تقي زاده

تقي زاده

vendredi, 13 juin 2014 11:51

L'EIIL aux portes de l'Iran ?!

Les médias étrangers rapportent des informations contradictoires comme quoi les éléments du groupe terroriste d'EIIL se seraient emparés de la ville de Jaloula, près des frontières iraniennes.

 

 

 

 

 

le porte-parole du ministère russe des AE a fermement condamné les agissements terroristes de l'EIIL en Irak et en Syrie et dans des régions voisines, accusant l'Occident d'avoir déstabilisé le Moyen Orient. selon Russia Today, Moscou a une nouvelle fois condamné le terrorisme en Irak et en Syrie :" il ne fait pas l'ombre d'un doute que ceux qui ont attaqué l'Irak il y a dix ans , et qui continuent d'imposer leurs diktats et leurs décisions aux peuples de la région sont ceux qui jouent un rôle de premier plan dans la déstabilisation du Moyen Orient ",a affirmé Alexandre Loukachevitch . " les terroristes de l'EIIL veulent bâtir un califat au Moyen Orient. pour le responsable russe, " ce qui se produit en ce moment au Moyen Orient est le résultat de l'aventurisme des Etats Unis et de la Grande Bretagne. Moscou est inquiet de ce qui se passe en Irak . l'unité et l'intégrité irakiennes sont mises à l'épreuve , a-t-il poursuivi.

 

selon le site d'information Al Qirtass qui mentionne une source sécuritaire irakienne sous couvert d'anonymat, " 7000 GI's sont arrivés en Irak pour combattre les terroristes de l'EIIL" . " ces forces devraient aider l'armée irakienne dans ses combats contre les terroristes. ces 7000 G'Is s'ajoutent aux 4000 autres , déjà entrés à Bagdad sous prétexte d'aider les soldats de l'armée nationale à repousser les terroristes . selon cette source, 3000 des 4000 GI's en question se trouvent déjà au nord de l'Irak dans la province de Soleymaniye. Al Qirtas ajoute :" les forces américaines ont pour mission celle d'aider les forces de l'armée et les forces de sécurité et ce à l'effet de "libérer les régions occupées par Daesh" Mossoul est toujours aux mains des terroristes de l'EIIL .

Dans son discours, également vice-chancelier des affaires juridiques et internationales de l'Iran a souligné l'échange de vues entre Téhéran et Moscou sur la question nucléaire iranienne, comme une partie de la routine des relations entre les deux pays.

Dans ce contexte, il a dit que, en ce moment, face à la cinquième série de pourparlers nucléaires entre l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la France, la Russie et la Chine, plus l'Allemagne), cet échange entre Téhéran et Moscou a pris un aspect encore plus important.

Également signalé que l'Iran et la Russie continuent d'échanger des vues au cours de la prochaine ronde de négociations sur le nucléaire entre l'Iran et le Sextet à Vienne, capitale autrichienne.

Avant de rencontrer le sous-ministre russe des Affaires étrangères et de la délégation iranienne a tenu deux réunions, l'une avec les représentants des États-Unis, tandis que l'autre, avec des représentants de la France. Ces deux réunions ont été décrites par le vice-chancelier persan positif.

Iran envisage d'organiser une quatrième réunion à Téhéran, la capitale de l'Iran, des représentants de l'Allemagne, en vue de haut niveau Iran -G 5+1, qui se tiendra du 16 au 20 Juin à Vienne.

Les négociations entre l'Iran et les Etats-Unis se sont déroulées dans une atmosphère "constructive et positive" à Genève, a déclaré lundi le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, chef de la délégation iranienne.

Les négociations irano-américaines ont eu lieu en présence de la représentante européenne, Helga Schmid, adjointe de la chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton, a indiqué M. Araghchi, cité par la presse iranienne. Côté américain, le sous-secrétaire d'Etat américain William Burns est à la tête de la délégation.

Il s'agit de la première rencontre directe irano-américaine sur la question nucléaire iranienne hors des séances des négociations avec le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne).

