تقي زاده

تقي زاده

Molavi Shams-ul-Haq Damani l’imam de la prière de vendredi sunnite de la ville d’Iranshahr, dans une interview avec les journalistes a déclaré: La performance du fonctionnement de la fondation de la Mobilisation dans les domaines de service et bien faisances est admirable et elle a gagné la confiance du public dans le pays.

Molavi l’imam de la prière de vendredi sunnite de la ville d’Iranshahr a réitéré aussi: La résistance des autres nations contre les grands pouvoirs arrogants, y compris les pays musulmans comme les branches avant Hshd nationale en Irak est basée sur l'idée de la mobilisation du peuple d'Iran. Parmi des bons œuvres de cette Mobilisation, on peut noter la construction des installations publiques et la création de l’emploi.

Monsieur Abu Sharif, un sunnite érudit de l’Etat palestinien, était un des invités au Sixième Congrès International de la commémoration d’Imam Sajjad (AS), qui se tenait lieu en province de Hormoz gan (Iran).

Pendant le congrès Monsieur Abu Sharif a souhaité avoir une visite auprès des mosquées et les séminaires de la communauté sunnite de la province. Après la visite, il a reconnu que : Dieu maudisse tous ceux qui nous ont donné de faux rapports. Il a ajouté: Auparavant, on pensait que les sunnites d'Iran ne disposent pas de la liberté d'exécuter le programme religieuse.

Pour la première fois aux Etats-Unis d'Amérique en même temps que Donald Trump a été choisi comme le quarante-cinquième président, une femme voilée entra dans la Chambre des représentants.

Ilhan Omar 34 ans, d’origine somalienne est la première femme qui a gagné en tant que délégué du parti démocrate d’Etat de Minnesota pour atteindre la Chambre des représentants

Il est diplômé dans les domaines de la gestion, les sciences politiques et les études internationales et sa carrière politique a commencé avec la guerre civile en Somalie et le camp du Kenya.

L’ONU a mis en garde les responsables birmans contre la destruction des habitations des musulmans.

Les Nations unies ont lancé un avertissement aux responsables birmans quant à la destruction des centaines de maisons de la minorité des musulmans rohingyas.

« Le programme de la démolition des maisons des Rohingyas met le feu aux poudres dans l’État de Rakhine », a lancé l’Organisation.

Cent habitations dans l’Etat de Rakhine ont déjà été détruites. Des rapports font état de la destruction de 819 autres maisons appartenant aux musulmans rohingyas par les autorités birmanes.

D’autre part, l’ONU s’est dite inquiète des conditions des musulmans qui ont déjà fui la violence de l’armée birmane.

Des journalistes et des militants indépendants ne sont pas autorisés à pénétrer dans l’Etat de Rakhine et la minorité musulmane fait l’objet de la persécution du gouvernement. Jusqu’à présent, des milliers d’entre eux ont pris la fuite vers le Bangladesh.

La droite israélienne demande à Netanyahu de faire un marché avec Poutine : « Tolérer Assad au pouvoir » contre « l’annexion du Golan » ! 

Six ans après la guerre semi « mondiale » contre la Syrie où la quasi-totalité du monde occidental, plus ses alliés arabes et turcs, ont combattu un seul État et ses alliés avant de subir l’une des plus grandes défaites militaires de leur histoire, d’extravagantes propositions de compris se font entendre.

Certaines figures de la droite en Israël, convaincues de l’impossibilité de la mise à l’écart d’Assad qui, de surcroît, va de victoire militaire en victoire militaire, semblent avoir opté pour une nouvelle stratégie: négocier avec Assad le Golan. À en croire le journal Al Chargh al Awsat, proche de Riyad, Netanyahu se serait entretenu avec le président russe, Vladimir Poutine après les appels lancés par l’aile droite de son parti qui veut « un marchandage ». 

