تقي زاده

تقي زاده

Le début de la progression des Kurdes syriens vers la ville de Tal-Abyad, à Rif-Raqqa, et la peur de perdre cette ville s'est transformée en un cauchemar terrifiant, pour le groupe de Daesh.
Après la libération de la ville de Solouk, à Rif-Raqqa, par la coalition dite "La cellule d'opération du volcan de l'Euphrate", composée des comités de défense populaire, des Kurdes syriens et de certains groupes armés liés à l'armée libre, ces forces ont commencé à se diriger vers la ville de Tal-Abyad. Les éléments de Daesh ont évacué la plupart des régions, aux alentours de cette ville, et se sont repliés, par crainte d'une confrontation directe avec les forces kurdes. Mais, parallèlement à leur retraite, ils posent des bombes et des mines, sur les routes, dans les bâtiments et les maisons, pour empêcher la progression des Kurdes. Toutefois, les combattants kurdes continuent de progresser, depuis les axes de l'Est, de l'Ouest et du Sud, vers Tal-Abyad. L'axe de l'Est comprend la ville de Solouk, libérée la nuit dernière, mais les positions des Kurdes ne s'y sont pas, encore, stabilisées, en raison des bombes et des mines posées dans cette ville, d'où une progression lente, sur cet axe.

Les comités de la défense populaire des kurdes de la Syrie ont libéré la ville de Solok. Selon le reporter de Farsnews à Damas, les membres de la coalition dite "la chambre d'opération du volcan de l'Euphrate", qui regroupe les comités de la défense populaire kurde et des groupes liés à "l'armée syrienne libre", ont libéré, aux dernières heures du dimanche soir, la ville de Solok, qui se trouve dans le nord de la ville de Raqaa, et qui est une des plus importantes bases des terroristes takfiris de Daech dans la province de Raqqa. La chute de Solok est un coup dur pour ce groupe takfiri. La libération de cette ville intervient après trois jours de combat sans relâche entre la coalition de la "chambre d'opération du volcan de l'Euphrate" et les éléments de Daech. Plusieurs villages ont été également libérés dans cette opération, dans le nord et le nord-ouest de Solok, entre autres Tal-Abyaz et Ras al-Aïn dont le premier vu sa proximité avec les frontières turques et le deuxième compte tenu de sa communication avec Kobani, sont d'une importance stratégique.

