تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 27 novembre 2014 01:00

Le dernier plan Erdogan/Obama contre Assad?

une intense offensive de cinq jours vient de s'achever contre deux cités chiites stratégiques de Nobol et Az Zahra : suivant les informations collectées par l'armée arabe syrienne, la Turquie, les Etats Unis et les monarchies arabes avaient planifié cette vaste offensive contre Nobol et al Zahra dans le nord d'Alep . l'armée assadiste a toutefois fait échec à cette vaste offensive préméditée, à l'aide du Hezbollah en infligeant de très lourdes pertes aux terroristes. selon Al Ahed, peu de temps avant le début de l'offensive contre les deux cités d'Alep les officiers américains et de cetains pays arabes se sont réunis en Turquie pour planifier la chute de ces deux cités. il s'agit de deux villages alaouits avec uelques 17000 jeunes entrainés et prêts au combats qui attendent la fin du siège takfiri de leur ville pour pouvoir rejoindre l'armée nationale . Nobol et Al Zahra se trouvent en plus sur une route donnant accès à la Turquie ce qui fait que la chute de ces deux villes auraient largement facilité le trafic d'armes et de munitions en provenance de la Turquie pour les terroristes. la la réunion en Turquie aura été en effet une tentative destinée à changer la donne sur le champ de la bataille à Alep où l'armée syrienne est en nette progression sur tous les fronts . les officiers de renseignement us et leurs homologues.arabes projettaient en effet de provoquer la chute de Nobol et de Al Zahra. les sources bien informées souligne qu'Alep a depuis 2011 constitué l'un des principaux axes des évolutions en Syrie . selon ces sources, les milices armées s'étaient procurées ces derniers jours une grosse quantité d'armes et de munitions d'argent liquid pour étendre les combats à d'autres axes à Alep c'est à dire à Nobol et à Az Zahra.
les officiers de l'ASL prenaient également part à cette réunion . l'un des responables du ministère turc des AE a d'ailleurs reconnu ces faits en affirmant que la Turquie et les Etats Unis sont sur le point d'entrainer 2000 "rebelles modérés" dans une base d'entrainement en Turquie. il est à noter que la visite de Biden, le vice président us en Turquie était en rapport direct avec cette opération et un certain nombre de conseillers sécuritaire et militaire l'accompagnaient pour gérerer la prochaine étape de la guerre contre Assad. le principal acteur de l'attaque contre Nobol et Az Zahra aura été le vieux allié des USA et de la Turquie, Al Nosra.en ce sens, Al Nisra a lancé des attaques d'une violence inégalée depuis 2011 contre les deux cités et ce à partir de plusieurs axes et a tenté de bloquer l'accès de l'armée syrienne à ces deux villes en utilisant le principe de surprise. les nosratistes se sont donc concentrés sur l'axe du sud est de Az zahra et ont lancé l'attaque depuis l'axe Mayer à l'est de la ville.

ces évolutions se sont produites alors que les terroristes ne doutaient pas une seconde que l'armée syrienne , le Hezbollah et les comités populaires les attendaient de pied ferme ! les unités de l'armée avaient déjà surveillé de près les agissements des groupes armés et disposaient de renseignements très précis sur l'avancée des terroristes de al Nosra depuis le rif d'Idleb vers Nobol et al Zahra. tout ceci les a conduit à conclure qu'al Nosra s'apprêtait à une vaste offensive. les terroristes disposent de chars , de véhicules dotés de lance-roquette, de itraillette. le cent com syrien a aussitôt évalué la situation et a décidé de tendre un piège aux terroristes sur l'axe Baanoun al Tamoura car les données faisaient état de l'attention des terroristes de lancer leur assaut à partir de cet axe. ainsi l'armée syrienne a-t-elle permis dans une première étape l'avancée des nosratistes dans la région précitée mais ils n'ont pas tardé de tomber dans le piège à l'explosif . la tactique est d'ailleurs cette du Hezbollah . une grosse quantité d'explosif a explosé provoquant des centaines de morts tandis que les rescapés terroristes prenaient la fuite; la contre offensive de Nobol et de al Zahra a marqué un tournant tactique et stratégique car l'armée syrienne a réussi à déclencher des évolutions très singulières dans des régions sous son contrôle , à étendre son cercle sécuritaire à faire échec à une nouvelle tentative turue de sauvetage de ses intérêts à Alep . et le rôle de l'Iran? la mascarade jouée par la Turquie à Kobani n'est pas passée inaperçue par l'Iran l'un des responsables du minitère iranien des AE a mis en garde lors d'un contact téléphonique la Turquie contre toute tentative de sa part de briser les lignes rouges iraniennes: la sauvegarde de deux cités alaouites de Nobol et al Zahra en fait partie

