تقي زاده

تقي زاده

Le ministre iranien des Affaires étrangères a rencontré le Premier ministre pakistanais à Islamabad, avec qui il s’est entretenu des questions bilatérales et régionales.

Abbas Araghchi et Shehbaz Sharif ont discuté mardi 5 novembre des efforts visant à renforcer les relations bilatérales, à mettre fin à la guerre génocidaire d’Israël à Gaza et à empêcher le régime de déclencher une guerre régionale.

À son arrivée à Islamabad, Araghchi a déclaré aux journalistes que « l’Iran et le Pakistan partagent un lien spécial enraciné dans la proximité géographique, des liens historiques, des liens interpersonnels étendus et de larges interactions politiques, économiques et culturelles ».

Araghchi a noté que les liens entre les deux pays ont toujours été fraternels et amicaux, ajoutant que lors de cette visite, « des efforts seront conjugués pour examiner un large éventail de relations bilatérales et une coopération globale ».

Selon un communiqué du gouvernement pakistanais, Sharif a mis l’accent sur la détermination de son pays à renforcer les liens fraternels avec l’Iran en maintenant des échanges réguliers de haut niveau et en renforçant la coopération mutuellement avantageuse dans tous les domaines d’intérêt commun.

Le Premier ministre pakistanais a également réitéré le soutien sans équivoque d’Islamabad au peuple palestinien dans sa juste lutte pour l’autodétermination et l’indépendance.

Il a fermement condamné et exprimé sa profonde inquiétude face à la campagne génocidaire en cours menée par Israël contre le peuple palestinien.

Le responsable pakistanais a également souligné la nécessité d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza, de la fourniture d’une aide humanitaire sans entrave et, surtout, de l’octroi du droit inaliénable à l’autodétermination au peuple palestinien, tel qu'il est garanti par les résolutions pertinentes de l’ONU.

Sharif a fermement condamné l’attaque israélienne du 26 octobre contre l’Iran, tout en réaffirmant son soutien à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Iran.

Le ministère pakistanais des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que cette visite « offre une occasion importante de faire progresser la coopération et le dialogue entre le Pakistan et l’Iran dans un large éventail de domaines, notamment le commerce, l’énergie et la sécurité ».

 

En visite officielle au Pakistan, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi a averti que la récente agression israélienne contre l'Iran ne resterait pas sans réponse.

Araqchi a souligné la nécessité d'une réaction qui serait à la fois « calculée et précise », indiquant ainsi la détermination de l'Iran à défendre ses intérêts et à protéger sa souveraineté nationale.

Le chef de la diplomatie iranienne a fait ces remarques lors d'une conférence de presse conjointe qui s’est tenue mardi 5 novembre avec le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères pakistanais, Mohammad Ishaq Dar.

Araqchi a affirmé que le régime israélien a révélé, de manière éclatante, son caractère belliciste et provocateur en procédant à des frappes sur plusieurs installations militaires iraniennes le 26 octobre.

 

Le journal israélien Yediot Aharonot, citant des sources bien informées, a rapporté ce mardi 5 novembre que les responsables impliqués dans les négociations avec le mouvement libanais Hezbollah estiment qu’un accord pourrait être conclu d’ici une à deux semaines.

Le quotidien israélien Yediot Aharonot a affirmé que des progrès avaient été réalisés dans les efforts visant à parvenir à un accord de cessez-le-feu avec le Hezbollah, ajoutant que les forces israéliennes attendaient une décision du régime de Tel-Aviv.

Cela survient alors que l’armée israélienne n’a pas réussi à prendre le contrôle des villes qu’elle a attaquées dans le sud du Liban dans le cadre de son incursion terrestre.

Le Premier ministre du régime israélien, Benjamin Netanyahu, a limogé le ministre des Affaires militaires, Yoav Gallant.

Selon les sources d’information, le Premier ministre israélien a nommé Israël Katz nouveau ministre des Affaires militaires.

Yoav Galant a été ainsi démis de ses fonctions par le Premier ministre Benjamin Netanyahu qui a affirmé à ce sujet que la confiance en Gallant s’était érodée durant la guerre à Gaza.

Gallant a été remplacé par le ministre des Affaires étrangères du régime israélien, Israël Katz, tandis que Gideon Sa’ar, ministre israélien sans portefeuille, assumera le rôle de Katz, ajoutent les sources d’information.

Dans le cadre d’une tentative de légitimer les atrocités commises par le régime sioniste contre les populations civiles à Gaza et au Liban, une parlementaire française pro-israélienne a proposé de pénaliser toute forme de critique à l’égard d’Israël.

Cette proposition a suscité une réaction intense de la part des militants ainsi que des responsables politiques qui ont exprimé leur indignation face à une telle tentative de museler la liberté d’expression.

