
تقي زاده
Des hommes armés ont tué huit policiers dans le sud-ouest de l'Egypte
L'attaque s'est produite au poste de contrôle d'al-Naqab, à environ 80 kilomètres de la ville de el-Kharga, la capitale de la province, a précisé le ministère.
La plupart des attaques des terroristes ont eu lieu dans le nord de la péninsule du Sinaï, zone frontalière des territoires palestiniens occupés et de la bande de Gaza. Des attaques se sont produites aussi dans d'autres parties du pays, y compris au Caire.
Le ministre de la Justice nommé par Trump est contre l’interdiction d’entrée des musulmans aux États-Unis
Jeff Sessions, nommé par Donald Trump pour diriger le département de la Justice, a explicitement pris position contre une éventuelle interdiction d’accès au territoire américain pour les musulmans. Selon le Huffigton Post, l’ancien procureur de l’état d’Alabama a déclaré mardi qu’il ne soutiendrait pas l’interdiction des musulmans d’entrer aux États-Unis et a insisté sur le fait que le nouveau président élu ne le souhaite pas non plus.
« Je ne crois pas et je ne soutiens pas l’idée que les musulmans en tant que groupe religieux devraient se voir refuser l’accès aux États-Unis » a déclaré Jeff Sessions, le 10 janvier 2017 , lors de son audition devant le Sénat pour le poste de ministre de la Justice.
En décembre 2015, Jeff Sessions avait déjà émis des critiques à l’encontre de la proposition de Donald Trump d’interdire le territoire américain aux personnes de confession musulmane qui entraînait le débat sur un « terrain dangereux car les américains sont profondément attachés à la liberté religieuse ».
« Nous avons de bons citoyens musulmans, ils ont contribué de différentes façons à notre pays et les Américains croient fermement en la liberté religieuse et au droit de manifester sa religion ou ses croyances« , a ajouté Jeff Sessions.
Exposition sur les miracles coraniques en Inde
Nigeria: Amnesty International appelle à la libération « immédiate » de Zakzaki
Makmid Kamara directeur par intérim d'Amnesty International Nigeria a appelé les autorités nigérianes a libérer « immédiatement » le leader du Mouvement islamique du Nigeria et son épouse, au nom d’un verdict prononcé par le tribunal du pays.
Cité par Press Tv, Kamara a insisté sur l’aspect « illégal » du procès du cheikh Zakzaki au Nigeria et déclare : « ces arrestations veulent camoufler les crimes horribles que les forces de sécurité nigérianes ont commis en décembre 2015 ».
« Le délai de 45 jours pour la libération du cheikh Zakzaki et son épouse touche aujourd’hui 16 janvier, à sa fin et si le gouvernement nigérian ignore délibérément ses engagements juridiques à ce sujet, cela menace de porter atteinte à la loi et constitue une violation flagrante et dangereuse de la loi. » A prévenu Makmid Kamara, directeur par intérim d'Amnesty International Nigeria.
Des centaines de personnes ont été tuées dans l’attaque des forces de sécurité nigérianes contre les chiites à Zaraya rassemblés en guise de protestation contre l’arrestation du cheikh Ibrahim Zakzaky, le leader du Mouvement islamique du Nigeria, à Zaria, dans l'État de Kaduna.
Un tribunal de la Haute Cour fédérale du Nigeria à Abuja a rendu son verdict sur le sort du cheikh Zakzaky, ordonnant sa libération dans 45 jours.
En vertu du décret du tribunal, le gouvernement d’Abuja avait 45 jours pour rendre à la police le leader du mouvement islamique et son épouse.
Après des mois de détention sans procès ni jugement après l’assaut lancé par l’armée nigériane contre le Centre islamique du Nigeria, son président, le cheikh Zakzai a porté plainte auprès du tribunal, lui demandant de se prononcer sur la violation de son droit à la citoyenneté, son arrestation sans inculpation et sa détention illégale.
De nombreuses organisations internationales des droits de l’homme ont condamné le massacre des chiites par l’armée nigériane et les enterrements dans les fosses communes pour détruire toutes les preuves liées à ces crimes.
Amnesty international a joint des images satellitaires à son rapport sur ces fosses communes.
Le remède porcin pour les soldats "troublés"
Le régime israélien investit désormais dans un nouveau secteur : le traitement des "soldats traumatisés par la guerre à l'aide des porcs"!
