تقي زاده

تقي زاده

«Nous ne permettrons jamais que la combattivité des forces armées de notre pays soit une variante des négociations politiques».

C’est le Commandant de la Marine iranienne, le contre-amiral Habibollah Sayyari qui l’a souligné, à l’antenne d’Al-Alam, réitérant que la nature du travail des hommes politiques est différente de celle des militaires. «Les négociations politiques ont leur propre place et processus, tandis que les forces armées, sans se soucier si les négociations se tiennent ou non, si elles ont ou n’ont pas enregistré des progrès, devront être toujours prêtes», a indiqué le contre-amiral Sayyari.

«Il relève du devoir des forces armées de défendre le pays ; la Marine est chargée, pour sa part, de défendre les frontières maritimes, les ressources et les intérêts du pays ; ceci étant, la combattivité des forces navales ne se réduira jamais et elles seront toujours prêtes à remplir leur devoir», a souligné le contre-amiral Sayyari, qui a, ensuite, évoqué la présence des forces américaines et d’autres forces extrarégionales, dans le golfe Persique et la mer d’Oman.

«Le golfe Persique, le détroit d’Hormuz, la mer d’Oman et le Nord de l’océan Indien, avec toutes leurs ressources, appartiennent aux pays de la région, et la présence d’autrui, dans une zone qui ne lui appartient pas, perturbera la donne et constituera une menace pour tous les pays de la région», a conclu le contre-amiral Sayyari.

Selon les sources bien informées , Genève II ne pourra pas se tenir tant que le statut des groupes armés dont le nom est inclus sur la liste noire du département d'état ne sera pas défini. selon Al Nashra qui cite un diplomate oriental, les succès fulgurants de l'armée syrienne sur le terrain des combats rendent peu probable la tenue de la conférence de Genève II avant la fin de l'année en cours. selon cette source, ce report serait essentiellement du à de nouvelles divergences qui viennent d'éclater entre les pays protecteurs des terroristes en Syrie , divergences qui ne sont pas étrangères aux efforts de ces états de se tirer du pétrin syrien. à titre d'exemple, la Turquie est mécontente de voir les kurdes syriens proclamer l'autonomie de leurs régions. ou encore l'Arabie saoudite qui semble revenir à des positions plus réalistes en annonçant sa participation à Genève II. La Syrie non plus ne fait pas montre de beaucoup d'empressement pour participer aux pourparlers de Genève II dans la mesure où son armée continue sa progression dans presque toutes les régions occupées par les terroristes . les experts militaires n'écartent pas quant à eux la possibilité d'une victoire finale de l'armée d'Assad vu que celle-ci a réussi des assauts spectaculaires dans la localité stratégique de Al Qalamoun et qu'au sud de Damas, elle a pu séparer Ghouta est et Ghouta Ouest , coupant de la sorte les voies d'approvisionnement des rebelles dans ces deux localités. la fin des combats sur le terrain pourrait donc clore le dossier avant qu'il soit trop trainé sur le terrain diplomatique. les impacts de la progression de l'armée arabe syrienne ne se réduisent pas à un rééquilibrage des forces sur le champ de la bataille, ils pourraient entrainer une annulation de l'ordre des débats de la conférence de Genève II. La reprise de Ghouta est et ouest ainsi que d'Al Qalamoun va rendre nul et non avenu les pourparlers et les dossiers qui pourront y être traités . en d'autres termes , les opposants qui contrôlent ces régions actuellement n'auront plus rien à négocier. cette source orientale évoque la position iranienne concernant la tenue de Genève II : les iraniens non plus ne sont pas trop enthousiastes car ils attendent surtout voir à quoi vont mener leurs pourparlers nucléaires avec les grandes puissances. Téhéran sait bien que le nucléaire pourrait peser de tout son poids sur la Syrie et créer de nouvelles équations dans la région . Le nucléaire réglé, les iraniens sauront s'ériger en puissance et jouer un rôle indiscutable sur les marchés énergétiques . la diplomatie c'est faire le plus de point autour de la table des négociations, ce qui demande du temps . Donc patienter va dans l'intérêt des iraniens. cette source souligne aussi le bourbier dans lequel sont piégés les terroristes en Syrie. . ce sont eux les vrais perdants de cette histoire et qui ont payé le prix fort pour leur suivisme. les chutes des localités contrôlées par les terroristes les unes après les autres prouvent bien que ces derniers sont réellement affaiblis . jusqu'à cette date, les terroristes contrôlaient des zones stratégiques . ils présentaient une menace réelle pour Assad non pas dans la parole mais bien dans l'acte . or en un clin d'œil ils se sont transformés en une armée défaite . ils reculent à une vitesse extraordinaire face aux soldats qui n'ont pas changé la nature de leurs armes mais leur tactique.

