udeid entre autres.
Le CGRI a diffusé une partie de ces images satellite. Le commandant en chef de l'aérospatial du CGRI, le général Hajizadeh, s'en est félicité affirmant que l’opération de la destruction de la réplique de l'USS Nimitz c'est Nour-1 qui en assure en grande partie la connexion aérospatiale et navale.
Du masque obligatoire pour les pèlerins à la création d'un centre virtuel du Hadj
De la menace des peines de prison pour les manifestants à la reconnaissance de la nécessité de l'esclavage




Drone contre drone, la Résistance irakienne frappent les supplétifs US à coup de drone. A quand les GI's?
Des sources d'information ont annoncé que plusieurs roquettes ont frappé une base militaire américaine aux alentours de l'aéroport international de Bagdad. Depuis 4 jours les Américains ont repris une très mauvaise habitude qu'il s'agit pour la Résistance irakienne de contrer rapidement et de plus belle : frapper au drone les bases des Hachd. A Diyala, où les USA cherchent depuis des semaines à s'emparer des zones pétrolifères par Daech interposé et à déstabiliser les frontières avec l'Iran, la Résistance irakienne a prouvé à quel point ce projet est irréalisable.
Le jour où Israël a interdit à ses soldats de tirer sur le Hezbollah!
Le donquichottesque accrochage lundi dans les fermes de Chebaa de l'armée israélienne contre l'armée israélienne avec en filigrane ce total discrédit infligé aux médias israéliens dont les récits n'ont cessé et ne cessent toujours de se contredire, a débouché sur un ridicule paradoxe : l'armée israélienne interdit à ses effectifs de tirer sur le Hezbollah!
S'ajoute à ce pathétique état dans lequel patauge Israël, le fait qu'à part des drones, des avions et de rares patrouilles militaires, le front nord est vidé d'Israël. Il est donc clair que sans avoir tiré un seul missile, sans même prononcé un seul mot, le sacré Nasrallah a encore remporté une décisive bataille.
Importante lettre d'Ansarallah a la Résistance palestinienne
Les membres du bureau politique d'Ansarallah du Yémen, Fadl Abu Talib et Abdullah Hashem al-Siyani ont rencontré mardi à Sanaa le chargé d’affaire du mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas, au Yémen Moaz Abu Shamala.
Lors de cette rencontre, les représentants du bureau politique d’Ansarallah ont remis une lettre aux responsables du Hamas, lettre adressée au chef du bureau politique de ce mouvement de résistance palestinien, Ismaïl Haniyeh.