تقي زاده

تقي زاده

Zeynab Soleimani, fille du général Qassem Soleimani a prononcé un discours lors des funérailles de son père, tombé en martyr au cours d’une attaque terroriste menée par les Américains.

Lors des funérailles auxquels avaient pris part des milliers d’Iraniens, elle a dit : « Hadj Qassem avait dit que nous sacrifierons nos enfants dans la voie de la Vélayat pour qu’il ne se sent pas seul. Durant 40 ans, il a mené, dans le navire de l’Ashoura sous la lumière de la Vélayat, un combat infatigable contre les ennemis de l’islam et de l’humanité. Il était un père tendre pour ses enfants et pour tous les enfants, un bon mari pour son épouse et un commandant dévoué pour la Vélayat, estimant que la soumission à la Vélayat était la plus importante condition à la foi. »

« Hadj Qassem, a-t-elle dit, était un homme stratégique dans les équations de force de l’ennemi. Dans les guerres, l'amour du martyre le conduisait vers les lignes les plus proches des ennemis. La foi en Dieu, réduisait l’ennemi en rien, face à la grandeur du pouvoir divin. Mon père avait privé tous les arrogants, les tyrans et les takfiristes du sommeil. Le nom de Hadj Qassem faisait trembler le nid du sionisme, du takfirisme et de l’arrogance ».

Zeynab Soleimani a souligné : « Aujourd’hui la pensée et le djihad de mon père ont transformé le front de la résistance en une école institutionnalisée et victorieuse. Le monde entier a saisi le message du djihad et la pensée de Soleimani et il est témoin d’une arrogance, d’un sionisme et d’un takfirisme humiliés. Les Etats-Unis doivent savoir que l’Ashoura est la source du pouvoir des combattants et des hommes libres et celle de la peur des ennemis de l’islam et de l’humanité. »

« Les disciples de l’école de Khomeiny et de Khamenei sont formés par les cours du djihad et du dévouement de Soleimani. Tant qu’ils vivent, ils formeront d’autres disciples qui feront peur aux colonialistes et aux takfiristes. Les Etats-Unis et les sionistes doivent savoir que le martyre de mon père réveillera la conscience des hommes sur le front de la résistance, rendra encore plus noir leurs jours et détruira leurs nids d’araignée », a-t-elle ajouté.


La fille du général Soleimani a rappelé : « Le monde entier a été témoin de l’accueil chaleureux réservé par les Irakiens et les Iraniens aux dépouilles de Hadj Qassem et d’Abou Mahdi. Comme mon père a dit : M. Trump, ton stratagème satanique pour diviser les deux nations iranienne et irakienne a été voué à l’échec et la mort en martyr de deux grands combattants, Abou Mahdi et Hadj Qassem, témoigne de l’union historique entre les deux nations et leur haine éternelle envers les Etats-Unis. »

« Hier, a-t-elle encore ajouté, le parlement irakien a adopté le retrait des Américains de l’Irak et les Américains ont manifesté contre l’offensive terroriste ordonné par Trump. Les familles des soldats américains en Asie de l’Ouest vivront l’humiliation des Etats-Unis dans les guerres en Syrie, en Irak, au Liban, au Yémen, en Palestine et en Afghanistan en passant les jours dans l’attente de la disparition de leurs enfants. »


« Symbole de l’ignorance, Trump ne doit pas penser que le martyre de mon père mettra fin à tout. Mon père avait un père (guide de la révolution) qu’il a accompagné et nous, nous l’accompagnerons à notre tour », a-t-elle souligné.