Bien qu'à huis clos, les deux parties doivent discuter, lors de cette rencontre qui durera deux jours, de la levée des sanctions américaines en cas d'accord définitif sur le nucléaire iranien, que les deux parties souhaitent conclure d'ici le 20 juillet.

De source bien informée, la délégation iranienne doit également se rendre à Rome pour rencontrer la délégation russe, après son séjour à Genève.

En novembre dernier, un accord préliminaire est entré en vigueur sur la levée des sanctions contre l'Iran, en échange de la limitation de l'enrichissement d'uranium de ce pays. L'accord est valable pour une période de six mois, avant qu'un texte définitif ne soit élaboré.

Le fonctionnaire perse s'exprimait à l'issue d'une réunion de cinq heures, tenue le lundi avec des représentants des États-Unis sur le dossier nucléaire de l'Iran.

Il a également sous-ministre iranien des Affaires étrangères pour les affaires juridiques et internationales précisé que la République islamique a été fermement réitéré son programme de missiles est non négociable et se poursuivra avec la même attitude.

Il a dit que l'équipe de négociation iranienne résister vigoureusement contre les demandes excessives des représentants de la contrepartie.

S'adressant au peuple de Perse, dit qu'il n'y a pas de place pour l'inquiétude, comme la capacité de défense du pays ne sera pas discutée du tout.

Les pourparlers sur le nucléaire Iran -États-Unis ont eu lieu dans la ville suisse de Genève et a été suivi par le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l'Union européenne (UE), Helga Schmid.

L'événement a eu lieu à la veille de la prochaine réunion entre l'Iran - G5 +1 le 16 et 20 Juin à Vienne, capitale autrichienne.

Iran et le nucléaire Sextet atteint un accord provisoire six mois Novembre 2013, dans la ville suisse de Genève, qui est entré en vigueur le 20 Janvier et se termine le 20 Juillet.

Depuis lors, les partenaires ont tenu plusieurs séries de réunions bilatérales afin de créer un climat de confiance et de réaliser un accord global avant la fin de la date limite de l'accord de Genève enfin.

Le journal britannique "The Indépendant" fait publier un article signé Robert Fisk...

où le journaliste dresse le portrait de l'un des commandants les plus compétents de l'armée syrienne surnommé Guépard, " homme que tout le monde aime". " il s'agit du colonel Soheil Hassan alias Guépard qu'adorent ses soldats et la personne d'Assad . c'est un brave soldat et connu comme tel . Guépard écrit aussi des poèmes et attend à chaque moment la mort puisqu'il relève les plus grands défis qui soient. Guépard a commandé les opérations militaires depuis Hama à Alep . il dit avoir tenté de convaincre via un haut parleur les terroristes d'Al Nosra et de l'Etat islamique en Irak et au Levant et autres anti Assad à déposer leurs armes à se rendre car " ces gens n'avaient pas d'autres choix ". " je voulais les convaincre que la poursuite de la guerre n'aura d'autres résultats que davantage de destruction, de morts , de déplacés ? ces centaines d'entre eux ont répondu à mon appel et se sont rendus . mais ces gens croyaient que les assadistes cherchaient à les tromper. c'est pourquoi, une fois qu'ils ont déposé leurs armes , les terroristes ont tenté de nous attaquer ! mais ceux qui trahissent leur promesse , devront mourir, dit Guépard cité par Fisk. " ce qui se passe en Syrie est certes une guerre civile , mais une guerre civile à laquelle prennent part les parties internationales, celles qui complotent contre le peuple syrien!" et Guépard de poursuivre : " j'appellerai ces terroristes , créatures de Dieu et non pas " hommes". puisque ces gens-là portent des ceintures explosives , des armes lourdes et sophistiqués et ne savent rien d'autre que de tuer " " Des militaires comme Al Namer ( Guépard) sont nombreux dans les rangs de l'armée arabe syrienne et si on me demande pourquoi Assad se maintient toujours à la tête de l'Etat , je répondrai : en raison de la présence des militaires comme Guépard" .

