
تقي زاده
Guide Suprême Rohani soutient voyage de diplomatie pour USA
Le Guide suprême de la révolution islamique l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, le samedi réitéré son soutien à la diplomatie de l'administration du président Hassan Rohani, lors de son récent voyage aux Etats-Unis.
Nous soutenons les actions diplomatiques du gouvernement, de reconnaître l'importance de leurs efforts et de soutenir les réalisations de son récent voyage a marqué l'ayatollah Khamenei lors d'une cérémonie militaire.
À cet égard, le Guide suprême a souligné que même si certaines de ces réalisations, à son avis, n'ont pas été suffisantes, est optimiste quant aux travaux de la délégation diplomatique iranienne.
Toutefois, il a rappelé le pessimisme de l'Iran sur le comportement des Américains et leur manque de confiance en eux.
Le gouvernement américain n'est pas fiable, dédaigneux, déraisonnable et injuste, a souligné le Guide suprême.
Selon l'ayatollah Khamenei, le gouvernement de Washington est kidnappé par le réseau sioniste international, c'est pourquoi il est forcé de contribuer à l'apaisement et à faire preuve de souplesse.
Il a également réaffirmé sa confiance dans les autorités iraniennes et les a exhortés à prendre des mesures fermes, mais à fond, afin d'examiner tous les détails et ne pas oublier les intérêts nationaux.
Il a souligné la solidité de la structure interne du système islamique, et a souligné que les principes fondamentaux de la Révolution islamique, qui est basé sur le respect des idéaux les plus élevés du système et le respect de la dignité nationale, ont conservé la Révolution et le peuple, et ont conduit à des progrès du pays, de sorte qu'ils doivent être défendues à la fois par les autorités et par le peuple iranien.
En outre, le Guide suprême a souligné que malgré la force des forces armées iraniennes, le principal élément pour la défense de la sécurité du système, la nation iranienne n'a jamais été une menace pour d'autres pays.
Se référant à des menaces répétées et des ennemis méchants, a averti que la réponse de l'Iran à tout grief contre lui être ferme et décisive.
De quoi a peur Israël, s'il entre en guerre contre le Hezbollah?
L'un des hauts commandants de l'armée israélienne a lancé une mise en garde : au cours d'une future guerre contre le Hezbollah,
le bilan des victimes civiles israéliennes sera plus lourd. " Dans le temps nous considérions le front nord comme deux parties distinctes . mais les choses ont changé à présent . les liens solides qui unissent le hezbollah, Assad et l'Iran ont unifié ces deux parties qui n'en font désormais qu'une et cette situation influe directement sur la configuration de nos forces et sur nos cartes et plans de guerre " a affirmé Yaïr Golan. " En cas de guerre future contre le Hezbollah, Israël va vivre sans nul doute l'une des guerres les plus dures, les plus nuisibles , les plus violentes de toute son histoire. Plus le Hezbollah engagera des forces, plus les dégâts contre Israël seront importants" dit le général sioniste au journaliste Walla. Golan s'est refusé à tout commentaire quand le journaliste de Walla l'a interrogé sur la guerre de 33 jours ou encore sur le tir des missiles du Hezbollah contre la ville de Safad. le général Golan a recu au cours de la guerre de 33 jours contre le Hezbollah deux balles tirées par le Hezbollah et les snipers du Hezbollah ont abattu deux de ses forces rapprochées alors qu'elles se trouvaient dans la position north. Interrogé sur la prochaine guerre contre le hezbollah, le général israélien a affirmé : " nous croyions que la guerre de 33 jours nous a apportés beaucoup d'acquis. mais nous sentons à présent que nous avons perdu beaucoup d'occasions. notre défaite n'est pas seulement due à des erreurs tactiques mais à un ensemble d'erreurs du renseignement". "Est-ce que le Hezbollah a peur de faire face à Israël? " lui a demandé le journaliste et voici sa réponse : " le Hezbollah jouit de multiples capacités et tout dépendra des cirsonstances. Israël se trouve en tout cas dans un état d'alerte permanent pour confronter le Hezbollah et ses alliés" le journaliste revient en suite sur la victoire militaire de l'armée arabe syrienne et du Hezbollah à Qusseir pour savoir si cette victoire pourrait fonder la future stratégie d'Israël face à al résistance libanais . le général évite de répondre directement à cette question, : " Le hezbollah est un ennemi puissant. et je ne demande jamais aux autorités militaires israéliens de prendre à la légère le danger que représente l'ennemi" " de nombreux analystes avaient prévu l'effondrement du régime syrien . à l'époque j'ai affirmé que ce régime durera et qu'il faudrait plus d temps pour qu'il soit effondré . Je me suis trompé. ce régime restera plus longtemps que prévu . j'avais avancé le chiffre d'un an et demi mais la guerre contre Damas pourrait être permanente"
Comment vivent les juifs d'Iran? CNN rapporte...
