تقي زاده

تقي زاده

Le Pentagone a évacué d'urgence le porte-avions "Harry Truman" du golfe Persique, a annoncé le site d’information russe Avia.pro. "Au plus fort de tensions, le porte-avions américain Harry Truman a dû être évacué du golfe Persique. Situé à distance d'une frappe directe de la croisière et des missiles balistiques iraniens, le porte-avions américain Harry Truman sur le pont duquel se trouvent des avions de combat et d'hélicoptères a décidé d'évacuer d'urgence vers une zone plus sûre, craignant que Téhéran ne le détruise. Avia.pro ne sait pas vers où l'USS Truman est évacué mais tout porte à croire qu'il fuit les côtes iraniennes vers le détroit de Bab al-Mandeb où Ansarallah l'attend de pied ferme. 

En effet, tous les bâtiments de guerre US dont Harry Truman s'éloignent de mille kilomètres des côtes iraniennes. Certaines sources disent aussi que les avions cargos US évacuent la base américaine au Koweït. Selon des sources, le porte-avions US a dû être éloigné des côtes iraniennes afin d'éviter qu’il ne soit détruit en représailles à l’assassinat par un drone américain du général de corps d'armée Qassem Soleimani, vendredi 3 janvier Bagdad, alors qu'il n'avait aucune protection particulière et alors qu'il s'y rendait à l'invitation de l'État irakien. 

Le secrétaire général du Hezbollah a déclaré que le martyre de Qassem Soleimani constituait un tournant historique, non seulement pour l’Iran, mais pour toute la région.

Seyyed Hassan Nasrallah a déclaré, dimanche 5 janvier, lors d’un discours télévisé que les États-Unis n’avaient réussi à atteindre aucun de leurs objectifs ni en Syrie, ni en Irak, ni en Afghanistan, ni au Liban, « d’où leur désarroi face à notre région », a souligné le secrétaire général du Hezbollah libanais.    

Seyyed Hassan Nasrallah a ajouté : « Trump se réserve le droit d’exploiter le pétrole irakien pour compenser les sommes que les États-Unis ont dépensées pendant toutes ces années en Irak. Aux yeux de Trump, il n’existe aucun État ni gouvernement en Irak, ce qui lui donne le droit de prendre le contrôle des puits de pétrole de ce pays et de les exploiter. Le principal objectif des États-Unis est donc l’exploitation des puits de pétrole irakiens. Il ne peut tolérer aucun gouvernement ni État en Irak et il souhaite que l’État irakien suive à la lettre les décisions de l’ambassadeur et de l’armée américains, soit sur le plan politique, soit sur le plan militaire. Voici le plan des Américains pour l’Irak qui est tombé dans l’impasse en raison de l’éradication de Daech, lorsque le peuple, les responsables et la source religieuse à Nadjaf ont pris une position ferme en anéantissant ce groupe lors d’une période pas très longue. Là, Qassem Soleimani et Abou Mahdi étaient deux principaux éléments pour l’anéantissement de Daech. C’est ainsi que les Américains ont perdu leur prétexte pour rester en Irak. Après la défaite de Daech, les Irakiens ont commencé à réclamer le retrait des forces US et les Américains ont tenté d’évoquer Daech pour pouvoir retourner en Irak ».

Le numéro un du Hezbollah s’est ensuite attardé sur les élections législatives en Irak : « Je ne parle pas d’un parti ou d’un autre. Je parle d’une approche générale qui a remporté ces élections, une approche qui s’oppose à la présence des États-Unis sur le sol irakien. Les Américains appellent cette approche une “ligne de conduite iranienne”, mais ce n’est pas un terme subtil pour la qualifier. Appelons-la une approche patriotique qui rejette le diktat américain ! Les partis ayant une telle approche constituent le gouvernement et c’est exactement ce qui déplaît aux États-Unis ».

L’Iran a annoncé, dimanche 5 janvier au soir, sa décision de franchir la cinquième étape de son plan de réduction de ses engagements internationaux en matière nucléaire.

Dans un communiqué, le gouvernement iranien a déclaré que la République islamique d’Iran ne connaissait plus aucune restriction en matière de capacité d’enrichissement, de niveau d’enrichissement, de quantité de substance enrichie et de recherche et de développement.

Le communiqué a souligné :

« Lors de la cinquième étape de réduction de ses engagements, la République islamique d’Iran se débarrasse de son dernier cas de restrictions opérationnelles, dans le cadre de l’accord nucléaire, soit la restriction du nombre de centrifugeuses ».

Ainsi, le programme nucléaire de la République islamique d’Iran ne connaîtra plus aucune restriction dans le domaine opérationnel (capacité d’enrichissement, niveau d’enrichissement, quantité de substance enrichie et recherche et développement). Le programme nucléaire de l’Iran se poursuivra désormais conformément à ses besoins techniques.

