تقي زاده

تقي زاده

Réponse:  Il  existait  avant  l’islam  deux  raisons  qui  expliquent  la  nécessité  de l’envoi  par  Dieu  de  nouvelles  règles  religieuses,  qui  n’existaient  plus  après  l’islam.   La  première  raison  est  l’absence  d’un  système  cohérent  de  règles  religieuses  avant l’islam.  Les  livres  sacrés  et  les  règles  n’étaient  pas  complets  et  après  une  certaine période,  ils  avaient  perdu  de  leur  efficacité,  exigeant  la  révélation  d’un  livre  avec  de nouvelles  lois.  C'est  aussi  le  cas  dans  le  système  éducatif  où  les  élèves  ont  besoin  de nouveaux  livres  et  d’un  enseignement  complémentaire  et  supérieur.  Une  fois  atteint le  niveau  supérieur,  les  étudiants  n’ont  plus  besoin  de  nouveaux  cours  et  doivent  se concentrer  sur  ce  qu’ils  ont  appris.  Pour  répondre  aux  besoins  naturels  d’orientation de  l’être  humain,  l'islam  a  envoyé  le  programme  le  plus  complet  qui  soit  et  qui  n'en nécessite  plus  d’autres.   La  seconde  raison est  que  les  livres  et  les  enseignements  des  religions  d’avant  l’islam avaient  complètement  disparu  ou  avaient  été  falsifiés,  volontairement  ou involontairement.   L’humanité  n’avait  pas  été  capable  de  préserver  son  héritage  culturel  et  scientifique, ou  n’avait  pas  voulu  le  faire.  Les  enseignements  religieux  qui  servaient  à  guider l’humanité,  par  négligence  ou  manque  de  moyens,  avaient  disparu  ou  avaient  été falsifiés  de  façon  volontaire,  par  des  personnes  ou  des  groupes  pour  la  défense  de leurs  intérêts,  nécessitant  la  révélation  d’une  nouvelle  charia  et  de  nouvelles  lois.   Par  contre,  à  l’époque  de  la  révélation  du  Coran  et  grâce  aux  moyens  disponibles, aux  conseils  du  prophète  (as)  et  aux  efforts  des  musulmans,  il  a  été  possible  de protéger  le  message  de  l’islam  et  ce  programme  le  plus  complet,  et  d'assurer  sa transmission  dans  l’Histoire  et  pour  l’éternité.

Ce que l'ambassade US vient de commettre en pleine ville de Bagdad est symptomatique d'un état de total désemparement et à plus d'un égard  : procéder à un exercice militaire d'envergure dans une zone résidentielle (zone verte) qui abrite toutes les ambassades étrangères et qui bénéficie d'une immunité diplomatique et ce, impliquant à la fois les bombes à fragmentation mais aussi et surtout les fameuses batteries de missiles antimissiles Patriot, cela veut dire se tirer des balles dans les pied : un enfant de 7 ans a été tué samedi par les éclats d'obus en provenance de l'ambassade US (!!), toutes les habitations ont été évacuées dans la foulée des explosions et ce dimanche matin, le Parlement en est à fulminer contre Kazemi, lui exigeant une riposte!

« Les trois pétroliers yéménites sont entrés ce samedi 4 juillet dans la matinée dans le port d’al-Hudaydah, à l’ouest du Yémen », a annoncé le portail d’information yéménite.

« Le pétrolier Seusit transportant 29 134 tonnes d’essence, le pétrolier Sihot avec 27 000 tonnes de gaz oïl (diesel) et le pétrolier Hafez transportant 26 953 tonnes de gaz de pétrole liquéfié, sont entrés ce samedi 4 juillet dans la matinée dans le port d’al-Hudaydah », a déclaré Yahya Abbas Charafeddin, chef adjoint des ports de la mer Rouge à al-Hudaydah.

« Deux de ces navires entreront aujourd’hui dans le port », a ajouté Charafeddin.

Plus tôt, le portail d’information yéménite a rapporté, citant des sources diplomatiques, que les forces de la coalition saoudienne avaient accepté de libérer quatre pétroliers détenus en réponse à la demande de l’envoyé de l’ONU pour une action humanitaire.

