
تقي زاده
La capacité militaire du Hezbollah a amené le régime israélien à s’excuser
Préoccupé par la capacité militaire des combattants de la Résistance dans le sud du Liban, Israël a envoyé un message au Hezbollah par l'intermédiaire des Nations unies afin de s'excuser pour avoir tué un combattant du mouvement libanais.
« Les Nations unies ont transmis au groupe de Résistance le message d’Israël au sujet de la mort en martyr d’Ali Kamel Mohsein, un combattant du Hezbollah », ont déclaré à Al-Mayadeen des sources dignes de foi.
« Tel-Aviv n’était pas au courant qu’Ali Kamel était présent aux alentours de l’aéroport de Damas et n’avait pas l’intention de le tuer », est-il écrit dans ce message.
Ali Kamel est tombé en martyr dans l’attaque perpétrée par le régime israélien la semaine dernière contre une zone près de l’aéroport de Damas.
Les troupes américaines se réinstallent dans l’est de l’Euphrate
Les habitants des régions situées à la frontière irako-syrienne ont repéré des agissements suspects d’un groupe d’effectifs de la Coalition internationale, dirigée par les États-Unis, et ceux des miliciens kurdes aux alentours de la base militaire d’al-Jazireh.
Dans la foulée, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), proche de l’opposition, a fait part ce dimanche 26 juillet de l’arrestation d’habitants des localités voisines de la base militaire d’al-Jazireh et de déplacés qui s’y trouvaient.
Selon le site d’actualité al-Maalomah, « après avoir arrêté un groupe de civils syriens, la Coalition dirigée par les États-Unis a déployé des groupes de renfort dans la base militaire d’al-Jazireh ».
« Les miliciens des Forces démocratiques syriennes (FDS) ont accompli, pendant les derniers mois, plusieurs missions d’arrestations grâce à l’aide et à l’assistance des troupes américaines », a rapporté al-Maalomah ajoutant que des déplacés, venus de la ville d’al-Mayadin, qui habitaient dans le village d’al-Hawayej, à l’est de Deir ez-Zor, avaient été également capturés par les miliciens des FDS, lors d’une manifestation de protestation contre la présence des forces américaines dans cette région.
L'armée algérienne opte pour le Kornet chinois
Alors que le cercle de la guerre déclenché par les États-Unis et leurs alliés turcs et émiratis en Libye s'approche à grand pas des portes de l'Algérie, l'armée algérienne commence à calibrer ses commandes militaires. Le ministère chinois de la Défense a annoncé la vente de son système antichar de type HJ-12 à l'Algérie, l'équivalent chinois de Kornet russe. L’exercice “Bourkane” 2019 tenu par l'armée algérienne a été l'occasion pour celle-ci d'exposer ses Kornet EM mais il semble que l'arsenal antiblindé algérien se veut le plus performant possible.
Huit points à repérer du "piratage aérien" des USA
Des avions de combat américains ont harcelé un avion de ligne iranien qui se dirigeait vers l’aéroport de Beyrouth deux fois en six minutes, lors d’un incident de nature terroriste le jeudi 23 juillet, ont déclaré des sources concordantes à Press TV.
Selon ces sources, le premier harcèlement des avions de combat américains s’est produit lorsque l’avion de ligne iranien a survolé la région stratégique syrienne d’al-Tanf, près du triangle frontalier entre la Syrie, la Jordanie et l’Irak.
« Le deuxième cas de harcèlement a eu lieu au-dessus de la frontière syro-libanaise », ont ajouté les sources.
Elles ont indiqué que les avions de combat américains, ayant harcelé l’avion civil iranien jeudi soir, avaient décollé de la base aérienne d’al-Azraq en Jordanie, ajoutant que cette base aérienne était vraisemblablement la même à partir de laquelle un drone américain avait décollé pour assassiner le commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général de corps d’armée Qassem Soleimani et ses compagnons non loin de l’aéroport international de Bagdad au début de janvier.
Les sources ont confié à Press TV que les F-15 avaient harcelé l’avion iranien dans le ciel du Liban alors que l’appareil diminuait son altitude pour s’approcher de l’aéroport de Beyrouth.
L'armée libanaise a annoncé que les chasseurs israéliens ont violé 29 fois l'espace aérien de ce pays en deux jours
Le commandant de l'armée libanaise a insisté que la question de la violation de l'espace aérien de son pays sera suivi en coordination avec les forces de la protection de la paix de l'ONU.
L'armée israélienne ne s'est pas exprimée sur le sujet.
Pendant les mois derniers, il y avait une croissance des accrochages dans les frontières entre le Liban et le régime sioniste à la suite des violations terrestres, aériennes et marines et l'ONU a demandé la retenue des deux parties.
Le Hezbollah du Liban a le contrôle du sud du Liban dans les mains.