«Aujourd’hui, a-t-elle souligné, les Soleimani de la résistance ont adressé leurs messages. Mon cher oncle, Sayed Hassan Nasrallah a adressé son message. Isma’il Hanieh, Bachar Assad, Ziad Nakhaleh, Abou Hassan Ameri et Abdolmalek al Houthi, dont chacun suffit à éliminer Trump, adresseront leurs messages. Mon père avait un autre compagnon. Je dois l’évoquer là. M. Pourjafari qui l’acccompagnait partout. Il était un combattant dévoué qui a retrouvé enfin la paix avec mon père. »


« Le monde entier sait que mon père est dans le cœur du peuple iranien, dans le cœur de la oumma de la résistance, dans le cœur de tous les hommes libres à travers le monde. Je promets à notre cher guide, que moi et tous les enfants de mon père, nous vivrons avec les souvenirs de mon père qui est toujours en vie et qui bénéficie des nourritures célestes, et nous garderons notre haine contre les tyrans », a-t-elle conclu.

Des milliers d'Américains ont lancé des slogans contre les mesures de l'administration de Trump à la suite de l'assassinat du général iranien Qassem Soleimani tombé en martyre par les drones de l'armée américaine.
Depuis vendredi soir, le président US qui se targue avoir tué Soleimani n'a cessé de tweeter. C'est un record jamais battu par le criminel du bureau ovale. A ceci s'ajoute évidemment, un point de presse inhabituel où Trump a laissé éclater sa crainte, son inquiétude, en sa confusion, lui, homme ignare qui croyant pouvoir en assassinant le haut commandant Soleimani, contrer le processus d’impeachment et de remporter de justesse un second mandat à la tête des Etats-Unis d'Amérique en déliquescence. Grace erreur. Samedi, des milliers d'Américains et pas que des Musulmans ont brandi jusqu'au devant de la Maison Blanche les portraits de Qassem Soleimnai, en affirmant qu'ils ne voulaient pas la guerre avec l'Iran.

Plus, les manifestants ont condamné son lâche assassinat puisque Trump et le Pentagone ont totalement raté la première phrase de leur plan de pacotille: à savoir se faire rallier par l'opinion publique US et mondiale en présentant Soleimani comme étant " un chef terroriste"! Que le public américain, pourtant bombardé du matin au soir par les Fake News des médias US, n'ait cru un seul mot aux sornettes présidentielles débités depuis 48 heures, cela montre que le trio "Maison Blanche-Pentagone-CIA" dans la guerre qu'il vient de déclencher contre l'Iran est très très mal parti. Le soir de samedi 4 janvier Pompeo a laissé éclater sa peur et sa déception, après que même l'allié européen et otanien a refusé de suivre l'Amérique sur la voie d'une guerre totalement perdue d'avance.

En signe de protestation contre l’assassinat du général Qassem Soleimani, mais aussi contre la décision de l’administration Trump d’envoyer des milliers de soldats supplémentaires dans la région de l'Asie de l'Ouest, plus de 80 manifestations ont été organisées samedi 4 janvier dans différentes villes américaines, a indiqué New York Times.

Plus de 1 000 manifestants à Washington se sont rassemblés devant la Maison Blanche, portant des pancartes «No War». D'autres ont défilé à New York à Times Square, scandant à plusieurs reprises «Les États-Unis dégagent de l'Asie de l'Ouest ». Des foules se sont également rassemblées à Albuquerque, Indianapolis, Memphis, Miami et St. Louis, a rapporté le journal new-yorkais.

À Philadelphie, des manifestants réunis devant l'hôtel de ville portaient des pancartes exigeant que les États-Unis se retirent de l'Irak et évitent la guerre avec l'Iran. À San Francisco, le rassemblement était marqué par des chants anti-guerres diffusés par des haut-parleurs. Dans le centre-ville de Chicago, des centaines de manifestants se se sont rassemblés devant la Trump Tower, certains avec des pancartes indiquant «Arrêtez de bombarder l'Irak», a-t-il poursuivi.