L’Iran continuera de coopérer avec l’Agence internationale de l’énergie atomique, tout comme par le passé. En plus, l’Iran sera prêt à s’engager dans l’accord au cas où les sanctions seraient levées et lorsqu’il bénéficierait des avantages de l’accord.

Il revient à l’Organisation iranienne de l’énergie atomique de prendre des mesures nécessaires à ce propos, en coordination avec le président de la République.

Téhéran a commencé en mai à réduire ses engagements nucléaires en riposte au retrait unilatéral, un an auparavant, des États-Unis de l’accord international sur le nucléaire iranien, conclu en 2015, suivi du rétablissement des sanctions contre la République islamique d’Iran.

Un responsable de la sécurité dans la province irakienne de Diyala a annoncé que les Unités de ùobilisation populaire (Hachd al-Chaabi) avaient ordonné le tir direct sur tout engin volant non identifié qui survolerait le périmètre de ses bases, selon l’agence de presse Fars News.

« Les commandants des Hachd al-Chaabi ont explicitement donné l’ordre de tirer directement sur tout engin volant non identifié autour de ses bases militaires et de son quartier général dans la province de Diyala », a-t-il déclaré aux médias locaux.

Ce samedi, les Unités de mobilisation populaire ont identifié un drone qui s’approchait d’une zone sous leur contrôle à Imam Weis. Elles l’ont contraint à changer de trajectoire et le drone s’est enfui vers Baqubah, rapporte le site d’information Al-Masalah.

Vendredi 3 janvier, un drone américain a tiré un missile sur les véhicules qui transportaient le commandant de la Force Qods du CGRI, le général Qassem Soleimani et le numéro deux des Hachd al-Chaabi d’Irak, Abu Mahdi al-Mouhandis, et un certain nombre de commandants de la résistance, à l’aéroport de Bagdad.

Des milliers d’Irakiens se sont réunis hier, samedi, dans la capitale Bagdad, pour les obsèques de deux martyrs, tout en réclamant l’expulsion des troupes américaines d’Irak et la vengeance de leur sang.

 

Un membre du Comité de soutien à la Palestine en Algérie a affirmé que l’Oummah musulmane soutient la cause palestinienne. « Les musulmans doivent s’unir face aux crimes de Tel-Aviv », a-t-il déclaré.

« Nous avons perdu un combattant et défenseur de la cause palestinienne », a ajouté Karim Zoraqi, militant algérien et membre du Comité de soutien à la Palestine en Algérie en allusion à l’assassinat du général de corps d’armée Qassem Soleimani, commandant de la Force Qods.

« Soleimani vivait pour défendre les valeurs sacrées de l’Oummah musulmane et de l’aider à retrouver sa dignité et sa fierté. Il aidait les pays arabes occupés. Ce martyr servait les objectifs et les aspirations de la Oummah musulmane », a assuré Zoraqi.

« Le nom de Soleimani est indissociable du celui de la Palestine. La Palestine est l’identité de l’Oummah musulmane qui doit s’unir pour répondre à l’assassinat de Soleimani. Les hauts dirigeants de la Résistance palestinienne sont tous formés par lui. La question de la Palestine nous concerne tous », a souligné Zoraqi.

Par ailleurs, un militant politique marocain et un mouvement tunisien ont considéré Israël et les États-Unis comme responsables de l’assassinat du général de corps d’armée Qassem Soleimani.

Khalid Sefiani, coordinateur du Groupe d’action nationale pour le soutien à la Palestine et à l’Irak a dénoncé l’assassinat à Bagdad du général de corps d’armée Qassem Soleimani et de ses frères d’armes par les États-Unis.

Deux jours après l’assassinat en Irak du général de corps d’armée Qassem Soleimani, commandant de la Force Qods du CGRI par l’armée des États-Unis, l’Arabie saoudite chercherait à apaiser la crise déclenchée dans la région. Les dirigeants saoudiens n’ont pas été consultés par Washington au sujet de la frappe de drone qui a ciblé le général iranien, a prétendu ce dimanche une autorité du royaume qui a requis l’anonymat, selon l’AFP.

« À la lumière des évolutions rapides qui se produisent dans la région, Riyad met l’accent sur l’importance de la retenue afin de contenir toute escalade qui pourrait conduire à de graves conséquences », a ajouté le responsable.

Le ministère saoudien des Affaires étrangères a fait écho à cet appel à la retenue ce week-end et le roi Salmane a souligné la nécessité de prendre les mesures adéquates pour apaiser les tensions, lors d’un appel téléphonique samedi avec le président irakien Barham Saleh.

