تقي زاده

تقي زاده

La normalisation des relations entre les pays arabes et le régime sioniste était en cours grâce aux efforts centrés sur les États-Unis, mais la survenue de l'opération de tempête d'Al-Aqsa, à la veille de l'accord de compromis entre l'Arabie saoudite et les sionistes, a provoqué l'émergence des relations arabes et sionistes. Conflit musulman avec l’ennemi occupant pour revenir sur le droit chemin.
 
L'Amérique essayait d'archiver pour toujours le cas de la Palestine conformément au plan « Abraham », mais la tempête Al-Aqsa a fait de la Palestine le premier problème du monde.
 
Le fait qu’Israël, en tant que principal ennemi des musulmans, a occupé la terre de Palestine et massacré et déplacé sa population de la manière la plus brutale possible, est devenu évident pour les musulmans.

 Révéler la nature prédatrice d’Israël, après que ce régime ait tenté de cacher sa nature sauvage derrière les slogans ridicules de démocratie et de droits de l’homme, avec le soutien et les énormes dépenses de l’Amérique et de l’Occident au cours des dernières décennies.

Pour la première fois, les institutions judiciaires internationales, notamment la Cour internationale de Justice et la Cour pénale internationale, ont été contraintes de rendre des jugements contre les sionistes sous la forte pression de l'opinion publique mondiale, et un mandat d'arrêt a même été émis contre Benjamin Netanyahu, le premier ministre criminel du régime sioniste.

Le succès de la tempête Al-Aqsa a provoqué l’unité de l’axe de la résistance dans la région. Dans toutes les guerres précédentes entre la résistance palestinienne et le régime sioniste, les groupes palestiniens ont combattu seuls l’ennemi, mais la tempête Al-Aqsa a provoqué l’unité de l’axe de la résistance. s'unir pour soutenir la cause principale de la nation islamique. Venez sur le champ de bataille avec les envahisseurs.

 La tempête Al-Aqsa de cette année a montré qu'Israël est une entité fragile et susceptible d'être vaincue et que son éradication de la région n'est pas un objectif lointain, malgré tout le soutien que lui apportent les peuples arrogants du monde.

 Le régime sioniste n’a pas réussi à atteindre tous ses objectifs, tels que la capture de Gaza, la destruction du Hamas, la prévention des attaques de roquettes de la résistance, la libération des prisonniers, la migration forcée des habitants de Gaza...

 Le régime sioniste tente d’empêcher la création d’un front interne puissant et mène à cette fin des opérations militaires constantes en Cisjordanie. En plus de ces réalisations, de lourdes pertes humaines et financières, la migration inverse et le déplacement d'une partie des colons, de graves dommages au secteur du tourisme et de l'agriculture, principaux secteurs de production de richesse en Israël, figurent parmi les autres réalisations de tempête d'Al-Aqsa.
 
*Bien sûr, sur ce chemin, la nation palestinienne a subi 42 000 martyrs, 98 000 blessés, des destructions d'habitations et des déplacements de population. Mais en fin de compte, il faut reconnaître que le 7 octobre est une victoire inspirante pour la Palestine et l'axe de la résistance. mais c'est un rappel d'une défaite inévitable pour le régime. Selon le journal "Jerusalem Post", le gouvernement israélien a annoncé lors de sa réunion hebdomadaire que selon le calendrier hébreu, le 7 octobre serait un jour de deuil public et que tous les bâtiments gouvernementaux devraient l'être. mettent leurs drapeaux en berne.*

Samedi 26 octobre 2024, l’état-major général des forces armées de la République islamique d’Iran a publié un communiqué indiquant la réussite de la Force de défense aérienne à empêcher les avions de combat du régime sioniste de s’infiltrer à l’intérieur de l’espace aérien iranien.

Le communiqué de l’état-major général des forces armées iraniennes indique : « Le samedi 26 octobre à l’aube, les avions de l’ennemi sioniste ont emprunté l’espace aérien irakien, sous le contrôle de l’armée terroriste des États-Unis, pour se rendre à une centaine de kilomètres de la frontière occidentale de la République islamique d’Iran, d’où ils ont tiré plusieurs missiles à longue portée avec des charges explosives légères - un cinquième de la charge des missiles balistiques iraniens - sur certains sites radar dans les provinces d’Ilam, du Khouzistan et de Téhéran. Grâce à l’intervention opportune et efficace de la Force de défense aérienne, cette agression de l’ennemi sioniste n’a causé que des dommages limités et insignifiants. Quelques systèmes radar ont été endommagés, dont certains ont été réparés immédiatement et d’autres sont en cours de réparation. »

Cet acte du régime sioniste est « un acte d’hostilité flagrant et contraire au droit international », peut-on lire dans ce communiqué.

 

Le Mouvement de résistance libanais Hezbollah a annoncé le lancement réussi de roquettes et de drones sur les bases militaires et de renseignement d’Israël dans les territoires occupés.