L’appel à manifester à l'échelle nationale avait en effet était lancé mardi 31 décembre, avant la frappe de drones qui a coûté la vie au général Soleimani et alors que les tensions s'intensifiaient entre les États-Unis et l'Irak. Des manifestations étaient initialement prévues dans 10 à 15 villes américaines et leur nombre est passé à 30 deux jours après le lancement de l’appel. Or, lorsque le général a été tué tôt dans la matinée du vendredi 3 janvier près de l'aéroport de Bagdad, le nombre de villes participantes a plus que doublé, a précisé New York Times soulignant que le chiffre est sans précédent depuis 2003. Les Américains sont à présent nombreux à réclamer la destitution, voire l'inculpation de Donald Trump pour avoir mis en danger la sécurité et les intérêts de leur pays.
Des millions d’Iraniens ont pris part, dimanche 5 janvier, à la cérémonie des funérailles du général-lieutenant Qassem Soleimani et ses compagnons d'arme. Ils ont été tombés en martyre par des frappes américaines en Irak sous l'ordre direct du président des Etats-Unis Donald Trump.massif au génaral Soleimani dans la capitale iranienne

Le centre de Téhéran est noir de monde lundi matin en hommage au général iranien Qassem Soleimani assassinat vendredi par une frappe américaine en Irak, selon un journaliste de l'AFP sur place.

Portrait de leur héros souriant en main, la foule s'est amassée bien avant 08h00 (05h30 Heures belges) aux abords de l'Université de Téhéran, où le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, doit présider dans la matinée une prière en l'honneur du soldat le plus populaire d'Iran. La foule compacte et noire qui stationne autour de l'université sous un soleil glacial ou qui défile sur plusieurs kilomètres le long des avenues Enghelab ("Révolution" en persan) et Azadi ("Liberté") agite moult drapeaux rouges (couleur du sang des "martyrs") ou iraniens, mais aussi des drapeaux libanais ou irakiens. Les rues résonnent par intermittence de slogans "Mort à l'Amérique", "Mort à Israël" .

Un homme porte un bandeau "#hard_revenge" (#vengeance_terrible en anglais) alors que d'autres panneaux, en anglais également, appellent à venger la mort du général Soleimani. Faisant référence au général Soleimani et aux autres Iraniens assassinés avec lui, la télévision iranienne, qui couvre l'événement en direct avec force vues aériennes du centre de la capitale titre en bandeau : "Résurrection sans précédent de la capitale iranienne en accueillant Hajj Qassem et les martyrs de la résistance".
 
Des millions d'Iraniens à Téhéran participent à la cérémonie des funérailles du général Someimani et d'autres martyrs assassinés par l'ordre du président des Etats-Unis.
A Téhéran et dès l'aube, des foules se regroupent et des rues deviennent pleines d'Iraniens pour dire leur dernier adieu au populaire général iranien assassiné par les drones américains en Irak sous l'ordre du président américain Donald Trump.

Le général-lieutenant Hadj Qassem Soleimani était celui qui a vaincu Daech en Irak et en Syrie. Il a dirigé les forces volontiers irakiens et celles de l'armée syrienne pour réaliser la défaite de Daech en Irak et en Syrie.
Des millions d’Iraniens ont participé ce dimanche aux funérailles du général de corps d’armée Qassem Soleimani à Machhad.
 
Des millions d’Iraniens ont pris part, dimanche 5 janvier, à une grande procession funéraire pour le défunt commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général de corps d’armée Qassem Soleimani et ses compagnons, y compris le chef adjoint des Hachd al-Chaabi, Abou Mahdi al-Mohandes.

Au total, dix personnes - cinq Irakiens et cinq Iraniens - ont été assassinées par une frappe américaine visant leur convoi, juste à l’extérieur de l’aéroport de Bagdad, vendredi matin.

Les dépouilles du commandant du combat antiterroriste, Qassem Soleimani, et de ses compagnons sont arrivées dimanche en Iran.

Un cortège funèbre massif a eu lieu dimanche matin à Ahvaz, où s’est déroulée une grande partie de la guerre de huit ans entre l’Iran et les forces de l’ancien dictateur irakien Saddam Hussein, une guerre qui a façonné l’avenir de Soleimani en tant que brillant tacticien militaire.

Depuis Ahvaz, le cortège s’est dirigé vers la ville sainte de Machhad dans le nord-est de l’Iran.

