
تقي زاده
Zabadani, le "piège à rats" grandeur nature!!
les forces syriennes et leurs alliés du hezbollah ont tendu un piège aux terroristes d'Al Nosra et de Daech à Zabadani,n leur infligeant un lourd bilan de 40 morts et de dizaines de blessés. selon Al Mayadeen qui rapporte cete information, de violents combats ont opposé les terroristes aux combattants du Hezbollah et aux forces syriennes . l'épicentre des combats s'est situé dans la plaine de Zabadani. les terrorsites cherchaient en effet à s'infiltrer dans cette zone quand ils sont tombés dans le piège .
Zabadani, le "piège à rats" grandeur nature!!
Deux semaines après le début des opérations conjointes du Hezbollah et de l'armée syrienne, à Zabadani, nettoyée, désormais, de la présence des terroristes, les combats se poursuivent de plus bel, sur différents axes de cette ville. Le centre des combats se situent à l'Ouest et au Sud de la ville, où le Hezbollah va, inexorablement, de l'avant. mais quelle est la stratégie de combat du Hezbollah?
1- Couper tout lien entre les terroristes, déployés à Zabadani, et les poches takfiris, dans des villages et villes environnantes, ce qui revient à couper toute voie d'approvisionnement des Takfiris. La première étape des opérations consistait, ainsi, à encercler la ville de Zabadani, tout en se focalisant sur les combats, sur les deux axes du Nord et du Sud de la ville. Le Hezbollah a pris le contrôle des deux axes du Nord de la ville, coupant les liaisons entre les terroristes et leurs soutiens, à Sarghaya. Vendredi, le Hezbollah a étendu son champ d'action allant vers l'axe occidental et méridional de la ville, en s'emparant des quartiers de Hay al-Zalah et de Hay al-Soltani. Les voies d'approvisionnement des terroristes ont, ainsi, été coupées, dans le Sud de zabadani.
2- La seconde étape stratégique consiste à créer des "assises", aux quatre coins de Zabadani et à stabiliser la position militaire du Hezbollah, et ce, dans l'objectif d'intensifier les pressions militaires et de favoriser le terrain à un vrai nettoyage de la ville.
3- L'assaut général vers les quartiers sous contrôle des terroristes, assaut, qui sera effectué, à partir de quatre axes. En effet l'emprise du Hezbollah sur les quartiers du Sud de Zabadani a pris de court les Nosratistes et Daech, d'autant plus que ces derniers se trouvent sous le feu nourri des unités d'artillerie et des unités balistiques du Hezbollah et de l'armée syrienne, qui les suivent, quartier par quartier. L'avancée terrestre du Hezbollah se fait avec une minutie exemplaire et beaucoup de prudence et suivant un plan préétabli. les poches terroristes résistent, encore, dans les quartiers du centre et de l'Est de la ville, mais les Takfiris saignent, très gravement, sur tous les front.
Dans le même temps, les drones de reconnaissance et de combat du Hezbollah survolent, sans cesse, Zabadani, et transmettent des renseignements sur les moindres agissements militaires des terroristes, ainsi que sur l'emplacement de leurs entrepôts d'armes et de munitions, sur leurs positions, leurs lignes de feu, leurs déplacements, à l'intérieur de la ville. Il s'agit de donner aux forces syriennes et au Hezbollah la possibilité de les cibler, avec précision. La progression des forces du Hezbollah et de l'armée syrienne, dans les quartiers du Sud de la ville, a, littéralement, atomisé les rangs des terroristes, qu'ils appartiennent à Al-Nosra, à Ahra al-Chaam ou à l'ASL.
