تقي زاده

تقي زاده

Des éléments armés pro-américains ont remis des équipements et des armes d’une base militaire américaine à l'armée syrienne.

Selon le site web militaire russe Avia-pro, les terroristes s armés pro-américains affiliés au groupe Jaych Maghawir al-Thawrao ont décidé de ne plus coopérer avec l'armée américaine et ont quitté la région d’al-Tanf située à l'est du pays. Ils ont emporté avec eux des armes et munitions de la base militaire américaine avant de les remettre volontairement à l'armée syrienne.

L’un des commandants des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi) a dénoncé la libre circulation des terroristes de Daech dans les provinces de Diyala et Salaheddine.

Selon ce commandant de la Résistance irakienne, il faudrait adopter une approche militaire coordonnée pour tuer dans l’œuf ces agissements terroristes.

L’avion de reconnaissance militaire américain, Boeing P-8A Poseidon, a tenté de pirater à distance les systèmes de défense anti-aériens russes S-400 déployés sur la base aérienne de Hmeimim, en Syrie, mais il a échoué. Un avion de chasse russe l’a intercepté au-dessus de la mer Méditerranée, le 15 avril.

Selon le site d'information russe Avia.pro, l’armée américaine a regretté d’avoir mal choisi les fréquences, car les systèmes de défense anti-aérien russes ont été mis en état de préparation au combat, avec l'intention d'ouvrir le feu, lorsqu'un chasseur russe a décollé pour intercepter le Boeing P-8A.  

Des informations à ce sujet ont été annoncées après qu'un avion de combat russe a décollé en urgence de la base aérienne de Hmeimim, et ce alors que l'avion de reconnaissance américain se trouvait à plusieurs dizaines de kilomètres. De plus, des informations circulaient sur le fait que les États-Unis étaient en mesure de « collecter les fréquences de fonctionnement des systèmes russes de défense anti-aériens S-400, dont le décryptage est actuellement en cours ».

Les autorités de Tel-Aviv savaient pour le Coronavirus depuis des mois ; mais elles n’ont rien fait, d’après la chaîne 12 de la télévision israélienne.

Selon l’agence de presse russe Sputnik, la chaîne 12 a dévoilé un rapport secret datant de novembre 2019, dans lequel le gouvernement américain mettait en garde Israël contre l’arrivée d’un virus mortel.

La chaîne 12 de la télévision israélienne a rapporté jeudi soir que l'administration américaine avait averti Israël et ses autres alliés du monde entier dont l’OTAN, à la mi-novembre, d'une « maladie inconnue » se propageant dans la ville chinoise de Wuhan.

Chaque grande épidémie a bouleversé le cours de l’histoire, non pas forcément en anéantissant des populations, mais en provoquant des révoltes et des changements de régimes politiques. Sous l’effet de la panique, nous sommes incapables de réfléchir et nous nous comportons collectivement de manière animale. Bien des sociétés n’ont pas survécu aux décisions stupides qu’elles ont prises alors.

Dans l’Histoire, les grandes épidémies qui anéantirent les économies nationales furent presque toutes suivies de nombreux renversement des exécutifs. Celle de Covid-19 ne devrait pas faire exception à cette règle, indépendamment du nombre de décès qu’elle pourra occasionner. C’est pourquoi, un peu partout dans le monde, les dirigeants politiques prennent des décisions qu’ils savent inutiles, juste pour montrer à leurs concitoyens qu’ils ont fait tout ce qui était en leur pouvoir.

La psychologie sociale montre que la peur n’est pas proportionnelle au danger, mais au fait de ne pouvoir ni l’évaluer, ni le maîtriser.

Lorsque survient une maladie inconnue dont on ne sait combien d’hommes elle tuera, la Science tente de la connaître en doutant de tout. Les responsables politiques, eux, doivent prendre des décisions sans en savoir plus que les chercheurs. Certains s’entourent donc de personnalités ayant fait progresser la Science par le passé, les nomment « experts » de ce qu’il ne connaissent pas encore, et les utilisent pour dire tout le bien qu’ils pensent de leur politique. Pour eux, l’objectif n’est pas de sauver des vies, mais d’agir pour garantir leur Pouvoir.