Soleimani et Mohandes ont tous deux été des figures de proue populaires pour aider à étouffer une montée inquiétante de Daech qui était autrefois à 30 km de Bagdad, tandis qu’à ce moment-là, les États-Unis ont retiré leurs troupes d’Irak et restaient les bras croisés.

Les images du commandant iranien aux côtés des combattants irakiens en première ligne d’une bataille héroïque contre les terroristes de Daech sont gravées dans l’esprit de nombreux Irakiens.

La participation massive des Irakiens aux funérailles de Soleimani, ayant eu lieu samedi 4 janvier, met en évidence la popularité du commandant iranien parmi de nombreux Irakiens et elle transmet à la fois un message aux États-Unis dont la présence militaire dans ce pays arabe est largement contestée par les Irakiens.

Le nouveau commandant de la Force Quds du CGRI, le général de brigade Ismail Qaani, promet de se venger des États-Unis pour le meurtre du lieutenant-général iranien Soleimani.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : "Nous allons suivre le chemin du martyr Soleimani avec fermeté et résistance", a déclaré le nouveau commandant de la Force Quds, du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI), dans une interview à la télévision publique iranienne.

Le chef de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a nommé vendredi Qaani au poste de nouveau commandant de la Force Quds, anciennement dirigée par le lieutenant-général Qassem Soleimani, tué par les États-Unis à Bagdad, capitale irakienne.

La République islamique a confirmé que le général Qaani répondrait à l'acte terroriste des États-Unis, ce qui mettra fin à la présence militaire américaine dans la région.

« Nous allons certainement agir, mais ce sera Dieu qui se vengera vraiment des États-Unis par le précieux sang versé », a qualifié le remarquable commandement militaire iranien.

Les gouvernements de Bagdad et de Téhéran ont condamné sévèrement l'acte terroriste des États-Unis, qui constitue une violation flagrante de la souveraineté de l'Iraq. Le Parlement irakien a approuvé dimanche l'expulsion des forces américaines de leur pays.

Le chef de la révolution islamique et les hauts responsables du CGRI ont mis en garde les « criminels » des États-Unis qui attend une "vengeance dure" de la République islamique.

Le chef de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, prie devant le corps actuel du général Soleimani, qui est tombé martyr dans une attaque américaine.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Le leader iranien a participé lundi au cortège funèbre du commandant de la Force Quds, du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI), du lieutenant-général Qassem Soleimani et du sous-commandant des forces populaires irakiennes Unités de mobilisation populaire (Al -Hashad Al-Shabi, en arabe), Abu Mahdi al-Muhandis, détenu à Téhéran, capitale perse.

Des dizaines de milliers d'Iraniens en deuil ont assisté aux exquis pour dire au revoir à leurs héros, qui ont fait des martyrs vendredi lors d'une attaque terroriste aux États-Unis à l'aéroport international de Bagdad, capitale irakienne.

Le chef de la direction politique du Mouvement de résistance islamique de Palestine (HAMAS), Ismail Haniya, a également assisté aux funérailles des victimes de l'agression américaine et a présenté ses condoléances au peuple iranien. Dans un discours, il a assuré que le lieutenant-général Soleimani est le martyr d'Al-Quds (Jérusalem) et que les Palestiniens continueront leur héritage.

Il a fallu 48 petites heures pour que le commandant en chef de l'axe de la Résistance, général de corps d'armée Qassem Soleimani, marque à titre posthume l'une des plus belles et de loin plus mémorables victoires de toute sa longue et lumineuse carrière : qui aurait crû qu'un Irak donné pour "à jamais divisé" , et " définitivement perdu" mobilise en moins de 48 heures après l’assassinant du grand Soleimani son Parlement, pour voter à une majorité de voix l'expulsion pure et simple des troupes US d'Irak , ainsi que le retour de la souveraineté pleine et entière de l'Irak, non seulement sur sa terre, ses richesses infinies mais encore sur son ciel, d'où les assassins yankees se sont permis de commettre le vendredi 3 janvier, l'un des pires crimes de guerre qui soit. Dimanche soir, l'Irak a pour la première fois après son invasion en 2003 a porté aussi plainte contre les Etats-Unis auprès du Conseil de sécurité, signe que ses forces armées sont désormais en guerre contre Washington.

