تقي زاده

تقي زاده

Depuis 23 novembre date à laquelle la base-terminal de contrebande du pétrole syrien que les USA occupent à Kharab al-Jir, à Hassaké où ils détiennent piste d'atterrissage, hangars de drones, stocks et réservoirs de pétrole volé a été frappée à coup de cinq missiles de précision et que les USA tout comme pour le cas d'al-Tanf visée le 20 octobre par les drones de la Résistance ont été contraints d'avaler les couleuvres et d'évacuer sans brocher morts et blessés, une  attaque qui, redisons-le, a eu un impact immédiat puisqu'elle a provoqué une véritable panique dans les rangs américains au point que les Yankee ont levé partiellement, et après 6 ans de détournement systématique du pétrole syrien au profit d'Israël, la loi César et permettre, dixit, pour " des raisons humanitaires "  à  certaines "Ongs" de "commercer dans le secteur du pétrole avec Damas,  les Yankees n'ont qu'une idée en tête, mettre la main sur les " réseaux locaux" qui aident et assistent les combattants de la Résistance à multiplier les attaques d'une si grande précision et efficacité contre les Américains.

Au fait, la situation va de mal en pis pour les troupes US françaises britanniques...même si le chef du Pentagone ne cesse de pérorer :" le Pentagone ne quittera ni la Syrie ni l'Irak". Mais le peut-il réellement ? À Deir ez-Zor où se déroule le gros de l'opération de casse et de contrebande du pétrole avec deux tiers des richesses pétrolières réparties entre al Omar Connoco et Tanak qu'occupe l'Amérique, une surprise de taille secoue depuis une semaine le Pentagone : la réconciliation éclair.  Depuis 8 jours quelque 6000 habitants de la province, membres des tribus pas forcément pro-Assad mais anti-US, ont signé la trêve, ce qui veut dire que chacun d'entre eux, pourrait potentiellement se transformer en lanceur de roquette, de drone anti-US. Idem à Hassaké, car qui croirait que la deuxième base d'importance US en Syrie puisse être si facilement déverrouillée sans que les pro Résistance se trouveraient 'infiltrés" dans les rangs des FDS ou d'autres mercenaires US. Toujours est-il que les Américains, totalement aux abois, en sont à soudoyer les populations de Hassaké pour qu'elles leur dénoncent les "auteurs" de l'attaque contre Kharab al-Jisr. 

dimanche, 28 novembre 2021 11:04

Iran : les sionistes n'osent pas nous affronter

A l’occasion de la Journée nationale de la Marine, célébrée chaque année le 27 novembre, le commandant de la marine de l'armée de la République islamique d'Iran a déclaré que les menaces des sionistes ne doivent pas être prises au sérieux, car ceux-là n'auront jamais l'audace d'affronter la puissance militaire iranienne.

Nominé en août dernier par l’Ayatollah Khamenei au poste de commandant de la marine iranienne, le contre-amiral Chahram Irani, cité par l'agence de presse Fars News a souligné que les menaces, les complots et les sanctions n’ont pas réussi à mettre à genoux le peuple iranien.

Vendredi 26 novembre, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a réagi aux 48 heures de folie qui ont ramené tour à tour le sioniste Gantz à Rabat, lui ont fait signer dans une attitude de clair défi à l'adresse de l'Algérie, un accord de coopération militaire et sécuritaire plus une annexe exclusivement focalisée sur la fabrication et l'usage de drones par Rabat et sur fond de rapports sur la formation d'une base militaire près du Nord algérien à Nador et des exercices militaires conjoints que Tel-Aviv veut organiser avec Rabat voire avec les États-Unis puisqu'un peu comme African Lion 2021 qui a permis aux 7000 militaires US et leurs équipements de scruter de long en large la perméabilité des frontières algériennes et celle de son ciel, il s'agit essentiellement de préparer un méga clash! Ce samedi, le président algérien y a réagi : il a dit qu'il regrettait l'accord signé entre le Maroc et Israël avant de souligner que la menace que représentait le Maroc contre l'Algérie était une honte qui ne s'était pas produite depuis 1948. Cette allusion à la date fatidique de 1948, date à laquelle la Palestine a été occupée, n'est certes pas anodine Rabat ayant ouvert hélas les portes à l'occupation et à la colonisation de facto d'Israël qui s'empare d'ores et déjà de l'armée marocaine en vue évidemment de s'en servir comme d'un bouclier, quand l'heure H aura sonné. Mais Tebboune n'en est pas resté à comparer le Maroc à la Palestine historique puisqu'il a ajouté : « Nous attaquerons quiconque osera nous attaquer, œil pour œil dent pour dent ». La reprise mot par mot de la célèbre formule du Hezbollah, de sa détermination à imposer une équation de dissuasion face à l'entité sioniste saute aux yeux : aussi régulière que soit l'armée algérienne, il semblerait que les instances décisionnelles algériennes aient opté pour de la guerre au Hezbollah, car c'est là que réside la clé de l'effondrement de la vraie-fausse puissance armée de l'entité sioniste. Est-ce le début d'une alliance? Probable si on lit la presse atlantiste: le ministère israélien des Affaires militaires a annoncé mercredi la signature d'un protocole d'accord sur la défense avec le Maroc, ouvrant la voie à des ventes militaires et à une coopération militaire entre les deux parties après qu’elles ont normalisé leurs relations diplomatiques l'année dernière.

