
تقي زاده
Les nations arabes doivent chercher la liberté
Dans ce sens, toutes les nations arabes doivent soutenir le peuple irakien, a-t-il précisé.
Les nations arabes doivent s'opposer à la dépendance et chercher la liberté, a-t-il marqué.
La présence des millions d'Irakiens aux manifestations du peuple irakien contre la présence militaire des Etats-Unis dans ce pays a avait un grand reflet dans les médias irakiens.
La nation palestinienne ne permet jamais l'avancée du Deal du siècle
Hanieh a rencontré la vice-première ministre Zazizeh Smaeel et le ministre de l'Intérieur Mohiyeddine Yassine.
Le chef du bureau politique du Hamas a mené des discussions avec les responsables malaisiens sur Al-Qods, les réfugiés palestiniens et le Deal du Siècle.
Lors de ses rencontre, il a insisté sur la nécessité de l'empêchement de la réalisation du Deal du siècle et la fermeté des Palestiniens envers ce projet de Trump.
Le responsable palestinien a expliqué la situation catastrophique des réfugiés palaisiens à l'extérieur de la Palestine et les violations des militaires et des colonnes israéliens contre les Palestiniens.
Les Irakiens veulent un pays indépendant ayant la souveraineté complète
Les Irakiens veulent un pays qui garantit ses droits de profiter la vie libre et honnête tout en liant des relations amicales avec ses voisins, a-t-il insisté.
Répondant à l'invitation des groupes irakiens et celui de Moqtada Sadr, chef du courant Sadr pour une participation aux manifestations contre la présence militaire des Etats-Unis en Irak, de gigantesques manifestations ont eu lieu vendredi à Bagdad.
Des drapeaux irakiens dans les mains, les manifestants irakiens ont lancé des slogans nationaux. Ils ont condamné la présence des Etats-Unis en Irak.
Irak: "vendredi noir" pour l'Amérique
En 1920, les Irakiens ont pris la tête d'un vaste mouvement régional qui a mis à la porte l'empire finissant britannique. En 2020 c'est encore le peuple irakien qui se pose en porte étendard d'un mouvement qui expulsera l’Amérique du Moyen-Orient. Des millions d'Irakiens rassemblés à Bagdad ont crié "Amérique dégage!"
La manifestation anti-américaine des millions d'Irakiens a eu lieu à Bagdad et plusieurs responsables irakiens ont réagi à la participation historique de leur nation dans la marche de ce matin menée dans la capitale.
Le député de l’Alliance Fath, au Parlement irakien, Mohammad Karimi, s'est exprimé à l’adresse des forces d’occupation en ces termes:
« Les occupants doivent quitter l’Irak de façon pacifique si non l'on recourra à la force pour leur expulsion. »


Karimi a déclaré dans un entretien avec le site d’information al-Maalomah que les campagnes d’intoxication américaines ne pouvaient pas briser la volonté de la nation iranienne d’expulser les occupants.
« Nous soutenons la volonté des gens et voulons une patrie comme elles le souhaitent. Celui qui s’inquiète de l’avenir de la patrie, doit s’atteler à expulser les meurtriers, les terroristes et ceux qui ont versé le sang de nos grands commandants », a-t-il ajouté.
Le député irakien a souligné :
« Toutes les options se concentrent autour de l’expulsion des occupants américains d'Irak; ils seront traités comme des occupants s'ils ne s’en vont pas de manière pacifique. Et il n'y a pas d'autre option qu'une solution militaire. »

Le leader du courant Sadr, Moqtadas Sadr, a par ailleurs plaidé dans un communiqué pour la fermeture de toutes les bases militaires américaines se trouvant sur le sol irakien.
Moqtadas Sadr a insisté dans son communiqué sur la nécessité du retrait des forces d’occupation d’Irak.
Le communiqué émis par le leader du courant Sadr insiste sur les cas suivants :
- la fermeture de toutes les bases militaires américaines sur le sol irakien ;
- la fermeture des sièges des sociétés de sécurité américaines et la suspension de leurs activités en Irak ;
- l’annulation de tous les accords de sécurité conclus avec les États-Unis, en raison du non-respect du principe de l’équité.