L'armée américaine va vraisemblablement maintenir un contingent plus important que prévu en Afghanistan en 2015, a-t-on appris auprès de responsables du Pentagone mardi.
A l'origine, les Etats-Unis comptaient garder 9.800 soldats dans le pays à partir de l'an prochain. Mais il en faudrait 400 à 700 de plus jusqu'à la fin de l'hiver, ont expliqué ces responsables.

"Il s'agit simplement de faire la transition", a souligné l'un d'entre eux. Ce réajustement est le fruit du considérable retard qu'a pris la signature d'un traité bilatéral de sécurité entre Washington et Kaboul, qui a, par voie de conséquence, compliqué la mise en place d'accords avec les pays de l'Otan portant sur le déploiement de leurs troupes en Afghanistan à partir de l'an prochain.

Selon le traité signé par Kaboul, les soldats américains ne seront pas poursuivi par la justice afghane en cas de tout acte anti-loi.

mercredi, 26 novembre 2014 01:00

Démission de Chuck Hagel : le déchiffrrage

Un média arabe est revenu sur les raisons qui ont conduit le Secrétaire américain à la défense à démissionner. « Est-ce que c'est la guerre contre la guerre Us contre l'Irak qui a fait tomber la tête de Hagel », a rapporté le site d'information Al Masala. « Hagel avait appelé à déployer tous les efforts pour combattre Daesh en territoire irakien, mais, il s'agissait d'un différend qui opposait Hagel à Barak Obama », a déclaré, un haut responsable irakien qui connait, depuis des années, Chuck Hagel. Depuis sa désignation au poste du Secrétaire américain à la défense, les relations entre Hagel et l'équipe de sécurité nationale de Barak Obama étaient tendues. Les problèmes entre Hagel et cette équipe se sont aiguisés, suite aux raids intensifs menés en territoire irakien et syrien. La Maison Blanche a tenté de faire croire que cette démission subite était le résultat d'un accord à l'amiable entre Obama et Hagel, tandis que selon les responsables américains, elle était due à l'accumulation d'une série de problèmes et de divergences entre la Maison Blanche et le Pentagone, surtout que Chuck Hagel avait réclamé, une stratégie bien claire et précise des Etats-Unis envers la lutte contre Daesh en Irak et en Syrie. Les responsables bien avertis sont allés même jusqu'à parler du limogeage de Chuck Hagel, car ils estiment que de par un tel geste, Obama voulait injecter un nouveau sang dans son équipe de sécurité, à deux ans de son deuxième et dernier mandat, d'autant que le nom d'une femme, une ex-sous-secrétaire à la défense figure parmi les candidats au future portefeuille de la défense. Et le site d'information al-Masama de poursuivre : « les responsables, souhaitant garder l'anonymat, ont que Chuck Hagel avait un sentiment de frustration devant l'impuissance de la stratégie sécuritaire US dans la guerre contre Daesh. Le sénateur républicain, John McCain ; qui dirigera la présidence du Comité des forces armées du Sénat, dit : « A mon avis, il n'existe pas une stratégie précise pour combattre Daesh et un petit groupe de gens prend toutes les décisions ».

