تقي زاده

تقي زاده

Les forces de l'armée et des comités populaires yéménites ont progressé jusqu'à deux kilomètres seulement de la ville stratégique de Ma'rib, dans le centre-ouest du pays, porte d'entrée vers la libération potentielle d'une plus grande partie de leur patrie dans le cadre de l'agression menée par l'Arabie saoudite.
Le site Web Unews, qui couvre les développements régionaux, en particulier ceux du Yémen, a fait état de cette victoire mardi, en précisant que les forces ne se trouvaient plus qu'à deux kilomètres (1,2 miles) de l'entrée de la ville.

Des sources militaires yéménites ont déclaré que les avancées fulgurantes avaient désorganisé les rangs des mercenaires sous commandement saoudien, les obligeant à déplacer leurs équipements militaires en dehors de la ville et à tenter d'y établir quelques bases.

À la tête d'une coalition de ses alliés, l'Arabie saoudite a déclenché une guerre contre le Yémen en 2015 pour tenter de rendre le pouvoir à ses propres fonctionnaires favoris dans ce pays appauvri.

Jusqu'à présent, la coalition dirigée par l'Arabie saoudite n'a pas réussi à atteindre cet objectif. Des dizaines de milliers de Yéménites sont morts pendant la guerre et le siège simultané que la coalition a imposé au Yémen.

Aujourd'hui, les forces de défense yéménites ont concentré une grande partie de leurs efforts défensifs sur la reprise de Ma'rib, qui revêt une importance stratégique considérable, étant donné qu'elle peut contribuer à la libération de nombreuses autres zones.

À propos des développements qui concernent Ma'rib, le général de brigade Abed al-Thawr, expert politique yéménite, a déclaré à Press TV : "Cette partie du sol yéménite est la clé de la libération de toutes les provinces de l'est et du sud."

Selon lui, Ma'rib a pratiquement permis aux forces de défense yéménites d'entrer dans les provinces de Shabwah, Hadarmaut et al-Mahrah, ainsi que dans toute la partie nord de la frontière avec l'Arabie saoudite.

Outre les forces dirigées par l'Arabie saoudite, la province a également accueilli malgré elle des mercenaires dirigés par les Émirats arabes unis ainsi que des terroristes combattant pour les groupes takfiris d'Al-Qaida et de Daech, a déclaré l'expert. Les Takfiris, a-t-il noté, y travaillent sous la supervision des États-Unis.

Il a toutefois insisté sur le fait que la libération de Ma'rib a été "finalisée" compte tenu des progrès réalisés par les forces yéménites.
La République islamique d'Iran ne tolère en aucune façon la présence militaire ou même civile du régime sioniste dans la région, a souligné le président de l'Université suprême de la défense nationale.
"Le golfe Persique est notre maison et nous ne laissons personne mettre en péril sa sécurité à n'importe quel prix", a déclaré mercredi le général de brigade Ahmad Vahidi.

"Cette région est également notre foyer. Elle dispose d'un très large éventail de capacités qui peuvent être utilisées pour stimuler la coopération régionale", a-t-il ajouté, soulignant que "la coopération et l'interaction avec différents pays pour assurer la sécurité de la région a toujours été la politique de principe de la République islamique."

Critiquant les interventions étrangères dans la région du golfe Persique, le général Vahidi a déclaré : "Nombreux sont ceux qui tentent de transformer la région en un arsenal d'armes, alors que d'énormes quantités d'armes ne sont pas nécessaires ici. Ces politiques sont très dangereuses pour notre région."

Mettant en garde la présence du régime sioniste dans la région est nuisible, il a expliqué que le régime sioniste a toujours été la source de tous les chaos et troubles dans la région.

Il a poursuivi en disant : "Tout le monde doit savoir que la République islamique d'Iran ne tolère en aucune façon la présence militaire ou même civile du régime sioniste dans la région, car leur présence est provocatrice et cause de nombreux problèmes."

Il a également salué le rôle du général martyr Qassem Soleimani pour ses mesures dans la lutte contre le terrorisme et pour avoir déjoué les complots des ennemis dans la région.

Les Israéliens craignent surtout des missiles genre celui qui s'est abattu sur Dimona et qui a facilement percé le Dôme de fer. Cette DCA est d'ailleurs de plus en plus honni. Tout ne va pas pour le mieux sur les territoires occupés : le journal sioniste Yediot Aharonot a rapporté que les soldats sionistes servant dans l’unité de Dôme de fer avaient été atteints de cancer en raison des radiations émises par le radar du système antimissile.

Se basant sur une étude récente, Yediot Aharonot affirme que le nombre de plaintes posées par des soldats contre l’usage du « Dôme de fer » est élevé de manière significative, tandis que l’armée israélienne rejette l’étude et prétend que le nombre de personnes atteintes ayant servi dans les unités de « Dôme de fer » est proportionnellement le même que celui d’autres unités militaires.

Yediot Aharonot a interviewé dix soldats israéliens qui ont servi dans les unités de « Dôme de fer » et qui ont reçu un diagnostic de cancer. Certains d’entre eux se sont plaints auprès du ministère des Affaires militaires du régime sioniste.

Le Hezbollah libanais a développé ses stratégies militaires et essaie d’atteindre les territoires occupés via de nouvelles voies, ont averti un groupe de commandants de l’armée israélienne. 

Ce mercredi 28 avril, un groupe de commandants de l’armée israélienne se sont retrouvés dans une réunion en présence du lieutenant-général Aviv Kochavi, chef d’état-major de l’armée israélienne. 

Les commandants présents à cette réunion ont déclaré à Kochavi que le Hezbollah avait commencé à exploiter de nouvelles voies dont des montagnes et des zones difficiles à parcourir pour atteindre les frontières des territoires occupés par Israël. 

Le commandement central des forces armées américaines a fait état de sa décision d’installer des missiles balistiques tactiques en Afghanistan afin de soutenir le retrait de ses soldats de ce pays.

Dans un tweet, le commandement de l’armée américaine a annoncé que des batteries d’artillerie de grande mobilité seraient transférées du Koweït en Afghanistan pour soutenir le processus du retrait des soldats américains. Avant le retrait des 2500 soldats américains stationnés en Afghanistan, l’armée des États-Unis augmentera initialement le nombre de ses soldats dans ce pays, car le transfert des infrastructures militaires installées dans ce pays depuis 20 ans nécessite une concentration des forces et des coordinations.