Le leader du courant Sadr a précisé :
« Que Trump sache que dans ses décisions et ses remarques, il ne doit pas traiter l'Irak avec arrogance car sinon on le traitera nous aussi de la même manière. »
« Si toutes les conditions ci-dessus sont remplies, nous ne considérerons plus l’Amérique comme un pays occupant mais s’ils ne sont d'accord avec les conditions du peuple irakien, nous considérerons l’Amérique comme un pays hostile. »
La manifestation de vendredi en Irak a mobilisé toutes les ethnies irakiennes dont les Turkmènes qui ont souhaité, aux côtés d’autres couches de la société, l’expulsion d’Irak des troupes américaines.
« Aujourd’hui, les Turkmènes d’Irak sont présents dans la manifestation d’envergure, au centre de Bagdad et le retrait des forces américaines d’Irak et la fermeture de leurs bases est la volonté du Parlement et du gouvernent irakiens, surtout après que les Américains ont tué les commandants irakiens des Unités de mobilisation populaire d’Irak sans oublier aussi les attaques lancées sur les bases des Hachd. »
Le peuple turkmène d’Amerli, à l’instar d’autres citoyens irakiens, est venu à Bagdad pour participer à la manifestation populaire dans la capitale afin de rendre hommage aux groupes de la Résistance.

Amerli est situé dans la province de Salaheddine, en Irak, à environ 3 kilomètres de la frontière iranienne. Lorsque Daech a envahi l'Irak, la ville d'Amerli, habitée par des Turkmènes chiites irakiens, a été complètement assiégée.
Lorsque la ville d'Amreli était en plein siège de Daech, le défunt commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général de corps d’armée Qassem Soleimani, est entré avec un hélicoptère dans cette ville, organisant les forces de la Résistance et empêchant la chute de la ville et le massacre de ses habitants. Le 5 août, l'armée irakienne soutenue par les forces des Hachd al-Chaabi et aux côtés des peshmergas kurdes irakiens a mis fin après 6 mois au siège de la ville.
Les Turkmènes irakiens résident principalement dans le nord de l'Irak et dans les villes de Kirkouk, Erbil, Tal Afar, Mossoul, Takhar Khormato, DaKuq, Tuz khormatu, Altun Kupri et Bagdad.
Des dizaines de milliers de personnes de différentes villes irakiennes ont marché ce matin vendredi à proximité de l'Université de Bagdad près du campus d'al-Jadriya pour participer à la manifestation anti-occupation américaine. Le Chef de la police fédérale irakienne a annoncé que le nombre de manifestants s’élevait à plus d'un million de personnes.
Bagdad: une immense foule dans la rue pour réclamer l’expulsion des Américains
L'Irak vient de renaître : Des millions d'Irakiens réunis de quatre coins du pays à l'appel du religieux chiite Moqtada Sadr et convergeant vers le centre de la capitale ont crié "Yankee, Go Home"! Pour une Amérique qui a tout fait depuis le 3 janvier date de l'attentat terroriste qu'elle a éhontément revendiquée, c'est plus qu'une défaite. C’est une déclaration de guerre. Car il suffit que chaque manifestant prenne une arme et qu'il la tourne contre l'occupant! Retranchés dans leurs bases les troupes US en tremblent à l'heure qu'il est, eux à qui leur commandants avaient vivement déconseillés de ne pas paraître en public, de ne pas quitter leurs abris barricadés. La guerre pour la libération ne fait que commencer.
Des millions d’Irakiens se sont rassemblés à Bagdad, ce vendredi 24 janvier, pour dénoncer la présence des troupes américaines en Irak, après que les États-Unis eurent assassiné le général de corps d’armée Qassem Soleimani et Abou Mahdi al-Mohandes, le numéro deux des Hachd al-Chaabi.
Selon la chaîne de télévision irakienne al-Ahd, « des Irakiens de toutes les provinces du pays sont venus, à Bagdad, pour participer à ce grand rassemblement anti-US ».
Les manifestants portent des banderoles et scandant des slogans réclamant l'expulsion des forces américaines.