Suite à la visite d’une délégation diplomatique russe au Caire, le chef du renseignement saoudien se rendrait à Moscou pour examiner la possibilité de la création d’un axe tripartite par la Russie, l’Arabie saoudite et l’Egypte.

Le quotidien libanais al-Jomhuriah a rapporté que de nouveaux contacts ont été établis entre les autorités saoudiennes et russes, en prévoyant que le chef du renseignement du royaume saoudien, Bandar ben Sultan, se rendrait probablement à Moscou. En effet, après la visite des ministres russes des Affaires étrangères et de la Défense au Caire, il paraît que Bandar ben Sultan est en train d’examiner la possibilité de la formation d’un axe tripartite par l’Arabie saoudite, l’Egypte et la Russie, et ce d’autant plus qu’il est possible que Riyad soutienne financièrement les contrats d’armements que les Russes et les Egyptiens veulent conclure prochainement.

Cheikh Ahmadi, membre de la commission parlementaire de la sécurité nationale et de la politique étrangère a dit que le terrorisme se présente comme une grande préoccupation mondiale. Le terrorisme est un phénomène néfaste et un danger pour tout le monde. Tous les gens condamnent les idéologies terroristes.

Concernant le discours du président russe sur le retour des terroristes dans leurs pays, Cheikh Ahmadi a déclaré : « Les terroristes qui sont venue renverser l’Etat syrien selon des puissances occidentales, deviennent le grande soucie des leur pays. Aujourd’hui, ils sont soutenus par ces puissances. Ils(les terroristes) ont des armes et des expériences pour d’autres activités. Donc, ils constituent un grand danger pour ces pays.»

La plupart des terroristes qui combattent l’armée syrienne sont venus des régions comme Caucase et de Tchétchénie. Donc, la Russie ressent une grande soucie de la part de ces combattants, a-t-il ajouté.

Dès le débout, la République islamique d’Iran a tiré la sonnette d’alarme à propos du retour de ces terroristes dans leur pays d’origine. Bien que la Russie ne se trouve pas parmi les pays qui soutiennent les terroristes en Syrie, mais sa soucie n’est pas irréelle. Il est évident que la Russie ne permet pas à ces terroristes de refaire leurs activités illégales dans les pays de l’ancienne République soviétique, a-t-il souligné.

Le terrorisme est devenu une soucie mondiale. C’est un phénomène néfaste qui constitue le vrai danger pour le monde entier. Toute personne raisonnable condamne les actes terroristes. Malheureusement, certaines puissances et des pays, à leur tête les Etats-Unis mènent une politique de deux poids, deux mesures vis-à-vis de cette question, a-t-il insisté.

Vous constatez que les américains sont en pleine coordination avec des terroristes en Syrie. Le gouvernement américain soutient les combattants en Syrie. Mais, il combat une partie de ces combattants dans d’autres pays de l’Afrique et du Moyen-Orient. Ce sont ces mesures contrariées qui empêchent les Etats-Unis d’arriver à des résultats positifs face à ces groupes terroristes. Quand les activités des groupes terroristes et extrémistes sont conformes aux intérêts américains, ces derniers soutiens les combattants ; lorsque ces activités sont contre les intérêts américains, ils les combattent.