le rapport d'un important centre militaire US se concentre sur les activités de la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution islamique ainsi que sur les activités du Hezbollah , d'autres groupes lié à la Résistance, tous unis à travers un seul et unique objectif celui de contrecarrer les dessins us à l'échelle du Moyen Orient. " la Force Qods- force extraterritorale des Pasadaran- est l'un des "outil" iranien dans les guerres asymétriques qu'il est amené à mener dans le monde". le rapport de Washington Fee Baken qui s'étend sur 48 page et qui est publié pa le centre de commandement des opération spéciales US en Caroline du nord poursuit :" via la force Qods, l'Iran apporte un soutien à caractère hard power aux goupes tels ue le Hamas , le Hezbollah, le Jihad islamique ainsi qu'aux groupes de combat chiite ( ndlr: il est étonnant que le centre en quetion ne met nullement l'accent sur le caractère sunnite du Hamas et du Jihad islamique et partant sur l'approche transconfessionnelle de la foce Qods)". "le Hezbollah libanais est en effet le bras armé pa procuration de l'Iran contre Israël, les Etats Uni et d'autres pays occidentaux. la force Qods , aidée par les combattants chiites irakiens s'est élevée en effet contre les objectifs des Etats Unis dans la région. dans le même temps les iraniens sont sur le point de développer leurs capacité à mener des cybeguerre à titre d'un des armes les plus importantes dans des combats asymétiques. L'Iran ne fait pas de mystère de son intention de se dote d'une large puissance en termes de cyber attaque et ce dans l'objectif d'affaiblir ses adversaies et d'obtenir une suprématie militaire propre à l'aider à faire face aux menaces extérieurs . c'est d'ailleurs en ce sens que les hackers iraniens sont reconnus comme étant à l'oigine des cyberattaques conte les banques américaines en 2012" et le eapport de prétendre: " l'infiltration cybernétique dans le réseau des ordinateurs de la marine américaine est aussi l'oeuvre des Iraniens ce sont encore des iraniens qui soutiennent la cyber armée syrienne dans leurs assauts asymétiques. " et le rapport conclut :" il est nécessaire que les Etats Unis pennent des mesues nécéssaires , appuyant en cela sur leurs agences de renseignement, pour contre acrrer les activité de leurs ennemis iraniens, améicains et chinois"

C'est une tradition ancienne dans la politique US : lorsque la côte de popularité du Président se dégringole, il renvoie quelqu'un. En 1987, dans la foulée de la crise provoquée par Iran-Contra, le Président américain d'alors, Ronald Reagan, renvoya le patron du personnel de la Maison Blanche. En 1994, Bill Clinton, confronté à certains problèmes dont l'existence de l'homosexualité au sein de l'armée, l'assurance-maladie, limogea, lui aussi, le patron du personnel de la Maison Blanche et le remplaça par Leon Panetta. . Ainsi, George W. Bush avait démis de ses fonctions le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld alors que les USA s'embourbaient dans la campagne irakienne, pour nommer Robert Gates. "Le renvoi de Chuck Hagel par Obama s'inscrit parfaitement dans cette tradition. Avec 54% d'Américains qui désapprouvent la politique étrangère du président en Irak, en Syrie et en Ukraine, quelqu'un doit bien en assumer la responsabilité. Le problème, ce n'est pas que Hagel devait être viré – c'était de facto une figure fictive au poste de secrétaire à la Défense – mais qu'au fond cette démission ne changera rien", écrit le Los Angeles Times.