l'engagement militaire du Hezbollah en Syrie n'a cessé de faire l'objet de nombreuses analyses : au Liban et ailleurs dans la région, nombreux ont été les commentateurs qui ont dénoncé la "présence militaire hezbollahi" en Syrie à tire d'"une grave erreur stratégique", erreur " qui finira par éroder l'ancrage populaire de la Résistance auprès des peuples arabes et musulmans ainsi que la puissance de frappe de ce mouvement". et pourtant, l'ennemi numéro un du Hezb contre qui le Hezbollah s'est battu et a gagné multiplie des analyses qui vont toutes dans le sens contraire : les experts israéliens font remarquer ces jours -ci , le "grand acquis balistique du Hezb" , acquis remporté grâce à sa présence militaire en Syrie! en effet la tache la plus difficile de ces deux dernières années des experts du renseignement israélien a consisté à bloquer l'envoie des convois de missiles " syriens" en direction du Liban et plus précisément du Hezbollah! Israël revendique d'ailleurs plusieurs raids aériens contre le territoire syrien au nom des efforts " qu'il est censé fournir afin d'empêcher le Hezbollah de grossir son arsenal balistique" . ceci étant dit , " les propos des sionistes laissent transpercer une totale déception, le Hezbollah ayant déjà réussi à se procurer les pièces essentielles des missiles et à les stocker. tout ce que le renseignement sioniste s'emploie en ce moment à faire c'est de compter le nombre de missiles qui gîtent dans les arsenaux balistiques de la Résistance . l'un des commandants de l'armée israélienne a reconnu récemment que seuls 4 ou 5 pays au monde possèdent des arsenaux balistiques plus grands que ceux du Hezbollah ! " cet arsenal est identique à celui d'une armée nationale". le général Ayoun a ajouté : " de grandes organisations terroristes (!!!) comme le Hezbollah ont connu ces derniers temps une croissance exponentielle en termes de puissance de frappe et de capacités militaires . le Hezbollah s'est transformé en une organisation paragouvernementale . avec un arsenal pareil, le Hezb n'a pas à avoir honte devant les grandes armées du monde. c'est un arsenal rare en terme de précision et de qualité de ses composantes , ajoute le général. Alors l'engagement militaire en Syrie, une erreur? d'aucuns affirment tout le contraire vu que la présence militaire du Hezbollah en Syrie lui a également permis un rapprochement sans précédent avec la Russie , rapprochement qui n'ira pas sans se répercuter sur la puissance militaire du Hezb !!

Le président iranien Hassan Rohani doit effectuer une visite en Turquie lundi, sa première dans ce pays depuis son élection l’an dernier, a annoncé jeudi une source officielle turque.

M. Rohani s’entretiendra notamment à Ankara avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan des relations bilatérales et de la situation au Proche-Orient, a précisé ce responsable à l’AFP sous couvert d’anonymat.

Cette visite était prévue depuis un certain temps et le président iranien sera accompagné d’une importante délégation de ministres, a-t-il ajouté.

La Turquie et l’Iran, deux Etats voisins, tentent d’améliorer leurs rapports crispés par le conflit syrien, dans lequel Ankara a pris fait et cause pour les rebelles et Téhéran soutient le gouvernement syrien.

M. Erdogan s’est rendu en janvier en Iran, où il avait annoncé l’intention des deux pays de doubler en 2014 le volume de leurs échanges commerciaux, de 13,5 milliards de dollars (10 milliards d’euros) à 30 milliards de dollars (22 milliards d’euros).

Largement dépendante de l’Iran et de la Russie pour ses ressources énergétiques, la Turquie envisage d’augmenter ses importations de pétrole et de gaz en provenance de Téhéran à la faveur de la levée des sanctions internationales prévue dans le cadre de l’accord intérimaire sur le nucléaire iranien.

Pour la première fois, des représentants américains et iraniens vont se rencontrer en bilatéral lundi à mardi à Genève pour discuter du programme nucléaire iranien.