En 2000, l'armée libanaise s'est retirée du sud du Liban et à ce moment l'ONU a insisté sur cette retraite en instaurant une ligne bleue comme une frontière dans la région.
Les forces de la protection de la paix de l'ONU sont basées depuis 1978 dans le sud du Liban et leurs importants devoirs consistent à la restauration de la sécurité et la surveillance de l'arrêt des hostilités dans cette région.
Notre stratégie face au régime sioniste n'est pas changée
Les lois de conflit ne sont pas changées et notre enquête de terrain montre que le régime sioniste ne cherche pas à déclencher une guerre contre le Hezbollah, a-t-il précisé.
La situation intérieure du régime sioniste ne permet pas au régime sioniste le déclenchement d'une autre guerre et la popularité du Trump est diminuée à l'intérieur des Etats-Unis, a marqué le vice-secrétaire général du Hezbollah.
L'axe de la résistance est toujours prêt à se défendre et nous qualifions loin le déclenchement d'une guerre, a-t-il suivi.
Si les Israéliens décident une nouvelle guerre, nous répondrons à toute agression du régime israélien. La guerre de 33 jours est l'exemple apparent de la position de la résistance face aux agressions des sionistes, a-t-il poursuivi.
Concernant l'agression des chasseurs américains contre l'avion de ligne iranien, il a dit que le gouvernement du Liban doit s'exprimer sa position sur le sujet.
Avec ces gestes, les Américains veulent dire que leur présence en Syrie est un obstacle à une solution politique et un soutien au régime sioniste, a-t-il martelé.
Il n'est pas loin que cette agression contre un avion iranien soit un message en réponse à l'accord stratégique entre l'Iran et la Syrie, a-t-il estimé.
L'accord stratégique entre l'Iran et la Syrie est la plus grande réponse aux Etats-Unis et au régime sioniste et neutralises toutes leurs fausses accusations, a-t-il continué.
Les Etats-Unis voulaient vise l'axe de la résistance en déclenchant la guerre en Syrie et réanimaient le plan du nouveau Moyen-Orient, a-t-il insisté.
Les Américains cherchent à trouver des allégations pour mettre en place du troisième plan du nouveau Moyen-Orient, a-t-il affirmé.
Malgré ces efforts et ces plans, la vérité est que les Etats-Unis n'ont pas trouvé un plan précis pour la région et cela est une bonne occasion pour l'axe de la résistance pour réaliser d'autres acquis, a-t-il ajouté.
L’Imam as-Sajjâd (as) au Hajj
L’Imam as-Sajjâd (as) au Hajj
L’Imam Ali, fils d’Hussein (as) ne voyageait qu’avec des gens qui ne le connaissaient pas et il se faisait un plaisir de se mettre à leur service pour tout ce dont ils avaient besoin. Et quand les voyageurs découvraient qui il était, ils se jetaient sur lui, embrassaient ses mains, ses pieds et disaient: «Ô fils du Messager de Dieu, tu désires nous envoyer aux feux de l’Enfer? Si un geste ou une parole nous avait échappé à ton encontre, nous aurions été perdus jusqu’à la fin des temps. Alors qu’est-ce qui t’a poussé à cela?» Il (as) répondait: «Une fois j’ai voyagé avec des gens qui me connaissaient et ils me faisaient des honneurs à cause du Messager de Dieu, ce que je ne méritais pas. Alors, j’avais peur que vous vous comportiez ainsi avec moi. C’est pourquoi j’ai préféré que mon identité soit gardée secrète.» (Bihâr, vol 46, p69, H.41)
Aussi les témoignages sont nombreux sur l’état de l’Imam as-Sajjâd (as) lorsqu’il (as) répondait à l’Invitation de Dieu. Sufiân ben ‘Uyaynat raconte qu’une fois, il était parti avec l’Imam (as) pour accomplir le Hajj. Quand ils arrivèrent à la station où l’on doit se mettre en état de sacralisation, la caravane s’arrêta. Tout le monde descendit de sa monture sauf l’Imam ‘Ali, fils de Hussein (as), qui était resté sur sa chamelle arrêtée. Il était devenu jaune et s’était mis à trembler au point de ne pas pouvoir dire «Me voici à Toi» (Labbayka). Sufiân lui dit: «Qu’est-ce qu’il t’arrive pour que tu ne dises pas «Me voici à Toi!» (Labbayka)? Tu dois prononcer la talbiyah (Labbayka Allâhumma labbayk)!» L’Imam (as) n’arrivait pas à la prononcer. Il était sur le point de tomber de sa monture. Il (as) répondit: «J’ai peur qu’Il me dise: «Non! Pas «me voici à Toi» (Lâ labbayka) et «Non! Pas «à Ton service». Quand enfin il arriva à dire: «Me voici à Toi» (Labbayka), il perdit connaissance et tomba de sa monture.» C’est ainsi que l’Imam (as) comprenait l’Invitation de Dieu à laquelle il (as) répondait avec sincérité. (Muntahâ al Amâl, vol 2 pp21-22)
Verset du jour
AleEmran_Sourate_Verset_175
إِنَّمَاذٰلِكُمُ الْشَّيْطٰنُ يُخَوّفُ أَوْلِياءَهُ فَلاَتَخَافُوهُمْ وَخَافُونِ إِن كُنتُم مُّوْء مِنًين
Sourate 3, verset 175 ➡️
"Ce n'est que Satan qui (vous) effraie de ses partisans. Ne les craignez donc pas, mais craignez-MOI, si vous êtes croyants."
