تقي زاده

تقي زاده

Au Venezuela, environ 700 forces spéciales de l’armée bolivarienne ont été transférées ce dimanche sur ordre de Nicolas Maduro à Estado Táchira, sur les frontières communes avec la Colombie en prévention d'une éventuelle attaque étrangère.

Certains médias occidentaux ont rapporté que l’armée vénézuélienne avait bloqué le pont de communication avec la Colombie voisine afin de bloquer l’arrivée des "aides humanitaires" internationales au Venezuela.

Maduro a réfuté la permission de l’arrivée des "aides humanitaires" dans son pays, estimant que cela pourrait servir de prétexte aux États-Unis pour lancer une intervention militaire au Venezuela. 

« Ils cherchent à nous expédier deux petits convois d’aides humanitaires alors que le Venezuela n’a pas besoin de leur charité. S’ils s’inquiètent vraiment pour nous, Washington devrait franchir un pas pour mettre fin au blocus et lever les sanctions imposées contre Caracas », a-t-il martelé.

Maduro lance les plus grands exercices militaires de toute l’histoire du Venezuela

Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a officiellement ordonné le lancement des plus grands exercices militaires qui dureront cinq jours.

Les militaires vénézuéliens se sont livrés depuis le dimanche 10 au vendredi 15 février aux plus grandes manœuvres rapides et tactiques militaires jamais lancées depuis 200 ans dans le pays.

Le président Nicolas Maduro (C) assiste à des exercices militaires au Fort Guaicaipuro, dans l'État de Miranda, au Venezuela, le 10 février 2019. ©AFP

« Les exercices militaires vont durer jusqu’au 15 février. Ils sont considérés comme les exercices les plus importants que Caracas ait jamais organisés au cours de son histoire vieille de 200 ans » a réaffirmé Maduro.

Les exercices militaires ont pour but de démontrer la puissance militaire afin de protéger Caracas face à toute éventuelle attaque.

Aucun État au monde ne demande la permission pour se défendre et l'Iran ne fait pas exception à la règle. À l'instar de tout autre pays souverain l'Iran dispose de quoi défendre sa souveraineté, son intégrité territoire et les intérêts suprêmes de sa nation. Sur ce sujet, l'Iran n'a pas à demander la permission de quelle que partie que ce soit, estime le chef d'état-major des forces armées, le général de division Baqeri. Le général est revenu aussi sur les images diffusées vendredi derniers mettant en scène une nouvelle cité balistique souterraine iranienne. 

"Les ennemis de l’Iran ont tort de faire trop de confiance en leurs capacités de renseignement et le dévoilement de la cité balistique iranienne vendredi en est la meilleure preuve, selon le général Baqeri qui s'exprimait  dimanche 10 février, en marge du salon d'exposition des acquis défensifs de l'Iran, au seuil du 40e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique. Mille acquis iraniens dans le domaine de la défense, et impliquant quelque 45 organisations étatiques et universitaires y sont exposés.  

Le général de division Mohammad Baqeri ©Tasnim

« 40 ans de sanctions n'ont pas eu droit de notre volonté à être indépendants, et à ne pas tendre la main en direction des grandes puissances. Cette exposition réunit les fruits d'une partie de nos efforts dans les secteurs technique, scientifique, médical et en science humaine... Il y a là les acquis de nos recherches en nucléaire civile. Nous nous sommes toujours engagés par l'accord du juillet 2015. Mais la donne pourrait changer à tout moment  au regard des manquements de plus en plus larges d'autres signataires », a poursuivi le chef d’état-major des forces armées iraniennes.

 
Des millions d’Iraniens doivent descendre aujourd'hui lundi dans la rue à Téhéran et dans d’autres villes iraniennes pour participer à des manifestations à traves le pays pour célébrer le 40ième anniversaire de la victoire de la Révolution islamique d’Iran de 1979 qui a mis fin au règne despotique de la dynastie Pahlavie et à la dépendance du pays au régimes impérialistes.
 
Les célébrations de cet événement historique qui est unique dans son genre aura lieu simultanément dans plus de 1000 villes et plus de 10.000 villages.

La grande Marche du 11 février a démarré ce lundi à 9 heures du matin. Le Président Hassan Rohani doit prononcer un discours, à cette occasion, comme les années précédentes. 

Plus de 6.500 journalistes iraniens et étrangers couvrent l’événement dont 3.500 depuis Téhéran et 3.200 autres depuis d’autres points de l’Iran. 