Confinements

Les médias tentent de convaincre leurs concitoyens que leur propre Exécutif a pris les mêmes mesures que les autres et ne sauraient donc être accusé de laxisme. Ils obscurcissent le débat en affirmant mensongèrement que 3 milliards d’humains sont simultanément confinés pour raison médicale. C’est amalgamer des situations très différentes et mentir sur leurs objectifs.

Le terme « confinement » est utilisé aujourd’hui aussi bien pour désigner :
- Une quarantaine. C’est-à-dire l’emprisonnement dans un sas, généralement un bateau, par les douanes, le temps qu’elles soient sûres de ne pas autoriser des sources de maladie d’entrer dans le pays. L’invention de cette mesure revient au duc de Milan, en 1374. C’est ce que le Japon a fait en février avec le paquebot Diamond Princess.
- Un cordon sanitaire. C’est l’isolement d’un pays voisin malade ou d’un groupe de population malade afin qu’il ne transmette pas la maladie au reste de la population. Les personnes saines risquent alors d’être infectées par les malades. Au XVIIème siècle, l’Italie et l’Espagne firent isoler par l’armée des groupes de population malades, avec ordre de tirer à vue si des individus tentaient de sortir. C’est que la Chine a fait avec la population du Hubei, remplaçant l’ordre de tirer par des amendes, voire de la prison.
- L’enfermement des personnes à risque. C’est la désignation d’une catégorie de citoyens comme potentiellement malade et son interdiction de rencontrer le reste de la population afin qu’elle ne puisse pas être infectée, ni infecter les autres. C’est ce que fait par exemple la France en interdisant de pénétrer dans les institutions pour personnes âgées et aux résidents d’en sortir.
- L’assignation de toute une population à domicile sans distinction. Cette mesure n’a pas été requise par des médecins infectiologues, mais par des statisticiens épidémiologistes afin de ne pas saturer les hôpitaux avec un afflux massif de malades dans un temps court. Elle n’a pas de précédent historique.

Seules les mesures visant à empêcher une maladie d’infecter un territoire ont parfois obtenu des résultats, comme en 1919 aux îles Samoa états-uniennes qui se protégèrent efficacement de la grippe espagnole qui ravagea les Samoa néo-zélandaises. Cependant, fermer une frontière n’a plus aucun intérêt lorsque la maladie est déjà là.

Par contre, jamais des mesures visant à ralentir une épidémie ne sont parvenues à faire baisser le taux de mortalité. Pire, en étalant la propagation de la maladie dans le temps, elles rendent la population vulnérable à une deuxième, puis une troisième vague de contamination, jusqu’à mise à disposition massive d’un vaccin lequel nécessite au moins 18 mois de préparation. Tandis que les populations qui refusent d’être assignées à résidence acquièrent progressivement une immunité de groupe qui les protège lors de nouvelles vagues de contamination. Contrairement au discours dominant, les formes actuelles de confinement sont donc susceptibles d’augmenter considérablement à terme le nombre de décès. Dans la mesure où certains pays ne pratiquent pas ces mesures, telles la Corée du Sud, l’Allemagne ou la Suède, il sera possible de comparer les résultats lorsque de nouvelles vagues de contamination surgiront. La politique hyper-précautionneuse des dirigeants politiques risque alors de se retourner contre elle.

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Jadis les visioconférences permettaient de rapprocher des gens qui ne pouvaient pas se rencontrer. Aujourd’hui elle servent à prévenir tout contact physique entre eux.

Déchéance de la civilisation

Il n’est pas possible de vivre ensemble si nous avons peur les uns des autres. La civilisation ne peut pas être basée sur la défiance. Il n’est donc, par exemple, pas humainement acceptable d’interdire d’accompagner des malades sur leur lit de mort. Nous ne pouvons accepter d’être privés de notre liberté sans raison valable.

Le Convention européenne des Droits de l’homme, du 4 novembre 1950, qui a été signée par tous les États du continent européen du Royaume-Uni à la Russie, autorise « la détention régulière d’une personne susceptible de propager une maladie contagieuse » (article 5e), pas pour gérer les afflux de patients dans les hôpitaux.

Les Traités de l’Union européenne mettent la barre plus haut encore en affirmant que le « droit de circulation des personnes » est constitutif de l’identité de l’UE. De facto, plusieurs États-membres se sont placés hors de cette règle fondamentale, amorçant la désagrégation de l’État supranational.