Le journal écrit : « Les coordinations entre la Russie et Israël en Syrie ont prouvé leur efficacité. En ce sens, Israël serait prêt à “tolérer” Assad au pouvoir en échange de l’annexion du plateau syrien du Golan qu’il occupe depuis 40 ans. Israël chercherait à s’assurer des acquis au Golan que lui garantirait la tant espérée entente russo-américaine.

Le journal relève “la polémique suscitée par le communiqué émis par le bureau du Premier ministre israélien qui avait ‘par inadvertance’ utilisé l’adjectif ‘réussites’ pour qualifier les coordinations faites entre Tel-Aviv et Moscou. En effet les généraux de l’armée israélienne et les experts militaires du régime ne cessent de se plaindre de ‘l’insuffisance’ de ces coordinations, ce qui ‘réduit sensiblement la marge de manœuvre des chasseurs israéliens’ et ‘pousse Israël et son armée à recourir à d’autres moyens’ d’ingérence en Syrie ‘pour éviter toute confrontation entre la Russie et Israël’. 

Ceci étant dit, certains stratèges israéliens sont partisans de ‘davantage de coordination avec la Russie’ pour pouvoir en tirer ‘des bénéfices politiques et stratégiques’. En d’autres termes, Israël veut sa part du règlement de la crise en Syrie et cette part pourrait être” l’annexion permanente ou de longue durée du Golan syrien par Israël ». 

Al Chargh al-Awsat poursuit: « Depuis que la Russie s’est engagée en Syrie, le nombre de raids ciblés d’Israël en Syrie s’est sensiblement réduit. On se rappelle du meurtre de Jihad Moghniyeh, fils du commandant en chef de la branche militaire du Hezbollah, du meurtre de Samir Kantar et de Mustapha Badreddin ou encore du bombardement des bases militaires syriennes, soit des opérations toutes menées par Israël. La présence russe a ralenti la cadence de ces opérations surtout depuis que Russes et Israéliens ont créé un comité militaire conjoint pour superviser les évolutions. Ce comité représente en effet un handicap : Israël a été amené à avoir davantage recours à l’artillerie au lieu d’envoyer ses avions frapper les cibles syriennes ou celles du Hezbollah.»

Le journal se penche ensuite sur le sens du mot « coordination » dans ce contexte et en donne une interprétation très subjective: « Quand on parle des coordinations russo-israéliennes, cela signifie très exactement que la Russie tolère les raids israéliens contre ses alliés en échange du refus de Tel-Aviv de s’aligner totalement sur les positions de ses partenaires occidentaux en Syrie et puis Israël a accepté la demande de Moscou de ne pas assister aux réunions du Conseil de sécurité consacrées aux “crimes de guerre” commis en Syrie. » 

Cette information est diffusée par le journal alors qu’Israël n’a cessé de suivre pas à pas les politiques de ses alliés arabes et occidentaux en Syrie en apportant un soutien plus que ferme aux terroristes takfiristes. De l’autre côté, le mot coordination sied plutôt au modus operandi régissant les liens entre la Russie et ses alliés en Syrie, en termes de résultats obtenus sur le terrain des combats. 

La presse israélienne se montre particulièrement élogieuse à l’endroit de Poutine le qualifiant de « nouveau propriétaire de la Syrie ». C’est le cas d’Israël Hayom qui « dénonce l’attitude passionnelle d’Obama en Syrie » qui s’est opposée à « la logique et à la maturité de Poutine ». 

Mais Poutine va-t-il accepter le marché que veut lui proposer Israël ? 

Les sources proches de la Résistance voient dans cette nouvelle position israélienne en Syrie, « une opération de charme destinée à affaiblir l’alliance Syrie/Russie/Iran ». La Russie sait pourtant que sa présence renforcée au Moyen-Orient n’aurait jamais été possible sans le soutien tous azimuts du Hezbollah et de l’Iran. Reste à savoir si oui ou non la Russie de Poutine serait prête à renoncer à une alliance « vitale » et « fiable » avec la Résistance, garante de sa présence au Moyen-Orient au profit d’une possible normalisation avec l’Amérique de Donald Trump. 