Le rapporteur de la chaîne américaine, CNN, s'est rendu en Iran pour interviewer les leaders et les membres de la communauté juive de l'Iran et a reflété leurs points de vue.
Selon l'agence Tasnim, le rapporteur de la CNN s'est rendu à Téhéran et a préparé un rapport sur la vie et les libertés des juifs en Iran. Avec sa présence à la synagogue, à l'école, au restaurant et à l'hôpital caritatif des juifs iraniens, le journaliste de la CNN a souligné : Il semble que nous sommes en Israël mais en fait c'est la RII. A la suite de ce rapport, le député des juifs au parlement iranien qui a accroché des tableaux de Moïse et du leader iranien dit : Les juifs sont totalement satisfaits de vivre en Iran.
-Interview de la CNN avec Ciamak Morsadegh,(CM) député juif au parlement iranien :
CNN : Y a-t-il des pressions sur vous pour rester en Iran ?
CM : Il n'y a aucune pression sur nous.
CNN : Est-ce que vous préférez vivre ailleurs ?
CM : Je préfère ne vivre qu'en Iran.
CNN ajoute ainsi son rapport :
Selon les bilans la communauté juive compte 10,000 à 20 ,000. Certains disent que l'Iran a la deuxième plus grande communauté juive au Moyen-Orient après Israël. Ces dernières années le nombre des juifs a diminué en raison de l'immigration, pourtant ceux qui sont restés disent qu'il n'y a aucune discrimination.Mme Shahnaz Ryhanian une juive iranienne déclare : Le judaïsme est bien respecté en Iran ; l'Iran est meilleur qu'ailleurs. Mme. Zarif Setareh-Shenas, une autre juive iranienne dit : Ici, les musulmans et les juifs vivent et travaillent côte à côte.
Le député juif Morsadegh ajoute : Malheureusement beaucoup de médias occidentaux diffusent des informations sur l'Iran qui ont une grande distance de la vérité. Il rejette les accusations concernant le fait que l'Iran et son gouvernement sont les ennemis des juifs avant d'ajouter : Dans l'histoire de l'Iran il n'y a même d'un seul cas d'antisémitisme organisé ... L'Iran s'oppose seulement aux politiques des sionistes israéliens dans les territoires occupés. Morsadegh poursuit : Il n'y a une grande différence entre un juif et un sioniste partisan d'Israël. Je crois que les démarches du régime d'Israël ne s'inscrivent pas dans la cadre des enseignements de Torah et Talmud. A la fin de son rapport la CNN ajoute : Les lois de l'Iran interdisent le voyage en Israël, pourtant les leaders des juifs iraniens disent que cette loi n'est pas appliquée à propos des juifs. Certains se sont rendus en Israël et ils sont revenus en Iran et ils estiment l'Iran comme leur patrie.
Guide suprême iranien juge les Etats-Unis pas fiables et met en garde contre Israël
L'Iran apportera une réponse sévère à toute action de ses ennemis, a également déclaré le numéro un du régime, après les menaces d'Israël d'attaquer l'Iran seul sous prétexte d'empêcher Téhéran de se doter de l'arme atomique.
Nous soutenons l'initiative diplomatique du gouvernement, et attachons de l'importance à ses activités durant ce voyage, a déclaré le guide suprême.
Mais une partie de ce qui s'est passé lors du voyage à New York était déplacée, a ajouté Ali Khamenei, sans préciser cependant à quoi il faisait allusion.
Il s'agit de sa première réaction aux avancées diplomatiques de M. Rohani, couronnées par un coup de téléphone de 15 minutes avec Barack Obama le 27 septembre, après plus de 30 ans de gel des relations entre les deux pays.
Nous sommes pessimistes envers les Américains, et nous ne leur faisons pas confiance. Le gouvernement américain n'est pas fiable, et il ne tient pas ses promesses, a-t-il ajouté.
Le guide suprême, qui a le dernier mot sur les affaires iraniennes, a également étrillé les Etats-Unis pour leur alliance avec l'ennemi numéro un de l'Iran, Israël.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé mardi d'attaquer les installations nucléaires iraniennes, action contre laquelle le guide suprême l'a mis en garde.