Un discours du président Hassan Rohani est prévu pendant les manifestations de Téhéran, et est particulièrement attendu dans ce contexte de tension croissante avec les politiques anti-iraniennes des Etats-Unis intensifiées depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, son retrait unilatéral en 2018 de l’accord nucléaire et ses sanctions illégales « sans précédent » contre la nation iranienne. 

Le 40e anniversaire de la Révolution survient donc dans une période de difficultés économiques pour l’Iran où de vastes campagnes de pression et psychologiques menées par l’administration faucon Trump visaient à provoquer des dissensions parmi le peuple iranien. 
Mais en dépit de toutes les machinations une marée populaire plus unie que jamais issue de toutes les couches de la société et de tous horizons, homme, femme, jeune, vieux ainsi que de toute la classe politique du pays se présente à ce rendez-vous qui s’annonce emblématique et historique. 

La Marche grandiose du 11févier pour fêter les 40 ans de la Révolution populaire islamique intervient également au moment où en été 2017, à ses amis terroristes (les Moudjahidins du peuple (OMK)) réunis à Paris pour leur show annuel, John Bolton promettait que Téhéran ne fêterait pas son 40e anniversaire. La prévision du faucon, qui allait devenir quelques mois plus tard conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, n’avait pas de chances de se réaliser et se heurte à des vents contraires, des vents puissants qui émanent des réalités de l’Iran dont ils sont déconnectées. 

Ce n’est pas étonnant si la nation iranienne n’abandonne pas « A bas les Etats-Unis » qui vise, bien sûr, comme l’a souligné le Guide suprême de la RII, la classe politique dirigeante US et non pas le peuple américain. 
Plus de 300 journalistes étrangers venant de différents pays couvriront le prochain rassemblements du Bahman 22 (11 février) à l'occasion du 40ème anniversaire de la Révolution islamique d'Iran.
 une interview exclusive avec l'Agence de presse de la République islamique d'Iran (IRNA), le vice-président du Conseil de coordination pour la propagande islamique a déclaré que plus de 6 500 reporters, photographes et cameramen iraniens et étrangers couvriraient la marche grandiose du 11 février (22 Bahman dans le calendrier iranien).

Nasrollah Lotfi a répété que les reporters étrangers seront présents dans les routes menant à la place Azadi à l’ouest de Téhéran.

Il a ajouté que plus de 200 personnalités étrangères politiques, religieuses, sportives et universitaires de haut rang seraient également présentes aux rassemblements. 

Lotfi a souligné que les adeptes des religions divines ainsi que leurs dirigeants participeraient à cet événement magnifique.

Les Iraniens à travers le pays commémoreront le 40e anniversaire de leur révolution islamique lundi en se descendant dans les rues et en prenant part à des rassemblements.

Le jour du retour de l'Imam Khomeiny en exil (le 1er février 1979) marquera le début de l'aurore de dix jours au cours de laquelle se tiendront des cérémonies qui culmineront avec l'anniversaire de la victoire de la révolution islamique le 11 février 1979.

Le peuple iranien célèbrent la décade de l'aube marquant une période de 10 jours entre le retour de l'Imam Khomeini le 1er février 1979 et la victoire de la révolution le 11 février à l’occasion du 40e anniversaire de la révolution islamique de 1979, qui a renversé la monarchie du régime pahlavi soutenu par les États-Unis en Iran.
Selon le Hamas, deux adolescents palestiniens ont été tués par des tirs de Tsahal lors de manifestations le long de la barrière frontalière entre Gaza et Israël, théâtre de manifestations hebdomadaires depuis l'initiation de la Marche du retour.
 
 
Le ministère de la Santé du Hamas a fait savoir que deux adolescents palestiniens avaient été tués le 8 février par un tir de l'armée israélienne dans la bande de Gaza lors de heurts et de manifestations le long de la barrière séparant Israël de l'enclave palestinienne.

 
Hassan Shalabi, 14 ans fut la première victime des tirs de Tsahal. Il «a été tué à l'est de Khan Younès par un tir de l'occupant israélien qui l'a atteint à la poitrine», est-il écrit dans un communiqué le ministère du Hamas, au pouvoir à Gaza.

Hamza Ishtawi, 17 ans, «a été tué à l'est de Gaza par une balle de l'occupant israélien qui l'a atteint au cou», a publié le ministère sur Twitter.

Huit autres Palestiniens ont été blessés par balles le long de la frontière, selon le ministère. L'armée israélienne a fait état de plus de 6500 Palestiniens manifestant le long de la barrière frontalière haute de plusieurs mètres de haut et lourdement gardée par les soldats israéliens.