La République islamique d’Iran présentera lundi son nouveau drone. L'événement aura lieu en présence du ministre iranien de la Défense, le général de brigade Hussein Dehqan.

Selon le rapport du ministère de la Défense, le dimanche, il est « Fotros » le plus grand avion sans pilote fabriqués par le pays perse, qui a des capacités spéciales.

La cérémonie aura lieu dans l'entreprise de fabrication industrielle Iran Aircraft, entité dépendante de l'Organisation de l’industrie de l'aviation du ministère de la Défense.

En mai dernier, l'Iran a dévoilé un autre drone appelé « Hamase » (Epic), un avion de reconnaissance et de combat, capable de vols long-courriers.

Malgré les sanctions unilatérales imposées par certains pays occidentaux contre l’Iran, le pays perse a fait des progrès significatifs dans le domaine de la défense selon ABNA.

A également atteint l'autosuffisance dans la production d'équipements et de systèmes militaires, y compris des chars, des destroyers, des drones et des missiles de pointe et des systèmes de radar.

Téhéran a toujours souligné que sa puissance militaire ne représente aucune menace pour d'autres pays, en particulier les voisins, comme sa doctrine de défense est fondée sur la dissuasion.

Des combats entre tribus rivales au Darfour, une région de l'ouest du Soudan, ont fait 100 morts, a indiqué samedi la radio publique.

"Le nombre de morts s'élève à 100", après des combats entre les tribus Misseriya et Salamat, a indiqué Radio Omdurman dans un bref bulletin envoyé par SMS, sans indiquer quand avaient eu lieu ces combats.

Radio Omdurman a indiqué que les combats avaient cessé mais un chef des Misseriya a affirmé à l'AFP qu'ils se poursuivaient samedi autour de la ville d'Umm Dukhun, avec plus de 50 morts des deux côtés.

Des soldats tchadiens membres d'une patrouille mixte soudano-tchadienne à la frontière ont notamment été tués jeudi lors de combats avec les Salamat, selon une source humanitaire

Les négociations nucléaires entre l'Iran et les grandes puissances qui reprennent mercredi à Genève seront difficiles, selon des responsables iraniens cités dimanche par les médias.

Les pays du groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) se retrouveront dans la ville suisse pour la troisième fois en un peu plus d'un mois pour tenter de trouver un accord sur le programme nucléaire iranien.

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry doit pour sa part se rendre vendredi en Israël afin de discuter des négociations avec Téhéran, alors que le régime hébreu tente de faire pression sur lui en l'accusant de vouloir conclure à tout prix un très mauvais accord.

Les négociations à venir seront difficiles, a prévenu le vice-ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui dirige l'équipe des négociateurs iraniens sur place.

Aucun accord ne sera atteint en cas de non respect des droits de la nation iranienne en matière nucléaire et sur l'enrichissement d'uranium, a-t-il souligné.

De son côté, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a répété que l'enrichissement d'uranium fait partie intégrante des droits de l'Iran selon le Traité de non prolifération nucléaire (TNP).

John Kerry avait déclaré lundi qu'aucun pays n'avait un droit établi à enrichir de l'uranium.

Notre droit à l'enrichissement n'est pas négociable, mais de plus nous estimons qu'il n'est pas nécessaire qu'ils reconnaissent ce droit car ce droit est inséparable (du TNP) et tous les pays doivent le respecter, a déclaré M. Zarif à l'agence Isna.

Il a ajouté qu'aucun pays du groupe 5+1 n'avait demandé lors des récentes négociations l'arrêt de l'enrichissement d'uranium. La suspension totale de l'enrichissement est notre ligne rouge et nous ne la franchirons pas, a-t-il ajouté.