Nous entendons les menaces répugnantes et répétées des ennemis de la nation iranienne. Nous répondrons à tout acte (malveillant) avec sérieux et force, a-t-il déclaré.
Un bombardement de l'Otan tue cinq civils, dont trois enfants, dans l'est de l'Afghanistan
Cinq civils afghans, dont trois enfants, ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi par une frappe aérienne de l'Otan dans la province de Nangarhar, dans l'est de l'Afghanistan, ont affirmé à l'AFP des responsables locaux.
La nuit dernière, vers 23H00, cinq civils âgés de 12 à 20 ans étaient en train de chasser des oiseaux avec des fusils à plomb, à environ huit kilomètres de Jalalabad (la capitale provinciale, ndlr) quand ils ont été visés par une frappe aérienne des forces étrangères, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police provinciale, Hazrat Hussain Mashreqiwal.
Leurs corps ont été transportés à l'hôpital de Jalalabad, a-t-il ajouté. La mort des cinq civils a également été confirmée par le porte-parole du gouvernement local, Ahmad Zia Abdulzai.
Trois des cinq personnes tuées par le bombardement étaient des écoliers, a précisé un porte-parole du ministère de l'Education local, Mohammad Atif Shinwari.
Les victimes ont été enterrées samedi matin dans la banlieue de Jalalabad et une foule de plusieurs dizaines de personnes, aux visages crispés par la colère et la tristesse, a assisté à une prière en leur hommage, a constaté un photographe de l'AFP.
A mort les États-Unis, ont crié plusieurs d'entre eux.
Les victimes civiles causées par les frappes aériennes de l'Otan sont un motif de colère récurrent du président Hamid Karzaï à l'égard de la Force internationale de l'Otan dans le pays (Isaf).
Le 7 septembre, seize civils avaient été tués par une frappe aérienne dans la province de Kunar (est), selon la présidence afghane, qui avait fermement condamné l'incident.
Libye: attaque contre un point de contrôle, 15 soldats tués
Quinze soldats ont été tués samedi dans une attaque contre un point de contrôle situé à une centaine de kilomètres au sud-est de Tripoli, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'armée libyenne en cours de constitution.
Un point de contrôle de l'armée au niveau de la région d'Al-Malti, entre Tarhouna et Bani Walid, a été attaqué samedi à l'aube par un groupe d'inconnus. Quinze soldats ont été tués et quatre autres ont été blessés, a déclaré Ali Cheikhi.
De son côté, l'agence libyenne Lana a fait état d'un bilan de 15 morts et cinq blessés, ajoutant que la route entre Tarhouna et Bani Walid, bastion des partisans de l'ancien régime, a été fermée à la circulation.
Selon l'agence, les blessés et les corps de soldats tués ont été transférés à l'hôpital de Tarhouna, à 80 km au sud-est de Tripoli.
Les membres des forces de sécurité libyennes, en cours de formation, sont régulièrement la cible d'attaques, en particulier dans l'est du pays.
Fin juin, six soldats en faction à un point de contrôle de l'armée au sud de Syrte (centre) ont été tués dans une attaque armée.
Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les autorités de transition en Libye n'ont pas réussi à mettre sur pied une armée et une police professionnelles.
Elles n'ont pas réussi non plus à arrêter les responsables de ces attaques, donnant un sentiment d'impunité aux milices armées, qui comblent le vide en matière de sécurité laissé par un État en déliquescence.
La levée des sanctions n’est pas « la solution » aux problèmes économiques de l’Iran
Les sanctions ne sont pas une chose nouvelle, les sanctions dans le domaine du pétrole et des devises sont un des aspects de ces sanctions qui ont pour objectif de faire disparaitre la révolution islamique en exerçant des pressions sur les classes moyennes et défavorisées qui sont le principal soutien de la Révolution.
L’Hodjat-ol-islam Hossein Mir Moezzi, membre du Comité d’élaboration des modèles islamiques et iraniens de progrès, le 4 octobre 2013, lors d’une réunion sur « l’épopée économique et l’économie de résistance » organisée à la Grande école de jurisprudence, a déclaré qu’il fallait encourager la consommation des produits intérieurs et que la levée des sanctions n’était pas « la solution » aux problèmes économiques de l’Iran.
