
تقي زاده
Corée du Nord : les États-Unis se trompent de stratégie
L’administration Trump a bien négligé la capacité nucléaire de la Corée du Nord de Kim Jong-un, note le quotidien américain, New York Times.
La nouvelle administration américaine dirigée par l’homme d’affaires Donald Trump, n’a pas réussi à prédire la percée nucléaire nord-coréenne. Bien que le spectre d’une guerre sur la péninsule coréenne s’éloigne, mais la nature de cette crise atomique entre Washington et Pyongyang reste toujours imprévisible et inquiétante surtout quand il s’agit de chefs d’État aussi imprévisibles comme eux.
Après le discours du leader nord-coréen pour le dialogue et la paix et la réponse positive de ce dernier à la main tendue de son voisin du Sud pour un dialogue intercoréen, Trump ne veut bien sûr pas se retirer les mains vides. Les États-Unis se sont dits, à leur tour, prêts à parler avec la Corée du Nord. Via Twitter, Donald Trump a même prétendu que les signes de détente de ces derniers jours entre Pyonyang et Séoul sont dus à ses menaces.
Dans son discours du Nouvel An, Kim Jong-un a surpris les Coréens, mais aussi le monde, par son aspect conciliant, le dirigeant nord-coréen évoque un rapprochement des deux Corées appelant les deux pays à faire de la « grande cause nationale de la réunification » une priorité.
« Le Nord et le Sud ne doivent pas être ligotés par les événements du passé. Il est indispensable d’améliorer les relations bilatérales et de faire une percée en matière de réunification », a annoncé le leader nord-coréen, cité par l’agence centrale de presse nord-coréenne.
Mardi prochain, le 9 janvier, pile un mois avant l’ouverture des J.O., les hautes délégations des deux pays, qui sont techniquement toujours en guerre, se retrouveront officiellement au village de la trêve de Panmunjom sur leurs frontières communes.
À cette fin, Kim Jong-un a ordonné le rétablissement de la ligne téléphonique d’urgence qui relie la Corée du Nord à la Corée du Sud.
Kim Jong-Un n’a pas non plus exclu une participation de Pyongyang aux J.O. en Corée du Sud.
Et toujours dans le petit jeu de savoir qui gagne ou qui perd, aujourd’hui, c’est l’Amérique désormais qui apparaît comme le paria de la communauté internationale.
On voit bien aujourd’hui que le monsieur gaffes des États-Unis, Donald Trump, apparaît plus faible dans son pays et moins efficace à l’étranger que n’importe lesquels de ses récents prédécesseurs. À l’inverse, Kim Jong-un a su en tirer profit, notamment, des carences du leadership américain et impose avec fermeté son pays comme une « puissance nucléaire ».
Pour les analystes, il y a une différence entre les messages de paix délivrés par Kim et Trump : Le premier marque un signe de puissance et le deuxième celui de la faiblesse. Car une Corée réunifiée serait bien évidemment plus grande, plus forte, plus prospère et plus influente sur la scène internationale. D’où le changement de ton de Washington !
Macron attendu en Chine/ liens bilatéraux sous une nouvelle perspective
Le président français, Emmanuel Macron, a démarré, ce lundi 8 janvier, sa visite en Chine dans le but de donner un nouvel élan aux relations franco-chinoises.
Le journal China Daily, dans une note autour de la visite du président français en Chine, brosse un tableau des raisons qui ont poussé Emmanuel Macron à ouvrir maintenant le chapitre asiatique de son programme.
« La première visite du président français Emmanuel Macron en Chine devrait renforcer les liens commerciaux et approfondir la coopération économique entre les deux parties. Au cours de sa visite d’État du lundi au mercredi, M. Macron cherche également à élargir et à équilibrer le commerce bilatéral », note China Daily.
Pour ce qui est des retards dans les échanges économiques Pékin/Paris, l’auteur de l’article écrit :
« En dépit d’être des partenaires commerciaux importants, Pékin et Paris ont eu du mal à développer leurs liens commerciaux et économiques en raison de la structure commerciale bilatérale qui existe depuis longtemps et qui repose principalement sur l’énergie nucléaire, le transport ferroviaire à grande vitesse et l’aérospatiale. La coopération sino-française a fait des progrès remarquables, bien qu’au sein de l’UE, l’Allemagne soit le plus grand partenaire commercial de la Chine et la plus grande destination d’investissement. Pour la France, en revanche, la Chine est la septième plus grande source d’investissements étrangers. Pourtant, ce déséquilibre commercial renforce le potentiel d’expansion du commerce et de la coopération sino-française ».