L’armée iranienne a répondu dimanche au dernier défi de Donald Trump en disant douter que les États-Unis aient le « courage » de frapper 52 sites en Iran comme a menacé le président américain.

« Ils disent ce genre de choses pour détourner l’attention de l’opinion publique mondiale de leur acte odieux et injustifiable, mais je doute qu’ils en aient le courage », a déclaré le général Abdolrahim Moussavi, en allusion à la menace formulée par Trump comme quoi les États-Unis seraient capables de viser 52 cibles sur le territoire iranien.

 

Les forces de l’armée yéménites ont tiré ce dimanche 5 janvier dans l’après-midi trois missiles Zelzal-1 sur les positions de la coalition saoudienne dans la région d’Asir dans le Sud saoudien.

« Lors de cette attaque, plusieurs membres de cette coalition ont été tués ou blessés », a annoncé Ansarallah.

Ces attaques ont été menées après une attaque perpétrée aujourd’hui par la coalition saoudienne contre les différentes localités, dont le district dal-Durayhimi dans le gouvernorat d’al-Hudaydah.

Selon les sources yéménites, la coalition saoudienne a tiré ce dimanche plus de 112 obus de mortier sur deux villages près de la ville d’al-Durayhimi. 

Les forces yéménites ont réussi a repoussé une attaque des mercenaires de l’armée saoudienne qui tentaient de s’infiltrer sur le territoire yéménite depuis Asir. 

Les affrontements qui avaient diminué après l’intervention des Nations unies suite à l’attaque contre l’Aramco se sont intensifiés depuis quelques jours.

À la tête de la Force Qods du CGRI, le général Qassem Soleimani a joué un rôle indéniable dans la défaite définitive de Daech en Irak, puis en Syrie.
Né en 1956 à Kermân, Qassem Soleimani est entré dans le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) après la victoire de la Révolution islamique dès sa création en 1979. Pendant la Défense sacrée du peuple iranien (guerre Iran-Irak de 1980 à 1988), Qassem Soleimani est devenu un haut commandant du CGRI et a commandé des troupes lors d’importantes opérations.
 
Après la fin de la guerre irano-iranienne, le général Soleimani a été en mission pendant plusieurs années dans l’est du pays dans les zones situées près de la frontière de l’Afghanistan, jusqu’à ce qu’il a été nommé en 1997 au poste de commandant de la Force Qods du CGRI par le commandant en chef des forces armées iraniennes, l’honorable Ayatollah Khamenei.
 
À ce poste, le général Soleimani a contribué aux efforts pour renforcer les rangs de l’axe de la Résistance face au bellicisme et l’expansionnisme d’Israël. En 2010, Qassem Soleimani est monté en grade par un décret du Leader de la Révolution islamique, et est devenu général de division.
 
Le général de division Qassem Soleimani est devenu célèbre après les événements liés à l’apparition des organisations takfiristes comme Daech en Syrie (2011) et en Irak (2014), où le commandant de la Force Qods a reçu l’ordre de soutenir les forces syriennes et irakiennes à mieux s’organiser pour le combat contre le terrorisme.
 
Le général Qassem Soleimani et les conseillers de la Force Qods ont entamé leur mission à la demande officielle des gouvernements syrien et irakien, et leurs conseils ont joué un rôle de premier plan pour permettre aux forces militaires de la Syrie et de l’Irak pour empêcher la chute de Damas et de Bagdad face aux assauts des organisations terroristes forts du soutien tous azimuts que les États-Unis, le régime israélien et leurs alliés européens et régionaux leur ont accordé pour démembrer la Syrie et l’Irak.
 
La visite officielle du commandant de la Force Qods à Moscou et ses consultations avec les hautes autorités politiques et militaires russes ont eu un effet indéniable dans la décision prise le 30 septembre 2015 par le président Vladmir Poutine de déployer les forces russes en Syrie en soutien à l’armée syrienne, pour répondre à la demande officielle du président syrien Bachar al-Assad d’aide militaire.
 
Les analystes indépendants s’accordent à dire que l’une des principaux objectifs du plan du démembrement de la Syrie était de couper la communication via la Syrie entre la République islamique d’Iran et le Hezbollah libanais. Cependant, la défaite de Daech en Irak et en Syrie, avec le rôle irréfutable de la Force Qods, a empêché la réalisation de ce complot.
 
Pour louer le rôle de la Force Qods dans le combat contre le terrorisme et après la défaite définitive de Daech en Irak, le Leader de la révolution islamique a décerné, le 10 mars 2019, la plus haute distinction militaire de l’Iran, celle de l’ordre de Zulfakar.
 