Empêtrés dans divers crimes allant de l'infanticide au meurtre filmé des Palestiniens, les militaires israéliens restent rarement à l'abri des troubles psychologiques. D'où la décision des autorités israéliennes d'investir " des dizaines de milliards de dollars pour acheter des porcs" qui leur servira de " cobayes" pour traiter des traumatismes de leurs soldats.
Selon Haaretz qui cite le ministère de la Sécurité, les "médecins de l'armée travaillent sur des porcs pour guérir les soldats qui, à la sortie des guerres, n'arrivent plus à revenir à la vie normale". Ainsi le ministère s'est acheté en 2016, 100 porcs à l'usage de ses laboratoires psychopathologiques.
Les médecins de l'armée israélienne se sont intéressés aux porcins au lendemain de la guerre de 2014 contre Gaza où l'armée israélienne a exposé aux yeux du monde entier les failles organiques dont elle souffre en dépit des aides militaires colossales des États-Unis.
Cette guerre perdue qui s'est transformée depuis en un véritable cauchemar pour la hiérarchie de l'armée a fourni aux soldats israéliens l'occasion de montrer à quel point ils sont capables de pousser loin leurs pulsions criminelles. Outre les raids aériens, la ville de "Shajaiya" a été pendant une journée complète prise pour cible par des obus de mortiers de chars. Même les civils qui couraient dans tous les sens n'ont pas échappé à cette sauvagerie.
Au bout de 52 jours, l'armée israélienne, surprise par des opérations commandos de la Résistance palestinienne, a fini par capituler. Depuis, les généraux de l'armée sont arrivés à une conclusion : en cas de guerre de grande échelle, l'armée israélienne est incapable de diriger des opérations au sol.
L’Union européenne a annoncé rester fidèle à l’accord sur le nucléaire iranien !
La cheffe de la diplomatie de l’Union européenne, Federica Mogherini a annoncé qu’en dépit des déclarations controversées prononcées par le futur président des États-Unis sur l’accord 5+1, l'UE va rester fidèle à l'accord conclu avec Téhéran.
Dans une interview accordée, hier dimanche 15 janvier 2017, au quotidien allemand Bild et au journal britannique, The Times, Donald Trump a qualifié l’accord 5+1 d’« un des pires accords jamais conclus » et d’«un des plus stupides », sans pour autant indiquer s’il projetait de le réviser.
Selon l’AFP, Frederica Mogherieni a déclaré avant de prendre part à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE à Bruxelles : « Il a été prouvé que la diplomatie donne ses résultats escomptés; l'Union européenne va continuer à œuvrer pour le respect et l'application de cet accord extrêmement important, principalement pour notre sécurité".
À la veille de sa sortie présumée de prison, le cheikh Zakzaky a adressé un message
Le leader du Mouvement islamique du Nigéria (MIN) vient d’envoyer un message depuis sa cellule, à un jour de la date présumée de sa sortie.
En effet, selon l’agence de presse iranienne Mehr, des sources informées ont fait état de la diffusion d’un message vocal du leader des chiites du Nigéria.
Le cheikh Zakzaky a déclaré depuis l’enceinte de la prison : « S’ils nous libèrent, c’est bien, mais s’ils ne nous libèrent pas, c’est bien aussi. Nous ne sommes pas inquiets parce que Dieu nous donne le meilleur dans chaque situation. »
Demain est le dernier jour du délai fixé par la Cour suprême nigériane pour la libération du cheikh Zakzaky. Mais malheureusement, aucun changement n’a été constaté dans le comportement des forces de sécurité à l’égard du cheikh Zakzaky et de son épouse enfermée avec lui.
Selon les dernières informations fournies par l’un des enfants du cheikh, il est probable que les forces de sécurité posent des obstacles à la mise en application de la décision de la Cour suprême.
Il y a 44 jours, la Cour suprême nigériane a rendu une décision prononçant la libération du cheikh Zakzaky dans un délai de 45 jours.
France soutient la solution de deux États pour la crise de l'occupation israélienne
Expliquant avoir conscience de "certaines réserves exprimées à l'encontre de cette conférence", le ministre français a insisté sur "l'urgence de la situation" et a rappelé l'engagement de la France pour tenter de "sortir de l'impasse actuelle" avec l'organisation d'une première réunion interministérielle le 3 juin dernier à Paris.