Nous espérons que les choses mises en avant (lors de la dernière réunion) ne le seront pas (à nouveau) et que nous pourrons faire avancer les discussions, a déclaré le numéro trois de l'équipe des négociateurs iraniens, Majid Takht Ravanchi, cité par l'agence Fars.

Les négociations avaient bien progressé et nous étions arrivés à un texte(d'accord) mais un pays a demandé des modifications, a-t-il expliqué. La base des négociations pour l'Iran est la première mouture et non le texte modifié ensuite.

Des responsables américains, européens et russes ont affirmé ces derniers jours qu'un accord était à portée de main sur le nucléaire iranien.

Les positions des deux parties se sont rapprochées et il est possible d'arriver à un accord écrit, a renchéri M. Zarif.

Le chef de la diplomatie a également souligné que toute les actions prises par les différentes parties sont réversibles si on n'arrive pas au résultat escompté dans les négociations, répondant aux affirmations des responsables américains sur la levée réversible de certaines sanctions.

Il n’y a pas qu’avec le Qatar et l’Arabie Saoudite qu’Hollande joue les p.....!!!!

A l’instar de Guy Mollet collaborateur du régime sioniste Hollande exécute les ordres de Tel Aviv en matière de politique étrangère livre le savoir faire militaro industriel de la France en renforçant la coopération militaire avec Israël – Journée de l’Innovation France Israël Mardi - et sabote les chances d’exportations françaises vers l’Iran en se soumettant au dictat de Netanyahou dans les négociations sur le nucléaire iranien.

Hollande va prêter allégeance aux dirigeants sionistes et leur culte de la mort pratiqué dans leur Temple de Yad Vashem construit en Palestine dans Jérusalem occupée.

Alors que le scandale de l’espionnage mondial américain en révélait un autre celui de l’espionnage de l’Elysée par le Mossad, Hollande s’est tu.

Alors que la tension montait et qu’une guerre contre la Syrie était sur le point d’être déclenchée – Hollande prêt à sacrifier des pilotes français dans une attaque sur Damas prévue le 1er Septembre- l’agent sioniste Fabius se rendait à Tel Aviv pour régler avec la direction sioniste les derniers détails de cette attaque manigancée en coulisse par l’entité coloniale juive sioniste. Hollande était donc prêt à sacrifier des soldats français pour obéir au dictat sioniste exigeant la destruction de la Syrie.

Alors qu’un accord entre le groupe P5+1 et l’Iran était sur le point d’être signé tout récemment, Fabius avec le feu vert de Hollande obéissant à Netanyahou a saboté au dernier moment cet accord bien que ce ne soit pas dans l’intérêt de la France de faire monter les tensions au Moyen Orient au risque de déclencher une guerre régionale voire mondiale.

A cause de cette politique servile à l’égard de Tel Aviv – qui dicte les sanctions contre l’Iran votées par le Congrès américain acheté par le Lobby juif sioniste AIPAC - l’industrie française subit directement les conséquences de ces sanctions. Même la Grande Bretagne alignée sur les US a renoué avec l’Iran en ouvrant une mission commerciale à Téhéran pour se placer sur le marché juteux iranien de l’exploitation des ressources énergétiques entre autres. L’Iran c’est un marché potentiel de 80 millions d’habitants.

Compte tenue de sa servilité au régime sioniste la France de Hollande sera la grande perdante en plus de l’humiliation subie sur la scène politique internationale à cause de cet esclavage révélé à la terre entière.

Lors de sa visite en Palestine occupée par l’entité juive sioniste Hollande va donner sa bénédiction à une coopération militaire renforcée avec cette entité.

Hollande sera « l’invité d’honneur » de la « journée de l’innovation France Israël » Mardi à Tel Aviv. Ubifrance une agence de promotion des entreprises sponsorise cette journée et a organisé une rencontre entre des entrepreneurs français et les fabricants d’armes israéliens Elbit et Israël Aerospace Industries.