Déjà 248 morts côté palestinien

La bande de Gaza, coincée entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée et éprouvée par les guerres, la pauvreté et les blocus israélien et égyptien, est le théâtre depuis mars 2018 de protestations hebdomadaires le long de la barrière, depuis l'instauration de Marche du retour. Organisée à Gaza chaque vendredi depuis le 30 mars, elle exige la levée du blocus et le retour chez eux des Palestiniens chassés de leurs terres. 

Au moins 248 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens depuis cette date, la grande majorité le long de la frontière, et les autres dans des frappes israéliennes en représailles à des actes en provenance de l'enclave, tandis que deux soldats israéliens ont trouvé la mort.
Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Ali Khamenei, a reçu, ce vendredi 8 février, un groupe de commandants et de pilotes de la Force aérienne de l’armée iranienne.
 de cette audience, le Leader de la République islamique a déclaré que le régime des États-Unis cristallisait le mal et la violence en semant des crises et des guerres.

« Depuis toujours, le régime américain met la main sur tout ce qui pourrait assurer sa survie et ses intérêts. Les États-Unis constituent une source du mal et ils se plaignent pourtant du slogan « À bas les États-Unis » ! Premièrement, je dois dire aux Américains que le slogan "À bas les États-Unis" signifie "À bas Trump, à bas John Bolton, à bas Pompeo". Cela signifie "À bas les responsables actuels des États-Unis". "À bas les États-Unis" signifie "À bas un nombre restreint des personnes qui dirigent les États-Unis". Cela ne concerne pas la nation américaine.

Deuxièmement, tant que les États-Unis insisteront sur leur hostilité et avilissement, ils entendront ce slogan s’élever de la nation iranienne », a-t-il déclaré. 
Le Leader de la Révolution islamique s’est ensuite attardé sur les propositions faites par l’Europe aux Iraniens depuis un certain temps. Il a conseillé aux responsables iraniens de ne pas faire confiance aussi bien aux Européens qu’aux Américains en ces termes :

« En ce qui concerne les États-Unis, j’ai dit et redit, lors des réunions publiques et privées avec les responsables du pays, tout au long des négociations sur le nucléaire, qu’il ne fallait pas faire confiance aux Américains, leur promesse, leur sourire et leur signature n’ayant aucune fiabilité. Et voilà le résultat : les autorités chargées à l’époque de suivre les négociations sur le nucléaire ont fini par dire que les Américains n’étaient pas fiables. Et maintenant, concernant les Européens : je ne dis pas qu’il ne faudrait pas entretenir nos relations avec eux, mais je parle de confiance. Dans les rues de Paris, les manifestants se font matraquer et aveugler, alors que les dirigeants européens nous parlent, sans vergogne, des droits de l’Homme. Connaissez-vous les droits de l’Homme ? Ils ne les connaissaient même pas et ne les ont jamais connus tout au long de leur histoire. On ne peut pas leur faire confiance pour les respecter. La France d’une manière, le Royaume-Uni d’une autre. Chacun a sa part d’irresponsabilité. Nous l’avons constaté à plusieurs reprises.

Or, nous maintenons et nous maintiendrons nos relations avec le monde à l’exception de certains États. Il faut juste savoir avec qui nous concluons un accord et pourquoi. »

L’Ayatollah Khamenei est ensuite revenu sur la marche du 11 février qui a lieu tous les ans à travers l’Iran à l’occasion de la victoire de la Révolution islamique: 

« La marche du 11 février est un événement merveilleux tout comme la Révolution elle-même. Tous les ans, depuis quarante ans, les Iraniens descendent dans la rue et renouent leur allégeance à la Révolution. C’est un miracle qui doit se perpétuer. »

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré que la présence massive des Iraniens à la marche du 11 février intimidait l’ennemi, mettait en évidence la contribution de la nation et cristalliser la volonté et l’unité nationale. Il a souligné que la nation iranienne tenait vaillamment tête au front ennemi en tout état de cause.

Le peuple iranien, comme la communauté musulmane du monde entier, commémore l'anniversaire du martyre de Fatima Az-Zahra, fille du prophète de l'islam (P).

Ce samedi 9 février, jour de deuil dans le calendrier iranien, correspond à 3 Jamadi al-Sani (huitième mois du calendrier islamique du hijra lunaire). En ce jour, toutes les villes iraniennes célèbrent des cérémonies spéciales pour cette grande perte.

