
تقي زاده
« Journée mondiale de l’Afrique » en présence du ministre iranien de la culture
Seyed Mohamad Husseini, Mohamad Bagher Khoramshad, directeur du Centre de la culture et des relations islamiques, Mohamad Reza Dehshiri, responsable des activités de recherches et d’enseignement de ce centre, et trois ambassadeurs africains feront un discours et présenteront le message de leur pays.
A l’occasion de la « Journée mondiale de l’Afrique » qui correspond cette année, au cinquantième anniversaire de la constitution de l’Union africaine, une réunion sera organisée le 25 mai 2013, au Centre de la culture et des relations islamiques en présence de Seyed Mohamad Husseini, ministre iranien de la culture et de l’orientation islamique, des ambassadeurs des pays africains membres de cette association, de représentants du Parlement islamique iranien, des étudiants des centres islamiques en Iran, de personnalités politiques et de membres de l’association d’amitié afro-iranienne, au husseinieh Al Zahra (AS).
Seyed Mohamad Husseini, Mohamad Bagher Khoramshad, directeur du Centre de la culture et des relations islamiques, Mohamad Reza Dehshiri, responsable des activités de recherches et d’enseignement de ce centre, et trois ambassadeurs africains feront un discours et présenteront le message de leur pays.
Une exposition est aussi prévue d’œuvres artistiques, de livres et de revues spécialisées sur l’Afrique, publiées en Iran.
L’Association du Croissant rouge et le Comité d’entraide de l’imam Khomeiny présenteront leurs activités en Afrique.
Vahid Faraji, cinéaste et producteur, et Ramin Foroughi, producteur du film « Nous sommes en Afrique », seront récompensés à cette occasion.
Nécessité d’un règlement international pour les compétitions coraniques
Les concurrents avant toute chose, doivent avoir de hautes qualités morales et respecter les règles coraniques dans leur comportement. Il faut aussi que les concurrents fassent des progrès dans le domaine technique et maitrisent parfaitement les règles de phonétique et de lecture.
L’Hodjat-ol-islam Abdoul Jalil al Makrani, spécialiste coranique d’Arabie saoudite et directeur du centre coranique « Hazrate Roghieh (AS) » de Qom, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les règlements étaient différents entre les pays, et qu’il était nécessaire d’élaborer un règlement international.
«Les compétitions sont l’occasion pour encourager les gens à la lecture coranique. Les membres du Jury des compétitions iraniennes sont choisis en fonction de critères internationaux, la présence d’arbitres très compétents de différents pays comme l’Égypte ou la Malaisie, permet au jury de remplir au mieux ses responsabilités et a une influence sur le bon déroulement des compétitions. La constitution sous le contrôle de l’Association de coopération islamique ou d’autres organismes islamiques, d’un comité chargé d’évaluer les arbitres est une nécessité ainsi que l’élaboration d’un règlement pour toutes les compétitions internationales.
Tout projet aura des avantages et des inconvénients, il se peut aussi qu’il y ait des erreurs dans les activités du jury, d’un autre coté, ces compétitions qui se déroulent chaque année, doivent constamment être améliorées. Les compétitions qui sont organisées en Iran, en Malaisie, aux Émirats, en Inde et en Égypte, sont parmi les meilleures, il y a eu aussi de bonnes compétitions organisées en Libye.
Les concurrents avant toute chose, doivent avoir de hautes qualités morales et respecter les règles coraniques dans leur comportement. Il faut aussi que les concurrents fassent des progrès dans le domaine technique et maitrisent parfaitement les règles de phonétique et de lecture.
Les activités culturelles en marge des compétitions sont aussi très importantes, pour la défense du Coran, du prophète (AS) et des valeurs islamiques. je remercie les journalistes d’Iqna qui couvrent bien les compétitions en Iran et à l’étranger, et demande que les avis des spécialistes qui n'étaient pas présents aux compétitions soient aussi examinés et évalués », a-t-il dit.
La ville stratégique de Qousseir contrôlée par l’armée syrienne
Les troupes syriennes sont entrées ce dimanche 19 mai au matin à Qousseir, dans la province de Homs (centre). Une ville qui résistait au régime depuis un an mais, ce soir, l'armée contrôle presque la totalité de la ville stratégique, située sur l'axe reliant Damas au littoral.
L'armée syrienne a contrôlé dimanche 19 mai le cœur de Qousseir, dans le centre du pays.
«L'armée syrienne contrôle la place principale de Qousseir dans le centre-ville ainsi que les immeubles environnants, dont la mairie, où les soldats ont planté le drapeau syrien», a déclaré à l'AFP une source militaire sous couvert de l'anonymat.