Donc si nous avons eu peur, cette peur doit être examinée, c'est-à-dire, la raison de cette peur est-elle ALLAH swt ou les gens ? Si les gens sont la raison de notre crainte c'est qu'ils peuvent nous répondre de manière irréfutable, peut-être commettre une erreur avec nous, que nous recevions peut-être une mauvaise réponse...,
Nous devons nous tester si nous avons peur d'ALLAH swt Qui peut nous dire : "Pourquoi avez-vous fait cela ? Vous n'auriez pas dû...".
Si ce genre de peur est grande, mais qu'elle est la peur des gens, cette peur est exactement l'opposée de la peur d'ALLAH swt. Et vice versa, les choses ne pourraient pas être dans un seul cœur.
La question qui se pose maintenant est la suivante : qui a peur des gens ? Réponse : celui qui aime réellement Satan, bien qu'il ne sache pas qu'il est un adepte dévoué ? يخَوّفُ أَوْلِياءَهُ
Satan fait peur à ceux qui l'aiment. Ceux qui n'agissent pas comme des adeptes dévoués, Satan n'a aucun contrôle sur eux. Dans le verset, il est dit : Satan domine par ses peurs sur ses adeptes.
Qu'ALLAH swt nous bénisse tous et nous protège de tout dérapage du Droit Chemin.
Crash, explosion et incendie, à quoi rime la série de crashs d'avions de combat US dans le ciel américain?
Outre les deux navires de guerre de l'US Navy, totalement ou partiellement calcinés cette semaine sur le sol américain, l'US Air Force a battu depuis le debut de l'année le record des clashs d'avions de combat, y compris ceux de la 5ème génération. La main "étrangère" dans cette série noire?
Ce n'est pas sans raison si The National Interest, fait publier ce 22 juillet tout un article intitulé "Les dix fusillades les plus folles de l'histoire" où il énumère les déboires des hélico et des avions Made in US, depuis les années 90 du siècle dernier, c'est à dire depuis l'époque où l'Amérique, en quête de son grand Moyen-Orient, préparait l'invasion de l'Afghanistan, puis celle de l'Irak, et un peu plus tard celle de la Syrie et pourquoi pas celle de l'Iran. Les stratèges US n'auraient jamais cru que leur aventure moyen-orientale destinée à faire de ce grand foyer civilisationnel un ensemble de colonies aux ordres, finirait par se retourner contre eux, et les affecter au domicile!
Kazemi à Téhéran, Zarif à Moscou: la stratégie croisée de l'Iran
La visite du Premier ministre irakien à Téhéran et le déplacement du ministre iranien des Affaires étrangères à Moscou où les deux parties ont prolongé leur accord de coopération de 20 ans mettent en évidence une nouvelle perspective pour contrecarrer l’unilatéralisme des États-Unis.
Le Premier ministre irakien Mustafa al-Kazemi a rencontré, mardi 21 juillet à Téhéran, des responsables de haut rang de la République islamique d’Iran dont et surtout l’Ayatollah Khamenei.
À Téhéran, al-Kazemi a souligné que Bagdad ne permettrait à personne de représenter une menace contre Téhéran, depuis le sol irakien, et que l’Irak souhaitait approfondir ses relations avec l’Iran, dans le cadre du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des deux pays.
Le président iranien et le Premier ministre irakien ont souligné que les deux pays étaient déterminés à porter à 20 milliards de dollars le volume de leurs transactions commerciales.
Dans la foulée, Anis Naqach, analyste libanais et coordinateur du Centre de recherches stratégiques d’Aman, a déclaré, dans une interview exclusive avec la chaîne de télévision al-Mayadeen, que la visite de Mustafa al-Kazemi en Iran était, en effet, une réaction aux tentatives de l’Arabie saoudite et des États-Unis qui voulaient convaincre l’Irak de mettre un terme à ses coopérations avec l’Iran dans le domaine d’hydrocarbure. « Autrement dit, les Américains et les Saoudiens ont, en quelque sorte, accéléré, non intentionnellement, la signature d’un contrat d’électricité entre l’Irak et les monarchies arabes du golfe Persique. »