«Le groupe terroriste Daesh est un instrument que les Etats-Unis utilisent, pour pouvoir mettre en application leur stratégie, à long terme, dans le monde arabe. Cela, c’est quelque chose de bien clair et net, sans qu’on ait besoin des documents déclassifiés de Washington, pour le découvrir», indique le journal syrien, "Al-Watan". «Les documents, récemment, déclassifiés de Washington, font preuve de l’implication de ce dernier, dans la formation et la propagation du groupe Daesh. Ces documents montrent, aussi, que les chefs de l’opposition syrienne ont rencontré, en 2012 et 2013, les responsables israéliens. Avons-nous, vraiment, besoin de documents déclassifiés, pour découvrir toutes ces réalités ? Dès l’émergence et la montée en puissance du groupe terroriste Daesh, en Irak et en Syrie, la Maison Blanche a annoncé que la lutte anti-Daesh prendra des décennies, et que ce groupe ne pourra pas être éradiqué, en un ou deux ans. C’est ainsi qu’elle a tracé une feuille de route, pour la soi-disant Coalition anti-Daesh, pendant les vingt années à venir. Aujourd’hui, ce n'est plus un secret pour personne que la création d’une coalition anti-Daesh n’était qu’un tapage médiatique, dès le début, plutôt qu’une réalité concrète. La soi-disant Coalition anti-Daesh ne lutte pas contre Daesh ! Tout ce qu’elle fait consiste à lancer une poignée de frappes sélectives, pour rendre le terrain propice à l’application de la stratégie des Etats-Unis, une stratégie, qui comprend, aussi, la mise sur pied de Daesh. La plupart des médias des pays arabes se plaignent de l’absence d’une bonne stratégie américano-occidentale, pour éradiquer Daesh, tandis que le problème n’est pas l’absence d’une stratégie, la stratégie existe, en effet, mais on la cache. Il n’y a point de doute que Washington avait, déjà, tracé une stratégie définie, voire, mise sur le papier, pour les objectifs qu’il cherche à atteindre, via le groupe Daesh. D’où les attaques sélectives de la Coalition contre les terroristes de Daesh ! Les objectifs cachés que les Etats-Unis veulent réaliser, par l'intermédiaire de Daesh, apparaissent, les uns après les autres. Dans la foulée, le général Martin Dempsey a fait part, il y a deux jours, de la décision des Etats-Unis d’implanter des bases militaires, en Irak, afin de pouvoir lutter contre Daesh. Ayant quitté, un jour, l’Irak, sous la pression des forces de la résistance populaire, les forces américaines s’installent, de nouveau, en Irak, pour l’occuper, sous prétexte de la lutte anti-Daesh. En Syrie, les frappes sélectives de la Coalition anti-Daesh contre les positions des terroristes cachent un objectif néfaste de Washington : partitionner la Syrie, favoriser la mise en place des régimes autoritaires et indépendants et permettre à Daesh de s’installer et de se répandre, dans les régions déterminées par la Maison Blanche. 
Sinon, comment un groupe terroriste pourrait-il avoir autant d’armes, de fonds, de munitions et de mercenaires, juste un an après sa formation ? Comment un nouveau groupe armé pourrait-il s’étendre, depuis l’Irak et la Syrie, jusqu’en Libye et en Tunisie, d’autant plus qu’il est classé parmi les organisations terroristes. Des milliers de terroristes arrivent, en Turquie, à partir des quatre coins du monde, afin de se rendre, en Syrie et en Irak, et de rejoindre les terroristes. Sachant que la Turquie est un allié de l’Occident et un membre de l’OTAN, comment peut-on expliquer cette chose ? Les pays occidentaux restent les bras croisés et ne font rien, pour poursuivre les sponsors et les trafiquants des terroristes, tandis qu’ils pourraient, facilement, le faire, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité. Un grand nombre de terroristes arrivent, en Turquie, mais pas même un seul attentat terroriste ne s’y produit. Comment cela peut-il s'expliquer ? Comment l’Occident ne peut pas lutter contre ce phénomène terroriste, qui se produit au nez et à la barbe des pays occidentaux ? Le groupe terroriste Daesh fait du commerce avec le pétrole de la Syrie, ainsi qu' avec les patrimoines culturels de la Syrie et de l’Irak, et en tire grand profit. Il vend, aussi, le pétrole syrien et irakien à la Turquie et au régime sioniste, sans que les satellites de l’Occident puissent identifier les camions-citernes en vadrouille, et que les banques occidentales bloquent ses revenus. Est-ce possible ? Comment ? Entre autre, les Etats-Unis, la Turquie, Israël, l’Arabie saoudite et le Qatar jouent, chacun, leur propre rôle. Point est nécessaire de le prouver ! Il va de soi que Daesh est un moyen stratégique des Etats-Unis, dans le monde arabe, ce qui est, à présent, plus manifeste que jamais, pour ceux qui ne voulaient pas croire aux objectifs néfastes de Washington. Les personnalités de l’opposition syrienne affichent un silence de mort envers le massacre de leurs compatriotes et la destruction des infrastructures de leur pays, et elles servent, en effet, les intérêts du régime sioniste. Aucun document n’est nécessaire, pour le prouver ! On n’a aucun besoin de documents déclassifiés, pour découvrir des réalités concrètes et manifestes. Mais, peut-être, existe-t-il des personnes qui ne peuvent pas croire à des faits incontestables, à moins qu’une source colonialiste ne la révèle. Le journal américain, "Washington Post", a révélé, samedi dernier, que le financement et l’armement des groupes terroristes, actifs dans le Sud de la Syrie, coûtaient un milliard de dollars, par an, aux services d’espionnage des Etats-Unis. Selon le journal américain, cette somme d’argent, dans sa totalité, est destinée aux éléments armés de l’Armée Syrienne Libre, (ASL). Cette générosité n’est pas réservée aux Américains ! C’est ce que font, aussi, l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie. Si on met en parallèle cette collaboration des Etats-Unis avec ce qu’ils ont fait, en Afghanistan, au Nicaragua et dans les autres pays, où ils forment des groupes terroristes, il est facile de constater qu’en Syrie, Washington n’a assumé qu’une petite partie des dépenses, et qu’il les impute, pour la plupart, à ses alliés régionaux. Le soutien de la CIA aux terroristes, en Syrie, fait partie des plus grands plans secrets de cette organisation d’espionnage, dans le monde. Les dollars que la CIA dépense, en Syrie, au profit des terroristes, constituent 1/15 des coûts de cette organisation, par an. La CIA donne des formations militaires aux terroristes, leur fournit des armements et des équipements logistiques, d’autant plus qu’elle collecte les informations, dont elle a besoin, pour perpétuer ses crimes.