L'offensive de l'armée syrienne contre Qousseir a été précédée d'un violent pilonnage à l'artillerie et d'intenses raids aériens. L'infanterie, appuyée par des chars, a ensuite commencé sa progression à partir de trois axes.
Après des heures de combats féroces, les troupes régulières ont atteint le centre-ville et ont occupé le siège de la mairie pour pénétrer ensuite dans les autres quartiers.
En fin de journée, les combats se sont concentrés dans la partie nord de la ville, dernier secteur encore sous contrôle de l'opposition. De nombreux rebelles se sont repliés vers l'aéroport militaire de Dayaa, à quelques kilomètres de Qousseir, une de leur dernière position dans la région.
Les combats auraient fait des dizaines de morts dans les rangs des rebelles, dont des extrémistes étrangers.
La télévision d'Etat a diffusé une interview d'un soldat sur place: «les hommes armés se sont enfuis face aux frappes de l'armée en direction du quartier nord, vers lequel nous continuons d'avancer pour mettre fin à toute manifestation armée», a expliqué le soldat.
Le soldat interrogé sur la chaîne officielle a assuré que l'armée avait «laissé le front nord-ouest pour permettre aux habitants de sortir».
Qousseir, une ville clé
La prise de Qousseir par l'armée syrienne constitue un revers de taille pour les rebelles. Cette ville, située dans le centre de la Syrie contrôle en effet un axe routier stratégique qui dessert toutes les régions du pays.
Désormais, il sera très difficile pour l'opposition de recevoir des renforts en hommes et en matériel, à partir du Liban.
Selon le chercheur David Rigoulet-Roze, l'offensive est la preuve du caractère stratégique de Qousseir pour le régime. «C'est un réseau de communication qui permet de relier Damas au littoral ».
«Si l'armée parvient à contrôler Qousseir, c'est toute la province de Homs qui tombe» aux mains du régime, a affirmé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une organisation basée au Royaume-Uni et s'appuyant sur un large réseau de militants et de sources médicales et militaires.
Récemment, les forces du régime sont parvenues à prendre plusieurs villages aux alentours de Qousseir, située dans la province centrale de Homs et sur l'axe stratégique reliant la capitale Damas au littoral.
"L'axe de la résistance nous a vaincus"!! (Debkafile)
Le site Debkafile proche des milieux du renseignement de l'armée israélienne publie un nouveau rapport où il reconnaît l'échec de Netanyahu à convaincre les Russes de ne pas livrer des armes stratégiques à Damas : " Les Etats Unis, Israël et la Turquie ont commis une grave erreur stratégique en Syrie", affirme le site qui souligne l'état de désemparement dans lequel se trouve Israël ". Le 15 mai, New York Times a cité l'un des responsables israéliens, qui s'était payé le luxe de menacer le régime Assad à peine 4 jours après , un autre responsable de l'armée a tenu des propos parfaitement différents cette fois repris par la revue Times de Londres. Ces propos disaient en gros qu'Israël préfère le maintien au pouvoir d'Assad à l'arrivée à la tête de l'Etat syrien des éléments extrémistes ... 24 heures après cette annonce, Foxnews a publié les photos des commandos israéliens qui rentraient d'une mission en Syrie. Tous ces événements ne montrent qu'une seule chose : les autorités isaréliennes sont incapables d'avoir une analyse claire et correcte de la situation en Syrie ou en d'autres termes, ils souffrent de l'absence totale d'une stratégie au sujet de la Syrie". " Il existe de nombreuses raisons pour croire que les pays voisins de la Syrie seront tôt ou tard contaminés par la crise syrienne et parmi ces pays Israël est l'un des pays les plus favorablement exposés au danger de l'extension de la crise syrienne. Six raisons existent pour étayer cette hypothèse : Obama est incapable de décider de la démarche à suivre en Syrie, il n'est même pas en mesure d'établir une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie. Il a daigné répondre à peine par un non à une demande d'Erdogan formulée en ce sens au cours de sa récente visite à Washington. " Debkafile mentionne ensuite les déboires de Netanyahu en Russie et le non recevoir catégorqiue qu'a subi en plein figure de la part de Poutine. " Netanyahu a échoué à convaicre Moscou de ne pas envoyer ses S300 à Damas. " Le site est assez réaliste pour reconnaitre les exploits de l'armée syrienne sur le terrain face aux terroristes : " l'erreur stratégique des Etats-Unis, d'Israël et de la Turquie est leur refus de reconnaitre cette suprématie militaire de l'armée face aux rebelles . Alors que ces deux dernières années ont été marquées par la reprise par l'armée de la reprise du contrôle des régions clés tombées entre les mains des rebelles". " Obama, Netanyahu, Erdogan ont eu une fausse évaluation de la puissance d'Assad et de sa capacité à préserver sa suprématie. Ils n'ont pas très bien compris que l'Iran, la Russie et le Hezbollah veulent la fin diplomatique de cette crise. Force est de constater que l'axe Iran /Russie/Hezbollah a devancé l'axe adverse et que les efforts de destabilisation à son encontre ont échoué" .