Une note d’information préparée par Ubifrance fait l’éloge du secteur aéronautique israélien pour ses ventes annuelles record pour un montant de 6 milliards de $ en 2009 et 2010. Depuis les exportations d’armements israéliens n’on cessé de croitre car Israël teste ces derniers « live » sur les Palestiniens enfermés dans le ghetto à ciel ouvert de Gaza.

Cette note d’Ubifrance complimente Israël pour ses exportations de drones mais oublie de mentionner qu’ils ont été testés dans Gaza sur une population palestinienne majoritairement composées d’enfants et que ces drones tueurs incinèrent vivants les victimes ciblés de même que ceux à proximité. Un four crématoire tout en un en quelque sorte pas besoin de transporter les victimes dans des wagons à bestiaux d’ériger des chambres à gaz ou de faire creuser des fosses communes. Les victimes sont réduites sur place à l’état de particules de carbone un génocide au ralenti.

La note d’Ubiffrance mentionne également les avantages offerts par l’industrie aéronautique israélienne aux entreprises françaises. Airbus Toulouse a facilité un rapprochement franco israélien en vendant des avions civils à Isair. Jusqu’à présent l’aviation civile israélienne se fournissait auprès du principal concurrent d’Airbus, l’Américain Boeing.

Selon la Chambre de Commerce France Israël « le Jour de l’Innovation » sera un « succès garanti ». Le site israélien spécialisé dans la high tech IsraëlValley rapporte que c’est « presque certain » qu’Hollande discutera de coopération en matière de drones avec le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou.

Dans son livre blanc sur la défense le gouvernement Hollande s’est engagé à accroître son arsenal de drones non pas pour booster l’industrie aérospaciale française mais pour acheter des drones américains les Reaper et en prévision d’autres achats étudie aussi l’achat de drones israéliens. Thales a déjà fait équipe avec Elbit pour fabriquer des drones les Watchkeeper utilisés par l’armée britannique en Afghanistan.

Les Israéliens sont connus pour leur efficacité en matière d’espionnage industriel. Hollande en leur offrant sur un plateau d’argent une coopération rapprochée entre l’industrie militaire et aérospaciale française et israélienne leur livre gratuitement tout le savoir faire français. Hollande contribue ainsi à renforcer les ventes d’armements israéliens sur le marché mondial. Israël vient de détrôner la France en devenant le quatrième exportateur mondial d’armement.

En cela Hollande suit les traces de Guy Mollet qui avait livré le savoir faire nucléaire français à Tel Aviv et ainsi permis au régime colonial juif sioniste de fabriquer des bombes nucléaires actuellement pointées non seulement sur Téhéran et Damas mais aussi sur Paris.

Hollande n’a aucun problème à voir la France humiliée par le régime colonial juif sioniste. Outre les humiliations évoquées ci-dessus lorsque du personnel diplomatique est violenté en Palestine occupé Hollande se tait pour ne pas fâché son ami Netanyahou.

En Septembre dernier Marion Castaing diplomate française a été violemment prise à partie par des soldats israéliens et jetée à terre alors qu’elle accompagnait un convoi d’aide humanitaire en Cisjordanie occupée. Hollande s’est tu pire il a fait rapatrier la diplomate à Paris.

L’UE elle-même sponsorise – avec l’argent des contribuables européens- ce « Jour de l’Innovation » organisé par Ubifrance alors même qu’elle a publié l’été dernier des directives interdisant de financer des projets dans les colonies juives de Cisjordanie occupée provoquant une réaction de protestation très vive de Tel Aviv

La semaine passée le quotidien israélien Haaretz a affirmé que la dispute entre Bruxelles et Tel Aviv est sur le point d’être réglée car l’UE a promis de suivre ces directives de manière «raisonnable» autrement dit de les contourner pour ne pas s’attirer les foudres du régime sioniste. Le gouvernement Hollande s’est lui-même montré favorable à des « aménagements « de ces directives. Mais ce ne sera pas la première fois que l’UE à l’initiative de certains membres dont la France et l’Allemagne bafouent ses propres directives et décisions.