Le groupe de résistance a déclaré par voie de communiqué qu’une salve de roquettes avait visé la base de Meishar, qui est le quartier général des services de renseignements du régime dans le nord des territoires occupés.

Dans la zone d’Al-Musharifa à Ras Al-Naqoura, les combattants du Hezbollah ont « visé par un tir de roquette un lieu de rassemblement des forces de l’ennemi israélien ».

 

L’ambassade d’Iran à Bruxelles a rejeté avec véhémence les accusations sans fondement sur l’implication présumée de Téhéran dans les menaces qui pèsent sur le sol européen, affirmant que la République islamique d’Iran est à l’avant-garde de la lutte contre le terrorisme.

L’ambassade a publié ce samedi 26 octobre une déclaration en réponse aux allégations formulées contre l’Iran par la commissaire européenne à l’égalité, Helena Dalli, lors de la plénière du Parlement européen mardi.

Au cours de la session, Dalli a exprimé une inquiétude croissante concernant « les menaces hybrides présumées » de l’Iran sur le sol européen, prétendant : « Il existe des rapports crédibles sur : le rôle des organismes d’État iraniens dans la planification et l’aide aux récentes attaques dans un certain nombre d’États membres ; sur les menaces contre les membres de la diaspora iranienne en Europe et sur les cyberactions ou les campagnes d’influence qui tentent de créer des divisions dans nos sociétés. »

Elle a également répété les allégations sur le soutien de l’Iran à la Russie dans l’opération militaire contre l’Ukraine « par la fourniture d’armes, telles que des drones et, plus récemment, des missiles. »

Dans sa déclaration, l’ambassade iranienne a déclaré que la République islamique d’Iran était elle-même victime du terrorisme et se trouve en première ligne de la lutte contre le terrorisme, en particulier contre le groupe terroriste Daech.

 

Le ministère iranien des Affaires étrangères a condamné l’acte d’agression israélien contre les installations militaires du pays comme une violation flagrante du droit international et de la Charte des Nations Unies, en particulier le principe qui interdit les menaces ou l’usage de la force contre l’intégrité territoriale et la souveraineté des pays.

« La République islamique d’Iran, compte tenu du droit inhérent à la légitime défense stipulé dans l’article 51 de la Charte des Nations Unies, se réserve le droit de se défendre contre les actes d’agression étrangers », a déclaré le ministère dans un communiqué publié ce samedi 26 octobre.

Il souligne que Téhéran utilisera toutes les capacités matérielles et spirituelles de la nation iranienne pour défendre sa sécurité et ses intérêts vitaux, et s’acquittera fermement de ses devoirs envers la paix et la sécurité régionales.

« L’Iran considère que la responsabilité individuelle et collective de protéger la paix et la stabilité en Asie occidentale, incombe à tous les pays de la région et salue tous les pays épris de paix de la région et d’ailleurs qui ont exprimé leur mépris et condamné l’agression du régime occupant israélien à la lumière du statu quo précaire dans la région », indique le communiqué.

 

L’Algérie a condamné « avec force » l’attaque militaire menée par l’entité sioniste contre l’Iran, exprimant sa solidarité avec les Iraniens suite à cette « odieuse » agression en « violation flagrante » de la charte des Nations Unies, a indiqué samedi un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger.

« L’Algérie condamne avec force et dénonce avec fermeté les attaques militaires menées à nouveau par l’armée d’occupation israélienne contre la République islamique d’Iran, tout en exprimant sa solidarité avec les frères en Iran suite à cette odieuse agression qui constitue une atteinte éhontée à la souveraineté de leur pays et une violation flagrante de la charte des Nations Unies et des principes du droit international », lit-on dans le communiqué.

L’Algérie a également rappelé « la responsabilité qui incombe à la communauté internationale pour réfréner l’occupation israélienne et faire cesser son escalade multiforme et tous azimuts au Moyen-Orient, une région plongée par cette occupation dans une infinie spirale d’insécurité et d’instabilité », selon le communiqué.

Dix gardes-frontières iraniens ont été tués dans une attaque terroriste dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, dans le sud-est du pays, près de la frontière avec le Pakistan.

Des hommes armés ont mené une attaque inopinée ce samedi 26 octobre contre des véhicules de police dans le comté de Taftan, dans le district de Gohar Kuh, et ont ouvert le feu sur ces derniers, a indiqué la police régionale. Les terroristes ont engagé un violent échange de coups de feu avec les garde-frontières, ce qui a coûté la vie à dix membres des forces de l’ordre.

Le groupe terroriste Jaish al-Adl, dont le siège se trouve au Pakistan, a par la suite revendiqué l’acte terroriste, qui a eu lieu à environ 1 200 kilomètres au sud-est de la capitale iranienne, Téhéran.

Le ministre iranien de l’Intérieur, Eskandar Momeni a chargé une équipe de commandants de police et de spécialistes du ministère d’enquêter sur les circonstances de l’attentat terroriste.