Cette discorde s'explique par deux choses : 1- le premier sujet de litige concerne la proposition de l'ASL. Cette dernière demande à entrer en contact avec l'armée syrienne, via des dignitaires syriens, et ce, pour sceller une réconciliation. L'ASL devra, ainsi, s'engager à déposer des armes lourdes et semi lourdes, à expulser les terroristes qaïdistes et takfiris de la ville, à créer des comités chargés de sécuriser les quartiers. Les terroristes liés aux Frères musulmans et à Al-Qaïda y sont, évidemment, opposés. Le second sujet de litige concerne la présence de Daech, à Zabadani. Il y a quelques jours, des unités de renseignements takfiris, liés à la Turquie et à l'Arabie, ont publié des images, sur la présence de leurs éléments, dans l"'Ouest et le Sud de la ville, là où ces derniers se battent contre le Hezbollah et l'armée syrienne. Sur ces images, Daech possède des armes dernier cri, fabriquées par les Etats Unis et la France. Cette présence est une preuve de traîtrise, celle d'Al-Nosra, contre d'autres milices en action, à Zabadani, (Ahrar al-Chaam et l'ASL), car sans le feu vert des commandants d'Al-Nosra, les Daechistes n'auraient jamais pu s'infiltrer, dans Zabadani
Fabius.....à Téhéran, pourquoi?!
En dépit des commentaires et des analyses, la prochaine visite de Kerry à Tel-aviv ou celle de Fabius à Téhéran ne sont nullement destinés à assurer les intérêts d'Israël dans le dossier syrien. A vrai dire, la montée en puissance de l'Iran a fait échec au plan saoudo-israelien. A peine deux jours après l'annonce de la conclusion des pourparlers nucléaires, le chef de la Diplomatie française a annoncé son intention de se rendre en Iran tandis que Obama projette d'envoyer son ministre de la Défense à Tel-aviv pour assurer ce dernier de son engagement envers la sécurité israélienne car l'accord conclu le 14 juillet entre l'Iran et les 5+1 n'engage nullement l'Iran à reconnaître Israël. Cette double visite ne temoigne que de la montée en puissance de l'Iran, un Iran pour attirer les grâces de qui les pays occidentaux se rivalisent! En effet les pays occidentaux devront tout faire pour empêcher que l'Iran en devienne le seul gagnant. La prochaine visite de Fabius en Iran serait sans nul doute une occasion pour débattre de la présence française sur le marché énergétique et ecpnomique iranien, un marché florissant qui pourrait sans nul doute mettre un terme à l'omnipotence saoudienne en termes pétroliers. Cela eloignera à coup sûr l'Arabie des États unis et de l'occident. Il va sans dire que le temps joue en faveur de l'Iran et de l'axe de la Résistance et c'est cette amère réalité qu'Israel devra assimiler..Ashton aura donc à Tel-aviv une difficile mission:convaincre les israéliens de s' habituer à l'idée de n'être plus la superpuissance au Moyen Orient. A Tel-aviv l'Americain tentera de consoler ses hôtes avec un supplément d'aide militaire et de contrat d'armement. Il sera même question du pompage du pétrole du Golfe (persique) vers Israël surtout que ces derniers mois la région à été témoin de l'émergence d'un axe saoudo-israelien. La Syrie figure en tête des sujets à évoquer par Fabius et Carter à Téhéran et à Tel-aviv. La France a occupé la tête du camp des opposant à un accord nucléaire avec l'Iran. Son alignement sur l'axe israelo-saoudien en syrien, axe qui ne se contente pas de moins d'une chute pure et simple d'essai, est aussi une évidence. La France veut répéter aux iraniens ses positions anti As sad, consciente toutefois du fait que l'Iran ne transiger à jamais sur la Syrie, un pilier de l'axe de la Résistance. Mais Fabius ne parlera pas uniquement au nom de la France. Il évoquera à Téhéran les points de vue us au sujet de la Syrie . Or les Américains savent dors et déjà que la visite iranienne de Fabius n'aura aucun acquis syrien pour eux. C'est pourquoi en Israël, Carter essaiera de rassurer à nouveau Israël de son indéfectible volonté de renverser Assai, un Israël qui très bizarrement