Certains gouvernements ont choisi de transformer des citoyens en ennemis. Ce faisant, ils privent l’État de légitimité à leur égard puisque celui-ci devient aussi leur ennemi.

En France, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déclaré que les gens qui sont aujourd’hui en réanimation étaient ceux qui hier avaient violé les consignes de confinement.

D’ores et déjà dans une autre région du monde, le président des Philippines, Rodrigo Duterte, a ordonné à sa police de « tuer par balles » tout citoyen qui tenterait de s’affranchir des règles de confinement avant de se raviser.

Si chacun a conscience du coût économique exorbitant de la politique actuelle et si chacun découvre son impact psychologique destructeur sur les personnes faibles, peu de gens ont conscience de la facture politique à venir.

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Combinaisons contre le Covid-19 à Wuhan. À quand les combinaisons NBC ?

Mesures placebo

Ignorant tout de la nouvelle maladie, les autorités médicales et politiques préconisent des mesures placebo pour garder le moral de leurs concitoyens.

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Costume de médecin de peste. Son masque est resté de nos jours comme accessoire du Carnaval de Venise.

Au XVIIème siècle, les médecins de peste portaient une sorte de combinaison en lin, en cuir ou en toile cirée et un masque à nez long qui permettait de respirer au travers de diverses fumigations de menthe, de camphre etc. Inventé par le médecin du roi de France, il se répandit à travers toute l’Europe. Aujourd’hui certains portent également des combinaison de plastique ou de caoutchouc contre le coronavirus avec des masques chirurgicaux. Le port de ces masques a débuté pour le grand public lors de l’épidémie de grippe espagnole, en 1918 au Japon. On redonna confiance à la population en l’accoutrant comme des chirurgiens occidentaux. Effet garanti, reproduit ici et là. Par la suite, le costume de chirurgien s’imposa progressivement en Asie et se répand dans le reste du monde à l’occasion de l’épidémie de 2020 de Covid-19. Cependant, jamais l’efficacité du costume des médecins de peste pas plus que celle des combinaisons et masques chirurgicaux pour tous n’a pu être démontrée contre une épidémie.

Peu importe, en recommandant l’usage du costume de chirurgien pour se prémunir de la maladie les autorités médicales chinoises, puis les dirigeants politiques du monde entier, proposent une solution à un problème que nul ne peut résoudre actuellement. L’essentiel est d’agir, pas de prévenir et encore moins de soigner.

Outre d'avoir essayé de s'infiltrer en territoire algérien par espions interposés lesquels dotés de passeports marocains, tentent de franchir les frontières, Israël simule une vraie guerre en Libye face à l'Armée algérienne, cette armée qui le dérange, qui lui fait peur et contre qui il a tout récemment lancé une énième campagne hostile via la chaîne à la solde qu'est France 24. Ainsi après avoir doté en été la Turquie de drones, de type Orbiter-3s, c'est via son " ami" Ben Zayed qu'Israël vient de fournir à Haftar des systèmes de défense aérienne, sans doute de type Dôme de fer qu'il utilise sans grand succès contre la Résistance palestinienne.

Le Pentagone a démenti dimanche toute visite de son chef, Mark Esper à la base d'Aïn al-Asad à al-Anbar, où pourtant, un hélicoptère US en provenance de Bagdad s'est déposé samedi tard dans la nuit, escorté par des avions de combat et de drones US. Mais qui d'autres aurait pu se trouver à bord, si ce n'est le secrétaire à la Défense, dont les troupes, désormais retranchées à l'est d'al-Anbar, se demandent lequel des deux va causer leur perte : la Covid-19 ou le missile des Hachd!

En effet, au même moment où Esper se rendait en catimini à Aïn al Asad, les Hachd al-Chaabi menaient une nouvelle phase de leur méga opération sur les frontières syriennes et jordaniennes à l'aide de l'armée des unités du génie de l’armée irakienne, de l'armée de l'air et sous le nez des Américains.  La zone d'opération? le triangle Rutba-Walid-Trebil, contrée truffée de grottes, de caves et de couloirs, propres à des actions secrètes des Américains et de leurs supplétifs.