Sanaa dit que les forces de la coalition, dirigées par les États-Unis, ont arraisonné depuis un mois, au mépris de l’autorisation internationale, 10 pétroliers yéménites transportant du combustible pour les secteurs vitaux, dont les hôpitaux.

La volte-face de Riyad a eu lieu après que le ministère yéménite du Pétrole a affirmé qu’il porterait plainte contre la coalition saoudienne.  

Vendredi au soir, le porte-parole des forces armées yéménites, le général Yahya Saree a annoncé des opérations des drones Qasef-K2 contre des cibles militaires dans le sud-ouest de l’Arabie saoudite : la base aérienne de Khamis Mushait et Najran. 

dimanche, 05 juillet 2020 10:34

"Le moindre agissement sera riposté"

Le commandant du 1er Corps des Marines du CGRI a souligné que « l’ère de commettre un crime dans le golfe Persique et d’en être fier est bel et bien révolue » et que « si les Américains font une bêtise, ils devront s'attendre à une réponse ferme des forces armées iraniennes ».

S’exprimant à l’occasion de la commémoration des martyrs du vol Iran Air 655 reliant Bandar Abbas à Dubaï, abattu par le croiseur américain USS Vincesses au-dessus du golfe Persique, le 3 juillet 1988, le général de brigade Abbas Gholamshahi a déclaré : « Aujourd'hui, dans le golfe Persique, l'autorité des gardiens de la Révolution, de l'armée et des soldats de la République islamique d'Iran envoie un message aux Américains : non seulement les forces armées iraniennes ne permettront pas que les Américains commettent un tel crime, mais elles ne toléreront pas leur présence dans le golfe Persique. »

Les missiles, les navires, les sous-marins et les drones iraniens sont en passe d’entrer en concurrence avec les constructeurs étrangers à la fin de l’embargo sur les armes imposé à l’Iran par les États-Unis. Autre fierté nationale sur le marché mondial : les systèmes de défense aérienne. 

Missiles

Le secteur des missiles est l’un des secteurs les plus importants jamais développés par l’Iran, avant la victoire de la Révolution islamique. Le besoin de produire des missiles s’est fait sentir pendant la guerre imposée Irak-Iran.

L’Iran est désormais un grand producteur de missiles de croisière, de missiles balistiques et de missiles de précision au monde. Il a réussi à développer sa propre industrie balistique et peut fournir à l’étranger des missiles sophistiqués.

La palette de missiles destinés à l’exportation est riche ; elle ne laisse pas les acheteurs internationaux indifférents. Les missiles iraniens ont déjà prouvé leur performance sur le terrain lors des différentes opérations antiterroristes en Syrie et contre la base de l’armée américaine à Aïn al-Asad.

Chahab, Fateh-110, Qiam, Zelzal à sous-munitions, Fateh-313, Zolfaqar, Hormoz, Ghadr, Emad, Sajil, Khorramchahr, Dezfoul, Fateh Mobin et Raad-500 sont les missiles balistiques exportés.

Parmi les missiles de croisière figurent Hoveyzeh, Nasr et Qassed-3.

Navires

Alors que les États-Unis, l’Allemagne et la Russie sont les leaders de la production et de la vente maritimes et jouissent d’une clientèle variée à travers le monde, l’Iran a de son côté frayé son chemin et trouvé sa propre clientèle.

La conception et la construction de sous-marins en Iran sont relativement récentes. En une courte période, l’industrie de la défense iranienne a réussi à produire localement deux sous-marins baptisés Ghadir et Fateh. Ils ont chacun leurs propres caractéristiques et sont capables de rivaliser avec des modèles étrangers.

Dans le domaine des navires de surface, l’Iran a fait des progrès spectaculaires. Les nouveaux destroyers Sahand, Jamaran et Damavand sont capables de mener des missions de surface, anti-surface, anti-sous-marines et antiaériennes. Le destroyer Sahand peut transporter des hélicoptères et naviguer à une vitesse élevée.

Pour plus de détails : "L’Iran pourrait ne pas attendre que les USA tirent en premier !"

Les vedettes rapides Zolfaqar, Zol-Jannah, Seraj et Shahid Nazeri sont des cartes gagnantes dans l’arène maritime.