En prenant le contre-pied de la politique du président sortant Barack Obama, le président élu Donald Trump a déclaré que la prison de Guantanamo ne devait pas être fermée.

Avec le slogan de la « fermeture de Guantanamo », Barack Obama a pu s’attribuer les voix du peuple américain, et ces jours-ci où il s’apprête à quitter la Maison Blanche, la prison qui détenait 242 détenus est devenue un centre de détention avec 59 prisonniers.

Obama envisage de transférer vers des pays tiers 17 à 18 autres prisonniers de la prison de Guantanamo et de confier le sort de 10 autres à son successeur. Mais il semblerait que le président élu reste droit dans ses bottes et veuille préserver ces prisonniers sur les côtes occupées de Cuba.

« Plus aucun prisonnier ne doit être libéré de Guantanamo. Ils sont trop dangereux. Il ne faut pas leur permettre de retourner aux champs de combat », a twitté Donald Trump. 

En Somalie, la police a annoncé qu’au moins trois personnes avaient été tuées dans l'explosion d'une voiture piégée ce lundi 2 janvier devant le siège de la Mission de l'Union africaine en Somalie (Amisom), à Mogadiscio.

Selon Reuters, aucun groupe n’a revendiqué jusqu’à présent cet attentat.

Le groupe terroriste Shebab qui envisage de renverser le gouvernement somalien a déjà recouru à ce genre d’attaques.

Mohammed Ahmed, un officier de la police somalienne a déclaré que trois forces de sécurité avaient été tuées dans cet attentat jusqu’à présent. « Nous estimons que les Shebab sont impliqués dans cet attentat terroriste », a-t-il assuré.

Selon cet officier de la police somalienne le bilan des morts pourrait s’alourdir.

L'explosion d'une très forte intensité a causé des dégâts considérables qui ont atteint les immeubles résidentiels avoisinants.

Après deux décennies d’affrontements et d’émeutes; des responsables somaliens conjuguent leurs efforts en vue de faire régner l’ordre dans le pays et reconstruire ses infrastructures; cependant Shebab reste toujours acharné et poursuit ses attaques.

Shebab établit des liens avec al-Qaïda et torpille les efforts destinés à former le gouvernement central somalien.

Le président tunisien, évoquant les fortes relations diplomatiques existant entre Tunis et Damas, a insisté sur le fait qu’un éventuel départ du président Bachar al-Assad relevait de la décision du peuple syrien.

« Le principal défi auquel est confronté aujourd’hui la Syrie, ce n’est pas Assad, mais plutôt l’avenir du pays dans le contexte régional et international. Il faut que la Syrie restaure son rôle régional et international », a précisé le président tunisien.

Interrogé par le quotidien Asharq al-Awsat, Essebsi a réitéré que rien n’est jamais définitif en politique. « Nous partageons la même identité ethnique et il ne faut pas oublier le rôle important de la Syrie dans la confrontation avec Israël », a souligné le président tunisien avant de souhaiter que la Syrie sorte de la crise dans laquelle elle est plongée. 

Interrogé sur la crise libyenne, Essebsi a déclaré que le problème était que la Libye ne constituait plus un État. « C’est un pays livré aux milices armées qui se disputent le pouvoir. C’est pourquoi il est difficile d’entrer en interaction avec un tel pays. Nous sommes inquiets du chaos libyen, car la Tunisie partage quelque 500 km de frontières avec la Libye, lesquelles sont essentiellement désertiques et ouvertes », a fait savoir le président Essebssi. 

Il s’est dit vivement préoccupé par la crise libyenne, qui a infligé à son pays des dégâts considérables, sans oublier la question des terroristes tunisiens actifs en Libye et de leur éventuel retour.