« Les sanctions ne sont pas une chose nouvelle, les sanctions dans le domaine du pétrole et des devises sont un des aspects de ces sanctions qui ont pour objectif de faire disparaitre la révolution islamique en exerçant des pressions sur les classes moyennes et défavorisées qui sont le principal soutien de la Révolution.
Les solutions qu’a données le Guide suprême sont très étendues et dépassent même le champ d’action des sanctions. L’idée de l’économie de résistance que son excellence a proposée en 2009, se fonde sur l’esprit de djihad et les enseignements islamiques, et l’obligation religieuse de résister à l’ennemi.
Le djihad concerne les domaines économiques, politiques et culturels et représente une lutte infatigable accompagnée de sacrifices. Si cet esprit se développe dans la société, sans aucun doute, nous profiterons de l’aide divine. Une des bases de cette économie est une production maximale et un minimum de dépenses. Si le pays veut être indépendant, il doit être indépendant au niveau économique, dans la production des produits stratégiques pour pouvoir résister à la concurrence.
Cette économie de résistance a de multiples facettes dans la vision très sage de l’imam Khamenei, une de ces facettes est le soutien à la production intérieure et la gestion de la consommation, le rejet du gaspillage et une meilleure utilisation des devises, et le recours à une industrie spécialisée », a-t-il dit.
Le 30 Thil-Qi`da :La Vie et le Martyre de l`Imam Jawad (P)
L'Imam Mohammad Ibn Ali at-Taqi (le pieux), parfois nommé al-jawâd (le magnanime) ou Ibn al-Rezâ est le fils du huitième Imam.
I1 est né le 10 Rajab en 195/809 à Médine et, selon des traditions chi'ites, est mort martyr le 29 zul-qad en 220/835, empoisonné par sa femme, la fille de Ma'mûn, sur l'instigation du calife Abbasside Mu'tasim. Il fut enterré aux côtés de son grand père, le septième Imam, à Kâzimayn.
Il devint Imam après la mort de son père, sur Ordre divin et par décret de ses prédécesseurs. Au moment de la mort de son père, il était à Médine.
Ma'mûn l'appela à Baghdâd qui était alors la capitale du califat et lui manifesta extérieurement beaucoup de bienveillance. Il donna même sa fille en mariage à l'Imam et le garda à Bagdâd.En réalité, il voulait de cette manière exercer une étroite surveillance sur l'Imam, à la fois de l'extérieur et de l'intérieur de sa famille.
L'Imam passa quelques temps à Bagdâd et puis, avec le consentement de Ma'mûn, repartit pour Médine où il resta jusqu'à la mort de Ma'mûn. Quand Mu'tasim devint calife, il appela l'Imam à Bagdâd, et comme on l'a dit plus haut, le fit empoisonner par sa femme.
Malgré son très jeune âge, l'Imam(as) avait une forte personnalité qui suscitait chez tous ses interlocuteurs le plus grand respect et la plus haute considération. Un jour, et alors qu'il regardait d'autres enfants jouer, le Calife al Ma'mûn passa avec son escorte. Tous les enfants s'enfuirent excepté le futur Imam al Jawâd(as).
Al Ma'mûn le regarda avec intérêt et lui dit : "Pourquoi ne t'es-tu pas enfui comme les autres gosses ? "L'Imam al Jawad(as) répondit : "Le chemin n'est pas si étroit pour que je sois obligé de le libérer pour vous et je n'ai rien commis qui mérite une sanction. Je pense que vous raisonnez assez pour ne pas me punir si je ne le mérite pas. C'est pour cela que je n'ai pas bougé."
Al Ma'mûn fut très intrigué de la logique d'un si jeune enfant et lui demanda comment il s'appelait L'Imam(as) répondit : "Je m'appele Mohammed ibn Ali ar-Reza !"
L'Imam fut le plus grand érudit de son temps, le plus généreux et le meilleur bienfaiteur. Il fut très coopératif, gentil et de bonne disposition, et très éloquent.
Il avait l'habitude de monter sur son cheval en apportant de l'argent et des aliments pour les distribuer aux nécessiteux. Son savoir fut célèbre parmi les gens. Une fois quatre-vingts de ses disciples se réunirent chez lui à son retour du Hajj et lui posèrent diverses questions. L'Imam répondit à tout ce qu'on avait demandé et tout le monde fut satisfait .