Caroline Yadan, membre de l’Assemblée nationale française, a récemment soumis un projet de loi qui vise à interdire, entre autres, le déni de l’existence d’Israël.

En outre, le projet de loi propose d’interdire des slogans tels que « du fleuve à la mer » lors des manifestations qui se déroulent en opposition à Israël. Cette expression, souvent utilisée dans le cadre de revendications politiques, est perçue comme une remise en question de la légitimité d’Israël.

 

L’aviation militaire israélienne a mené un nouvel acte d’agression contre la Syrie, ciblant une zone industrielle et plusieurs bâtiments d’habitation dans la province centrale de Homs.

L’agence de presse officielle syrienne SANA a rapporté que des avions de guerre israéliens ont frappé, mardi 5 novembre, la zone industrielle de la ville d’al-Qusseir, située à environ 35 kilomètres au sud de Homs, près de la frontière libanaise.

L’agence de presse SANA, citant le directeur de la santé de la province de Homs, a également noté qu’il n’y avait pas eu de blessés à la suite de l’attaque.

Cette attaque est survenue après qu’au moins cinq personnes ont perdu la vie lorsque l’aviation israélienne a lancé plusieurs frappes contre un certain nombre d’installations et de bâtiments dans la région de Jisr al-Daf, au sud d’al-Qusseir, jeudi dernier.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a averti les pays membres de l’OTAN de ne pas franchir la ligne rouge fixée par Moscou au sujet des missiles.

« Permettre à l’armée ukrainienne d’utiliser des missiles à longue portée fournis par l’Occident pour des frappes en profondeur en Russie est la ligne rouge de Moscou », a déclaré mardi Lavrov.

Lavrov a souligné que les forces de Kiev ne disposaient pas du savoir-faire nécessaire pour utiliser de tels missiles de manière indépendante et auraient besoin de l’aide des spécialistes de l’OTAN ainsi que des données de renseignement obtenues grâce aux systèmes satellitaires occidentaux.

« Si de telles armes sont utilisées, cela signifierait que non seulement l’Ukraine, mais aussi les pays de l’OTAN sont ouvertement en guerre avec la Russie », a-t-il déclaré.

 

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a appelé l'Union européenne à mettre immédiatement fin à l'interdiction de vol des compagnies aériennes du pays, soulignant que même le président ukrainien Volodymyr Zelensky a nié les allégations du bloc européen selon lesquelles l'Iran aurait fourni des missiles à la Russie pour une utilisation en Ukraine.

Araqchi a déclaré que l'interdiction de vol ne visait que les Iraniens ordinaires et d’autres voyageurs ordinaires.

Dans un message publié sur X ce mardi 5 novembre, le chef de la diplomatie iranienne a condamné l'interdiction de l'UE, basée sur une « affirmation fausse et sans fondement », juste un jour après que le président ukrainien a confirmé qu'il n'y avait encore aucune preuve que la Russie ait utilisé des missiles balistiques iraniens contre son pays.

 

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a déclaré avoir mis en garde à plusieurs reprises le régime israélien contre toute tentative de mettre à l’épreuve la volonté et la détermination de l'Iran, car la République islamique a surmonté les différentes épreuves auxquelles elle a été confrontée.

« En tant que ministre des Affaires étrangères, j'ai, à plusieurs reprises, répété un message lors de mes déplacements dans la région : ne mettez pas notre volonté à l'épreuve. Nous avons déjà surmonté tous les épreuves », a indiqué le chef de la diplomatie iranienne lors d'une émission télévisée avec l'IRIB, lundi 4 novembre.

M. Araqchi a rappelé qu’au cours de l’année écoulée, le régime sioniste avait tenté à plusieurs reprises de provoquer l’Iran pour qu’il s’engage dans un conflit, mais que le pays avait résisté aux provocations et qu'il ferait ce qu’il jugerait sage concernant tout prochain acte d’incitation de Tel-Aviv.

Des militants pro-palestiniens se sont mobilisés ce lundi au siège de la Fédération française de Football (FFF) pour protester contre la tenue du match de la Ligue des nations entre la France et Israël, prévu le 14 novembre au Stade de France, a rapporté la presse locale.

Une vingtaine de militants ont investi le siège de la FFF, situé boulevard de Grenelle à Paris, arborant pour la plupart des keffiehs et des drapeaux palestiniens et brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait notamment lire : « Non au match France-Israël au Stade de France », « ça n'a pas commencé le 7 octobre », « FFF Ban Israël » ou encore « Ligue des champions du génocide ».

Les protestataires se sont assis par terre dans le hall de la Fédération, certains d'entre eux portant des habits maculés de faux sang sont restés allongés à même le sol à côté de faux cadavres enveloppés de linceuls blancs.