Selon le journaliste du quotidien, l'ex-secrétaire à la Défense a été "balancé par-dessus bord" parce qu'il n'avait pas suffisamment d'autorité pour influer sur le processus de prise de décisions. La politique étrangère de Washington est définie par un cercle restreint de conseillers du président américain pour la sécurité nationale, qui "dirigent le navire Obama sur les rochers". Malgré tous les problèmes de politique étrangère de l'État, ils parviennent à garder leur place grâce à leurs liens étroits avec Barack Obama. "Finalement, tout désigne le Bureau ovale et non sur le Pentagone. Obama doit assumer la responsabilité de la catastrophe qu'est devenue la politique étrangère des USA", écrit le Los Angeles Times. En effet, la principale raison de la démission de Chuck Hagel s'expliquait par le fait qu'il n'a pas réussi à se faire tailler une place au sein du cercle restreint des conseillers de la Maison Blanche. Cette équipe restreinte des conseillers, dont Susan Rice, Conseillère à la sécurité nationale, Denis McDonough secrétaire général de la Maison Blanche, Ben Rhodes et Tony Blinken, Conseillers à la Maison Blanche, est restée à la tête des affaires, car, elle entretient des liens très étroits avec le Capitaine Obama. Même, à l'époque où les puissants secrétaires à la défense étaient en place, ils se sont aperçus qu'ils n'avaient pas à même de coopérer avec les conseillers de la Maison Blanche. Il suffit de lire les « les mémoires », de Robert Gates et de Leon Panetta. A titre d'exemple, Robert Gates se plaint, en ces termes, dans son livre : « le personnel de la Maison Blanche avait une présence et un rôle important dans les prises de décisions en matière de sécurité nationale, un fait que je n'avais, déjà, pas expérimenté ». Et Gates de poursuivre : « Lorsque j'étais à la Maison Blanche, le personnel n'avait pas le droit de déterminer la mission des commandants, et ce fait était inimaginable, et si un tel cas arrivait, la personne concernée serait expulsée ». Certes, Hagel aussi serait confronté à une pareille situation à la Maison Blanche. Par exemple, la question de lutte contre Daesh était le principal sujet de friction entre Obama et Hagel. Cette année, Barak Obama a considérait que Daesh n'était pas une menace sérieuse, tandis que son Secrétaire à la Défense, Chuck Hagel a dit à ce propos : « C'est une menace imminente qui dépassé tout ce que j'ai vu jusqu'à présent. Selon Los Angeles Times, Obama doit choisir un Secrétaire plus puissant et plus puissant, qui sera en mesure, contrairement à Hagel, d'empêcher les coupes dans le budget militaire ( un trillion de dollars sur une période de 10 ans), la réduction du budget qui paralysera les capacités militaires des Etats-Unis d'Amérique et ce dans une conjoncture où le monde est devenu plus dangereux. Cela ne règlera pas les principaux problèmes de la Maison Blanche dont le cercle restreint des conseillers. Ces problèmes puisent leur origine, non pas dans le Pentagone, mais plutôt dans la Maison Blanche.

Le problème des courants takfiris est un problème créé par l’Occident qui l’a imposé ensuite au monde musulman. Les takfiristes agissent dans l’intérêt des Etats-Unis et du régime sioniste. Ces groupes extrémistes essaient de faire oublier la question de la Palestine, a déclaré le Guide suprême iranien dans son rencontre avec les invités du Congrès mondial '' les courants takfiris et extrémistes du point de vue des oulémas musulmans''.
Pour vérifier ce courant dangereux, une confrontation à ce courant doit être mise en considération.

Cette confrontation est plus vaste que l’ampleur d’un groupe comme Daech(EI). Ce dernier n’est qu’une branche du mauvais arbre de takfirisme, a-t-il souligné en remerciant les deux ayatollahs Makarem Shirazi et Sonhani pour l’organisation de ce congrès.

Les courants takfiris et les pays qui les soutiennent agissent dans l’intérêt des pays tyranniques et du régime sioniste. Ils font leur travail sous le nome de l’islam, a-t-il insisté.

Le Réveil islamique est un mouvement contre la politique américaine et de leurs alliés. Mais le courant de takfirisme a transformé ce grand mouvement en une guerre fratricide entre les musulmans, a-t-il indiqué.

La Palestine était le front de guerre entre les musulmans et leurs ennemis. Le takfirisme a replacé ce front dans les rues des villes de l’Irak, de la Syrie, du Pakistan et de la Libye. Cela est une crime inoubliable commis par les takfiris, a-t-il ajouté.

Dérouter le réveil islamique est un service accordé par les takfiristes aux Etats-Unis, à l’Angleterre et au régime sioniste. Les takfiristes ne font rien par rapport au régime sioniste, a-t-il marqué.

Prononçant son déclaration finale, le Congrès les Courants takfiris de point de vue des oulémas musulmans a fini son travail dimanche soir.
Le Congrès qui s’est déroulé en présence des oulémas musulmans issus de plus de 80 pays s’est fermé en prononçant une déclaration finale de consensus.

Dans la situation actuelle où l’umma musulmane doit trouver sa place respectueuse dans la scène internationale, malheureusement le monde musulman passe la plus amère et la plus difficile de ses périodes, insiste la déclaration.

Avec leurs actes, les groupes takfiris ont présenté un islam déformé, mis des discordes entre les musulmans et renforcé les ennemis de l’islam, peut-on lire dans la déclaration.

L’islam est une religion de la miséricorde et de l’amitié. Le mystère du développement de l’islam, selon le coran, est le bon comportement du noble prophète de l’islam, souligné la déclaration.