L’auteur évoque la promesse électorale de Macron pour élargir le cercle des partenaires économiques de la France, en précisant :
« En fait, la France a besoin d’une coopération plus large et plus approfondie avec les économies non membres de l’UE si elle veut voir sa réforme économique porter ses fruits. Le taux de croissance économique de la France en 2017 devrait atteindre 1,9 %, son plus haut niveau depuis 2011. Pourtant, le déficit commercial de la France continue d’entraver sa reprise économique ».
Selon Macron, une coopération plus étroite avec la Chine contribuera à relancer l’économie non seulement de la France, mais aussi de l’UE dans son ensemble et cela revêt une importance particulière après le choc du Brexit. Macron a également manifesté de l’intérêt pour l’initiative de la Route de la Soie proposée par la Chine.
Depuis que le président américain Donald Trump est isolé par l’Europe, la France réfléchit à constituer un « nouveau type de relations de grands pays » avec la Chine et la Russie pour jouer un rôle plus important dans le monde en général et en particulier en Europe ».
La Turquie enquête sur l'islamophobie sur les quatre pays européens
Cela a mené à une petite émeute dans le pays où le parti d'extrême droite FPÖ est récemment entré dans le gouvernement. Cet incident a poussé le parlement turc à initier une enquête sur l'islamophobie en Europe, écrivent les journaux de Mediahuis, citant des médias turcs.
Une nouvelle commission parlementaire a donc été mise sur pied. Celle-ci débutera ses travaux ce mardi. Les députés se concentreront sur les quatre pays européens, où, selon eux, l'islamophobie est la plus forte, à savoir l'Autriche, l'Allemagne, la France et la Belgique. Ils souhaitent également être autorisés par ces pays à mener leurs recherches sur place.
Syrie: explosion dans un QG des combattants étrangers
Des dizaines de personnes ont également été blessées dans l'explosion, en majorité des combattants, a indiqué M. Abdel Rahmane, ajoutant que le quartier général des "Soldats du Caucase" avait été totalement détruit, et les bâtiments environnants sévèrement endommagés.
L'Observatoire, qui s'appuie sur un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, n'était pas en mesure de déterminer si l'explosion avait été provoquée par une voiture piégée ou par un drone.
Mais sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes ont évoqué une voiture piégée.
La faction des "Soldats du Caucase" est composée de centaines de combattants d'Asie centrale alliés à Tahrir al-Cham, une coalition terroriste dominée par l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda. Elle est engagée dans les combats contre l'armée syrienne dans la province d'Idleb.
Depuis fin décembre, le sud-est de cette province --contrôlée en majorité par Tahrir al-Cham-- est le théâtre de violents combats entre l'armée syrienne et son allié russe d'un côté, et des groupes rebelles et extrémistes de l'autre.
En prenant le sud-est d'Idleb, l'objectif pour le système syrien est de "sécuriser" une route qui relie Alep, deuxième ville du pays, à la capitale Damas, selon l'OSDH.
Déclenché en 2011, le conflit en Syrie s'est complexifié avec l'implication de pays étrangers et de groupes terroristes, sur un territoire de plus en plus morcelé. Il a fait plus de 340.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
Les Pays occidentaux, le régime israélien, la Turquie et la majorité des pays arabes soutiennent les groupes armés qui combattent en Syrie.
Iran : large publication de fausses vidéos et images pour provoquer les Iraniens
Nombreuses sont les images et les vidéos factices qui ont été rendues publiques au moment où avaient cours les troubles en Iran.
Depuis le début des débordements dans un certain nombre de villes en Iran, ont été publiées et republiées, sur les réseaux sociaux, des images et des vidéos qui étaient dépourvues de toute authenticité du fait qu’ils ne concernaient pas les événements en Iran mais des faits qui avaient eu lieu dans d’autres endroits du monde, voire des extraits de films.
Cet article évoque un petit nombre de ces photos truquées.
Cette photo qui a été publiée par plusieurs journalistes et internautes sur Twitter et Facebook a reçu pour titre « une femme iranienne courageuse » alors qu’elle a été extraite d’un film iranien intitulé « Les colliers en or ».
Cette vidéo a été largement postée sur les réseaux sociaux pour faire croire que la police iranienne pillerait un magasin. Cette vidéo a été accompagnée d’une légende, écrite par un internaute arabophone, disant que « le peuple et la police souffraient de la faim en Iran. Cela arrive-t-il dans un riche pays pétrolier ? »
La vidéo en question n’a même pas été filmée en Iran. La preuve ? Le mot « Policia » inscrit sur les uniformes des agents de police, montre que la vidéo ne concerne pas les troubles en Iran. Selon les médias mexicains, ladite vidéo a été filmée le 26 décembre 2017 et montrait la police mexicaine volant des téléphones portables dans un magasin.
La photo suivante représente un adolescent de 13 ans, appelé Amir-Hossein Papy. Ont circulé sur les réseaux sociaux des rumeurs selon lesquelles cet adolescent aurait été tué par les forces de sécurité à Doroud, une ville de la province du Lorestan. L’adolescent a aussitôt publié une vidéo démentant cette rumeur.