Israël a publié dimanche un rapport officiel sur son offensive militaire dans la bande de Gaza l'été dernier, et revendique son offensive d'ampleur comme légale, tout en accusant le mouvement islamiste Hamas d'avoir commis des "crimes de guerre et des crimes contre l'humanité".
Le rapport de 277 pages a été publié dans une tentative de devancer la publication à venir des résultats de l'équipe désignée par l'ONU qui a enquêté sur de possibles crimes de guerre pendant l'attaque israélienne qui a duré 50 jours en juillet et en août.

Le conflit a fait 2 220 morts chez les Palestiniens, dont au moins 1 492 civils, selon l'ONU. Du côté israélien, 67 soldats ont été tués, ainsi que cinq civils.

Le rapport, publié par le ministère israélien des Affaires étrangères, disculpe Israël de toute action illégale, expliquant qu'il a fait le maximum pour éviter de faire des victimes civiles.

Selon le rapport, le nombre important des victimes est le fait du Hamas et des autres organisations militantes palestiniennes qui ont "entreposé leurs équipements militaires et organisé des opérations au sein de quartiers densément peuplés et de structures civiles".

Israël accuse le Hamas et d'autres groupes militants de Gaza d'avoir ciblé "intentionnellement et systématiquement" des civils en Israël.

Plus de 4 500 roquettes et obus de mortiers ont été tirés pendant les combats, "dont environ 4 000 ciblaient délibérément la population civile israélienne", indique le rapport.

Plus tôt dimanche, alors qu'Israël multiplie les efforts pour anticiper le rapport du Conseil des droits de l'homme de l'ONU (CDH) qui sera rendu public le 29 juillet, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que la lecture du rapport du CDH "serait une perte de temps".

"Nous agirons partout et en fonction des nécessités afin de lutter contre les fausses revendications et les initiatives anti-israéliennes", a dit M. Netanyahu à ses ministres au début de la réunion gouvernementale hebdomadaire à Jérusalem.

En novembre, un rapport d'Amnesty International, une organisation non gouvernementale qui défend les droits de l'homme, avait décrit une tendance des forces israéliennes à attaquer les maisons de civils palestiniens, "ce qui dans certains cas allait jusqu'aux crimes de guerre".

La mission d'enquête du CDH a été établie au mois d'août de l'année dernière. Israël a refusé de coopérer officiellement avec l'équipe onusienne, expliquant qu'elle était "partiale" et en faveur des Palestiniens.

Le premier lauréat des compétitions coraniques de Malaisie a affirmé lors d'une interview accordée aux médias internationaux : "L'Iran promeut depuis des années sa place au niveau des lectures coraniques et ce progrès vient du Guide Suprême de la révolution islamique qui est en fait le grand maître coranique de la république islamique d'Iran."