Le chef du Courant Sadr a réclamé l’annulation de tous les pactes sécuritaires, signés avec les États-Unis, et l’interdiction aux États-Unis d’utiliser l’espace aérien de l’Irak.
Simultanément à une géante manifestation anti-américaine, en cours à Bagdad, Moqtada Sadr a demandé, dans un communiqué, au gouvernement irakien, d’ordonner la fermeture de toutes les bases militaires américaines en Irak.
« Si l’administration américaine n’accepte pas de retirer ses troupes du sol irakien, elle sera traitée d’un pays occupant », a souligné Moqtada Sadr.
De nouveaux postes de contrôle avaient été installés dans la capitale jeudi en fin d'après-midi pour assurer la sécurité du grand rassemblement.
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Afkar News
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Afkar News
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Afkar News
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Afkar News
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Afkar News
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
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Des manifestations anti-américaines à Bagdad, le 24 janvier 2020. ©Al-Alam
Le 5 janvier, le Parlement irakien a voté à une écrasante majorité en faveur d'une résolution appelant à l'expulsion de toutes les forces dirigées par les États-Unis dans le pays, deux jours après l'assassinat de Soleimani et de Mohandes par les États-Unis.
Il s’agit de la première manifestation d’envergure du genre afin de réclamer l’expulsion des forces américaines du sol irakien.
Selon Al-Alam, des habitants de Bassora et des provinces du Sud se sont rendus à Bagdad pour prendre part à ces manifestations, marquées également par la présence de chefs des tribus.
Certains manifestants ont brûlé le drapeau des États-Unis et scandent des slogans tels que « Oui à la souveraineté, oui à l’Irak et non à l’occupation ! »
L’effigie de Donald Trump a été également pendue par un groupe de manifestants, signe de protester contre l’occupation américaine.
Aramco/Aïn al-Asad : "Israël perdra" face à la Résistance...(experts israéliens)
Du 14 septembre 2019, date de la spectaculaire attaque au drone et au missile de croisière d'Ansarallah contre Aramco, le 8 janvier 2020, quand les missiles balistiques iraniens s'en sont pris à la plus grande base militaire américaine au Moyen-Orient, Aïn al-Asad, y pulvérisant le centre de commandement, la station radar, les hangars de drones et d'avions ainsi que des dortoirs, il n'y a que cinq petits mois mais cela était largement suffisant pour mettre au pas un "géant au pied d'argile".
À Aramco les batteries de missiles antimissile Patriot ont prouvé leur totale incapacité à contrer les drones mais aussi les missiles de croisière de la Résistance, et ce, au point tel que le ministre délégué saoudien Al Jubeir s'en est plaint mardi devant la commission des relations étrangères européennes à Bruxelles : " (En dépit de la présence des Patriot) la milice Houthi (Ansarallah) a réussi à tirer 300 missiles et 100 avions sans pilote en direction du territoire de l'Arabie saoudite, rien qu'en 2019". Quant à Aïn al-Asad, le coup s'en est avéré encore plus cuisant, les missiles balistiques iraniens s'étant avérés aussi "précis" que des missiles de croisière d'Ansarallah sinon plus
Soleimani assassiné: Israël se demande comment se tenir à une riposte à l’Iranienne
Israël ne sait pas encore comment traiter avec la réalité post-Soleimani, indique Mohammed Saïd Idris, écrivain égyptien.
Dans un article qui vient d’être publié par le quotidien égyptien al-Ahram, Mohammed Saïd Idris écrit : « Les Israéliens tentent de trouver un dénouement à l’énigme que les Américains lui avaient imposée par l’assassinat de Qassem Soleimani. C’est vrai que nombreux furent les Israéliens qui se sont frotté les mains après l’assassinat de Qassem Soleimani, mais certains d’autres prennent également en considération les conséquences négatives de cet événement. Ils se demandent donc comment l’assassinat du général de corps d’armée Soleimani pourrait influencer Israël ou comment ce dernier devrait traiter avec la nouvelle réalité, soit la réalité post-Soleimani ».
Mohammed Saïd Idris est d’avis que le temps est venu pour que les Israéliens reconnaissent avoir été impliqués, directement ou indirectement, dans l’assassinat de Soleimani : Il se peut que les Israéliens aient contribué dans l’opération, elle-même, ou que leur rôle se soit limité d’une collecte d’information.
