تقي زاده

تقي زاده

Le commandant en chef adjoint de la Force aérienne de l’armée iranienne, le général de brigade Hamid Vahedi, a déclaré lors d’une interview avec l’agence de presse iranienne Tasnim que la Force aérienne de la République islamique d’Iran était conforme à la technologie du jour.   

« Nous avons optimisé nos avions, surtout sur le plan radar, et nous avons fait d'infinis progrès dans ce domaine », a-t-il déclaré.

Et d’ajouter : « Nous avons œuvré sur les F-4, F-5 et F-14 et tout a bien fonctionné. De même, la Force aérienne s’est lancée dans le domaine de la fabrication d’avions. Le Saeqeh entre autres, dont un escadron a été déjà déployé à Tabriz, est un exemple manifeste de nos efforts dans le domaine de l’industrie de fabrication d’avions. En plus, nous disposons d’un avion d’entraînement de type Yassin qui a été dévoilé l’année dernière. Cet avion a été produit de A à Z en Iran. Nous allons optimiser Yassin en tant qu’avion d’entraînement et avion logistique ».

James Jeffery, envoyé spécial de Washington pour la Syrie, a déclaré que l’organisation des récentes élections de l’Assemblée du peuple syrien (Parlement) était un « acte de provocation contre les Syriens ».

Dans une interview diffusée le 21 juillet par Rasio Sawa (une station de radio en langue arabe financée par le gouvernement des États-Unis), James Jeffery est directement intervenu dans les affaires intérieures de la Syrie en prétendant que la tenue des récentes élections du Parlement syrien aurait été révélatrice du « manque d'intérêt de Bachar al-Assad à son peuple ».

Il a ajouté que les États-Unis maintiendraient leurs pressions continues sur le gouvernement syrien dans tous les domaines économiques, politiques et diplomatiques.

James Jeffery a prétendu également que la position de la Maison-Blanche vis-à-vis du gouvernement syrien profiterait d’un large soutien arabe et international et que les deux partis majeurs aux États-Unis (républicain et démocrate) étaient tout à fait d’accord à ce sujet.

Interrogé sur le but final des pressions américaines sur Damas, l’envoyé spécial de Washington pour la Syrie a déclaré que le but de la Maison-Blanche n’était pas de changer le régime en Syrie : « Nous ne demandons pas une victoire totale. Nous ne disons pas qu’Assad doit partir. Nous resterons donc très prudents et essayerons de pousser le gouvernement syrien à changer son comportement », a-t-il prétendu.

11 jours, à compter du 21 juillet, l'entité sioniste ferme le ciel du Golan occupé jusqu'au 2 août. Et pour cause: littéralement sous le choc, Israël, qui voit depuis son raid royalement raté du lundi soir contre le sud de Damas, un "tout nouveau paramètre" apparaître sur le champ de bataille syrien (paramètre parfaitement inconnu des services de renseignement de Tsahal et qui a fait que ses missiles ont explosé en plein ciel du Golan occupé, quitte même à laisser leurs débris pleuvoir sur les militaires israéliens) cherche à se saisir.

Le gouvernement iranien a divulgué les résultats d’une enquête sur l’explosion dans une base militaire à l’est de Téhéran.

Lors d’une conférence de presse mercredi, le porte-parole du gouvernement, M. Ali Rabii, a déclaré aux journalistes que l’explosion, qui s’est produite le 26 juin à la base militaire de Parchine, à l’est de la capitale, Téhéran, « n’était pas le résultat d’un acte de sabotage », selon les résultats d’une enquête menée par les autorités concernées.

« L’explosion qui s’était produite dans la base militaire de Parchine n'était pas le résultat d'un sabotage, mais d’un accident dans un réservoir de gaz, et les dégâts n’étaient pas importants », a-t-il ajouté.

Israël prétendait maîtriser la crise de la pandémie de Coronavirus pour montrer qu’il était capable de résister à « toutes sortes de tempêtes, même une pandémie » (selon le quotidien Maariv), car pour les médias et les hommes politiques israéliens il était stratégiquement important de projeter le sentiment qu’Israël pouvait surmonter toutes les formes d’adversité. Mais aujourd’hui, trois mois après le début de la crise pandémique en Palestine occupée, quelle image Israël présente-t-il de sa lutte contre la pandémie ?

Le général à la retraite Yisrael Ziv, ancien chef de la direction des opérations de l’armée israélienne a déclaré mercredi au journaliste de Maariv : « On voit aujourd’hui que le pays [Israël] censé traverser toutes les crises se noie dans sa propre crise interne qui ne cesse de s’aggraver. »

Critiquant les approches du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Yisrael Ziv a fait référence au célèbre discours du secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah, en 2000 lorsqu’il avait comparé le régime israélien à une toile d’araignée. Le général israélien a déclaré : « Israël semble confus, comme s’il n’était pas gouverné, tout comme la toile d’araignée dont parlait Nasrallah. »

Et Yisrael Ziv d’ajouter :

« Quand nous regardions ce qui se passait dans le monde arabe pendant ce que l’on appelait le "Printemps arabe", nous avons ressenti une certaine satisfaction de les voir dans situation instable, maintenant nous nous trouvons face à de multiples crises : il n’y a pas de budget et le gouvernement ne peut même pas assurer les besoins budgétaires de l’armée. »        

Les experts israéliens de la santé et de l’économie soulignent le manque de préparation pour une deuxième vague de la pandémie de coronavirus, l’absence d’un système de traçage complet et la mauvaise gestion du combat contre la pandémie par le gouvernement israélien.

jeudi, 23 juillet 2020 10:20

Hassaké: réponse "syrienne" à McKenzie

C'est presque simultané: deux jours après qu'un nouveau convoi militaire US a quitté le Kurdistan irakien pour se rendre à Hassaké via le point de passage d'al-Waleed, un militaire américain a été tué. Evidemment, l'état-major du CentCom dont le commandant en chef s'est clandestinement rendu il y une semaine à Hassaké pour rencontrer le chef de la milice FDS, croyant pouvoir ainsi "neutraliser" la cadence des attaques anti-US sur la rive Est de l'Euphrate, a prétendu que l'Américain est mort dans "un incident non lié aux actes ennemis". Mais qui croirait un tel mensonge ?