En réponse d’une lettre que le général Qassem Soleimani avait adressée au Leader de la Révolution islamique pour annoncer la défaite définitive de Daech en Irak, l’honorable Ayatollah Khamenei a écrit : « En anéantissant la tumeur cancéreuse et mortelle qu’était Daech, vous avez rendu un immense service aux peuples de la région, aux nations musulmanes, à toutes les nations et à l’humanité tout entière. »
 
Le général de division Qassem Soleimani, haut commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique, a été assassiné ce vendredi matin 3 janvier lors d’une attaque d’un hélicoptère Apache de l’armée américaine à Bagdad.
L’assassinat de Qasim Soleimani en Irak, est immédiatement devenu l’objet de diverses réactions et analyses qui se poursuivent deux jours après.
L'un des principaux titres du site d'information d’Al Jazeera est consacré à l'assassinat du Général Soleimani et à la visite du Guide suprême de la révolution, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei à sa famille, à sa promesse de dures représailles et aux promesses du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, menaçant d’une vengeance qui « s’étendra à tout le Moyen-Orient ».
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
 
Sky News des Emirats a consacré un de ses principaux titres à une vidéo de l’attaque des véhicules transportant les martyrs Soleimani et Abu Mahdi al-Mohandes.
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
Le site d'information égyptien d’Arabi 21 a consacré la plupart de ses titres aujourd'hui, au martyre du Général Soleimani, aux réaction des médias et des personnalités internationales et régionales, et à l'analyse des positions officielles de certains dirigeants arabes et de groupes de résistance régionaux. 
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
L’agence de presse d’Anatolie a consacré ses principaux titres au martyre du Général Soleimani, qualifié d'homme des missions difficiles.
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
La section arabe de Reuters a cité l’envoi de plus de 3000 soldats au Moyen-Orient et les déclarations de Téhéran qui a qualifié cet attentat contre le Général iranien « d’acte de guerre des forces américaines » qui risque de faire exploser la région.
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
Le journal Rai al Yaoum a consacré plusieurs titres à l'attaque américaine contre les responsables d’Hashd al Chaabi et au martyre du Général Soleimani, dans un article d'Abdel Bari Atwan, éminent analyste du monde arabe et rédacteur en chef du journal, sur la réponse que donnera l’Iran à cet acte odieux, à savoir des opérations dans le détroit d'Ormuz ou des attaques électroniques contre les principales infrastructures des Etats-Unis et de leurs alliés dans la région.
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
L'Agence de presse russe d’Al Yaoum a également publié une interview de l'ambassadeur d'Iran auprès des Nations Unies, Majid Takht Ravanchi, qui avait souligné que la réponse à une action militaire était une opération militaire.
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
Le site d'information russe "Sputnik" dans un de ses titres, s’est demandé si dans l’assassinat du Général Soleimani, Trump avait violé la constitution américaine, suite aux déclarations du président de la Chambre des représentants qui a critiqué cette décision qualifiée de « mesure d'intensification de la violence ».
رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
Les médias de langue anglaise se sont concentrés sur la réaction du peuple et du régime iranien et aux conséquences de cet attentat pour les États-Unis, le monde et la région, et ont publié hier les informations suivantes :
Euronews a pointé les diverses réactions à travers le monde, y compris aux États-Unis et écrit : « Aux États-Unis, les politiciens démocrates et républicains ont une vision complètement différente sur ce sujet. Les démocrates ont critiqué Trump accusé d’aggraver les tensions au niveau régional, mais les républicains en ont fait l'éloge.
در حال تکمیل// با رسانه‌های جهان در دومین روز شهادت سردار مقاومت
La chaîne d'information CNN a qualifié le Général Soleimani de « héros populaire, courageux et charismatique », et a mentionné les points de vue de divers personnalités et responsables américains.
ی
La chaîne d'information France 24, citant les craintes des États-Unis au sujet des conséquences de l'assassinat du haut commandant iranien, a annoncé la décision de Washington de déployer 3000 à 3500 soldats supplémentaires dans la région.
ی
La chaine qatarie d'Al-Jazeera en anglais, a publié des photos des manifestants et des responsables iraniens, et les réactions en Iran, suite au martyre du Général Soleimani.
ی
Le Gardian a annoncé : "L'assassinat de Soleimani ne sera pas un coup fatal pour les Iraniens comme le dit Trump, mais unira encore davantage les Iraniens contre les États-Unis".
ی
Le Los Angeles Times a écrit : « L'ordre de Trump d'assassiner le Général Soleimani a été le plus grand risque qu’il a pris dans son mandat, cela exacerbera les tensions et l’obligera à envoyer plus de troupes américaines au Moyen-Orient, malgré ses promesses de retrait.
ی
Le New York Times a déclaré que l'assassinat du Général Soleimani à Bagdad, pouvait avoir de graves conséquences non seulement dans la région mais aussi dans le monde entier.
ی