L’écrivain égyptien s’est ensuite référé à un journaliste du quotidien britannique The Guardian selon lequel le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, s’est décidé à assassiner le général de corps d’armée Soleimani, en coopération du Mossad.
Et d’ajouter : « Il existe d’autres preuves qui montrent un lien entre Israël et l’assassinat de Qassem Soleimani ; par exemple, le cabinet israélien s’est réuni le 5 janvier 2020, c’est-à-dire après l’assassinat de Soleimani, afin d’examiner les conséquences de cet événement et la réaction d’Israël au cas où ses militaires seraient pris pour cible. Ensuite, Benjamin Netanyahu a commis une erreur en disant qu’Israël disposait d’une bombe nucléaire et cela en espérant que cette affirmation pourrait dissuader l’Iran de lancer une attaque de représailles contre Israël. En plus, Mike Pompeo a déclaré, lors de ses discours, avoir contacté Benjamin Netanyahu, avant et après l’assassinat de Qassem Soleimani. Pompeo a également souligné que les États-Unis continuaient à soutenir Israël pour mettre fin au terrorisme ».
Comment les Hachd comptent empêcher l'héliportage des terroristes par les USA?
Sur fond d'intenses négociations menées pour équiper l'Irak de quoi se défendre contre l'aviation US et de la chasser surtout, l'un des hauts commandants de Kataeb Hezbollah, cité par Al Malooma, exige que les hélicoptères américains "Chinook" tout comme les avions US "soient fouillés" puisqu'"ils transportent à leur bord des chefs de Daech depuis la Syrie voisine" : "Les combattants des Hachd surveillent étroitement les frontières syro-irakiennes au sol mais le ciel n'est pas sous notre contrôle et les Etats-Unis mettent à profit cette grande brèche pour s'y engouffrer et faire passer les chefs terroristes de la Syrie en Irak". Les Hachd pourront-elles viser ces hélicoptères? Fort possible.
La Russie est-elle sur le point de créer une DCA intégrée avec Syrie-Irak-iran?
L'ennui avec les Américains est qu'ils ne comprennent que le langage de la force ! Les forces russes déployées depuis 2013 aux côtés de l'armée syrienne viennent d'en faire l'expérience, elles, qui se heurtent depuis une dizaine de jours aux menaces et aux harcèlements du Pentagone : après avoir dressé un poste de contrôle sur l'autoroute stratégique M-4 et brandi leurs armes sous le nez des forces russes, les Yankees ont réussi à repousser un convoi d'armes composés de 60 véhicules qui se dirigeait vers la base aérienne Qamichli. Cette base que les Américains en sont bien conscients, est potentiellement capable de se transformer un QG de commandement d'opération anti-aérienne Syrie-Irak-Iran-Russie contre les États-Unis.
1ère opération commando anti-Israël en 2020... Israël survivra à un clash direct?
Alors que Netanyahu tenait son show dans la ville occupée de Qods où, un forum estampillé "commémoration de Holocauste" se déroule sur les ruines entachées de sang de la Palestine, une opération commando palestinienne a ramené l'intéressé sur terre. Mardi soir, un commando composé de trois combattants palestiniens s'est rapproché du sud des territoires occupés de la Palestine avant d'être pris pour cible d'un char israélien (!!) qui, vu la panique qui s'était emparée des rangs des militaires israéliens, s'est mis à voler à leur secours et tirer sur les Palestiniens. Les trois sont tombés en martyr.
Dans un communiqué publié à la hâte, l'armée israélienne affirme que les trois Palestiniens "ne s'étaient pas encore infiltrés" en Israël mais qu'ils en avaient l'intention, ce qui justifie évidemment à ses yeux la tuerie qu'elle met sur le compte d'une "opération préventive". Mais d'où vient cette peur bleue ? Alors que Tel-Aviv comptait largement sur une désintégration de l'axe de la Résistance, néanmoins de sa composante palestinienne et ce, dans la foulée du lâche assassinat 3 janvier de son commandant en chef martyr, Qassem Soleimnai, c'est visiblement l'inverse qui est en train de se produire.