Le canal Telegram Amadnews a posté la majorité des fausses images et vidéos, essayant de les attribuer aux débordements en Iran.
Publiant la photo ci-dessous, Amadnews a accusé les forces de sécurité d’« avoir versé le sang des enfants de la patrie ».
Cette photo aussi a été publiée auparavant par les médias arabophones et c’une personne tuée en Égypte qui y apparaît.
Amadnews a également posté une photo de l’aéroport international de Tbilissi pour faire croire qu’il s’agissait de l’aéroport international Imam-Khomeini, en prétendant que les avions sur la photo seraient « chargés de lingots d’or et de palettes de dollars et d’euros avant de quitter le pays ».
Un grand nombre d’internautes ont republié une vidéo montrant une manifestation monstre à Bahreïn en 2011, tout en prétendant que « 300 000 manifestants défilent pour la démocratie ».
La dernière vidéo montre une manifestation à Buenos Aires en Argentine qui a été postée plusieurs fois par les internautes.
Bien que l’on entende les gens parler espagnol, cette vidéo a été attribuée aux manifestations en Iran.
Trump veut instrumentaliser les manifestations en Iran
Le quotidien égyptien Al-Wafd a indiqué que l’enthousiasme de Donald Trump face aux récents événements en Iran n’était pas surprenant, car l’Iran constituait une puissance hostile à la nouvelle stratégie de sécurité nationale de Donald Trump.
« Quand les manifestations ont commencé en Iran, Donald Trump s’est frotté les mains et a pris des décisions insolentes. Depuis son entrée en fonction, Donald Trump a tendu une embuscade à l’Iran ; il a critiqué, à maintes reprises, l’accord nucléaire et prononcé des déclarations provocatrices en recourant à des moyens interventionnistes.
L’enthousiasme de Donald Trump face aux récents événements en Iran n’était pas surprenant, car l’Iran constituait une puissance hostile à la nouvelle stratégie de sécurité nationale de Donald Trump. Les manifestations en Iran ont abasourdi le monde, car personne n’y voyait un printemps arabe comme celui qui a eu lieu en Égypte, en Libye et au Yémen.
Entre autres, les États-Unis cherchaient à faire connaître à l’Iran le même sort que les pays arabes, sous prétexte de soutenir la démocratie et les droits de l’homme en Iran. Il ne faut pas oublier que les révolutions qui ont été déclenchées dans les pays arabes ont largement contribué à la dégradation du niveau de la démocratie et des droits de l’homme.
Dans certains pays arabes, les mercenaires et les individus armés se sont infiltrés dans les rangs des manifestants et ont ainsi transformé les protestations en une guerre totale et cela afin de déstabiliser et d’insécuriser ces pays.
Aujourd’hui, l’Iran ressemble à une proie que les États-Unis désirent chasser en provoquant les Iraniens à se dresser face au gouvernement en place. Et cela alors que Donald Trump savait bien que les révolutions arabes avaient porté le fruit qui plaisait aux Américains et aux Israéliens : les conflits intérieurs ! L’accord qu’ont scellé Washington et Tel-Aviv pour contrer l’Iran vient à l’appui de cette affirmation. Les deux parties ont signé un accord de coopération stratégique conjoint prévoyant une série de mesures diplomatiques et secrètes pouvant porter atteinte à l’Iran.
Concernant les manifestations en Iran, il est à rappeler que les ennemis de ce pays, dont et surtout Israël, les États-Unis et le Royaume-Uni, ne pensent jamais à la sécurité et à la stabilité du monde arabo-musulman et qu’ils ne cessent de fomenter des complots contre les nations et les États de la région. C’est uniquement à travers une mobilisation solide et une ferme unité que les musulmans et les Arabes pourront s’extraire des griffes d’Israël et des États-Unis, qui ne lésinent sur rien pour les éliminer. »
Visite d’une délégation parlementaire de Jordanie à Téhéran
Les sources parlementaires jordaniennes rapportent que le président du parlement Atef Tarawneh peaufine les derniers préparatifs du voyage de la haute délégation à Téhéran qui aura lieu à la fin de la semaine en cours.
La liste des parlementaires qui composeront la délégation jordanienne est prête, annoncent-elles selon le site web Jo24.
Il est prévu que la délégation s’entretienne avec les autorités iraniennes des moyens de promouvoir les coopérations bilatérales.
Dans la dernière séance du Parlement, Atef Tarawneh avait souligné que l’examen du développement des partenariats de la Jordanie devait se faire sans tenir compte des relations stratégiques du pays avec les États arabes du golfe Persique.