La province du Sistan-et-Baloutchistan, qui borde le Pakistan et l’Afghanistan, a été le théâtre de plusieurs attaques terroristes visant à la fois des civils et des forces de sécurité au cours des dernières années.

L’attaque de samedi est l’une des plus meurtrières survenues dans la province ces derniers mois.

Début octobre, au moins six personnes, dont des policiers, ont été tuées dans la province lors de deux attaques distinctes.

Pour plus de détails : Iran : six morts dans deux attentats terroristes dans la province du Sistan-et-Baloutchistan

Le 13 septembre, trois gardes-frontières iraniens ont été tués lors d’une attaque terroriste dans la province du Sistan-Baloutchistan.

 

Les condamnations pleuvent contre l’agression israélienne menée sur l’Iran. Pourtant, la France se garde de condamner l’acte hostile du régime et appelle à éviter toute escalade ou action susceptible d’aggraver la situation dans une situation où le soutien global de l’Occident à Israël perdure.

Dans un communiqué, le ministère français des Affaires étrangères a appelé ce samedi 26 octobre à s’abstenir de toutes escalade et action susceptibles d’aggraver le contexte d’extrême tension au Moyen-Orient, après les frappes israéliennes en Iran.

La réaction de Paris intervient alors que le Premier ministre britannique Keir Starmer avait précédemment exigé que l’Iran ne réponde pas à l’attaque agressive d’Israël.

La vie quotidienne continue de se dérouler sans accroc en Iran après que la Force de défense aérienne du pays a réussi à intercepter et à neutraliser, aux premières heures de ce samedi 26 octobre, les frappes israéliennes sur des sites militaires dans les provinces de Téhéran, d’Ilam et du Khouzistan.

Après que des bruits d'explosions ont été entendues dans certaines parties de la capitale iranienne, les forces de sécurité iraniennes ont précisé qu'il s'agissait d'une « activité des systèmes de défense aérienne » du pays.

Simultanément, des vidéos circulant en ligne ont montré la défense aérienne iranienne ciblant « des objets hostiles dans l’espace aérien entourant la province de Téhéran ».

Malgré les rapports exagérés des médias mainstream sur une agression israélienne contre le pays, les Iraniens ont repris leurs routines, entamant la semaine de travail dans une atmosphère paisible et stable.

Des images de la zone économique spéciale du port Imam Khomeini dans la province du Khouzistan ont montré que la Société pétrochimique de Bandar Imam était intacte, sans impact visible sur l’installation.

Quant à la province d’Ilam, des vidéos capturées montrent une atmosphère calme et tranquille.

Il en est de même pour Téhéran, où les habitants ont été vus en train de faire leurs exercices matinaux habituels dans le parc Laleh, sans se laisser décourager par les allégations d’Israël concernant des frappes sur des sites militaires iraniens.

L’Organisation de l’aviation civile iranienne a annoncé que les vols avaient repris après une brève interruption.

Des images de l’aéroport de Mehrabad, dans l’ouest de Téhéran, montre que les vols se déroulent normalement, les passagers circulant comme d’habitude.

Le ministère des Sports et de la Jeunesse a également confirmé que tous les événements sportifs se dérouleraient selon le calendrier prédéterminé avant de remercier les forces armées iraniennes pour avoir assuré la sécurité.

De son côté, la compagnie de raffinage du pétrole de Téhéran a démenti les rumeurs d’une attaque israélienne contre ses installations. « Il n’y a pas eu d’attaque contre la raffinerie, et les opérations se poursuivent comme d’habitude », a indiqué Shaker Khafaei, responsable des relations publiques de la société. 

 

Le nord de la bande de Gaza vit ses « heures les plus sombres », a affirmé vendredi le Haut-commissaire aux droits de l'homme de l'ONU, avertissant que les actions d'Israël pourraient s'apparenter à « des atrocités criminelles ».

« La situation s'aggrave de jour en jour de façon inimaginable. Les actions d'Israël dans le nord de Gaza risquent de vider la zone de tous les Palestiniens. Nous sommes confrontés à ce qui pourrait s'apparenter à des atrocités criminelles, incluant de possibles crimes contre l'humanité », a déclaré Volker Turk dans un communiqué.

Il y fait état de « plus de 150.000 morts, blessés ou disparus à Gaza » depuis le début de la guerre déclenchée par Israël il y a plus d'un an.

« Le nord de Gaza est bombardé non-stop », s'est-il alarmé, appelant la communauté internationale à réagir, inquiet du fait que « l'armée israélienne a ordonné le déplacement de centaines de milliers de personnes, sans garantie de retour ».

Il a souligné « l'accès extrêmement limité » au nord de Gaza, où « quasiment aucune aide n'a pu atteindre la zone depuis des semaines, avec le maintien de restrictions illégales » de la part d'Israël.