Évoquant la nécessité de la prise de mesures appropriées pour défendre les frontières et de la création d’un mur de sécurité pour faire face aux terroristes, Essebsi a déclaré que ce qui est primordial aujourd’hui pour Tunis, c’est la restauration de la paix et de la stabilité et la réconciliation nationale en Libye, loin de toute ingérence étrangère.  

La Tunisie n’exclut pas une implication d’Israël dans l’assassinat de l’ingénieur tunisien, expert dans la conception de drones.

Mohammad Zouari, fort d'un savoir-faire en aéronautique, fabriquait des drones pour le Mouvement de la résistance islamique palestinienne, Hamas.

Dans un discours dimanche à l’occasion du Nouvel An chrétien, le président tunisien Béji Caïd Essebsi a affirmé qu’il existait des soupçons d’une implication de Tel-Aviv dans le meurtre de Mohammed Zouari. Le président tunisien a ajouté que l’enquête se poursuivait sur cette affaire d’assassinat.

Essebsi a affirmé que la Tunisie en informerait la communauté internationale, une fois qu’elle aurait accédé à suffisamment de documents sur le dossier.

On est porté à croire que l’ingénieur tunisien a été assassiné par le Mossad.

Ingénieur en aérospatiale, Mohammed Zouari a été tué, le 15 décembre 2016, par armes à feu à Sfax, une ville portuaire dans l’est de la Tunisie, alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture, devant son domicile. L’agresseur a fui le lieu du drame tout de suite après le tir. On est porté à croire que l’ingénieur tunisien a été assassiné par le Mossad, service de renseignements israélien.

L’ancien ingénieur de la compagnie aérienne Tunisair, Mohammed Zouari gérait un centre d’aviation au sud de la Tunisie. L’on dit aussi qu’il fournissait, aux forces du Mouvement de la résistance islamique de la Palestine (Hamas), les cours de formation de vol avec le drone.

Les Brigades d’Ezzeddine Qassam, branche militaire du Hamas, ont fait allusion à la coopération menée par l’ingénieur tunisien avec ce mouvement, ajoutant qu’une trahison de nature sioniste serait derrière son meurtre.

Le ministre tunisien de l’Intérieur, Hadi Majzoub, a lui aussi affirmé que l’assassinat de Zourai aurait été planifié par les étrangers. Questionné sur l’assassinat de l’ingénieur tunisien, le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, a, pour sa part, affirmé que Tel-Aviv ferait tout ce qu’il trouvait nécessaire, pour défendre ses intérêts.

En 2012, le régime israélien avait aussi reconnu être à l’origine de l’assassinat, en 1988, d’Abou Jihad, commandant adjoint de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), en Tunisie.

Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta vient d’annoncer qu’une conférence d’entente nationale est programmée pour le mois de mars lors de laquelle on traitera de l’application de l'accord de paix signé l’été 2015.

Selon l’AFP, le président malien a déclaré dans son discours pour la nouvelle année : " Un jalon important dans la réhabilitation de la cohésion sociale et du vivre ensemble au Mali sera posé avec la tenue au mois de mars 2017 de la conférence d'entente nationale. On y traitera des causes profondes du conflit qui frappe le Mali"

Le nord du Mali est tombé aux mains des groupuscules terroristes affilés à al-Qaïda au printemps 2012.

Les terroristes ont été massivement chassés en 2013 par une intervention militaire sur une initiative de la France et impliquant des Casques bleus. L’intervention militaire se poursuit d’ailleurs toujours notamment parce qu’il reste des régions qui ne sont pas encore sous le contrôle de l’armée malienne et des Casques bleus et qui sont souvent exposées à des attaques terroristes. 

Un accord de paix a été conclu en mi-juin 2015 à Alger après de longues discussions entre le gouvernement malien et des groupes rebelles présents dans le nord du Mali. L’accord n’a toujours pas reçu d’application concrète.