n'a pas dit non au récent plan russe au sujet de la Syrie. IRIB-En dépit des commentaires et des analyses, la prochaine visite de Kerry à Tel-aviv ou celle de Fabius à Téhéran ne sont nullement destinés à assurer les intérêts d'Israël dans le dossier syrien. A vrai dire, la montée en puissance de l'Iran a fait échec au plan saoudo-israelien. A peine deux jours après l'annonce de la conclusion des pourparlers nucléaires, le chef de la Diplomatie française a annoncé son intention de se rendre en Iran tandis que Obama projette d'envoyer son ministre de la Défense à Tel-aviv pour assurer ce dernier de son engagement envers la sécurité israélienne car l'accord conclu le 14 juillet entre l'Iran et les 5+1 n'engage nullement l'Iran à reconnaître Israël. Cette double visite ne temoigne que de la montée en puissance de l'Iran, un Iran pour attirer les grâces de qui les pays occidentaux se rivalisent! En effet les pays occidentaux devront tout faire pour empêcher que l'Iran en devienne le seul gagnant. La prochaine visite de Fabius en Iran serait sans nul doute une occasion pour débattre de la présence française sur le marché énergétique et ecpnomique iranien, un marché florissant qui pourrait sans nul doute mettre un terme à l'omnipotence saoudienne en termes pétroliers. Cela eloignera à coup sûr l'Arabie des États unis et de l'occident. Il va sans dire que le temps joue en faveur de l'Iran et de l'axe de la Résistance et c'est cette amère réalité qu'Israel devra assimiler..Ashton aura donc à Tel-aviv une difficile mission:convaincre les israéliens de s' habituer à l'idée de n'être plus la superpuissance au Moyen Orient. A Tel-aviv l'Americain tentera de consoler ses hôtes avec un supplément d'aide militaire et de contrat d'armement. Il sera même question du pompage du pétrole du Golfe (persique) vers Israël surtout que ces derniers mois la région à été témoin de l'émergence d'un axe saoudo-israelien. La Syrie figure en tête des sujets à évoquer par Fabius et Carter à Téhéran et à Tel-aviv. La France a occupé la tête du camp des opposant à un accord nucléaire avec l'Iran. Son alignement sur l'axe israelo-saoudien en syrien, axe qui ne se contente pas de moins d'une chute pure et simple d'essai, est aussi une évidence. La France veut répéter aux iraniens ses positions anti Assad, consciente toutefois du fait que l'Iran ne transiger à jamais sur la Syrie, un pilier de l'axe de la Résistance. Mais Fabius ne parlera pas uniquement au nom de la France. Il évoquera à Téhéran les points de vue us au sujet de la Syrie . Or les Américains savent dors et déjà que la visite iranienne de Fabius n'aura aucun acquis syrien pour eux. C'est pourquoi en Israël, Carter essaiera de rassurer à nouveau Israël de son indéfectible volonté de renverser Assad. Les Américains n'ont aucun prétexte à repousser le plan russe bien que ce plan à tout pour bouleverser leurs calculés et leurs plans au Moyen Orient. l'axe de la Résistance continue son ascension et le rythme s' en est accéléré depuis l'annonce de la déclaration de Vienne. A Tel-aviv Ashton Carter n'a rien de nouveau à proposer. Les États Unis se sont résigné s à la volonté des iraniens en acceptant de lever les sanctions. Cette perspective va déclencher une dynamique de croissance sans précédente en Iran propre à faire voler en mille éclats les plans saoudo-israelien. Néanmoins une chose est sûre. La Syrie ne sera pas lâchée...par l'Iran. Les missions de Carter et de Fabius n'apportent rien sur leur volet syrien
Au moins 90 Irakiens tués dans l'attentat à la voiture piégée
Le bilan de l'attentat suicide dévastateur à la voiture piégée mené par le groupe Daech au nord de Bagdad s'est alourdi samedi, atteignant 90 morts et 17 disparus, a indiqué un responsable.
Il y a également eu 120 blessés, selon Abbas Hadi Saleh, le principal responsable de la localité de Khan Bani Saad où a eu lieu l'attentat vendredi, une ville majoritairement chiite située à 20 km au nord de Bagdad.