Condamnant les crimes commis par les takfiristes, le Congrès soutient les efforts des Palestiniens pour libérer la première qibla des musulmans, la mosquée d’Al-Aqsa, ajoute la déclaration.

mardi, 25 novembre 2014 01:00

L'armée syrienne aux portes de Raqqa?!!

Au milieu d'une vaste campagne médiatique qui s'est focalisé sur le nucléaire iranien, un événement inoui en termes militaires est en train de se passer : l'armée arabe syrienne continue de progresser dans la banlieue ouest de Hassaka et elle s'approche de Raqqa, "chentre du califat daechiste"!! A Ghouta -est , l'armée a pris le contrôle de Zaydin d'où les terroristes se sont retirés. cette progression s'est évidemment soldée par un lourd de bilan de pertes infligé aux terroristes. A Hassaka, les forces syriennes avancent sur la route Abyaz. les troupes syriennes se sont déployées près du terminal pétrolier Abyaz à Hassaka, terminal qui est lié à la raffinerie de Homs . cette progression place en effet les forces de l'armée à quelques kilomètres de la plus grande base de Daech sur les hauteurs de Abdel Aziz dans la banlieue ouest de Hassaka . cette zone donne directement accès à Raqqa. l'armée syrienne a également pris pour cible les repaires des terroristes dans le nord de Lattaquié . les combats entre l'armée et Daech sont de plus en plus violents , de plus en plus nombreux. ils se poursuivent dans les villages du sud et de l'est alors que les hélicoptères de l'armée syrienne continuent à frapper les positions de Daech dans la banlieue de Al Houl et de Tal Hamis toutes deux situées près des frontières irakiennes. les sources britanniques confirment la mort de deux takfiris britanniques ces derniers jours à Kobani : les deux, à en croire Daily Telegraph ont été originaires de Londres.

les hélicoptères de l'armée syrienne ont largué ce mardi des convois d'armes et de munitions sur les cités chiites de Nobol et Al Zahra, objets d'une violente offensive des terroristes de Daech et d'Al Nosra! Des convois d'armes et de munitions ont été largués à destination des centaines de chiites de ces deux villes, assiégées depuis près deux ans par les terroristes d'Al Nosra. Ces deux cités se trouvent dans la banlieue d'Alep. Selon la chaine "Syria Mubasher" qui rapporte cette information, les forces volontaires , quelques 17000 , bien entrainées et prêts aux combats auraient reçu ces armes et munitions. un fait inédit, les kurdes syriens de Hassaka ont allumé de grands feux pour aider les hélicoptères de l'armée nationale à retrouver leur chemin et larguer duement leurs convois ! en effet l'opértation de l'armée nationale s'est effectuée en parfaitement coopération avec les kurdes puisque ce sont les combattants urdes syriens qui ont réussi à collecter une partie de ces armes avant de les transférer via des points de passage sûrs vers Nobol et Al Zahra. L'OSDH qui siège à Londre et qui profère des informations canalisée et occident-o compatibles au sujet de la Syrie prétend qu'Al Nosra s'est emparé d'une localité tout près de ces deux cités chiites . les deux cités sont situées sur une autoroute donnant accès à la Turquie . la chute de ces deux zones permettraient aux takfiris de se tailler une nouvelle voie d'approvisionnement d'armes et de terroristes en provenance de la Turquie.

Un journaliste étatsunien du Missouri a déclaré qu'un accord sur le nucléaire entre l'Iran et l'Occident serait un "développement très positif" et "indiquerait un changement dans la politique étrangère étatsunienne".

Selon Dean Henderson, auteur et chroniqueur àVeterans Today, l'administration du président US Barack Obama "s'éloigne" d'Israël, des banquiers occidentaux et des monarchies arabes du Golfe Persique.
"Ce serait juste un grand moment si nous pouvions signer cet accord [nucléaire] avec les Iraniens, si nous pouvions normaliser les relations avec comme prochaine étape, se débarrasser de ces sanctions, être amis avec les Iraniens qui sont l'état le plus rationnel dans cette région et nous éloigner de ces pétromonarchies, ainsi que des Israéliens" a déclaré Henderson dimanche.