Hollande ne suit pas seulement les traces de Guy Mollet lorsqu’il se plie au désidérata des groupes de pression juifs sionistes. Avant lui en 1917 Jules Cambon Secrétaire Général au ministère des affaires étrangères avait promis à l’Organisation Sioniste Mondiale que la France apporterait son soutien au projet juif sioniste de colonisation de la Palestine. Il avait écrit à l’époque : « le gouvernement français ne peut que ressentir de la sympathie pour votre cause dont le triomphe est lié à celui des alliés (combattant alors l’Allemagne) »

Depuis la sympathie des élites politiques françaises de tous bords s’est transformée en amour aveugle pour l’entité coloniale d’apartheid juive sioniste – à l’exception de la France dirigée par De Gaulle- au point que la France est devenue esclave des dictats juifs sionistes.

Il est temps de libérer la France de ces politiciens - de gauche et de droite - collaborateurs des colons criminels de guerre juifs sionistes et de leurs agents d’influence infiltrés au plus au niveau de l’état et que le pays retrouve son indépendance son honneur et son rayonnement –notamment en matière de diplomatie - au sein des Nations.

Le ministre des affaires étrangères russe, Sergey Lavrov, a dévoilé comment Fabius est intervenu au dernier moment pour le compte d’Israël pour amender le texte de l’accord sur lequel les P5+1 et l’Iran s’étaient entendus sabotant l’accord final. Exigeons le départ de cette clique PSioniste qui sert les intérêts d’une puissance étrangère au détriment de ceux de la France des entreprises et industries françaises et des Français

Lavrov révèle le texte amendé de l’accord ayant circulé au « dernier moment »

Le ministre des affaires étrangères russe, Sergey Lavrov, a révélé Jeudi un détail crucial sur les discussions à Genève la semaine dernière sur le nucléaire iranien qui explique bien plus clairement que les informations précédentes pourquoi la réunion s’est achevée sans accord.

Lavrov a dit que les US ont fait circuler pour approbation un texte auprès des autres membres des Six Puissances P5+1 amendé à la demande des Français « littéralement au dernier moment quand nous étions sur le point de quitter Genève »

La révélation de Lavrov qui a jusqu’à présent été ignorée par les médias de masse, a été faite lors d’une conférence de presse au Caire Jeudi principalement consacrée à l’Egypte et la Syrie. Lavrov a fourni les premiers détails réels sur les circonstances du départ de l’Iran de Genève sans accepter le texte présenté par les P5+1.

La totalité de la déclaration de Lavrov lors de la conférence de presse est disponible grâce à la publication par la correspondante Ksenya Melnikova sur Voice of Russia.

Lavrov a noté qu’ à la différence des précédentes réunions impliquant les P5+1 et l’Iran « cette fois le groupe P5+1 n’a pas conçu de document conjoint »

Au lieu de cela a-t-il dit : « il y a eu un texte proposé par les Américains qui a semble-t-il été approuvé par l’Iran ». Lavrov a donc confirmé le fait que les US et l’Iran étaient arrivés à un accord informel sur un texte négocié.

Il a de plus confirmé que la Russie avait été consultée en même temps que les 4 autres puissances participant aux négociations (la Chine, la France, l’Allemagne, et la Grande Bretagne) sur le texte préalablement aux discussions – apparemment Jeudi soir selon d’autres informations publiées.