Un jour plusieurs personnes se rassemblèrent autour de lui à la Mecque et lui posèrent des milliers de questions en une séance. L'Imam répondit à toutes les questions sans hésitation ni fausse note. A l'époque il n'avait que neuf ans. Mais un tel phénomène (miraculeux) n'est pas inhabituel chez les Ahl-al-Bayt. Le Calife Mamoun al-Rachid accorda la main de sa fille à l'Imam après l'avoir soumis à une épreuve très difficile ; cet événement est bien connu dans l'histoire.
Il convoqua tous les notables Abbasside, les savants de l'époque et bien sûr l'Imam al Jawad(as). Parmi ses personnalités présentes figurait Yahia ibn Akhtam qui était une grande figure scientifico-juridique et également juge(Hakim).
Yahia ibn Akhtam lui posa la question : "Que dis-tu concernant un croyant en état d'Ihram (sacralisation) qui aurait tué un animal ?"
L'Imam(as) répondit : "A-t-il tué cet animal hors du lieu sacré ou dedans ? Connaissait-il l'interdiction de tuer l'animal ou non ? L'a-t-il tué par accident ou bien exprès ? L'homme est-il libre ou esclave ? Est-il petit ou grand ? Est-ce la première fois ou est-ce une récidive ? L'animal était-ce une volaille ou autre ? était-il petit ou grand ? L'homme regrette-t-il son acte ou non ? étais-ce durant la nuit dans son nid ou la journée hors de son nid ? l'Ihram était-il fait pour la Umra (petit pélerinage) ou al Hajj (grand pélerinage) ?
Yahia ibn Akhtam fut tellement gêné par ces détails auxquels ils n'avait pas pensé qu'il se sentit malmené et avili. Les gens présents restèrent comme des écoliers lorsque l'Imam(as) tenu absolument à répondre lui-même à toutes ces questions. Sur cette démonstration de Sciences de l'Imam al Jawad (as), les notables et les savants quittèrent le palais la tête base et le visage noircis.
Mort de l'Imam (P)
Al Mou'tassim était aussi mauvais que son frère mais beaucoup moins calculateur et stratège. Il ne voulut pas perdre de temps avec une telle menace à son pouvoir illégitime qu'était l'Imam al Jawad(as) et les Ahl'ul Bayt en général. Il ordonna à son neveu Ja'far de faire mourir l'Imam(as) et ce dernier commanda à sa soeur d'empoisonner son mari de la même manière que l'avait été l'Imam ar-Reza(as) ce qu'elle fit. Cet acte diabolique eut lieu le 26 Zoul Hijjah de l'an 220 de l'Hégire.
Quelques Paroles de l'Imam al-Jawad(P)
-La dignité d'un croyant réside dans son indépendance des autres (matérielle).
-Le croyant a besoin de 3 qualités :
-la bonne orientation d'Allah.
-Une exhortation de soi-même.
-l'acceptation des conseils.
-Le jour de la Justice est plus dur pour l'injuste que le jour l'injustice pour l'opprimé.
-L'adorateur n'obtient jamais la plénitude et la vérité de la foi tant que sa religion n'influe pas sur ses propres désirs.
L'Iran, les USA et la contre-offensive de Netanyahu...
Si les négociations avec les palestiniens aboutissent à l'échec, cela pourrait entrainer le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, à revenir sur ses positions, au sujet des activités nucléaires israéliennes. Dans ce cas-là, il ne sera pas exclu que les Etats-Unis agissent aux frais d'Israël, dans les négociations avec l'Iran, donnant, peut-être, garantie qu'ils contraindront les Israéliens, à changer d'approche. C'est le thème d'un article paru sur le site irdiplomcy.ir dont voici, dans les lignes qui suivent, la version française.
Washington et Tel-Aviv se sont entendus, afin que la Maison Blanche fasse tout ce qu'elle peut, pour écarter les pressions exigeant d'Israël d'adhérer à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques. Les deux parties tiennent à dire qu'il n y a aucun différend entre Washington et Tel-Aviv à ce sujet.
Selon le quotidien londonien Al-Quds Al-Arabi, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu est aux Etats-Unis, pour enrayer tout approchement irano-occidental et mettre au défi la rencontre établie entre le Secrétaire d'Etat américain John Kerry et le Ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad-Javad Zarif, la première rencontre du genre, depuis la victoire de la révolution islamique.
La semaine dernière, le Président iranien a demandé qu'Israël adhère au traité de non-prolifération des armes nucléaires, ce qui a provoqué l'inquiétude des responsables israéliens. Cette demande, vu le nouveau climat créé avec la visite de la délégation iranienne à New-York, pourrait intensifier les pressions internationales sur Tel-Aviv, pour adhérer se soumettre à tous les accords internationaux sur la non-prolifération des ADM.