La Chine a effectué une patrouille de préparation au combat alors que les législateurs américains se rendaient à Taipei.

Vendredi, l'armée chinoise a effectué des patrouilles de « préparation au combat » en direction du détroit de Taïwan alors qu'une délégation du Congrès américain effectuait une visite surprise à Taipei, a rapporté Reuters.

 

Au Yémen, Ansarallah a enregistré des percées tactiques dans le sud de la province de Maarib. 

La nouvelle escalade militaire initiée par l'alliance saoudo-émiratie il y a quelques jours, n'a pas réussi à stopper l'avancée des combattants yéménites à l'entrée sud de la ville de Maarib. Les mercenaires fidèles au président démissionnaire, Mansour Hadi, ont perdu, ces derniers jours, davantage de leurs positions dans les collines de Balaq oriental et central, malgré l’intensification des raids aériens lancés par la coalition saoudienne.

Des sources militaires et tribales ont affirmé au journal libanais Al-Akhbar que les forces de Sanaa ont pu avancer dans de vastes zones, en direction de la région de Falaj occidental, situé entre les collines de Balaq oriental et central après avoir pris le contrôle de toutes les hauteurs proches de la zone. Des sources affiliées aux mercenaires de Hadi ont, à leur tour, attribué cette retraite à des « trahisons de l'intérieur », qui les ont contraints à se retirer tactiquement vers de nouvelles positions situées derrière la région de Falaj.

dimanche, 28 novembre 2021 10:57

Des raids anti Mossad en préparation

En termes militaires quelle différence y a-t-il entre l'entité sioniste d'une part et la Resistance irakienne de l'autre? Alors que le premier bluffe, le second passe à l'acte . Il y a quelques heures l'ex PM israélien l'affirmait à  la presse : Israël ne bombardera jamais les sites nucléaires iraniens s'il menace de le faire c'est unique pour faire peur aux USA!" Est-ce le cas des Irakiens? La série d'attaque aux drones du printemps et d'été contre Erbil et les QG du Mossad dans le nord de l'Irak prouve le contraire et l'avenir promet encore de mauvaises surprises. 

Selon un responsable du Hezbollah irakien, l'ère de l'entente avec la Grande-Bretagne, les Arabes du golfe Persique et les sionistes pour gouverner l'Irak est révolue. Vendredi, Abou Ali al-Askari, chef du bureau de la sécurité des Brigades irakiennes du Hezbollah, a confirmé que « son pays ne reviendrait pas à l'ère dictatoriale, et que les années d'oppression et de blasphème ne se répéteront jamais ».

« L'Irak ne revient pas à la dictature et à des années d'oppression, de blasphème et d'insulte à la dignité humaine. L’ère où on planifiait de s’entendre avec les Britanniques, les Arabes du golfe Persique et les sionistes pour prendre le contrôle d’Irak est bel et bien révolue », a-t-il rassuré.

« Tout le monde devrait comprendre que l'équation a changé, et cette époque est bel et bien révolue grâce aux efforts inlassables des combattants des Hachd al-Chaabi », a-t-il ajouté. 

 

Le F-35 britannique se serait écrasé lors d'une opération visant à intercepter le Su-30 russe.

Sohu, publication militaire chinoise, a affirmé, samedi 27 novembre, que le crash de l’avion de chasse britannique F-35 survenu en Méditerranée était dû aux tentatives du pilote pour intercepter un avion de chasse russe de type Sukhoi.

La tentative du pilote de chasse britannique F-35 d'intercepter un avion de chasse russe Su-30 s'est terminée par le crash de l’avion de cinquième génération en Méditerranée au large des côtes de Chypre et de l'Égypte, a indiqué Sohu.