« Nous avons vigoureusement soutenu ce texte » a dit Lavrov. « Si ce document avait été soutenu par tous (membres des P5+1) il aurait déjà été adopté. Nous serions probablement déjà dans les étapes initiales d’implantation des accords qu’il offrait »

Puis Lavrov a révélé pour la première fois que la délégation US avait apporté des changements sur insistance de la France sans que la Russie ne soit consultée dans le texte négocié qui avait déjà été agréé par l’Iran (Caractères gras de la traductrice)

« Mais les amendements ont soudainement fait surface » a dit Lavrov. « Nous ne les avons pas vus. Et la version amendée a été distribuée littéralement au dernier moment quand nous étions sur le point de quitter Genève »

Lavrov a sous entendu que la délégation russe forcée de prendre une décision pour ou contre rapidement sur le texte amendé n’a pas réalisé à quel point il pouvait provoquer l’échec des discussions.

I[« A première vue la délégation russe n’a pas vu de problème significatif dans les amendements proposés »]i a dit Lavrov.

Il a fait comprendre cependant qu’il considère maintenant que la manœuvre US consistant a faire accepter par les 6 Puissances le texte amendé avec un langage plus dur – même si adouci par les rédacteurs US- sans consultation préalable avec l’Iran est une bourde diplomatique.

« Bien sûr le langage utilisé pour ces idées doit être acceptable pour tous les participants au processus – à la fois le groupe des P5+1 et l’Iran – « a dit Lavrov.

Les détails cruciaux fournis par Lavrov sur le timing du texte amendé jettent un nouvel éclairage sur l’affirmation faite par John Kerry lors d’une conférence de presse à Abu Dhabi Lundi sur l’unité parmi les 6 puissances sur ce texte.

« Nous étions unis Samedi quand nous avons présenté une proposition aux Iraniens. » a dit Kerry ajoutant que « tout le monde était d’accord que c’était une proposition juste »

Kerry n’a fourni aucune indication sur quand Samedi la proposition avait été acceptée par les 5 autres puissances de même qu’il n’a pas reconnu explicitement que c’était un texte qui s’écartait du précédent accepté par l’Iran. Les remarques de Lavrov montrent que les autres membres du groupe ont eu peu de temps voire n’ont pas eu le temps d’étudier ou de discuter les changements avant de décider de l’accepter.

Bien que la nature des changements dans le texte amendé reste secrètes, le ministre des affaires étrangères iranien, Mohammed Javad Zarif, a accusé ces derniers d’être bien plus conséquents et qu’ils dénaturaient bien plus que ce que les participants avaient cru le texte sur lequel les US et l’Iran c’étaient mis d’accord.

Zarif dans des tweets Mardi répondant aux remarques faites par Kerry à Abu Dhabi a écrit : « Mr le Secrétaire, est ce que c’est l’Iran qui a saboté plus de la moitié du texte des US Jeudi soir ? » Les commentaires de Zarif montraient que les changements dans la formulation ont rendu nul l’accord précédent qui avait été obtenu entre les US et l’Iran sur de multiples questions.

Les deux points soulevés par le ministre des affaires étrangères français, Laurent Fabius, à Genève portaient sur ce qu’on exigerait de l’Iran concernant le réacteur à eau lourde d’Arak et son stock d’uranium enrichi à 20%.

L’accord passé avec l’Iran avant Samedi exigeait que l’Iran « n’active » pas le réacteur d’Arak mais n’exigeait pas de mettre fin immédiatement à toute activité sur le réacteur selon un résumé détaillé fuité à CNN par deux hauts responsables de l’administration Obama Jeudi soir 7 Novembre.

Le passage du mot « activer » à un autre mot suggérant que l’Iran devrait suspendre toute activité à Arak – ce que Fabius demandait pour le compte d’Israël Samedi – aurait rendu nul le compromis précédent entre les US et l’Iran.

Plus sensible encore politiquement était l’accord Jeudi soir portant sur le devenir du stock iranien d’uranium enrichi à 20%. C’était le principal point d’inquiétude sur la prolifération de l’administration Obama car théoriquement ce stock pouvait être enrichi pour fabriquer des armes.