L'annonce de cette rencontre surprise a été faite samedi par les Iraniens. Washington a confirmé laconiquement la rencontre sans commentaire, en ajoutant toutefois, qu'il n'y aura aucun point presse.

C'est la première fois que Téhéran mène des discussions bilatérales hors des séances des négociations avec le groupe 5+1 (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne).

Ni le lieu, ni le programme des rencontres n'ont été annoncés. Dans les milieux diplomatiques à Genève, on s'attend cependant à ce que que les rencontres aient lieu à l'hôtel Intercontinental, prisé par les Iraniens.

Les discussions seront focalisées sur la levée des sanctions américaines en cas d'accord définitif sur le nucléaire iranien, que les deux parties souhaitent conclure d'ici le 20 juillet.

En janvier dernier, un accord préliminaire est entré en vigueur sur la levée des sanctions, en échange de la limitation de l'enrichissement d'uranium. L'accord, valable 6 mois le temps d'élaborer un texte définitif, se termine en principe le 20 juillet. Il peut cependant être prolongé.

La diplomate en chef de l'Union européenne, Catherine Ashton, qui mène les négociations au nom des pays du groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), sera représentée à Genève lundi et mardi par son adjointe, Mme Helga Schmid.

L'accord global que les 5+1 cherchent à conclure avec l'Iran devrait régler une question entre Téhéran et la communauté internationale, qui dure depuis plus de 10 ans.

Côté américain, la délégation qui viendra lundi à Genève sera conduite par le sous-secrétaire d'État William Burns.

Après les discussions genevoises, une rencontre bilatérale est également prévue par les Iraniens avec la Russie, mais à Rome cette fois-ci, soit mercredi et jeudi.

L'Iran aura des négociations avec tous les membres du groupe 5+1 mais les Etats-Unis sont le principal et le plus important interlocuteur car ce sont les Américains qui ont créé tout ce brouhaha à propos du programme nucléaire pacifique de l'Iran, a déclaré à l'AFP Cyrus Nasseri, membre de l'équipe de négociateurs nucléaires entre 2003 et 2005 lorsque l'actuel président Hassan Rohani était en charge des négociations.

Toute la question est de savoir si les Etats-Unis sont désormais prêts à faire le pas et accepter une solution raisonnable gagnant-gagnant pour les deux parties.

Les dirigeants iraniens, y compris le président Rohani ont répété ces dernières semaines que l'Iran ne renoncera pas à ses droits nucléaires, notamment posséder un programme de production de combustible nucléaire pour ses futures centrales et réacteurs.

Mais pour Téhéran, il s'agit aussi de discuter des modalités de la levée des sanctions économiques.

L'un des principaux sujets de discussions (avec les Etats-Unis, ndlr) est comment défaire la toile d'araignée des sanctions pour permettre à l'Iran de rétablir ses relations économiques avec le reste du monde, estime encore M. Nasseri, qui se dit en tout cas optimiste sur les négociations.

Officiellement, Téhéran a indiqué que les réunions bilatérales ont pour but de préparer la prochaine session avec les 5+1, prévue du 16 au 20 juin à Vienne, et ajouté que des réunions bilatérales avec d'autres membres du groupe étaient en préparation.

Selon une source diplomatique française, la réunion de Genève évoquera des aspects spécifiquement américains concernant la levée des sanctions en cas d'accord. Cette réunion est concertée avec l'ensemble du 5+1.

Depuis le 20 janvier, plusieurs séries de discussions ont été menées entre l'Iran et les grandes puissances pour mettre fin à dix ans de crise sur la question nucléaire, mais la dernière séance, en mai à Vienne, s'est achevée sans résultat.

L'étendue du programme d'enrichissement (nombre de centrifugeuses et niveau de la production d'uranium enrichi), le réacteur à eau lourde d'Arak, capable de produire du plutonium, et le site d'enrichissement de Fordo sont les principaux sujets.