En effet, l'avion de chasse britannique F-35 tentait très probablement d'affronter le Sukhoi-30 sur la base aérienne russe de Hmeimim en Syrie, soit pour contrôler la situation dans la région soit pour s'entraîner, a précisé Sohu en ajoutant que l’avion s’est écrasé probablement en raison d’un défaut technique survenu pendant le vol suite à une erreur commise par le pilote.

Plus tôt, le secrétaire d'État à la Défense Ben Wallace avait annoncé de manière inattendue les opérations menées par avions de chasse britanniques basés sur le porte-avions HMS Queen Elizabeth pour affronter des avions militaires russes.

Le secrétaire britannique à la Défense a implicitement confirmé les données, déclarant qu'un total de 30 tentatives ont été effectuées pour intercepter des avions russes lorsque des navires de l'OTAN sont rentrés en Europe depuis le Pacifique via la mer Méditerranée.

L'absence de commentaire officiel de la part de Londres s’explique principalement par la crainte de la divulgation de l’inefficacité du F-35 suite à la publication des informations qui risquent de provoquer l’opinion publique britannique.

Sans entrer dans les détails, le ministère britannique de la Défense a fait état du lancement d’une enquête plus approfondie sur l'accident d'avion ; Sky News écartant toute possibilité qui laisse croire à une action hostile.

A noter que la marine britannique a une forte présence en mer d’Oman. Selon ses propres aveux, réitérés à plusieurs reprises, l’objectif de sa présence est de fournir un soutien militaire aux missions américaines dans la région.

Peu de temps avant que Londres envisage de tripler la taille de sa base militaire à Oman, le ministre britannique de la Défense a déclaré que « l'amitié à long terme entre la Grande-Bretagne et les États du golfe Persique est plus importante que jamais ». Soulignant les intérêts communs en matière de défense et de sécurité, il a qualifié d’« essentiel », le travail conjoint avec les alliés arabes pour la « stabilité régionale et mondiale ».

C’est significatif : à la veille du premier anniversaire de la mort en martyr du savant atomiste iranien Fakhrizadeh par une arme « satellitaire » israélienne et alors que l'Iran s'apprête à aller à Vienne exiger la levée des sanctions US sinon annoncer la fin de sa coopération avec l'AIEA, le président iranien a tenu à exiger l'accélération du programme spatial iranien avec en toile de fond la mise en orbite GEO des satellites iraniens. Est-ce un ICBM en préparation ?

« Hier, l'industrie spatiale n’était que le symbole de la puissance des pays, mais elle est aujourd'hui considérée comme l'un des moteurs économiques et dans un avenir proche, elle fera partie de l'infrastructure de gouvernance dans divers domaines du commerce, de l'économie et de la sécurité », c’est ce qu’a déclaré le président iranien Ebrahim Raïssi.

Selon l’agence de presse iranienne Fars, s’exprimant lors de la première réunion du Conseil supérieur de l'espace du 13e gouvernement, qui s'est tenue après une décennie de suspension, le président iranien a souligné le rôle de ce conseil dans l'élaboration des politiques et la rédaction d'une feuille de route pour le développement de l'industrie spatiale du pays avant d’ajouter : « Le fait que la première réunion du Conseil supérieur de l'espace ait eu lieu après 11 ans, témoigne de la détermination de ce gouvernement à donner de l’essor à l'industrie spatiale. »

Ce n'est pas que des missiles de la Résistance qui tirés massivement contre Israël, comme ce qui s'est passé en mai, qui sont à même de bousiller les ambitions militaires énergétiques conjointes Émirats Israël..., genre cet oléoduc Émirats-Eilat auquel Israël a renoncé sous le ridicule prétexte d’avoir à protéger les coraux. La campagne de cyberattaque croisée de ces dernières semaines contre Israël, laquelle a visé l'armée, son service de renseignement et l'industrie militaire, a fini par briser la cyber-normalisation.

Israël a réduit sa liste de pays éligibles pour acheter ses cybertechnologies suite aux inquiétudes suscitées par d'éventuels abus à l'étranger d'un outil de piratage vendu par la société israélienne NSO Group, a rapporté jeudi le journal financier israélien Calcalist.

Le journal, qui n'a pas divulgué ses sources, a déclaré que le Mexique, le Maroc, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis faisaient partie des pays qui seraient désormais interdits d'importer la cyber-technologie israélienne. La liste des pays autorisés à l'acheter a été réduite à seulement 37 États, contre 102.