Le bilan atteint à présent 90 morts et 120 blessés, et nous avons entre 17 et 20 disparus, a déclaré M. Saleh sur les lieux de l'attentat, qui a tué 15 enfants.
Le kamikaze au volant de son véhicule bourré d'explosif, a déclenché sa charge en plein milieu du marché de la ville à la veille de l'Aïd el-Fitr, la fête qui marque la fin du ramadan.
Chaque année (pendant le ramadan), il y a une attaque à la bombe. On nous reproche d'être chiite, a déploré M. Saleh, soulignant qu'il s'agissait du pire attentat commis dans la province de Diyala depuis 2003.
Khan Bani Saad se trouve dans cette province que le gouvernement a déclarée en janvier libérée des insurgés, mais où les attaques ponctuelles sont en hausse.
L'organisation Daecha revendiqué l'attentat sur des forums extrémistes, précisant que la voiture contenait trois tonnes d'explosifs.
L'attentat est l'un des plus meurtriers depuis l'offensive fulgurante des rebelles en juin 2014 dans tout l'Irak.
Selon un journaliste de l'AFP, l'explosion a causé d'énormes dégâts et creusé dans la rue un cratère de cinq mètres de large et deux mètres de profondeur.
Une voiture piégée tue au moins 35 Irakiens au nord de Bagdad
Au moins 35 personnes ont été tuées vendredi dans une attaque à la voiture piégée, revendiquée par l'organisation Daech, dans la ville de Khan Bani Saad, au nord de Bagdad, ont annoncé des responsables locaux.
L'attaque a eu lieu dans une zone où se trouve un marché, dans cette ville à majorité chiite, à la veille de l'Aïd el-Fitr qui marque la fin du mois du jeûne du ramadan.
"Nous avons 35 martyrs et plus de 70 blessés", a déclaré Jawad al-Hamadani, membre du conseil provincial de Diyala, où se trouve Khan Bani Saad, à une vingtaine de km au nord de Bagdad.
"L'explosion a été forte, elle a causé beaucoup de dégâts", a déclaré pour sa part, Raad Fares al-Mas, député de la ville voisine de Baquba, capitale de la province de Diyala.
De nombreuses femmes et enfants figurent parmi les victimes, selon ces responsables.
La télévision irakienne a diffusé des images du lieu de l'explosion, donnant à voir plusieurs bâtiments complètement éventrés et des débris projetés sur un vaste périmètre.
L'Iran et l'Autriche espèrent renforcer les liens avec le triomphe de la diplomatie
Hassan Rohani président iranien , lors d'une conversation téléphonique mercredi avec son homologue autrichien Heinz Fischer, a remercié pour l'accueil à la maison plusieurs séries de pourparlers entre l'Iran et G5+1 sur le programme d'énergie nucléaire de l'Iran, qui "ils ont finalement abouti à un résultat " gagnant-gagnant".
Rohani félicité de la visite du président autrichien à l'Iran et espère que ce voyage donnera un nouvel élan à élargir les relations Téhéran - Vienne.
Fischer quant à lui, félicité de l'aboutissement de plus de 12 années de négociations nucléaires entre l'Iran et l' Sextet et a déclaré que " le résultat de ces discussions aura des conséquences positives pour le monde entier, en particulier pour les liens dans les deux pays (Iran et Autriche). "
" L'accord sur le nucléaire a révélé qu'il sera possible la résolution des problèmes les plus complexes du monde par le dialogue et des moyens pacifiques ", le président autrichien.
Au cours des pourparlers, les parties ont également échangé des vues sur la Conférence internationale sur "L'Iran et l’Europe, l'investissement et le commerce “, qui se tiendra les 23 et 24 de ce mois à Vienne, capitale autrichienne, un événement qui promet un nouvel horizon" la coopération entre le pays et le monde entier.
Après des mois de réunions marathon, l'Iran et le G5 + 1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine plus l’Allemagne) a annoncé mardi conclu leurs négociations sur la question nucléaire iranienne.