Que fabrique la Turquie à Syrte, cœur pétrolifère de la Libye où l'axe Égypte/Russie vient de déployer des missiles Scud-B pour empêcher sa chute? Vu la visite de cette très haute délégation militaire turque vendredi à Tripoli, mandatée évidemment par l'axe US/OTAN, le clash sera imminent, non pas tant entre la Turquie et l'Égypte ou entre la Turquie et la Russie comme les médias veulent nous le faire croire, mais plutôt entre les USA, Israël et leur clan d'une part et les deux voisins anti-israéliens de la Libye de l'autre, l'Algérie et la Tunisie ayant fait le vœu de contrer ce méga assaut de l'Empire que ce soit par voie diplomatique ou même par voie militaire.

A lire la presse israélo-golfienne, c'est carrément le "réacteur nucléaire" de Natanz, enfoui sous des tonnes de béton qui aurait été "bombardé" par les "puissants" ennemis du "régime iranien" : En effet, à peine une semaine après un incendie qui s'est déclaré à Khujair non loin de Partchine à l'est de la capitale et pour lequel d'abracadabrantes hypothèses dont, "la destruction totale des silos de missiles souterrains de la capitale iranienne" ont été évoquées, Natanz où se situe le site de l'enrichissement de l'uranium composé d'unités de production et de stockage de gaz UF6 a connu un incendie similaire.

Le porte parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Behrouz Kamalvandi qui annonçait la nouvelle jeudi, images et vidéos à l'appui, a affirmé que l'incident ne dépassait guère les échafaudages au sol et que le cœur du réacteur, soit la partie qui enrichie de l'uranium est intacte. Aucune fuite de matières radioactives donc.

Après les agressions des forces de l'air de la coalition saoudienne contre plusieurs provinces yéménites, c'était au tour du Yémen, de son armée et d'Ansrallah de riposter fermement aux agresseurs, en prenant d'assaut plusieurs cibles sur le territoire saoudien. Selon le porte-parole des forces armées yéménites, les unités de drones d'Ansarallah ont lancé vendredi de vastes frappes contre Najran et la base stratégique de Khamis Mushait à Asir, dans le Sud saoudien.  

Vendredi au soir, le porte-parole des forces armées yéménites, le général Yahya Saree a annoncé une opération militaire au drone simultanée contre des cibles militaires dans le sud-ouest de l'Arabie saoudite. L'objectif? La base aérienne de "Khamis Mushait" et "Najran" en Arabie saoudite qui ont été ciblés par les "Qassef-K2".

dimanche, 05 juillet 2020 10:21

Explosions dans la Zone verte de Bagdad

Militairement encerclé, le géant aux pieds d’argile qu’est l’Amérique met en action leurs Patriot dans la Zone verte pour intercepter des roquettes. 

Des sources médiatiques irakiennes ont fait état de plusieurs explosions aux alentours de la Zone verte qui ont paniqué la population locale ; certaines sources disent que ces explosions sont dues au tir de missiles des Patriot américains

Al Sharqiya rapporte que les forces américaines ont testé, samedi après-midi, un nouveau système de missile dans la zone ultra sécurisée de Bagdad dite « Zone verte ».

L'ambassadeur iranien à Paris a demandé sur sa page Tweeter à la communauté internationale d'agir contre les violations américaines.
L’ambassadeur d’Iran à Paris, Bahram Ghassemi, a demandé dans un tweet, à la communauté internationale de réagir face aux Etats-Unis pour ses violations des droits de l’homme.

« Depuis plus de 40 ans, l’Iran fait l'objet des actions illégitimes et des sanctions unilatérales et opposées à tous les principes humains et au droit international qui visent directement le droit à la vie et à la santé des citoyens ordinaires », a écrit sur Twitter l’ambassade d’Iran en France de la part de M. Ghassemi.

« Le temps n'est-il pas arrivé pour la communauté internationale y compris le Secrétaire général des Nations Unies, le Haut-commissaire aux droits de l’homme et les rapporteurs spéciaux de réagir, d'après leurs devoirs inhérents, de manière opportune et adéquate, face à un Etat qui commet lui-même des graves violations des droits de l'homme et soutient les régimes va-t’en guerre qui tuent les enfants et bafouent les droits humains? », a-t-il ajouté.