L’ambassadeur iranien, Mojtaba Ferdowsipour, et l’ambassadeur de Syrie à Amman, Iman Aloush, ont rencontré séparément Atef Tarawneh.
L’état de santé du cheikh Ibrahim Zakzaky ne cesse de se dégrader
Une source digne de foi proche de la famille du cheikh Ibrahim Zakzaky a fait part de l’aggravation de l’état de santé de ce dernier, leader du Mouvement islamique du Nigéria, en détention depuis 3 ans.
« La poursuite de la détention de Zakzaky a aggravé son état de santé. Il a été arrêté par le gouvernement. Le leader du mouvement islamique n’a pas accès aux soins. Il se plaignait hier qu’il ne pouvait plus prononcer certaines lettres lors de sa prière surtout quand il s’incline ou se prosterne », a déclaré à Fars News cette source.

« Ses bras et ses pieds sont devenus faibles. Il paraît qu’il a du mal à parler », a-t-elle ajouté avant de préciser qu’on croyait que tout cela était dû à une crise nerveuse passagère.
« Les symptômes de sa maladie s’intensifient. Zakzaky a déclaré que depuis la semaine dernière il ne pouvait plus marcher aisément », a-t-elle poursuivi.
Le cheikh Ibrahim Zakzaky souffre d’une faiblesse générale. Mais les autorités nigérianes ont jusqu’ici refusé d’effectuer un test de tomodensitométrie pour diagnostiquer sa maladie potentielle.
« Même si elles l’acceptent, elles ne nous informeront pas du résultat ou mentiront sur le résultat », a indiqué cette source.
Netanyahu réitère son appel à fermer l’agence d’aide aux réfugiés palestiniens
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a réitéré dimanche son appel à démanteler l’agence des Nations unies pour l’aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA), qu’il accuse d’être anti-israélienne, a indiqué un communiqué de son bureau.
« L’existence même de l’UNRWA perpétue le problème des réfugiés palestiniens ainsi que le narratif du soi-disant droit au retour, dont l’objectif réel est la destruction de l’État d’Israël », a-t-il affirmé lors du Conseil des ministres hebdomadaire.
« C’est pourquoi il est temps de démanteler l’UNRWA et de fusionner ses activités avec celles du Haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) », a ajouté Netanyahu, rappelant qu’il avait tenu des propos similaires en juin lors de la visite en Israël de la représentante des États-Unis à l’ONU, Nikki Haley.
Les Palestiniens sont les seuls à disposer d’un organisme d’aide qui leur est propre alors que des millions d’autres réfugiés dans le monde sont pris en charge par le HCR, a-t-il affirmé.
Le Premier ministre israélien s’est en outre dit « entièrement d’accord avec les critiques virulentes du président Trump », qui a menacé la semaine dernière de supprimer l’aide financière américaine à destination des Palestiniens.
Par ailleurs, les États-Unis ont suspendu une aide à l’UNRWA estimée à 125 millions de dollars.
Avec AFP
USA : les services de renseignement ont sous-estimé la Corée du Nord
Plusieurs responsables des services américains du renseignement ont avoué ne pas avoir assez prévenu l’administration Trump du danger que représentait l’évolution du programme nucléaire nord-coréen, selon The New York Times.
Au début de la présidence de Donald Trump, les services américains de renseignement ont informé la nouvelle administration qu’elle avait jusqu’à quatre ans en réserve pour arrêter ou ralentir le programme nucléaire nord-coréen, tout en reconnaissant que la Corée du Nord s’était déjà dotée de l’arme nucléaire, fait savoir le journal.
Compte tenu des dernières avancées de la Corée du Nord, de l’essai d’une bombe H (à hydrogène) et d’un missile balistique capable d’atteindre l’île américaine de Guam où les États-Unis disposent d’installations militaires stratégiques, les services de renseignement ont dû avouer leur négligence vis-à-vis du potentiel de Pyongyang. Ils ont aussi révélé que leurs estimations sur les chances de ce pays d’acquérir les technologies étrangères, dont celle pour la fabrication d’un moteur sur la base du RD-250 datant de l’ex-Union soviétique — constitué la base de la propulsion du missile soviétique R-36 — étaient fausses.
Selon le journal américain, en 2016 Pyongyang a effectué huit essais de missiles balistiques, dont sept ont échoué, ce qui a induit les services de renseignement des États-Unis en erreur concernant la vitesse de développement du programme nucléaire nord-coréen.
Le conseiller à la sécurité nationale du président américain, le lieutenant-général H.R. McMaster, a admis dans une interview que « la course nucléaire a été plus rapide et le délai plus serré que la plupart des gens ne l’auraient cru ».
« Trump ne s’attend pas à recevoir des informations complètes sur tout. Il n’a pas de problème avec les ambiguïtés et connaît les failles de l’homme », a-t-il ajouté.