Les parties ont publié un texte de 159 pages, qui doit être approuvée par le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) et les parties impliquées dans les pourparlers. L'organisation internationale a reçu mercredi un projet de résolution visant à confirmer les résultats des dialogues.
Selon ce texte, l'Iran sera reconnu comme une puissance nucléaire avec un droit à l'enrichissement d'uranium et l'accès à cycle complet du combustible nucléaire et toutes les sanctions économiques et financières contre le pays perse pour son programme d'énergie nucléaire seront annulées.
Rohani : fin 1+G5 dialogue de faveur avec les pays voisins de l'Iran
Félicitant son homologue turc par l'arrivée de l'Aïd al-Fitr (fête marquant la fin du mois sacré du Ramadan), le leader Persique a indiqué que la conclusion des négociations entre l'Iran et G5+1, laissera un impact positif sur les relations de l'Iran et de la Turquie.
" Cet accord va encourager les relations de l'Iran avec ses voisins, notamment la Turquie, " a-t-il affirmé Rohani, en ajoutant : ". Nous avons laissé derrière nous les sanctions injustes et réalisé des solutions acceptables "
Quant à la coopération entre Téhéran et Ankara pour une région durable, le titulaire de l'Iran considéré comme une plus grande interaction entre les deux voisins pour éradiquer le terrorisme, ce qui peut menacer la stabilité du pays à risque.
" Dans les affaires régionales, les gens de la région regarde avec espoir notre coopération, à travers lequel nous pouvons parvenir à une solution favorable pour tout le monde dans la région ", a déclaré le président Rohani.
D'autre part, a remercié la coopération des Ankara ces dernières années sur le dossier nucléaire de l’Iran.
Turquie prête à coopérer avec l'Iran
Pour sa part, le président turc, pour exprimer ses félicitations pour l'avènement de l'Aïd al-Fitr et la conclusion des négociations sur le nucléaire, affirme que son pays est prêt à coopérer avec l’Iran.
" Nous sommes prêts à coopérer sur les questions régionales, qui seront réalisées grâce à l'interaction des différents organismes des deux pays ", a déclaré M. Erdogan.
Plus tôt, le Premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, a exprimé sa satisfaction quant à la conclusion des négociations sur le nucléaire, alors que ministre de l'Economie Nihat Zeybekci, avait décrit comme très positif et bénéfique pour votre pays.
Aussi le président de la Turquie, Abdullah Gull, a déclaré que le résultat des pourparlers Iran-G5+1 était " la plus grande victoire diplomatique a gagné après la fin de la guerre froide. "
Le mardi, Rohani pays de la région à ne pas se laisser berner par le régime israélien et les ennemis de l'Iran a exhorté, en faisant valoir que la puissance du pays Persique favorise les intérêts de l'ensemble de la région.
L'Iran n'a jamais cherché et ne cherchera pas d'armes de destruction massive ;" Il n'a pas cherché ni volonté, la pression sur les Etats de la région, " a-t-il dit, invitant tous les voisins à" une plus grande fraternité, l'unité et l'expansion des relations “.
L'Iran et le G5+1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine plus l’Allemagne) a annoncé le mardi 14 Juillet à 12 ans de dialogue sur le programme d'énergie nucléaire avec un texte d'un accord en attendant l'approbation par les parties.
Iran félicite les pays islamiques pour Aïd al-Fitr
Dans un message publié vendredi leurs homologues dans les pays musulmans à l'occasion de l'avènement de l'Aïd al-Fitr (marquant la fin du mois sacré du Ramadan, le neuvième mois du calendrier islamique fête), Zarif a voulu la paix, l’amitié, la prospérité et une région loin de la violence et de l'extrémisme tous les États de la région.
Les Iraniens se préparent à célébrer le 18 Juillet Aïd al-Fitr considéré comme l'une des fêtes les plus importantes du calendrier islamique dans laquelle des milliers de musulmans remercier Dieu pour les jours de jeûne.