Mohsen Haji Hassani Karégar, représentant de la république islamique d'Iran et premier lauréat des compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie s'est exprimé devant les chaînes et les télévisions internationales en marge des cérémonies de clôture de ces compétitions.
 Interrogé par les médias qui voulaient savoir comment un pays non arabe, l'Iran, a pu devancer les pays arabes en lecture, Karégar a répondu : "Depuis des années, l'Iran connaît un essor dans les lectures coraniques, se consacrant une place privilégiée et ce grâce au guide suprême de la révolution islamique qui est en réalité le grand maître coranique de la république islamique d'Iran et qui encourage les récitants dans la lecture du Saint Coran."
Le premier lauréat des 57èmes compétitions coraniques de Malaisie a précisé : "Les orientations du Guide Suprême et les efforts des grands maîtres coraniques ont assuré le progrès des lectures coraniques en Iran et actuellement nous pouvons dire que nous avons devancer en certains points les récitants égyptiens."

La police hollandaise envoie l’armée pour espionner les musulmans, habitants d’origine turque et marocaine particulièrement. La récente loi sur le renseignement, adoptée il y a peu en France, a mis en émoi de très nombreux citoyens très inquiets de voir des libertés élémentaires restreintes pour d’obscures raisons de sécurité.
Si vous êtes musulman et investis dans le milieu associatif et/ou pratiquant depuis de nombreuses années, tout cela a dû vous faire sourire : les services secrets français surveillent depuis des décennies non seulement les mosquées, mais encore les associations musulmanes et les musulmans engagés.
Ceux qui ont régulièrement de l’écho ou entendent des voix lorsqu’ils sont en pleine conversation téléphonique vous le confirmeront.
A Amsterdam, on est allé plus loin : elles ont mandaté des militaires, anciens de l’Afghanistan, pour profiler des musulmans d’origine turque et marocaine. S’inspirant de méthodes de l’armée américaine, les autorités hollandaises ont ainsi mis en place l’opération d’espionnage PsyCops. Il s’agissait comme en Afghanistan de convertir « les habitants des +territoires ennemis+ en collaborateurs, précise le site TeleSur qui rapporte l’information.
Patrouillant en civil dans les quartiers où vivent des populations musulmanes, ces soldats ont opéré une classification de leurs cibles. La police d’Amsterdam s’est félicité du succès du projet.

lundi, 15 juin 2015 00:00

Pourquoi Israël est-il illégal ?