Près de 40 ans d'efforts internationaux pour créer un Moyen-Orient dénucléarisé ont, jusqu'ici, échoué, a affirmé dans son discours le Président Rohani, ajoutant que dans toute la région moyen-orientale, seulement, Israël n'a pas encore adhéré au TNP et il faut qu'il le fasse immédiatement, afin que toutes les activités nucléaires effectuées dans la région soient placées dans le cadre des principes de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Comme l'avaient prévu les analystes politiques dans les médias arabes, Netanyahu s'est focalisé, lors de sa rencontre avec Obama, sur le nucléaire iranien et les négociations israélo-palestiniennes. Citées par Yediot Aharonot, les sources proches du bureau du Premier ministre israélien avaient annoncé auparavant que Benyamin Netanyahu envisageait de faire rappeler l'échec des contacts établis au passé avec Pyongyang, pour arguer, ensuite, qu'au sujet de l'Iran, aussi, il faudrait imaginer le pire scénario. Selon les sources bien informées, Israël est, aujourd'hui, vivement, inquiet d'un rapprochement irano-occidental dont il ressent la probabilité, plus qu'en tout autre temps, d'autant que les sources proches du gouvernement américain disent, elles –mêmes, que le mur d'hostilité entre Washington et Téhéran a été, de nos jours, brisé. De même, les responsables israéliens éprouvent une grande déception de voir le Président iranien avoir créé du charme, par ses entretiens et son discours, à New York, sans se voir contraint à donner de la concession, au sujet de l'affaire nucléaire.
Selon le directeur des études stratégiques de Netanya Academic College, Israël s'acharne, toujours, à ne pas adhérer au TNP, signé par tous les Etats du monde, à l'exception d'Israël et 4 autres pays. Tel-Vic envisage de continuer d'insister sur cette position, jusqu'à ce que le monde entier abandonne sa demande. « Les piliers de décision à Tél-Aviv doivent, pourtant, savoir que cette approche est très dangereuse et illusoire, car, on ne sait pas jusqu'à quand les Etats-Unis pourront mettre les autres pays sous pressions, pour sauver Israël des pressions. Et si les récents efforts, au sein de l'AIEA, pour y en engager un plan anti-israélien n'ont pas abouti, c'est parce que cette fois-ci, le Premier ministre israélien est passé à l'acte, en personne ; il a établi des contacts avec ses homologues dans différents pays et réussi à les dissuader de suivre ce plan, alors que les Etats-Unis n'a fait pas grande chose à ce sujet. Les Etats-Unis préfèrent qu'Israël signe le TNP, espérant que cela permet à avancer dans les négociations de paix arabo-israéliennes et dans le sens de la dénucléarisation du Moyen-Orient. Israël doit donc être vigilant, car les Etats-Unis pourraient soudainement changer de position, ajoute le directeur des études stratégiques de Netanya Academic College.
Ce chercheur et universitaire israélien insiste sur la reprise des négociations de paix arabo-israéliennes, pour dire que si les négociations avec les palestiniens aboutissent à l'échec, cela pourrait entrainer le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, à revenir sur ses positions, au sujet des activités nucléaires israéliennes. Il recommande également aux responsables israéliens d'être vigilants envers les agissements diplomatiques de la Russie et de son Président, Vladimir Poutine, or, il n'est pas exclu qu'il intègre officiellement l'adhésion d'Israël aux traités internationaux sur l'interdiction des ADM, au débat engagé autour du désarmement chimique de la Syrie.
Source : irdiplomacy.ir
Le sénat US fait reporter l’examen des sanctions anti-iraniennes!
Le sénat américain a fait reporter l’examen du durcissement des sanctions contre l’Iran.
Le sénat américain a fait reporter le projet du Congrès, pour imposer davantage de sanctions contre Téhéran, après la tenue des négociations Iran/5+1, à Genève. Durant ces derniers jours, des figures politiques et internationales, dont Catherine Ashton, responsable de la diplomatie européenne, ont demandé au Congrès américain d’éviter d’intensifier les pressions sur l’Iran et de profiter de la meilleure ambiance aux négociations de Genève. Selon ce rapport, il était prévu que la Commission bancaire du sénat examine, en septembre, un nouveau paquet de sanctions, qui a été approuvé, en juillet, par la chambre des représentants. Or, il a été annoncé que la Commission en question a fait reporter, au moins, pour quelques semaines, cette séance.