La date de la célébration de cet événement religieux dans les pays varie en fonction de l'observation du croissant du mois de Shawwal (le dixième mois du calendrier lunaire). Certains pays musulmans, comme l'Arabie saoudite, la Turquie, le Qatar, l’Indonésie, le Koweït, la Malaisie, entre autres, ont déclaré vendredi la fin du Ramadan, alors que dans l'Iran et certains pays voisins, aura lieu demain, samedi.
Le chef de la diplomatie persane a assuré que, après un accord sur le nucléaire entre l'Iran et finale le G5 + 1, sera de plus grandes possibilités pour le développement de la coopération régionale.
" Je suis convaincu que l'accord facilitera la réalisation domaine nucléaire à renforcer la coopération bilatérale et multilatérale avec l'ensemble de la région “, a-t-il souligné.
Il a également salué la solution diplomatique à la " crise fabriquée " à propos de l'énergie nucléaire de l’Iran, comme il l'a créé de grandes opportunités pour les liens et renforçant la coopération régionale et internationale.
"Il a également reconnaissants pour les messages de félicitations et gestes d'amitié que Téhéran a reçu de " tous les pays frères et amis" sur la réussite de plus de 22 mois de pourparlers nucléaires entre la République islamique et le Sextet.
Après 18 jours de discussions marathon à Vienne, capitale autrichienne, l'Iran et le G5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la Chine , la Russie et la France, plus l'Allemagne ) ils sont venus à une conclusion mardi sur le Plan d'action global commune, qui vise la levée des sanctions en échange antiranis certaines limites sur le programme nucléaire de l'Iran.
Les parties ont publié un texte de 159 pages, qui doit être approuvée par le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) et les parties impliquées dans les pourparlers. L'organisation internationale a reçu mercredi un projet de résolution visant à confirmer les résultats des dialogues, et devrait ratifier lundi.
Le consensus atteint à Vienne a été accueilli par les dirigeants mondiaux, qui le considèrent comme une étape importante dans la résolution de problèmes régionaux.
Le président iranien Hassan Rohani, a confié jeudi que la conclusion des négociations nucléaires laisser un impact positif sur les relations de l'Iran et ses voisins.
À son tour, le chef de la politique étrangère de l'Union européenne (UE), Federica Mogherini, a déclaré mercredi que le résultat des négociations sur le nucléaire entre l'Iran et G5 + 1 aidera la stabilité au Moyen-Orient.
La prière de Fitr célébrée par le guide suprême
La prière de Fitr a été célébrée à Téhéran sous la direction du guide suprême de la révolution islamique. La prière de Fitr, marquant la fin du mois béni de ramadan s’est déroulée dans la matinée de ce samedi sous la direction de l’ayatolah Khamenei guide suprême de la révolution islamique.
La prière de l’Eid a eu lieu à l’oratoire imam Khomeiny (s) à Téhéran.
Selon les Etats-Unis, Ryad a bien accueilli l'accord nucléaire iranien
La Maison Blanche a rapporté que le ministre saoudien des Affaires étrangères, reçu vendredi par le président américain Barack Obama, avait bien accueilli l'accord nucléaire conclu mardi à Vienne avec l'Iran, et ce après des mois de scepticisme.
M. Obama et le chef de la diplomatie saoudienne Adel al-Jubeir ont bien accueilli l'accord conclu entre l'Iran et les grandes puissances, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué après leur rencontre.
Dans un autre communiqué, l'ambassade saoudienne à Washington a indiqué que le ministre Al-Jubeir avait réaffirmé le soutien de l'Arabie saoudite à un accord qui empêche l'Iran d'obtenir des capacités nucléaires.
La rencontre de vendredi, organisée à la demande du roi saoudien Salman, a eu lieu après des déclarations en privé de diplomates saoudiens qui ont exprimé leurs sérieux doutes à propos d'un accord susceptible de légitimer leur rival régional.
Le soutien de Ryad est un joli coup pour la Maison Blanche, qui veut à tout prix empêcher le Congrès de saborder l'accord.