Rien qu’en un an, après la proclamation de l’existence d’Israël, 400 villages palestiniens ont été détruits, des milliers de civils ont été tués, et des millions d’autres, déplacés, et ont pris refuge dans les camps frontaliers. Selon l’agence de presse Fars, citant CounterPunch, les réalités historiques prouvent qu’Israël est un régime illégitime, fondé sur les objectifs colonialistes de l’Occident. 
«Ce qui s’appelle la colonisation illégale d’Israël, dans les blocs de l’Est et de l’Ouest, représente le colonialisme américain et européen, au Moyen-Orient, et l’y fait asseoir à jamais. Toute opposition à l’existence du gouvernement israélien ne signifie, nullement, l’anti-sémitisme, mais, tout simplement, l’anti-sionisme. Ces deux concepts sont bien différents : un anti-sémite s’oppose à toute société juive, mais un anti-sioniste s’oppose, seulement, à une partie de la société juive, qui se réserve le droit de mettre sur pied un gouvernement juif, dans le territoire palestinien, dont les habitants y résident, depuis 2.000 ans. Cette approche cristallise, bel et bien, la poursuite du colonialisme européen, au cœur du monde arabe. Le projet des Sionistes de former un Etat d’Israël ne pourra être réalisé que par la mise en place d’un «gouvernement démocratique palestinien», où les Juifs, les Arabes et les Chrétiens jouiront de droits égaux. Le mouvement sioniste, en Europe, a rendu le terrain propice, à la fin du 19ème siècle, à l’immigration des juifs, résidant en Europe, vers le territoire palestinien, et cela, afin de fuir l'anti-sémitisme des Européens. Grâce à Londres, le nombre des Juifs, habitant en Palestine, a atteint les 11%, en 1917, à partir de 4%, en 1850. L’effondrement de l’empire européen, lors de la deuxième guerre mondiale, a émancipé un grand nombre de colonies de l’Occident, dont la Syrie, la Jordanie et le Liban, mais la Palestine a constitué l’exception, en restant une colonie de la Grande-Bretagne. Conformément à la Déclaration Balfour de 1917, Londres et Washington ont réitéré l’impératif de la formation d’un Etat juif, dans le territoire palestinien, d’autant plus que l’Organisation des Nations unies, une organisation, récemment, fondée, à cette époque-là, a adopté la partition du territoire palestinien, à l’insu de ses habitants. Les voix d’opposition se sont élevées contre cette ratification, mais Israël a, pourtant, proclamé son existence, le 14 mai 1948. Rien qu’en un an, après la proclamation de l’existence d’Israël, 400 villages palestiniens ont été détruits, des milliers de civils ont été tués et des millions d’autres, déplacés, et ont pris refuge, dans les camps frontaliers. Les Sionistes ont soumis les Palestiniens à un holocauste, qu'ils avaient fui, en Europe. Le nettoyage ethnique des Palestiniens a rendu le terrain propice aux Sionistes, pour qu’ils puissent s’emparer de 77% de ce territoire. Rien qu’en trois ans, plus de 700.000 Juifs, venus de quatre coins du monde, se sont installés, en Palestine. A l’issue de la guerre de six jours opposant les Arabes aux Sionistes, ces derniers ont occupé un autre 23% du territoire palestinien. La résolution des Nations unies, contraignant les militaires sionistes à se retirer de ces régions, n’a jamais été mise en application. En outre, le blocus de la bande de Gaza a été mis à l’ordre du jour de l’armée israélienne. Maintenant, la bande de Gaza, avec une population de 1,8 millions d'âmes, est la plus grande prison à ciel ouvert du monde. Non seulement, Israël a occupé l’Est et l’Ouest de Qods, mais, en plus, il a commencé à faire construire un mur géant, afin de séparer ses colonies, illégalement, construites, des zones de peuplement palestinien. Selon l’ancien émissaire spécial de l’ONU, en Palestine, un apartheid flagrant est en cours, dans les territoires occupés, contre le peuple palestinien. Un an avant l’occupation de la Palestine, 95% des habitants de ce territoire étaient des Palestiniens, mais, maintenant, seul, 15% de ce territoire, est réservé aux Palestiniens, et cela, en considérant les Palestiniens, qui résident dans les camps de réfugiés frontaliers. Selon un rapport de l’Organisation israélienne des droits de l’Homme, plus de 8.700 Palestiniens, un grand nombre des enfants ont été tués par les Sionistes, pendant les 15 dernières années. Ce chiffre trahit les mensonges de Washington et d’autres alliés occidentaux de Tel-Aviv, qui tentent de faire croire que les actes militaires d’Israël sont de nature défensive. L’intéressant est que la résistance des Français contre les nazis, durant la deuxième guerre mondiale, s’appelait «la lutte pour la libération», mais la résistance des Palestiniens contre l’occupation du Sionisme s’appelle «le terrorisme» !!!
Il est vrai que Washington et ses alliés européens, ainsi que les médias qui les soutiennent, tentent de faire croire qu’Israël serait la victime de ce conflit, tandis qu’il existe des documents prouvant qui est le meurtrier et qui est la victime.
L’Autorité autonome palestinienne a donné son feu vert à la solution de deux Etats, en vertu du Traité d’Oslo. Cette solution permet aux Palestiniens de mettre sur pied leur propre gouvernement, dans le bloc de l'Ouest et la bande de Gaza, soit 23% du territoire palestinien. Le reste de ce territoire, soit 77%, appartiendrait à Israël. Plus de 60% des Palestiniens s’opposent à cette idée et réclament la formation d’un Etat indépendant, et, aussi, l’intégrité territoriale de leur patrie. La solution de deux Etats a été proposée par les Etats-Unis et d’autres gouvernements occidentaux et elle n’est nullement réalisable, d’après un professeur d’université, à Ramallah, eu égard aux réalités, sur le terrain. Les Palestiniens, de leur côté, proposent la formation d’un Etat, où les Juifs et les Arabes jouissent de droits égaux. Le Hamas soutient, lui aussi, la mise en place d’un gouvernement islamique uni, où les droits des Juifs sont, aussi, respectés. Dans ce cas-là, un gouvernement islamique remplacera l’Etat juif, à présent, en place. La réalité est que la majeure partie des Palestiniens soutiennent un gouvernement, dans lequel sont respectés les droits des Juifs, des Musulmans et des Chrétiens. Les tentatives visant à créer un gouvernement juif, au cœur du monde arabe, dans l’objectif d’héberger les Juifs européens, s’inscrivent dans le cadre de soutenir les puissances impérialistes, comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada. Les colonies illégales d’Israël sont, en effet, les mêmes colonies européennes, au 21ème siècle, juste au cœur du Moyen-Orient. L’Etat israélien est, en même temps, illéga. Il est, aussi, la poursuite désastreuse de l’impérialisme occidental. La seule solution à ce conflit de dizaines d’années est la formation d’un Etat indépendant palestinien, qui aurait dû voir le jour, à la fin de la deuxième guerre mondiale. Autrement dit, la formation d’un Etat où les Juifs, les Musulmans et les Chrétiens jouissent de droits égaux, une solution, qui s’annonce, pourtant, bien logique, et non pas, bien anti-sémite !»