Mais le résumé fuité à CNN indiquait que le texte accepté avait exigé de l’Iran qu’’il rende inutilisable le gros de son stock existant » ce qui laissait ouverte pour l’Iran l’option de continuer à convertir le stock en « barres de combustible » pour le Réacteur de Recherche de Téhéran ( TRR) ou pour un réacteur identique dans le futur.

Selon le dernier rapport de l’AIEA rendu public Jeudi l’Iran a enrichi à 20% 420kg d’uranium un peu plus de la moitié ayant été convertie pour de telles barres. L’accord atteint avant Samedi anticipait évidemment sur le fait que l’Iran convertirait le gros des 197kg restant en barres de combustible pendant la période intérimaire de l’accord.

Cela réduirait le stock à moins de 100kg et réduirait le stock approximativement à 1/5 des 250kg d’uranium enrichi à 20% qui selon Israël serait suffisant pour obtenir de l’uranium enrichi pour fabriquer une seule bombe atomique.

Mais si le texte a été modifié pour changer « rendre inutilisable » en un langage exigeant l’exportation de la majorité du stock comme il semble que cela ait été le but de l’intervention de Fabius cela aurait rendu caduque le compromis essentiel qui rendait l’accord possible.

Le tweet de Zarif combiné aux remarques faites par le président Hassan Rouhani devant l’assemblée nationale Dimanche mettant en garde que les droits de l’Iran à l’enrichissement étaient des « lignes rouges » qui ne pouvaient être franchies suggèrent en plus que le langage du texte originel de l’accord concernant la «fin du jeu » du processus de négociation avait aussi été changé Samedi.

Kerry lui-même a fait allusion sur ce point dans ses remarques à Abu Dhabi utilisant la formulation bizarre qu’aucune nation n’avait un « droit existant à enrichir ».

L’un des changements de langage dans l’accord était évidemment lié à cette question et cela visait à satisfaire une demande d’origine israélienne au détriment de l’acceptation par l’Iran du texte.

Maintenant l’administration Obama sera confrontée à une décision soit de faire pression sur l’Iran pour accepter ces changements ou de revenir au compromis originel quand les directeurs politiques des 6 puissances et l’Iran se réuniront de nouveau le 20 Novembre. Le choix fait fournira un indicateur clé sur le sérieux de l’engagement d’Obama à obtenir un accord avec l’Iran.

dimanche, 17 novembre 2013 11:56

Fatwa anti-chiite de Qaradawi

Le chef de l’Union Mondiale des Oulémas Musulmans a lancé une fatwa dans laquelle il a appelé à la désobéissance envers le gouvernement établi en Egypte et à l’assassinat des disciples de l’Ahl-ul-Bayt (AS) sous prétexte d’aider la « révolution syrienne ».

Selon le site d’information Al Moujez, dans des sermons de la prière du vendredi de Doha, Youssef Qaradawi a appelé à restituer le gouvernement de Mohammed Morsi, président déchu et mis l’accent sur la nécessité de boycotter le référendum sur la nouvelle constitution égyptienne.

Youssef Qaradawi a pris une position anti-chiite en demandant aux groupes armés en Syrie de s’unir contre ce qu’il appelait « bloc chiite » soutenu par certains pays.

Par ailleurs, on apprend que des affrontements entre les partisans et les opposants de Mohammed Morsi, dans différentes villes égyptiennes, ont fait au moins 2 morts.

Ces affrontements ont eu lieu après l’appel lancé par les Frères Musulmans pour une manifestation ayant pour slogan « Non à la justice de représailles », manifestation au cours de laquelle un enfant égyptien a été tué à Al Siouf par les partisans des Frères Musulmans.

La coalition nationale de soutien à la légitimité, dépendant des Frères Musulmans a présenté les chefs du coup d’Etat comme responsable du meurtre de l’enfant.