Trois mois et quatre jours s'écoulent depuis que les missiles balistiques iraniens ont frappé la base US à Aïn al-Asad en Irak et la presse spécialisée atlantiste en est toujours à en analyser la portée. L'attaque du 8 janvier a impliqué deux types de missiles mais c'est l'un des deux qui semble avoir provoqué la plus grande panique : Qiam, ce bijou tactique et technique qui a consacré la totale maîtrise iranienne en termes de frappe de précision ne serait ce que par sa particularité : peu de pays au monde ont su concevoir un missile sans aileron mais capable de se projeter sur une portée de plus de 1 000 kilomètre. Cela fait quelque temps que les analystes militaires occidentaux tentent d'en percer l'énigme, eux qui se sont rendus sur place à al-Anbar, dans les jours suivant la frappe pour accueillir les débris de l'engin iranien. 

Il y a dix ans, les Forces armées iraniennes ont décidé de concentrer une grande partie de leurs capacités sur le développement et l’amélioration des systèmes de défense antiaériens de la République islamique d’Iran. Le résultat ? Aujourd’hui, la défense aérienne iranienne a été largement optimisée en faisant l’objet d’innombrables progrès en matière de qualité aussi bien que de quantité. Différentes unités de l’armée et du Corps des gardiens de la Révolution islamique, réparties dans plus de 3 600 endroits de l’Iran, sont actuellement équipées des systèmes radars, des systèmes optiques et des systèmes antimissiles de tout type qui observent 24 heures sur 24 le ciel du pays jusqu’à des centaines de kilomètres au-delà des frontières iraniennes afin de détecter juste à temps la moindre menace visant le territoire iranien.

Le 29 septembre 2019, le général de brigade Abdel Rahim Moussavi, chef d’état-major des forces armées iraniennes, s’est rendu au sud-ouest de l’Iran pour visiter les unités de la défense aérienne qui y opéraient. Après cette visite, une intéressante photo a été publiée : un AWACS américain de type E-3 se laissait repérer sur l’écran du système électro-optique des batteries antimissiles de Raad-1. Le système électro-optique, dit « Sepehr-14 », avait été dévoilé il y a cinq ans et il a une portée d’une cinquantaine de kilomètres.

Même sur le plan diplomatique, les États-Unis sont en ordre de bataille. C’est sans précédent, car ils ne s’étaient jamais sentis aussi vulnérables dans un pays si bien qu’ils soient obligés de transférer officiellement leurs diplomates à des bases militaires afin de les protéger, a-t-on appris d’un expert des questions du Moyen-Orient.

Pour d’aucuns, tous les récents agissements des Américains en Irak, y compris le déploiement des batteries de Patriot et le transfert des diplomates européens de Bagdad à la base militaire d’Aïn al-Asad, s’expliquent dans le cadre du plan de Washington pour entrer en guerre contre l’Iran. Certains prévoient que ce ne sera pas l’Iran, mais ses groupes alliés qui seront impliqués dans cette guerre.

Dans la foulée, Nosratollah Tadjik, ancien ambassadeur de la République islamique d’Iran en Jordanie, a répondu à quelques questions, lors d’une interview exclusive accordée à l’agence de presse iranienne Khabar Online.

La question est de savoir si une confrontation militaire, soit limitée soit de grande envergure, pourrait être un scénario plausible de Donald Trump, étant donné que son secrétaire d’État et son conseiller à la sécurité nationale lui ont déjà proposé, lors d’une réunion à la Maison-Blanche, de préparer une guerre contre l’Iran. Nosratollah Tadjik a répondu : « Premièrement, ni en Iran ni aux États-Unis, il n’existe aucune capacité pour déclencher une guerre, peu importe comment les faucons ou certains pays de la région tentent de pousser Trump vers l’option de la guerre. Deuxièmement, les groupes de Résistance irakiens devront bien examiner leurs capacités avant de passer à l’acte pour empêcher toute atteinte sérieuse à leurs positions. Suite à une série d’attaques lancées par des groupes de Résistance irakiens contre les bases militaires américaines, les États-Unis ont redéployé leurs forces et équipements en Syrie et en Irak. Donc, si les groupes de Résistance irakiens procèdent à de nouvelles attaques militaires, les États-Unis oseront frapper les Kataëb Hezbollah, car ils ont déjà éloigné leurs militaires et diplomates de la portée des missiles de la Résistance irakienne ».