Le représentant de la république islamique d’Iran aux 57èmes compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie a été présenté comme premier lauréat de ces compétitions en discipline de lecture.

Selon le correspondant de l’Agence Internationale de Presse Coranique (IQNA) à Kuala Lumpur, Mohsen Haji Hassani Karégar, représentant de la république islamique d’Iran aux compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie s’est consacré le premier rang de ces compétitions.
Haji Hassani Karegar, représentant de l’Iran à la 57e édition des compétitions coraniques de Malaisie a présenté samedi soir, 13 juin, sa lecture de la sainte sourate Al Amran.
Né en 1988 à Machhad, Haji Hassani a remporté l’an dernier le second rang des compétitions coraniques internationales de la république islamique d’Iran et a été sélectionné comme le représentant de l’Iran aux compétitions malaisiennes.

Les missiles yéménites ont pulvérisé plusieurs bases militaires saoudiennes..Des dizaines de missiles yéménites ont visé trois bases militaires, respectivement, à Alab, à Zahran, dans le Sud, ainsi qu'à Al-Radif, à Jizan. La puissance balistique saoudienne s'amplifie de jour en jour et atteint des zones plus élargies, au Yémen !

dimanche, 14 juin 2015 23:45

Qalamoun: la Résistance avance encore!!

L’armée syrienne, épaulée par les combattants de la Résistance libanaise est parvenue à s’emparer des hauteurs stratégiques de Shamis al-Hessan et Al-Jarajeer et à progresser toujours dans le Golan.
Selon l’agence de presse Fars, les militaires de l’armée syrienne et de la Résistance ont réussi, vendredi matin, à nettoyer des régions situées dans les hauteurs d’Al-Jarajeer, de la présence des terroristes de Daech et du Front al-Nosra. Les hauteurs d’Al-Jarajeer sont les premières bases des éléments de Daech dans les montagnes du Qalamoun. Selon ce rapport, les éléments terroristes de Daech et du Front al-Nosra ont subi de lourdes pertes et pris la fuite. Les terroristes d’Al-Nosra et de Daech se sont unis pour endiguer la percée des combattants du Hezbollah et de l’armée syrienne dans le Qalamoun. Les forces de la Résistance libanaise contrôlent depuis vendredi après-midi les hauteurs stratégiques et importantes de Shamis al-Hessan qui constituent la principale voie de liaison entre les hauteurs d’Al-Jarajeer et celles de Flita.