Le ministre français des Affaires étrangères a souligné la qualité du travail réalisé à l'issue de cette rencontre par la Suède, l'Allemagne, la Norvège et l'Union européenne. Il a également salué "l'action infatigable" de son homologue américain John Kerry, qui effectuait ce dimanche son dernier déplacement international en qualité de secrétaire d'État, et a également remercié le Quartet (composé des États-Unis, de la Russie, de l'Union européenne et des Nations Unies) et l'Égypte pour leurs efforts dans le processus de paix.
Cette conférence pour la paix au Proche-Orient réunit notamment plusieurs représentants de la Ligue des États arabes, des Nations Unies, de l'Union européenne et de l'Organisation de la coopération islamique, mais se tient en l'absence des principaux intéressés puisque aucun représentant d'Israël et des Territoires palestiniens n'était présents.
A ce sujet, le chef de la diplomatie française a expliqué que la France était prête à présenter "sans délai" les résultats de la conférence aux deux parties. "Nous sommes venus ici à Paris tous ensemble pour tendre la main aux bonnes volontés pour qu'enfin elles puissent aussi la saisir pour négocier la paix pour l'avenir", s'est-il ainsi exprimé devant les participants.
Une récente résolution des Nations Unies condamne la colonisation israélienne en Cisjordanie, avec, fait rare, l'abstention des États-Unis lors du vote. Une décision aussitôt rejetée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.
La Palestine appelle la Russie à l'aide
M. Erekat a déclaré que dans ce message le président de l’Autorité autonome palestinienne avait demandé au président russe Vladimir Poutine et à son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov d’intervenir en vue d’empêcher le déplacement de l’ambassade américaine à Qods, d’autant plus qu’une telle action serait lourde de conséquences.
Tout porte à croire que le gouvernement de Donald Trump, président américain élu envisage de transférer l’ambassade US à Qods, comme un signe de reconnaissance de Qods comme capitale d’Israël. Et, ce alors que les Palestiniens souhaitent que la Cisjordanie qui comprend également l’est de Qods fasse partie de leur futur État indépendant.
Dans une interview au journal français Le Figaro, le vendredi 13 janvier, le président de l’Autorité autonome palestinienne Mahmoud Abbas a averti qu’en cas de délocalisation par Donald Trump de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Qods, les Palestiniens pourraient ne pas reconnaître Israël.
« J’ai écrit une lettre au président élu Donald Trump pour lui demander de ne pas appliquer cette mesure qui porterait atteinte au rôle de Washington dans le règlement du conflit israélo-palestinien et qui entraverait la solution de deux États », a ajouté Mahmoud Abbas
Syrie: l’armée nettoye complètement Palmyre
L’action vise à libérer les puits de pétrole et les champs gaziers à Jazal, Chaer, Mahr et à nettoyer aussi complètement la ville de la présence des éléments de Daech.
La source militaire aurait indiqué aussi à DPA que les forces syriennes ont fait une avancée de 3 km dans l’axe nord-est de l’aéroport de Tifour, au cours des premières heures de l’opération.
Il est ainsi rapporté que les terroristes de Daech tenaient une embuscade dans la zone du champ gazier de Jahar et que les affrontements sur cette zone ont fait des dégâts lourds.
Toujours selon la source militaire, les opérations se poursuivraient actuellement avec l’appui des chasseurs bombardiers russes et syriens, secondés par ailleurs par l’artillerie et les missiles en banlieue de Palmyre.
Le chef d’état-major de l’armée syrienne a rencontré, jeudi 12 janvier, ces troupes en banlieue de Homs. Leur préparation avait commencé il y a quelques semaines. Sont présents dans l’opération des groupes comme les Faucons du Désert qui sont soutenus financièrement par la Russie et qui ont participé à la libération d’Alep.
Le 8 décembre 2016, à la veille de la libération complète d’Alep, Daech a lancé une attaque massive contre Palmyre. Le 11 décembre 2016, le ministère russe de la Défense annonçait que les forces syriennes ont réussi, avec l’appui aérien russe, à neutraliser toutes les attaques terroristes à Palmyre. Les terroristes avaient alors utilisé beaucoup de kamikazes et de voitures piégées.
La ville antique de Palmyre a déjà été libérée une première fois en mars 2016 par l’armée syrienne.