Des millions de croyants se rassemblent dans des mosquées et des centres religieux pour célébrer des événements commémoratifs et se rappeler des vertus morales, de la personnalité et des souffrances de Fatima Az-Zahra (la paix soit sur elle), également épouse du premier imam de musulmans chiites, Ali Ibn Abi Talib (P).

Fatima Az-Zahra (P), fille unique du prophète, Hazrat Mohamad (P), est née en 607 à La Mecque et a été martyrisée en 632 à Médine (les deux villes de l'actuelle Arabie saoudite).

Une source digne de foi au sein du Conseil provincial d’al-Anbar a fait part de la présence de militaires américains sur le champ gazier d’Akaz dans l’ouest de l’Irak, en train de mener des opérations de reconnaissance.

Les forces américaines appuyées par des hélicoptères de combat ont lancé des opérations de reconnaissance sur le camp gazier d’Akaz à al-Qaem dans la province d’al-Anbar ; l’objectif de ces opérations est encore inconnu.

« Ces opérations de reconnaissance interviennent dans certaines régions et villes sans coordination avec les commandants de sécurité irakienne », a ajouté la source.

Et ce, alors qu'auparavant, le président du Conseil du salut d’al-Anbar, Hamid al-Haïs, avait déclaré que les Américains cherchaient à faire main basse sur le champ gazier d’Akaz en créant une base à sa proximité.

Le peuple iranien a commencé les célébrations de la décade de l'aube marquant une période de 10 jours entre le retour de l'Imam Khomeini le 1er février 1979 et la victoire de la révolution le 11 février à l’occasion du 40e anniversaire de la révolution islamique de 1979, qui a renversé la monarchie du régime pahlavi soutenu par les États-Unis en Iran.

Les cérémonies nationales débuteront ce vendredi, premier février, à 9h33, heure locale (0603 GMT), le jour où le défunt fondateur de la République islamique, l’imam Khomeini, est rentré dans la capitale iranienne le 1er février 1979 après des années ans d’exil à Paris.

Une cérémonie spéciale se tiendra au mausolée de l'imam Khomeini au sud de Téhéran, en présence de nombreux hauts responsables gouvernementaux et militaires, ainsi que des milliers de personnes de toutes les couches sociales et de tous les horizons.

Une autre cérémonie aura lieu au cimetière, Behesht-e-Zahra, au sud de la capitale où l'imam Khomeini a prononcé son premier discours dès son arrivée, devant cinq millions de personnes venus l’accueillir le 1erfévrier 1979.

Des cérémonies similaires sont prévues dans tout l'Iran et dans d'autres parties du monde pour célébrer  le premier jour de cette période historique de dix jours.

Plus tôt, le mercredi, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Khamenei, a rendu hommage à l'imam Khomeini et aux martyrs iraniens à l'approche de la « Décade de l’Aube ».

L'Ayatollah Khamenei a visité le mausolée de l'imam Khomeini dans le sud de Téhéran où il a présenté des prières et récité des versets du Coran.

 

Le Leader de la Révolution islamique, l’ayatollah Seyyed Ali Khamenei, rend hommage au défunt Imam Khomeini, père-fondateur de la Révolution islamique, dans son mausolée, à Téhéran, le 30 janvier 2019. (Photo de Khamenei.ir)

L'Ayatollah Khamenei a rendu hommage au défunt architecte de la République islamique d'Iran et aux martyrs iraniens alors que le pays se prépare à célébrer le 40ème anniversaire de la Révolution islamique de 1979.

Le Guide suprême s'est ensuite rendu sur le lieu de sépulture des martyrs où il a prié pour les âmes des personnes qui ont donné leur vie, soit lors du soulèvement populaire qui a conduit à la Révolution, soit au cours de la lutte pour défendre ultérieurement les idéaux révolutionnaires.

L’ayatollah Khamenei a également rendu hommage aux martyrs du 28 juin 1981 qui ont perdu la vie lors d’un attentat à la bombe perpétré à Téhéran par le célèbre groupe terroriste des Moudjahidines du Peuple (OMK) soutenu par les États-Unis.

 

 

Le système anti-aérien S-300 de la base aérienne de Khatam ol-Anbia a été exposé au public ce jeudi au salon aérien des forces armées iraniennes.

Le dispositif de défense S-300 de la base aérienne de Khatam ol-Anbia a été exposé pour la première fois au salon aérien de Shahid Lashgari sur la base de Mehrabad, située dans l’ouest de Téhéran.

L’armée de l’air iranienne a dévoilé son premier avion sans pilote à corps large, de fabrication nationale, alors que le pays se prépare aux célébrations du 40e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique de 1979.