Syrie : Dernier point sur Al Qusseir
L'armée arabe syrienne est entrée dans la ville d'al-Qusseir, banlieue de Homs, de plusieurs axes, et a rétablit la sécurité et la stabilité dans la majorité des quartiers de la ville, dont le stade al-Baladi, le rond-point de la municipalité, la zone d'al-Gheida,
les abords du quartier al-Gharbi et le centre culturel, après y avoir tué un grand nombre de terroristes, dont certains de nationalités étrangères.Une source militaire a affirmé que des dizaines de terroristes s'étaient rendus après avoir rendu leurs armes, alors que d'autres ont été arrêtés grâce à la collaboration des habitants.
Parmi les terroristes tués on avait reconnu Nawwaf Elwani, chef d'un groupe terroriste de Front d'al-Nosra, Alaa Amer, Jamal Khankan, Mohammad Jamal al-Machehadani, Mohammad Bakr, Mohammad al-Abdallah, Ahmad Chamseddine, Abdel-Aziz al-Atr, Khodr Sabra, Bassel Mohammad Turkmani, Maher Sukkar et Khaled Rahel.Les éléments des forces armées poursuivent la traque des derniers terroristes dans la ville.La source a souligné que des unités de l'armée avaient saisi une importante quantité des armes et des munitions et détruit nombre de tunnels creusés par les personnes armées pour commettre leurs actes terroristes et stocker leurs armes et leurs munitions.Des unités de génie ont désamorcé des mines et des engins explosifs plantés par des terroristes sur les routes et dans les bâtiments.Toujours dans la ville d'al-Qusseir, et d'après un e source responsable, des unités de l'armée se sont accrochées avec des groupes terroristes armées dans la zone des écoles, le quartier de Beit Ramzoun et la zone de l'église, tuant ou blessant nombre de terroristes et détruisant les armes et les munitions qui étaient en leur possession.La source a fait noter que des terroristes ont ciblé aux obus de mortier nombre de maisons des citoyens dans la localité d'al-Ghassania dans la banlieue de Qusseir, faisant nombre de blessés et causant des dégâts matériels.
L'Iran dévoilé son nouveau système de défense aérienne!
Le système est baptisé Herz 9 et il vient d'être dévoilé ce lundi en présence du ministre iranien de la défense, le général Vahidi . les batteries de missiles Herz 9 sont entièrement conçus par les techniciens et ingénieurs de l'industrie de défense iranienne.
" c'est un système capable d'intercepter via des radars intelligeants des cibles placées à une basse altitude. il a l'avantage de jouir d'une grande mobilité , d'être de grande manoeuvrabilité nocturne et être connéctable au syst-me nationale de défense aérien . Herz 9 entre en action en ) peine quelques minutes, a souligné le général Vahidi qui s'est féliciét du fait que l'expérience de huit années de défense sacrée face à l'armée de Saddam permettent aujourd'hui à l'Iran de réaliser de tels exploits. " nos progrès accomplis dans le domaine de défense balistique, nos missiles de courte de moyenne et de longue portée , les missiles de croisière et nos systèmes de défense anti aérien sont autant d'acquis que nos techniciens ont réalisés et qui sont propres à susciter l'admiration dans un contexte de sanction occidentale de plus en plus contraignante"
Iran: deux espions travaillant pour le Mossad et la CIA exécutés
Deux espions iraniens travaillant pour la CIA (USA) et le Mossad (Israël) ont été pendus dimanche matin en Iran, a rapporté la chaîne de télévision IRIB TV.
Mohammad Heidari, l'un des hommes exécutés, avait préparé des informations dans une série d'affaires liées à la sécurité iranienne et les avait transmises au Mossad à plusieurs reprises lors de rencontres à l'étranger.
Il avait reçu de l'argent d'Israël en échange des informations fournies. L'autre homme exécuté, Kourosh Ahmadi, avait également entretenu des liens avec la CIA et avait amassé des informations sur l'Iran dans plusieurs endroits avant de les fournir à la CIA.
Les raisons de l’attaque du régime bahreïni contre la maison de l’Ayatollah Qassem
Après cette attaque, les membres du Conseil islamique des ulémas du Bahreïn se sont rendus à la mosquée Al Daraz en signe de soutien à l’Ayatollah Issa Qassem.