A partir du 5 janvier, les troupes US en Irak sont traitées à titre d'occupant et leur sang est donc licite. Elles n'auront donc qu'un double choix: se retirer ou rester et mourir. Et dire que les Etats-Unis d'Amérique ont dépensé 8 000 milliards de dollars en Irak et en Asie de l'Ouest pour s'y implanter définitivement et qu'à la veille du vote historique du Parlement irakien, ils avaient usé de tous les ressorts possibles et imaginables pour l'empêcher. 

La dernière bataille du Grand général Soleimani aura été de loin la plus grande : l'Amérique sera expulsée ou elle ne sera plus. Dans son discours du dimanche soir dédié à la mémoire du " commandant en chef de l'axe de la Résistance", le secrétaire général du Hezbollah a eu le mot juste : En assassinat Soleimani, les Etats-Unis ont tenté de changer l'implacable destin qui les menace, à savoir la disparition. Or le sang de Soleimani ne pourra être vengé que par l'expulsion jusqu'au dernier GI's de toute la région ". 

Ce lundi Téhéran comme l'Iran entier pleure son déjà légendaire commandant mais il se console à l'idée que son deuil est partagé en Irak, en Syrie, au Liban, au Yémen, au Pakistan, en Inde, ... jusqu'aux Etats-Unis, et derrière les mutes de la Maison Blanche .... C'est la victoire à titre posthume de Soleimani... 

Samedi 4 janvier, la presse israélienne a fait état d'une "énième frappe" US/Israël contre "la base des mandataires de Téhéran" à Abou-Kamal, "mandataires" que selon cette même presse, "ne tarderait pas à disparaître" maintenant que le commandant en chef de l'axe de la Résistance, le général Soleimani "est éliminé".

C'était sans compter avec le fait que USA/Israël ne se trouvent pas confrontés à un "simple bloc idéologique" mais à une "armée asymétrique aguerrie"  dont le commandement dépasse une seule personne. Dans la nuit de dimanche à lundi, les combattants de Kataeb Hezbollah dont deux bases ont été frappées le 28 décembre par les USA, ont pris pour cible la base militaire américaine à al-Tanf, dans l'est de la Syrie, base située sur les frontières syro-irakiennes et dont l'ouverture irait largement faciliter le transit entre l'Irak, la Syrie, le Liban et ce, en complémentarité avec la route stratégique Qaëm-Abou-Kamal que les USA et Israël rêvent de pouvoir couper. 

Selon Avia.pro qui rapporte cette information, "c'est une zone qui est non seulement placée sous protection des systèmes de défense aérienne russes et syriens voire chinois, mais encore protégée par des batteries de missiles iraniennes 373, ce qui en fait une zone inaccessible aux drones, aux hélicoptères ou encore aux avions de chasse américains. Le site militaire russe affirme que la Résistance avait déjà lancé avec succès une première attaque aux missiles balistiques et de croisière contre la base US "dans une zone située à 200 kilomètres au nord-est du mont Tanf" mais que cette nouvelle attaque "a échappé aux systèmes de défense antimissile israéliens et américains, "ce qui indique que la base américaine et les forces US qui s'y trouvent sont parfaitement exposés par les missiles iraniens et de la Résistance".  

Samedi les désormais occupants américains en Irak ont compté leurs premiers morts, dans la foulée du tir de 40 missiles téléguidés sur les bases US à Al-Jidiriya, à Balad, à Al-Kindi. Dimanche une nouvelle salve de missiles a visé l'ambassade US dans la zone verte. En dépit d'un très violent black out médiatique, des sources militaires irakiennes évoquent une nette détérioration de la situation pour les GI's qui ont quasiment coupé tout contact avec les Irakiens, quitte à se replier comme des "rats" dans leurs bases ultra protégées. Mais cet état de chose pourra-t-il durer?