 
L'armée syrienne, aidée par celles de la République islamique d'Iran et de la Russie, vise les missiles de son ennemi juré.
 
 
Dans un appel téléphonique, cheikh Hamid Shahriari, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a parlé avec cheikh Mahdi al-Samidaï, le grand mufti et le chef du conseil des fatwas des sunnites de l'Irak.
 
En espérant la bonne santé pour cheikh al-Samidaï, cheikh Shahriari, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a remercié les positions de ce religieux irakien à l'encontre de l'Iran et ses activités dans le domaine du rapprochement islamique, a rapporté l'agence Taghrib (APT).

Nous se trouvons dans une période dangereuse qui nécessite plus que jamais la coordination et l'unité accrue de l'oumma islamique, a insisté le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.

Cheikh Shahriari a également insisté sur la conscience accrue face aux derniers complots américano-sionistes. Il a appelé l'oumma islamique et tous les défenseurs de la liberté du monde à être unis face à ces complots.

Indiquant les activités du conseil sunnite des fatwas et de l'assemblée irakien (des oulémas sunnites) dans le domaine du rapprochement islamique, cheikh Mahdi al-Samidaï a annoncé que ce conseil est prêt à participer à toute acte liée aux projets islamiques et de la résistance.

Le religieux irakien a marqué la fin de la plupart des cries en Irak dont les crises de l'ingérence étrangère et de Daech. Il a remercié l'Iran pour sa lutte contre le groupe Daech et pour ses bonnes relations avec les sunnites du monde dont ceux de l'Irak.  

L'ambassadeur d'Iran en Russie, Kazem Jalali, a déclaré que Téhéran souhaitait acheter de nouvelles armes à la Russie pour améliorer encore ses capacités de défense.

 "En fait, il en est ainsi", a déclaré lundi le diplomate iranien dans une interview au journal russe Kommersant, répondant à la question de savoir si Téhéran était intéressé par les nouvelles armes de la Russie.

Jalali a déclaré que la Russie avait d'énormes capacités dans le domaine militaire, c'est pourquoi l'Iran espère que les relations Téhéran-Moscou seront renforcées à cet égard.

« Nous consulterons la Russie sur ce dont nous avons besoin pour améliorer nos capacités de défense. Le gouvernement et le peuple russes ont toujours été de notre côté dans les moments difficiles. La Russie est notre partenaire prioritaire à cet égard », a-t-il souligné.

De même, dans une autre partie de ses déclarations, Jalali a souligné que les pays soumis à la pression des sanctions de Washington pourraient unir leurs forces pour contrer conjointement la politique américaine.

L'entretien avec l'ambassadeur de Perse s'est tenu à la veille de la visite du ministre iranien des Affaires étrangères, Mohamad Javad Zarif, en Russie, arrivé ce mardi à Moscou, la capitale russe, portant un message du président du pays perse, Hasan Rohani, à son homologue russe. Vladimir Poutine, dans le cadre du renforcement des liens stratégiques Téhéran-Moscou.

Alors que Washington utilise différents prétextes pour imposer des sanctions économiques aux pays qui ne se conforment pas à ses ordres, comme l'Iran, la Russie et la Chine, ces États prennent des mesures fermes pour renforcer encore leur coopération pour contrer ces pressions.

Dans ce sens, l'Iran et la Chine ont rédigé, à leur tour, le projet de feuille de route d'un partenariat stratégique de 25 ans entre les deux nations, qui, selon le magazine américain Forbes, portera un coup dur à la position américaine. Tant en Asie occidentale que dans le monde. L'accord Iran-Chine établit une collaboration bilatérale globale dans de nombreux secteurs, notamment l'économie et la sécurité.

L'Iran exprime son intérêt à acheter des armes à la Russie, car l'interdiction des transactions d'armes imposée à Téhéran par le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) expirera le 18 octobre, aux termes de l'accord nucléaire de 2015.

Dans ce contexte, les États-Unis ont lancé une campagne de pression pour persuader le CSNU et ses alliés européens de prolonger l'embargo sur les armes contre le pays persan, qui a été rejeté par la Russie et la Chine, et par ses partenaires en Europe.

Le choc est énorme : le pacte stratégique Iran-Chine créera un front anti-US dans l’océan Indien où l’Iran veut créer sa première base permanente ? Exercice paniqué USA/Inde!

La Marine indienne a fait part d’un exercice militaire impliquant le porte-avions USS Nimitz et les trois destroyers qui l’accompagnent dans l’objectif de contrer « les menaces navales » dans l’océan Indien.

En pleine frontière entre l’Inde et la Chine, un groupe d’assaut de porte-avions de la Marine américaine, dirigé par le porte-avions à propulsion nucléaire USS Nimitz, a effectué, lundi 20 juillet, un exercice militaire avec une flotte de navires de guerre indiens au large des côtes des îles Andaman-et-Nicobar, ont indiqué des responsables.

Quatre navires de guerre de première ligne de la Marine indienne ont participé à l’exercice « PASSEX » alors que le groupe d’assaut des porte-avions américains passait par l’océan Indien en provenance de la mer de Chine méridionale, ont-ils déclaré.