Vendredi dernier, 17 mai 2013, les forces de répression bahreïnies ont attaqué et pillé la maison de l’Ayatollah Issa Qassem, chef des chiites bahreïnis. Cette attaque montre le désarroi du régime et son incapacité à réprimer et à éteindre la flamme révolutionnaire dans ce pays. Les forces de répressions ont forcé la porte et sont entrées sans autorisation, ont insulté les membres de sa famille qu’ils ont enfermés une pièce avant de piller le bureau de l’Ayatollah.
Après cette attaque, les membres du Conseil islamique des ulémas du Bahreïn se sont rendus à la mosquée Al Daraz en signe de soutien à l’Ayatollah Issa Qassem.
Cet acte a été condamné par le Hezbollah libanais, l’association islamique nationale d’opposition « Al Wifagh » et Moqtada Sadr, chef de file du mouvement Sadr en Irak.
L’Ayatollah Issa Qassem, dès le début des mouvements d’éveil islamique au Bahreïn, a pris la tête des manifestations et du mouvement.
De nombreuses personnalités d’opposition ont été arrêtées par le régime d’Hamed ben Issa al Khalifa qui a aussi menacé à plusieurs reprises, l’Ayatollah Issa Qassem pour l’empêcher de dénoncer la corruption politique du régime dans ses prêches de la prière du vendredi.
Cette attaque contre un des leaders des tendances d’opposition, a pour objectif de mettre fin au combat populaire. Une autre attaque avait eu lieu le 26 avril 2013, contre Hosham al Sabaq, secrétaire du mouvement Amal du Bahreïn, qui a été emporté dans un lieu inconnu.
Ces attaques montrent que la famille royale veut en finir avec les leaders d’opposition et c’est dans ce cadre que Nabil Tamam, militant politique et médecin, Fazel Abbas, secrétaire de l’Association démocratique du Bahreïn, et Hosham al Sabaq avaient été arrêtés.
De nombreux manifestants dès le début de la révolution, ont été tués et de nombreuses personnalités juridiques et sportives ont été arrêtées, torturées et même assassinées dans les prisons du régime. Des dizaines de mosquées ont été détruites pour empêcher les rassemblements sans que tout cela ne vienne à bout de la volonté révolutionnaire du peuple.
La dynastie bahreïnie devrait tirer une leçon de ce qui est arrivé aux dictateurs de la région en 2011, et au lieu de réprimer le peuple, accepter des discussions pour instaurer le calme dans le pays.
Ces mesures répressives ne feront qu’accentuer la colère du peuple bahreïni et renforcer sa volonté de lutter pour des droits qui sont légaux et qui sont les droits élémentaires de tout citoyen, c’est à dire instaurer un gouvernement populaire qui pourra répondre aux revendications de la population.
L'Iran avertit le Bahreïn sur l'utilisation de la violence contre son peuple
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, Abbas Araqtchi, a condamné fortement la profanation à la maison d'un leader spirituel des chiites à Bahreïn, Ayatollah Cheikh Issa Qassim.
Regrettant profondément l'attaque à la maison d'Ayatollah Cheikh Issa Qassim, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a précisé que l'élément de la violence, l'intimidation et l'entrée organisée chez les gens n'est compatible avec aucune logique et est contraire à toutes les normes morale, religieuse et humaine.
"L'Etat de Bahreïn devrait défendre les droits de son peuple, et devrait faire attention que la profanation aux grands oulémas, l'attaque et l'assaut aux maisons des gens et la violence ne font qu'aggraver la situation et n'ont aucun résultat", en ajoutant, "la seule solution pour la crise de Bahreïn est les méthodes politiques et de faire attention aux attentes des bahreinis". Les forces bahreïnies ont attaqué vendredi dernier chez l'Ayatollah Cheikh Issa Qassim et ont détruit ses meubles.
Israël menace de frapper à nouveau la Syrie?!
Israël menace à nouveau de frapper la Syrie ! selon Yédiot Aharonot cité par New York Times, n'écarte pas dans son dernier numéro la possibilité de nouveaux raids aériens contre Damas. depuis le début de la crise en Syrie, l'armée isarélienen a mené trois raids aériens contre la banlieu de Damas dont le dernier s'est avéré particulièrement dévastateur. la Syrie n'a pas militairement riposté mais elle a ouvert le front du Golan sur les groupes de résistances palestiniens qui comptent poursuivre et intensifier leur lutte contre Israël . Poutine a directement mis en garde Netanyahu contre toute nouvelle frappe contre la Syrie , une Syrie qui s'apprête par ailleurs à recevoir les S300 russes.